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Actualités Revue N°12

Par 1 mai 2012Pas de commentaires

L’obligation vaccinale au tribunal !

Ça commence à sentir le sapin pour le volet répressif de la religion vaccinaliste. Certes, comme nous le rappelle Françoise Joët dans son article mis en ligne ce mois-ci (lire page 13), la contrainte vaccinale n’a jamais été aussi forte qu’aujourd’hui. Et la propagande en sa faveur ne faiblit pas, que du contraire. Fin avril, pour la septième année consécutive, l’OMS a encore organisé sa « semaine de la vaccination » pour nous persuader que les vaccins sont bons pour notre santé. Mais en cette année 2012, les voix citoyennes critiques deviennent de plus en plus audibles. En France, l’ALIS vient ainsi de relancer sa campagne exigeant l’abolition des lois d’obligation vaccinale (1) . Et en Belgique, le Collectif Initiative Citoyenne vient carrément de réclamer la démission de la direction médicale de l’ONE (Office de la Naissance et de l’Enfance) pour « incompétence scientifique flagrante » (2). La publicité gouvernementale en faveur des vaccins a été jugée « trompeuse » par le Jury d’Ethique Publicitaire et une émission récente sur RTL a permis à des travailleurs de l’ONE de révéler qu’ils n’étaient pas du tout informés sur les risques des vaccins.
Mais c’est sur le terrain judiciaire que la Belgique fait figure de laboratoire pour l’avenir de l’oppression vaccinale. Défendu par l’avocat bruxellois Philippe Vanlangendonck, un couple de Tournai a déjà obtenu l’an dernier un premier jugement favorable qui les a relaxés de l’obligation d’infliger le vaccin polio à leur enfant, le juge estimant que les autorités ne respectaient pas le devoir d’informer les parents pour obtenir leur consentement éclairé. Le tribunal tournaisien a donc considéré que la loi sur le droit des patients, qui suppose que tout acte médical est soumis au libre consentement du patient, primait sur l’arrêté royal rendant obligatoire ce vaccin ! Représenté par le même avocat, un couple de Namur vient de lancer une action encore plus habile et audacieuse puisqu’il a porté plainte en justice contre l’ONE pour « abus de confiance, harcèlement et abus de faiblesse ». Leur bambin venait en effet d’être exclu d’une crèche privée car il n’avait pas reçu le vaccin hexavalent exigé par l’ONE. « Ici, l’ONE tente de forcer des parents qui sont en état de vulnérabilité puisqu’ils risquent de perdre leur travail s’ils doivent renoncer à la garde assurée par la crèche », a plaidé Me Vanlangendonck. Si cette plainte au pénal devait aboutir , ce serait une deuxième défaite très cuisante pour les fabricants de vaccins et leurs marionnettes politiques, car l’article du code pénal invoqué n’est autre que la nouvelle loi sur l’abus de faiblesse entrée en vigueur le 3 février dernier. Or, celle-ci a été votée à l’origine pour donner des armes aux chasseurs de sectes, et notamment pour leur permettre de poursuivre les groupements et les associations réticents envers la vaccination. Mais comme ces nouvelles dispositions légales punissent « tous ceux qui abusent de la faiblesse des personnes pour les conduire à poser un geste qui nuit à leur intégrité », l’arroseur est arrosé et c’est maintenant l’ONE qui pourrait être condamné pour abus de pouvoir. Une telle décision sonnerait véritablement le glas de l’obligation vaccinale en Belgique. Et si le domino belge tombe….

Yves Rasir

(1) www.alis-France.com
(2 )www.initiativecitoyenne.be

Cœur & optimisme

Selon des chercheurs de l’Université d’Harvard, qui ont analysé les données de plus de 200 études publiées, un individu optimiste a un risque moitié moindre de développer une maladie cardiovasculaire qu’un individu pessimiste. Et ce, indépendamment des facteurs de risques traditionnels !
(Source : Psychological Bulletin)

Baies & Parkinson

Selon une étude publiée dans la très sérieuse revue Neurology, les anthocyanes, ces pigments qui colorent de nombreux fruits et en particulier les baies (groseilles, framboises, mûres, casssis…), auraient des vertus protectrices contre la maladie de Parkinson, en particulier chez les hommes.

Autisme & obésité

Une nouvelle étude américaine qui vient de paraître dans la revue Pediatrics montre que les mères atteintes de troubles métaboliques durant leur grossesse (obésité, diabète…) ont un risque plus important d’avoir un enfant autiste ou présentant des retards de développement.

Hypertension & alimentation maternelle

Des chercheurs de l’Université de Southampton (Grande-Bretagne) ont étudié chez le rat comment l’alimentation durant la grossesse et la lactation était susceptible d’influencer la santé vasculaire de la progéniture. Verdict : les petits nés de mères bien nourries en acides gras polyinsaturés étaient nettement moins prédisposés à développer plus tard une hypertension artérielle.

L’angoisse rend plus intelligent

Des chercheurs américains viennent de montrer que la concentration de choline dans le cerveau est inversement proportionnelle à l’intelligence et à l’anxiété, ce qui suggère une co-évolution de ces deux paramètres, l’inquiétude étant en quelque sorte une solution de survie pour anticiper les événements stressants. Les thérapeutes en décodage biologique ne seront pas non plus surpris d’apprendre que les patients atteints de Trouble Anxieux Généralisé (TAG) ont un quotient intellectuel supérieur à celui des personnes peu sujettes à l’angoisse .
(Source : Evolutionary Neuroscience)

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