SIDA : les traitements alternatifs existent !
La vision des causes iatrogènes du SIDA permet d’envisager des traitements non nocifs qui permettent de rétablir les équilibres corporels endommagés, voire de sortir progressivement de la trithérapie. « Faut-il arrêter la trithérapie, lorsqu’on sait qu’un taux très faible de lymphocytes CD4 peut mettre en péril notre immunité ? », se demandent bon nombre de séropositifs actuellement sous traitement. Aucune personne présente à la conférence de Pont-du-Gard (1) n’a pris le risque de conseiller l’arrêt des traitements aux personnes concernées. Et pour cause, l’effet détox peut être extrêmement brutal voire mortel (infections fulgurantes, notamment mycosiques). Surtout en cas de prise médicamenteuse sur une longue période, tout arrêt doit être anticipé et accompagné par un protocole alternatif poussé. Néanmoins, la majorité des médecins alternatifs spécialistes du SIDA estime qu’il ne faut pas commencer de trithérapie lorsqu’on est un séropositif asymptomatique. Une complémentation en nutriments essentiels est sans doute la seule issue pour «redresser» le terrain et les équilibres physiologiques à long terme. Ils avancent pour preuve le fait que les « survivants » à long terme sont majoritairement des personnes qui ne prennent pas de trithérapie. Pour ceux qui sont déjà sous traitement, le plus dur est finalement de trouver des médecins alternatifs capables de superviser une diminution progressive des médicaments de la trithérapie jusqu’à leur arrêt, avec l’aide d’une complémentation efficace menée en parallèle… A l’attention des patients et de leurs médecins, le Groupe de travail sur le traitement du SIDA a établi des recommandations thérapeutiques, basées sur les travaux de chercheurs éminents, quoique non reconnus… Pour venir à bout du stress oxydatif, il existe effectivement un grand nombre de moyens qui vont de la simple hygiène de vie (bonne alimentation, exercice physique, gestion du stress, arrêt du tabac) à la supplémentation plus poussée en cas de signe clinique d’affaiblissement. Il apparaît primordial de réparer sa muqueuse intestinale (probiotiques à haute dose et compléments alimentaires de type L-carnitine, L-Glutamine, N-acetylcystéine, quercétine, acide pantothénique, vitamine B6, riboflavine, zinc, magnésium). Mais ce n’est qu’un aperçu des solutions proposées pour retrouver la pleine santé. Personne ne fera par ailleurs l’économie d’une guérison de ses propres peurs concernant cette épée de Damoclès apparue à l’annonce d’une séropositivité… Le groupe Aids therapy a mis ce texte de référence en ligne afin que ces ressources soient divulguées au plus grand nombre. Taper : « Therapeutic Recommendations for Persons tested positive and AIDS Patients » dans Google pour accéder au détail des conseils de traitements alternatifs du SIDA, établis par les grands noms de la dissidence sur des bases scientifiques, et disponible sur le site ummafrapp.de. On peut aussi contacter le coordinateur du groupe Félix de Fries, qui est francophone, via le mail suivant : felix.defries@sunrise.ch
Pryska Ducoeurjoly
(1) Voir article en page 18
Rhume & parentalité
Sheldon Cohen et ses collègues de la Carnegie Melon University ont enrôlé 800 volontaires âgés de 18 à 55 ans et leur ont injecté dans les narines des gouttes chargées d’une dose de virus du rhume. Au terme de l’expérience, ils ont observé que les volontaires avec enfants avaient 52 % de risque en moins de déclarer un rhume. Plus étonnant encore : le risque de s’enrhumer s’amenuise avec la taille de la famille ! Mais le plus surprenant, c’est que les parents n’habitant plus avec leur progéniture sont aussi bien protégés que les autres. Autrement dit, ce n’est pas le fait d’être plus exposé au virus qui assure une meilleure immunité. Selon les chercheurs, les raisons de cette protection parentale seraient plutôt à chercher dans le bonheur d’avoir des enfants, car les émotions positives favorisent la production de cytokines.
Démence & pensée positive
Les performances cérébrales diminuent avec l’âge. Mais selon une étude anglaise, la perception négative de la vieillesse serait en cause ! Parmi les participants, 70% des personnes incitées à se considérer comme vieilles et à penser que le vieillissement est associé au déclin cérébral ont échoué à des tests de performances cognitives et ont rempli les critères du diagnostic de démence sénile, contre une moyenne de 14% dans le groupe des personnes encouragées à penser autrement. Pour prévenir la maladie d’Alzheimer, l’attitude des séniors à l’égard de leur âge serait donc déterminante.
Cancer du sein & mammographie
Dans un article au vitriol publié par le British Medical Journal, deux professeurs américains viennent de dénoncer les campagnes pour promouvoir le dépistage du cancer du sein. Steven Woloshin et Lisa Schmartz font notamment valoir que le moment auquel le diagnostic est posé a un effet minimal sur la survie à long terme. Ils citent des études montrant que la mammographie réduit de 0,53% à 0,46 % le risque de décès à 10 ans d’une femme de 50 ans, soit un bénéfice de… 0,07 %.
Vaccin & immunité
Oui, le vaccin antigrippe augmente bien le risque de déclarer le syndrome de Guillain-barré ! Une étude menée au Québec et récemment publiée dans le Jama montre en effet que cette maladie auto-immune du système nerveux s’est déclarée plus fréquemment chez les personnes vaccinées lors de la pseudo pandémie de 2009. Le risque reste faible (deux cas supplémentaires par million de patients), mais la propagande vaccinale ne pourra plus prétendre qu’il est nul.
Cerveau & téléphone portable
Une nouvelle étude réalisée à l’Université Libre de Bruxelles démontre le danger potentiel des téléphones portables pour le cerveau. Exposées à un rayonnement semblable à celui des GSM, des colonies de fourmis ont vu leur capacité d’apprentissage olfactif et visuel diminuée de 50%, les rendant notamment incapables de rentrer au nid après avoir trouvé de la nourriture. Pour l’équipe de recherche, cette découverte confirme que les seuils actuels de précaution ne sont pas suffisants.