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Vaccin Covid : 10 autres raisons de dire non (suite)

Par 9 septembre 2020septembre 19th, 20242 commentaires

La lettre de la semaine dernière était à peine envoyée que me parvenait la confirmation , par cet article, du gigantesque hold-up en cours : les fabricants de vaccins ont bien obtenu de la Commission Européenne d’être indemnisés en cas d’effets secondaires inattendus. Non seulement Big Vax nous escroque via les crédits de recherche généreusement alloués et l’achat de centaines de millions de doses, mais nos poches vont être vidées pour réparer les inévitables dégâts qu’entraîneront ces vaccins expérimentaux. Le contribuable va bel et bien les payer trois fois, ces saloperies injectables ! Cette semaine, je termine de passer en revue les bonnes raisons de dire NON aux vaccins Covid. Pour rappel, je ne tiens même pas compte de leur dangerosité pour notre santé et nos libertés, thème abordé dans la revue Néosanté du mois de septembre. Il existe moult motifs supplémentaires pour refuser de se faire vacciner de force ou de gré.

6) C’est un scandale éthique

Vous reprendrez bien un peu de fœtus avorté dans ce vaccin qui vient ? Il n’y en aura probablement pas dans chaque cocktail vaccinal mais il y en aura certainement dans celui concocté à l’Université d’Oxford, c’est-à-dire celui développé en partenariat avec le laboratoire AstraZeneca et déjà pré-acheté par l’Europe à 400 millions d’exemplaires. Si vous ne me croyez pas, lisez-ceci, et sachez que même les catholiques britanniques sont à peine horrifiés. C’est « moralement inadéquat », cela pose un problème de « conscience individuelle », mais il faut ce qu’il faut, à la guerre comme à la guerre ! Selon certaines sources, il paraîtrait même que les cellules fœtales sont prélevées pendant que le futur bébé éliminé est toujours vivant, sinon le substrat humain ne serait pas des plus fertiles pour cultiver le virus. Je n’ai pas pu vérifier cet aspect sordide du procédé mais il me suffit de savoir que le « fruit » des IVG sert à fabriquer des vaccins pour trouver ça abject. Pas vous ? Sur le plan éthique, il y a encore une autre grande raison de s’indigner : on dépense des sommes folles pour se protéger d’une grippe peu mortelle alors que des tas de besoins sanitaires criants demeurent insatisfaits. Chaque année, dans le monde, 6,3 millions d’enfants de moins de 15 ans meurent de malnutrition ou de problèmes de santé liés au manque d’hygiène : un toutes les 5 secondes ! Chaque année, la malaria tue 500.000 personnes et la tuberculose – maladie infectieuse réputée très contagieuse par voie aérienne – en envoie 1,5 million dans l’au-delà, dans la quasi-indifférence générale. Il est vrai que l’eau potable, l’agriculture vivrière, les soins de santé primaires et la lutte contre la pauvreté, ça n’engraisse pas l’industrie de la maladie et ça ne fait pas grimper la bourse. Et que font les pays riches pour les 3,5 millions de patients qui meurent chaque année de BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive) ? Que fait la Chine pour les 300.000 Chinois qui meurent tous les ans d’une pneumonie « classique » ? À l’issue de la « course au vaccin » Covid, ce sont tous les records d’inconséquence et d’indécence qui auront été battus. Comble de l’immoralité choquante, les labos occidentaux sont occupés à tester leurs produits en Afrique du Sud et au Brésil, comme si les populations miséreuses de ces deux pays n’avaient pas d’autres planches de salut à espérer ! Mais ne croyez pas que ce scénario à la John Le Carré soit une nouveauté. En 2008 , la société Novartis a testé un vaccin contre la grippe aviaire sur des sans-abris en Pologne. Au moins 21 de ces SDF sont morts juste après avoir participé à l’essai. En 2013, le vaccin pentavalent Quinvaxem (Janssen Pharmaceutica) a été testé sur des enfants vietnamiens et 26 gosses sont décédés, sans que l’OMS juge bon de suspendre le programme. Des scandales de ce genre, la pharmafia vaccinaliste les accumule autant que les condamnations pour corruption. Ce business, c’est le degré zéro de l’éthique et ce n’est pas le « vaccin qui vient » qui va redorer son blason. En lisant cet article, vous ne serez pas surpris d’apprendre que les mixtures censées nous sauver du Covid sont exclusivement fabriquées dans les pays riches ou émergents et que ces mêmes nations privilégiées y auront accès en priorité. La solvabilité, c’est clairement le critère prépondérant qui va guider la sélection des « bénéficiaires » du poison.

