En 2011, je donnais une conférence du côté de Charleroi (Belgique), dont le thème était le décodage biologique des maladies. À la fin de la conférence, un couple se présente à moi.Monsieur est menuisier, passé la trentaine, et depuis une dizaine d’années, il souffre d’asthme qualifié d’allergique. Deux à trois fois par semaine, lors de ses crises, il se traite lui-même par un médicament antihistaminique. Elles le gênent beaucoup dans son travail, qui est plutôt physique. L’écoutant, je lui dis soudainement : « Qui vous pompe l’air ? » Il eut un moment de stupéfaction, resta quelques instants figé, tout en me regardant sans dire un mot. Il venait de prendre conscience des personnes qui lui pompaient l’air. Il me relata ensuite brièvement sa vie et je l’ai revu en consultation durant quelques mois. Une année et demie s’est écoulée, et jusqu’à ce jour, il n’a plus fait de crise d’asthme. Malgré qu’il soit toujours en contact avec les personnes à la source de ses crises. Son environnement n’a donc pas changé. C’est son point de vue et sa manière d’aborder la situation qui s’est modifiée. Il a gagné en liberté…
Daniel Radoux (Belgique)
Bonjour,
pour avoir accompagné une femme et un enfant asthmatiques, j’ai perçu un sentiment d’impuissance totale devant une (ou des) situation dépassant l’insupportable… des personnes de coeur qui auraient voulu aimer et donc aider en toute circonstance…