Skip to main content
le plein de sens

Arthrose du genou

Par 25 janvier 2012juin 6th, 2023Pas de commentaires

François est un prêtre français né en 1968. Il nous consulte en mai 2005 pour une arthrose majeure du genou droit évoluant depuis le mois d’octobre 2004. Il a déjà subi plusieurs infiltrations aux alentours de Noël 2004 sans résultat. Début 2005, il est opéré d’un ménisque. Mais une fois l’articulation “ouverte”, le chirurgien constate la disparition du cartilage, une lésion au niveau de la rotule, des ménisques endommagés et une lésion avec fissure au niveau du tibia ! Il referme sans rien faire. Pour lui, la seule solution est la prothèse totale, mais il veut le consentement de son malade. En attendant, il lui interdit l’appui et même de conduire sa voiture ! En médecine psychosomatique, un rhumatisme aigu est toujours la réparation d’un conflit de dévalorisation. Le genou est dans la symbolique de l’agenouillement, de l’obéissance. En phase de stress, le cartilage, l’os et les ménisques se démontent pour constituer de véritables caries osseuses. En phase de réparation, la reconstruction est exubérante et peut entraîner d’importantes déformations. L’inflammation est alors très importante ainsi que la douleur. Nous faisons rapidement le point avec lui.
Il nous apparaît comme un homme sincère, profondément croyant. Il possède manifestement un charisme pour les jeunes et parvient à entraîner à sa suite et à ramener à la foi des foules entières de jeunes lors de rassemblements chrétiens.  Mais cela ne plaît pas à son évêque. Il lui retire sa cure et l’envoie en exil à Paris, à l’autre bout de la France pour entreprendre des études de philosophie, sans se soucier de l’aider tant sur le plan matériel que psychologique. Il est pratiquement obligé de mendier sa chambre et ses repas : l’évêque promet toujours de payer mais ne le fait jamais…  Il se trouve donc dans un ressenti de profonde injustice et d’intense dévalorisation. La préprogrammation chez lui est évidente : son père désirait une fille et c’était très important pour lui. Donc, il ne vaut rien… Nous l’incitons à écrire à son évêque une lettre symbolique qu’il va poster à une adresse fantaisiste… Cette lettre contient bien sûr ses ressentis les plus profonds.  Parallèlement, nous l’aidons à faire le deuil en positivant et en entrant dans un véritable pardon.  Et nous lui conseillons de prendre de la vitamine C et de la silice organique associés à un peu d’homéopathie. Le résultat est spectaculaire. En quelques semaines, il retrouve un genou parfaitement fonctionnel et peut même s’agenouiller !