7) Des traitements conventionnels existent

Pourquoi se compliquer la vie avec un vaccin risqué (*), onéreux et peu efficace alors que des remèdes existent ? Si vous me suivez depuis l’ouverture du Corona Circus, vous savez que je ne suis pas un chaud partisan de l’hydroxychloroquine, médicament antipaludéen doté de 70 effets secondaires non-négligeables. Dans ma lettre du 3 juin, je mettais aussi en doute l’efficacité de la molécule et je formulais l’hypothèse que le succès du « Protocole Raoult » reposait sur d’autres facteurs, à commencer par l’extraordinaire effet placebo. J’avançais également que la réussite du druide marseillais était surtout due à l’usage simultané d’azithromycine. Les antibiotiques sont nuisibles à moyen et long terme mais ont l’avantage incontestable de juguler les surinfections bactériennes, complications très fréquentes chez les « covidés ». Sur la chloroquine elle-même, je n’ai pas d’opinion définitive. Je continue de penser que sa réputation est surfaite mais j’ai tendance à faire confiance à mon ami Xavier Bazin, qui suit le dossier de très près. Dans sa lettre du 2 septembre, mon confrère fait le point et juge qu’il y a « un énorme faisceau d’études en faveur de l’hydroxychloroquine ». Il cite notamment une vaste étude belge montrant que l’HCQ permet de réduire de 35% la mortalité des patients. Qu’on le veuille ou non, les pays, les hôpitaux et les médecins qui ont autorisé et prescrit ce vieux médicament bon marché ont obtenu les meilleurs résultats. N’oublions pas non plus le déxamathasone ! L’OMS elle-même recommande l’emploi de ce corticoïde pour le traitement des malades gravement symptomatiques. Plusieurs études incontestées ont montré que l’anti-inflammatoire réduisait drastiquement la mortalité chez les patients sévères en étouffant dans l’œuf l’orage de cytokines. L’essai clinique britannique Recovery a révélé que le stéroïde réduisait d’un tiers le nombre de décès. Au passage, je souligne que la cortisone était l’un des rares remèdes allopathiques recommandés par le Dr Hamer, précisément pour contrôler l’inflammation et permettre ainsi l’autoguérison. Dans sa lettre- témoignage qui vient d’enflammer la toile, le Dr Patrick Bellier ne dit pas autre chose : pour contrer les alvéolites et empêcher les lésions pulmonaires irréversibles, il fallait recourir à cette simple hormone et des milliers de covidés auraient pu être sauvés. Vous noterez en passant que le pneumologue confirme à 100% ce que je disais dans ma lettre du 6 mai : les radiologues ont allègrement confondu les pneumonies virales avec des tas d’autres pneumopathies, infectieuses ou non. Or qui dit erreur diagnostique dit échec thérapeutique. Dans sa pharmacie, la médecine classique dispose encore d’autres solutions alternatives aux vaccins. Ainsi, une étude menée à l’Université de Southampton indique qu’un traitement à base d’interférons réduirait de 79% le risque de développer le Covid sévère. À l’université de Jérusalem, le Pr Yakkov Nahmias soutient que le médicament anticholestérol Fénofibrate amadoue le coronavirus et transforme l’infection en rhume bénin. Aux États-Unis, une étude rétrospective indique que le recours à la famotidine (un anti-histaminique) a divisé par deux la mortalité des patients hospitalisés. En France, des chercheurs du CNRS sont en train de mettre au point un spray nasal qui aurait la propriété de leurrer et neutraliser le virus couronné. Bref, la science médicale orthodoxe fait flèche de tout bois et il est faux de dire qu’elle est désarmée pour affronter le fléau. S’il est très dispensable à mes yeux, son riche arsenal témoigne que la piste vaccinale est outrageusement privilégiée pour des raisons obscures. Ou plutôt très claires, brillantes comme l’argent convoité par les labos et les experts corrompus.

