Skip to main content

Bon, d’accord, je prends mes rêves pour la réalité. Rêver que le mythe vaccinaliste s’écroule très bientôt, que la Sainte Église Universelle de Vaccinologie ferme boutique et que la patascience pasteurienne qui lui sert de credo soit enterrée sans fleur ni couronne, c’est complètement utopique. Il faudra encore du temps avant que la médecine ouvre les yeux, réalise que sa branche vaccinale est pourrie et renonce à injecter des produits inutiles et dangereux à des enfants ou adultes en bonne santé.

Quand je vois Robert Kennedy Jr déclarer devant le sénat américain son amour des vaccins et son approbation du calendrier infligé aux bébés pour réclamer seulement davantage de sécurité, je réalise que ce n’est pas aujourd’hui ni demain que les vaccina-tueurs vont devoir ranger leurs seringues. Et quand je lis que le même Bobby a déjeuné avec le PDG de Pfizer et que ce dernier est ressorti de cette rencontre « prudemment optimiste » sur les intentions du nouveau Ministre de la Santé, cela me confirme qu’il ne faut pas trop se bercer d’illusions. Quand on donne pareils gages de modération, c’est que l’État profond a déjà actionné des leviers de pression.

Nous vivons cependant une période réjouissante car des tas d’infos sont en train de sortir sur les vaccins classiques et sur les mixtures géniques censées les remplacer. Pour ça, béni soit le covid qui aura fait tomber bien des œillères ! Ces derniers mois et ces dernières semaines, des livres et des travaux ont été publiés qui n’annoncent rien de bon pour la religion vaccinale. J’évoque ci-dessous quatre de ces contributions décisives à l’éclatement de la vérité. Si la vaccinologie n’est pas encore entre quatre planches, ça commence quand même à sentir le sapin pour elle.

Le bouquin qui abat le mythe

Après les pots, voici les fleurs pour Robert F. Kennedy Jr : en 2023, il a co-signé avec le Dr Brian Hooker un ouvrage bigrement intéressant dont la traduction française a été publiée récemment sous le titre « Vacciné, non vacciné : qui est en meilleure santé ? Que dit la science ? »C’est donc un bouquin capital qui répond à la question – essentielle – de savoir si la pratique consistant à injecter un antigène contre certaines maladies bactériennes ou virales offre un avantage au point de vue de la santé globale.

Il y a une quinzaine d’années, la pédiatre suisse Françoise Berthoud avait déjà courageusement lancé un petit pavé dans la mare avec son livre de poche « La (bonne) santé des enfants non vaccinés ». Sur base d’enquêtes et d’observations dans divers pays, le Dr Berthoud montrait notamment que les gosses « privés » de vaccins infantiles développaient moins d’allergies et de troubles du comportement.

L’œuvre du tandem Hooker-Kennedy est d’une autre dimension : elle s’appuie sur plus d’une centaine d’études publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture et comparant des populations vaccinées et non vaccinées. Chaque étude est analysée et les différences de santé entre les populations étudiées (nourrissons, enfants ou adultes vaccinés ou non) sont mises en évidence par des tableaux et des graphiques.

On y apprend par exemple que l’incidence du diabète de type 1 a explosé en Nouvelle-Zélande après l’introduction du vaccin hépatite B, que les enfants américains recevant le vaccin DTCP (diphtérie, tétanos, coqueluche, polio) ont 14 fois plus de risque de devenir asthmatiques, que les Suédoises et Danoises ayant été vaccinées contre le HPV sont significativement plus nombreuses à souffrir de maladies auto-immunes, ou encore que le risque de fausse couche est quasiment triplé chez les femmes vaccinées contre la grippe… avant la conception ! Et on vous passe tout le chapitre sur le vax covid, son efficacité indubitablement négative et sa toxicité avérée.

Certes, les données scientifiques sont encore lacunaires. Les études à long terme comparant l’évolution sanitaire de populations vaccinées et non vaccinées font encore défaut. En truquant ses essais cliniques et en ne testant pas ses produits contre de vrais placebos, l’industrie s’arrange également pour maquiller la réalité. Il n’empêche que dans son état actuel, la science apporte déjà une réponse formelle à l’interrogation de départ : les non vaxxés se portent globalement mieux que les vaxxés !

Quand bien même les seconds seraient protégés de certaines affections, les statistiques de morbidité indiquent clairement qu’ils en paient leur prix et que les premiers engrangent les bénéfices de l’abstention vaccinale. Ce bouquin devrait être lu par tous les parents et aboutir surtout dans les mains des papas et mamans qui ont le cran de s’opposer aux vaccinations obligatoires. Avec cette arme de ré-information, leur combat en justice obtient une meilleure chance d’être gagné.

Le clou enfoncé par Rancourt

Évidemment, on entend déjà d’ici le mantra psalmodié par les dévots : « la vaccination a éradiqué les anciennes maladies et a sauvé des millions de vie ». Le problème de cette affirmation, c’est qu’elle est purement dogmatique et dépourvue de fondements scientifiques. De nombreux ouvrages l’ont déjà souligné et le chercheur pluridisciplinaire canadien Denis Rancourt vient encore de le démontrer dans cette publication de Correlation, l’organisme de recherche non-lucratif et d’intérêt public qu’il a mis sur pied.

