Vaccination : le massacre des innocents
C’est dingue : voilà une info qui est passée inaperçue alors qu’elle aurait du faire les gros titres de toute la presse ! Hormis quelques sites web, dont l’excellent LaNutrition.fr, il semble qu’aucun média n’ait jugé bon de la mettre en exergue. Ce qu’elle nous apprend est pourtant renversant: les vaccins tuent très probablement les enfants ! Une méta-analyse américaine publiée dans la revue Human and Experimental Toxicology (1) suggère en effet qu’il y a un lien entre le taux de vaccination des nourrissons et le taux de mortalité infantile. Plus un pays vaccine, plus ses enfants risquent de décéder en bas âge. Exemple ? Aux Etats-Unis, où les bébés se voient administrer pas moins de 26 doses de vaccin, on compte 6,22 décès pour 1000 naissances. En Suède, on n’exige que 12 vaccins et on n’y enregistre que 2,75 décès pour 1000. La France recommande 19 doses et enregistre 3 ,33 décès pour 1000. L’étude a comparé les statistiques de 34 nations pour mettre à jour cette inquiétante corrélation. Certes, les pays où la mortalité infantile est élevée et où règnent les maladies endémiques ont tendance à vacciner davantage. La malnutrition y fait aussi grimper les chiffres de mortalité. Mais dans les pays occidentaux, comment ne pas voir un lien causal entre les décès de nouveaux-nés et la politique vaccinale ? Les chercheurs notent en particulier que les bébés semblent plus susceptibles de mourir de mort subite après avoir été vaccinés. Une des études répertoriées montre par exemple que 70% des nourrissons décédés de mort subite avaient reçu le vaccin DTPolio dans les trois semaines précédant leur décès. Prudente, l’étude conclut que « le vaccin pourrait être une cause majeure du syndrome de mort subite et que les risques de la vaccination pourraient être supérieurs aux bénéfices ». Si la relation causale entre les vaccins et la mortalité infantile se vérifie, ça voudrait dire qu’on tue chaque année des millions d’enfants dans le monde à coup de seringue, des centaines en Belgique et des milliers en France ! Qu’attendent les autorités pour appliquer le principe de précaution ?
Yves Rasir
Une bonne foi
Avoir la foi, c’est bon pour la santé : tel est le verdict d’une recherche anglaise ayant examiné les conclusions de 1200 études sur le sujet. Dans 81 % des cas analysés, le fait de croire en Dieu et d’appartenir à une religion a un effet positif. Concrètement, les fidèles sont moins sujets au suicide, à la dépression et à des dépendances de drogue ou d’alcool. (Source : 20minutes.fr)
Stress du Candida
Des chercheurs espagnols de Saint-Jacques de Compostelle ont étudié chez le rat l’effet du stress sur les infections au Candida Albicans. Ils ont constaté que les animaux stressés souffraient rapidement d’une surprolifération de levures dans la bouche. La candidose n’engendre pas seulement des troubles digestifs, mais aussi de la fatigue, de l’asthme et des allergies. (Source : ABC Santé)
La santé est dans le bonheur
Deux psychologues américains ont passé en revue 160 études sur le bonheur. Conclusion claire : les gens qui se disent les plus heureux sont aussi ceux qui vivent le plus longtemps. Et forcément, la longévité est le fruit d’une meilleure santé. Des expériences menées en laboratoire laissent penser que les humeurs positives (optimisme, joie, etc.) réduisent la production d’hormones liées au stress, améliorent la fonction immunitaire, accélèrent le processus de cicatrisation et favorisent la récupération cardiaque après l’effort physique. Les troubles cardio-vasculaires, mais aussi les maladies mentales, les accidents et les handicaps sont moins fréquents chez les personnes ayant indiqué être les plus heureuses. Bref, si la santé fait en partie le bonheur, l’inverse est tout aussi vrai !
(Source : Le Soir)
L’aspirine neutralise les antidépresseurs
Incroyable mais vrai : on vient seulement de s’apercevoir que des anti-inflammatoires courants tels que l’aspirine ou l’ibuprofène réduisent sensiblement l’efficacité des antidépresseurs les plus souvent utilisés, comme le Prozac. Selon l’étude menée à la Rockfeller University de New York , le taux de réussite des traitements chute de 54 % à 40 % si la personne dépressive consomme en même temps des anti-inflammatoires. Cela en dit long sur le sérieux des recherches évaluant, en principe, les effets secondaires des médicaments et leur interaction. Car si deux molécules peuvent se neutraliser, il va de soi que leur synergie peut aussi mettre
le patient en danger….