8) Des remèdes naturels existent

Vitamine D, Vitamine C, Vitamine K, zinc, sélénium, quercétine, argile, huiles essentielles, artémisia, probiotiques ….Ce ne sont pas non plus les solutions qui manquent dans la pharmacie de la nature. Et pourtant, les médias mainstream les ont systématiquement passées sous silence, sauf quand il s’agissait de les disqualifier. Cette attitude est indigne, voire criminelle, parce qu’il y a au moins trois remèdes naturels qui ont fait leurs preuves dans la prévention du Covid et de ses complications. À tout seigneur tout honneur, il y a évidemment la Vitamine D. Dans son édition du mois d’août, le Journal of Endocrinological Investigation vient encore de confirmer que la carence en vitamine D aggravait la maladie et que sa présence en suffisance contrecarrait les tempêtes de cytokines. Ce n’est pas pour rien qu’en Occident, le Covid a frappé préférentiellement les personnes à peau noire, laquelle a besoin de soleil comme de pain. Il eût fallu rouvrir à leur intention les salons de bronzage au lieu de répudier les rayons UV ! En deuxième position, je mettrais volontiers le zinc, dont on vous a déjà vanté les vertus et qui est d’ailleurs souvent associé à l’hydroxychloroquine pour ses propriétés immunostimulantes. Dans ma lettre du 10 juin https://neosante.eu/cetait-bien-une-grippe/, je mentionnais que cet oligoélément est un remède connu et éprouvé de la grippe. Or le Covid n’est rien d’autre qu’un syndrome grippal à sévérité variable. Sur la troisième marche du podium, je placerais personnellement les probiotiques, c’est-à-dire les bactéries bénéfiques à la flore intestinale. Dans un article en ligne, mes collègues du mensuel Alternative Santé font notamment état d’une étude italienne ayant comparé deux groupes de patients, les uns traités à la chloroquine, les autres avec le médicament et un complexe de super-probiotiques : il n’y a pas photo puisque chez les seconds, le risque d’évolution vers une détresse respiratoire avec intubation était 8 fois moins élevé ! Pour compléter ce quarté, je choisirais résolument un remède semi-naturel, à savoir le patch à la nicotine. Les études épidémiologiques ont en effet montré que les fumeurs avaient 5 à 10 fois moins de chances de contracter le Covid que les non-fumeurs. En toute logique scientifique, les autorités sanitaires devraient faire tester d’urgence les suppléments nicotiniques transdermiques et vérifier que c’est bien le principal principe actif du tabac qui protège. Si ça se trouve, le patch ferait peut-être aussi bien que le plus performant des vaccins ! Comme vous le savez, je suis cependant le défenseur inconditionnel de la « riendutouthérapie », c’est-à-dire des méthodes naturelles de santé reposant uniquement sur les capacités du corps à se régénérer et à se débrouiller seul. Quant à mon confrère Augustin de Livois, éditeur de la lettre Alerte Santé, il a lancé au mois de juillet un beau pavé dans la mare en signalant qu’il y avait zéro cas de Covid sur l’île japonaise d’Okinawa : la douceur de vivre et un régime alimentaire frugal peuvent déjà faire des merveilles ! Somme toute,,on peut parfaitement éviter la maladie et se prémunir d’une évolution péjorative avec les seules ressources offertes par cette bonne vieille Mère Nature.