Cet article expose d’abord que le dogme des vaccins infantiles salvateurs repose sur des modèles épidémiologiques biaisés qui surestiment à la fois l’efficacité vaccinale, la prévalence des maladies et la mortalité qu’on pourrait leur attribuer. De plus, ces modélisations sous-estiment des facteurs de risque comme l’exposition à des toxiques, le contexte économique ou les carences nutritionnelles. C’est l’exemple typique de la rougeole qui ne tue plus que dans les pays pauvres où les enfants déshérités manquent cruellement de vitamine A.

Rancourt révèle ensuite que l’assertion sur les millions de vies sauvées est entièrement bidon : dans la littérature médicale, il n’y a aucun exemple permettant de relier une baisse de la mortalité toutes causes avec un programme de vaccination quelconque. Au contraire, il existe plusieurs études d’observation indépendantes qui font le lien temporel entre l’introduction d’un vaccin et une hausse de la mortalité et de la morbidité infantiles.

Enfin, le chercheur canadien dévoile les résultats d’un modèle épidémiologique « alternatif » élaboré par lui et son équipe pour éliminer les biais du modèle conventionnel. Selon cette nouvelle méthode d’évaluation, les campagnes de vaccination infantiles lancées depuis 1974 peuvent être associées à 100 millions de décès excédentaires ! Non seulement la médecine pasteurienne n’a sauvé aucun bébé mais elle en aurait massivement tué…

À ma grande satisfaction, je note que le travail de Rancourt a été salué par un article de The Defender, le média de l’association Children’s Health Defense fondée par Robert F. Kennedy. Il semble donc que ce lobby écologiste ne va pas mettre en sourdine ses positions vaccinocritiques au prétexte que RFK a été propulsé à la tête du système de santé américain. C’est de bon augure pour la suite des événements et la réalisation effective du programme MAHA (Make America Healthy Again) qui prévoit de mettre à plat la politique vaccinale étasunienne. Ce qui va se passer aux États-Unis aura d’inévitables répercussions de ce côté-ci de l’Atlantique et sur l’ensemble de la planète.

L’étude qui détruit le déni sur l’autisme

Depuis plusieurs décennies, la polémique sur les vaccins s’est cristallisée sur la question de l’autisme. Les « antivax » soutiennent que l’explosion des troubles autistiques découle de la multiplication des vaccinations, les « provax » objectent que le lien n’est pas prouvé ou que cela n’a rien à voir. Ces derniers vont avoir du mal à camper sur leurs positions car une nouvelle étude donne manifestement raison aux premiers.

Cette étude relue par des pairs a été menée dans l’État de Floride sur tous les enfants âgés de 0 à 9 ans et bénéficiant du programme d’aide médicale. Résultat ? Les enfants vaccinés ont 170 % de risque en plus d’être diagnostiqués autistes que les enfants non vaccinés. Les chercheurs ont également trouvé que d’autres désordres du développement neurologique (déficit de l’attention et hyperactivité, épilepsie, inflammation du cerveau, tics, troubles de l’apprentissage…) étaient 212 % plus nombreux chez les enfant vaxxés que chez les non vaxxés.

Y-a-t-il signal plus clair que celui-là ? Et comment nier plus longtemps l’évidence du lien de causalité ? La relation causale est d’autant limpide que les scientifiques ont poussé l’analyse en dénombrant le nombre d’injections probablement reçues. Le surrisque de 170 %, c’est quand les enfants n’ont effectué qu’une visite médicale à finalité vaccinale. Pour ceux avec onze visites ou plus, le risque de devenir autiste est 440 % plus élevé !Multiplié par 4,4, qui dit pire ?

Il fait donc peu de doute que la lourdeur du calendrier vaccinal en vigueur aux USA soit en rapport avec la fréquence affolante de la maladie chez les petits Américains. Quand une corrélation prend de telles proportions, le lien de cause à effet ne peut plus être nié. La méthodologie de l’étude est impeccable et ses conclusions sont incontestables. M’est avis qu’elle fera date dans l’histoire de la vaccinologie et que ce tournant majeur pourrait expédier celle-ci dans le décor.

Le deuxième brûlot de Chaillot

Last but not least, le nouveau livre de Pierre Chaillot pourrait grandement contribuer à dynamiter la doxa provaccinale. Je l’ai lu dès que je l’ai reçu et je n’ai pas été déçu : il prouve imparablement que la vaccination anticovid a fait d’immenses dégâts en blessant et tuant massivement. Avec la rigueur et l’honnêteté qui le caractérisent, le jeune et brillant statisticien ne dénonce pas un génocide ni une hécatombe apocalyptique. Mais le nombre qu’il avance – environ 300 000 morts dans 22 des 27 pays européens -, est une estimation basse qu’il a déduite des chiffres officiels disponibles !

