SIDA : la fin de la dissidence
Dans son deuxième numéro, Néosanté proclamait hardiment« la fin de l’hypnose HIV » en soulignant que la théorie officielle, à savoir la causalité virale du SIDA ne tenait plus debout. Et nous disions que les arguments des « dissidents du Sida » interrogés dans le film The House of Numbers nous semblaient frappés du sceau de la raison. Ce que nous ignorions, c’est que notre vocabulaire était devenu obsolète: désormais, on ne peut plus vraiment parler de dissidence ! Certes, ceux qui osent remettre en cause le dogme dominant ne sont pas encore prêts d’être nominés au Prix Nobel. Et sans doute l’ostracisme dont ils sont victimes de la part de l’establishment scientifique ne va-t-il pas s’évaporer du jour au lendemain. Mais l’année 2011 marque un tournant dans l’histoire du SIDA ! En effet, une grande conférence sur les retrovirus s’est tenue à Florence à la fin du mois de mars. Jusqu’à présent, les savants et chercheurs appartenant aux associations « subversives » n’étaient jamais invités à ce type de grand-messe. Mais pour celle-ci, placée sous le haut patronage de l’Etat italien et des Universités de Rome et Florence, une bonne dizaine d’entre eux (Duesberg, Bauer, Fiala, Rasnick, etc.) ont été priés d’exposer leur point de vue « différent » sur l’étiologie et la pathogénésie du SIDA . Pour la première fois depuis 25 ans, des phrases comme «Le HIV en lui-même ne cause pas le SIDA» , «Les tests de séropositivité ne sont pas fiables» ou « Des médicaments comme l’AZT sont inefficaces » ont été prononcées et discutées sans provoquer une levée de boucliers. Mieux : à l’occasion de cette conférence, quatre communications remettant en question le rôle du HIV ont été publiées dans un numéro spécial d’Infection (1), une revue scientifique à comité de lecture bénéficiant d’un grand crédit chez les infectiologues. Dans un de ces articles, une équipe menée par Peter Duesberg (photo) se livre à une méta-analyse des prédictions épidémiologiques du SIDA en Afrique en les confrontant avec les chiffres actuels. Il en ressort clairement que les « experts » se sont plantés et que la thèse d’un agent infectieux hautement transmissible ne tient plus la route. Dans un autre article, trois chercheurs florentins passent au crible les données de l’infection hétérosexuelle en Toscane : la faible mortalité y est patente dans cette catégorie de la population, et les auteurs attribuent cette bonne nouvelle à la faible proportion de séropositifs sous traitement antiviral !Bref, la «construction de chiffres» commence à s’effondrer et la «vérité choquante sur le SIDA» (2) commence à émerger. Ceux qui ont calomnié les « dissidents du Sida » en les traitant de « dangereux négationnistes » devront un jour rendre des comptes à l’opinion publique. L’histoire retiendra que c’est à Florence, ville de Galilée, que justice commença à être rendue aux hérétiques …
Yves Rasir
Méditer protège les neurones
Des chercheurs américains ont comparé l’activité cérébrale d’adeptes de la méditation à celles de personnes qui ne la pratiquaient pas. Conclusion : le cerveau des méditants possède une matière blanche plus riche en faisceaux de fibres nerveuses. L’étude en déduit que la méditation pourrait réduire l’atrophie cérébrale associée à la maladie d’Alzheimer.
(Source : PasseportSanté)
Le paracétamol nuit au foie
Selon plusieurs études , les personnes qui prennent du paracétamol pour soulager leurs maux de tête ne doivent pas dépasser 4 grammes par jour (8 x 500 mg). A trop hautes doses, cet antidouleur banal est en effet très toxique pour le foie, allant jusqu’à le détruire irréversiblement. De son propre aveu, David Servan-Schreiber se jetait sur ce médicament pour apaiser ses migraines… (Source : ABC Santé)
Caractère & lombalgie
Le stress est mauvais pour les nerfs, on le savait déjà. Mais la fréquence des lombalgies est aussi une question de caractère ! Une récente étude américaine indique que le tension nerveuse se solde plus souvent par des maux de dos chez les personnes introverties. Celles-ci réagiraient intérieurement en contractant leurs muscles de manière excessive et inadéquate.
(Source : ABC Santé)
Pollution du cerveau
Des chercheurs de l’Université de l’Ohio ont exposé des souris à des particules fines, comme celles rejetées dans l’atmosphère par l’industrie et le trafic automobile. Conclusion : ces polluants provoquent des inflammations en plusieurs endroits du cerveau, et notamment dans l’hippocampe, zone impliquée dans l’humeur et dans l’apprentissage.
(Source : Le soir)