9) Un vaccin n’a jamais vaincu de maladie

Venons-en maintenant aux raisons qui fâchent. Il n’est nul besoin de développer un vaccin puisque ce type de stratégie n’a jamais fonctionné pour éradiquer une maladie ! D’abord, il faut se rappeler que les grandes épidémies de jadis, comme la peste et le choléra, ont disparu de nos régions sans l’aide de la médecine. Ensuite, il faut oublier la fable selon laquelle les vaccins ont permis d’enrayer les fléaux infectieux tels que la tuberculose, la diphtérie ou la rougeole. La fréquence et la mortalité de ces pathologies étaient déjà en chute libre quand leurs vaccins ont déboulé pour rafler la mise. La variole ? Contrairement à la légende, ce n’est pas la vaccination mais le confinement des malades qui a permis son éradication. La poliomyélite ? C’est un mensonge d’affirmer que le vaccin en a triomphé car cette maladie fait toujours des ravages sous des appellations différentes (paralysie flasque aiguë, polio-like syndrom…) et la vaccination elle-même provoque des flambées épidémiques. En ce moment même, une vague de polio sévit en Afrique et l’ONU vient d’admettre que les campagnes de vaccination étaient à l’origine de ce réveil viral. Autant savoir, enfin, que le reflux des fléaux infectieux n’a strictement rien à voir, ou infiniment peu, avec l’immunisation artificielle. Ce sont les progrès sociaux, les innovations en matière d’hygiène (égouts, poubelles, eau courante..) et surtout l’amélioration de l’alimentation qui ont permis de dire adieu aux épidémies d’antan. Comme l’a naguère résumé ironiquement le virologue Peter Duesberg, ce ne sont pas les médecins qui ont vaincu ces maladies mais bien les agriculteurs, les plombiers et les ouvriers de voirie ! Pour sortir ses lecteurs du mythe vaccinaliste, la revue Néosanté a déjà beaucoup donné, sous forme d’articles, de dossiers ou d’extraits de livres. Ceux que je conseille en français, ce sont les ouvrages du biologiste Michel Georget (« Vaccinations : les vérités indésirables », « L’apport des vaccinations à la santé publique : la réalité derrière le mythe »), celui du docteur en neurosciences Pierre-Jean Arduin (« Pourquoi vacciner ? La fin de la vaccination documentée et argumentée »), et bien sûr la collection de petits livres publiés depuis un an et demi par le Dr Michel de Lorgeril. Interviewé en mai 2019 dans la revue Néosanté, ce chercheur émérite du CNRS nous avait carrément déclaré que « la science est absente de la médecine des vaccins » ! Aux USA, ça fait belle lurette que d’éminents médecins et scientifiques ont entrepris de déconstruire le dogme selon lequel la vaccination aurait sauvé des millions de vies. Parmi eux, le Dr Edward H. Kass, épidémiologiste et professeur à la prestigieuse Harvard Medical School. Un article vient justement de le sortir de l’oubli et de rétablir aussi quelques vérités étouffées par la constante et abrutissante propagande vaccinaliste. Je vous invite à le lire en cliquant ici.

10) Les vraies causes sont ailleurs

Pour conclure cette petite liste d’arguments ouvertement « anti-vax », j’en arrive évidemment au leitmotiv des éditions Néosanté : il est vain de vouloir combattre les maladies infectieuses avec des vaccins puisque leurs causes profondes se situent en amont de l’infection. Comme le résume si bien le Dr Tal Schaller, « ce n’est pas parce que vous hébergez un microbe que vous êtes malade, c’est parce que vous êtes malade que votre corps l’héberge ». Un virus, c’est de l’information qui est téléchargée par un organisme ou qui est activée en son sein pour l’aider à résoudre une problématique conflictuelle de nature environnementale et/ou psycho-émotionnelle. Les agents infectieux ne nous agressent et ne nous envahissent pas plus que les pompiers arrivés sur les lieux d’un incendie n’ont allumé le feu. La vie n’est pas une guerre opposant les hommes au microcosme microbien sur le champ de bataille du système immunitaire, elle est au contraire fondée sur la symbiose et la coopération entre les êtres vivants , comme va l’expliciter le Dr Éric Ancelet (« Pour en finir avec Pasteur ») dans la revue Néosanté du mois d’octobre. S’agissant de la pseudo-pandémie attribuée à un coronavirus dont la couronne est dotée d’une protéine en forme d’épine, vous connaissez notre opinion : ce dernier est totalement innocent et nous le crucifions alors que les principaux fauteurs du trouble grippal et de ses complications respiratoires s’appellent l’hystérie collective, la peur et la iatrogénie, c’est-à-dire les traitements délétères adoptés en dépit du bon sens. Nous avons abondamment développé ce point de vue depuis le mois de février et je vous renvoie à tous ces numéros de Néosanté Hebdo. Aujourd’hui, je vais me contenter d’ajouter deux pièces au dossier disculpant la particule virale. La semaine dernière, lors d’une manifestation, j’ai fait la connaissance d’un sympathique coiffeur acceptant de recevoir des clients non-masqués. Ma tignasse commençant à m’incommoder, j’ai pris rendez-vous et la séance de coiffure nous a permis de papoter longuement. Entre deux coups de ciseaux, son manieur m’a raconté qu’il officiait aussi dans une maison de retraite bruxelloise où il n’a pas pu mettre les pieds pendant le confinement et où une vingtaine de pensionnaires ont officiellement succombé au Covid. Quand il a pu revenir et retrouver ses têtes grises à shampouiner et à brusher, il n’en a pas cru ses yeux : toutes celles qui manquaient à l’appel étaient saines d’esprit la dernière fois qu’ il les avaient vues et la plupart de celles qui ont survécu avaient et ont toujours la maladie d’Alzheimer. Cela ne vous rappelle rien ? Dans mon infolettre du 20 mai, j’ai dévoilé que le coronavirus avait mystérieusement épargné les résidents d’asiles psychiatriques, à Bruxelles mais aussi dans l’Est de la France. Visiblement, l’assaillant viral a également fait preuve de clémence envers les vieilles personnes démentes, c’est-à-dire celles incapables de ressentir la terreur répandue par les virocrates, les médias et les autorités ! Ce n’est pas tout : en renouant avec sa clientèle de retraité(e)s, mon nouveau coiffeur a recueilli des confidences gênées sur leurs ennuis intestinaux. On lui a alors expliqué que l’isolement en chambre et l’interdiction d’en bouger avaient provoqué une épidémie de… constipation, laquelle a été combattue par un médicament appelé Movicol. Or, parmi ses effets secondaires, ce laxatif peut provoquer des dyspnées, autrement dit des difficultés à respirer ! Comme tous les anti-constipants, cette molécule peut bien sûr également entrainer de la diarrhée et favoriser ainsi la déshydratation. Encore une fois, tout porte à croire que l’hécatombe chez les seniors placés en institutions n’a que peu de chose à voir, sinon rien à voir, avec la présence supposée d’un présumé « nouveau » virus. La médecine iatrogène et les ravages de la peur suffisent amplement à éclaircir une tragédie dont aucun vaccin ne pourra jamais prévenir la répétition. Il n’y a pas de vaccin contre la bêtise humaine.

 
Yves Rasir
 

(*) Au moment d’écrire ces lignes, j’apprends que les essais du vaccin AstraZeneca ont été interrompus suite à l’apparition d’effets indésirables. Y a quelqu’un que ça étonne ?

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