Fidèle à sa méthode, Chaillot s’appuie en effet sur les données émanant des registres nationaux ou internationaux de mortalité, des agences de santé et de leurs services chargés de la pharmacovigilance. Passive et affligée de nombreux défauts énumérés dans le livre, celle-ci semble de surcroît avoir été manipulée. Dans un chapitre possiblement explosif, l’auteur explique que 2,3 millions de déclarations d’effets indésirables ont été mis en ligne sur le site européen Adrreports depuis octobre 2021 mais qu’une bonne partie d’entre elles avaient disparu en mai 2024 ! Les fonctionnaires de l’AEM (Agence Européenne du Médicament) auraient notamment escamoté plus de 16 000 décès !

Malgré cette probable magouille scandaleuse, l’ouvrage établit que les signaux provenant de la pharmacovigilance étaient alarmants depuis le départ et qu’ils témoignent d’une effroyable tragédie iatrogénique : en plus des 300 000 morts rien qu’en Europe, les injections expérimentales ont fait des millions d’estropiés et de malades incurables ! Chaillot qualifie de « colossal » le signal observé pour la seule année 2021, avec 100 fois plus d’effets secondaires et 100 fois plus de décès qu’en temps normal.

Ne s’arrêtant pas là, le statisticien a examiné les courbes de mortalité pour chaque pays et les a confrontées aux dates des campagnes vaccinales. Poussant l’analyse encore plus loin, il est allé voir si les pics de surmortalité pour chaque tranche d’âge correspondaient avec l’administration phasée de la première dose et l’arrivée des suivantes. Le résultat est sans appel : en dépit du camouflage systématique des vaccinés en non-vaccinés (les fameuses trois semaines de délai pour être comptabilisé comme inoculé), les vagues de surmortalité coïncident parfaitement avec les vagues d’injections. Preuve supplémentaire : les gens s’arrêtent de mourir en surnombre une fois que l’on cesse de les vacciner.

Véritable bombe informative, le deuxième essai de Pierre contient également un chapitre détonant consacré aux effets du vaccin sur la fécondité. En France et ailleurs, le nombre de naissances a fortement baissé à la fin de l’année 2020 et est reparti à la hausse en 2021 pour s’effondrer à partir de la mi-2022. Que s’est-il passé 9 mois avant pour les jeunes générations en âge de procréer ? Inutile de vous faire un dessin. Ce qui est très inquiétant, c’est que la natalité continue de chuter et qu’elle semble même s’accentuer. J’y reviendrai dans une prochaine infolettre car d’autres sources indiquent qu’il y a vraiment de gros soucis de fertilité chez les piquouzés des deux sexes. Et si le vax était bel et bien une arme de dépopulation ?

Dans l’immédiat, je vous recommande chaudement de lire et de faire lire l’ouvrage de Pierre Chaillot. Il se lit facilement, renferme en outre un bref résumé de son premier livre (où il démontre que la fausse pandémie a été fabriquée de toutes pièces par la double escroquerie du dépistage et du codage), ainsi qu’un dézingage de deux études dont se sont délectés les médias mainstream, la première sur l’efficacité des mesures sanitaires, la deuxième sur celle du vaccin. De ces deux études calamiteuses et frauduleuses, il ne reste plus rien après les éclairages authentiquement scientifiques du statisticien !

Je vous conseille aussi de lire Chaillot parce que son livre est dédié aux victimes, parce que les droits d’auteurs iront à celles qui sont toujours en vie et parce qu’il se termine par plusieurs témoignages émouvants et poignants. N’oublions pas que derrière les chiffres, il y a des personnes qui souffrent tous les jours dans leur chair d’avoir été trompées par l’idéologie vaccinaliste. C’est elle qui doit mourir, et le plus tôt sera le mieux.

Yves Rasir

 

ADDENDUM

Dans ma première lettre sur les grippes « bizarres », je ne croyais pas si bien écrire qu’il fallait se méfier de l’anti-inflammatoire ibuprofène en cas de syndrome grippal. Il y a quelques jours, l’organisation de consommateurs Que Choisir a lancé l’alerte en avertissant que le médicament pouvait entraîner une surinfection bactérienne potentiellement mortelle. Il est à noter que le signal d’alarme a été tiré grâce aux services français de pharmacovigilance. Comme quoi on peut lever le voile sur les crimes de Big Pharma si on le veut vraiment !

2 commentaires

  • Mostaert Louis dit :

    Avant que ces vérités ne s’imposent, il ne suffit pas d’espérer. Surtout qu’en face, le lobby pharmaceutique a construit son business plan sur les contrats à répétition pour des injections pour tout et pour rien (A l’instar du lobby militaro-industriel et ses contrats d’états pour des armes de guerre et des munitions). Pour lui, c’est plus lucratif de fourguer de la camelote aux non-malades que de se contenter de médocs aux seuls malades. Et surtout que personne, officiellement, ne contrôle le contenu des flacons. Ils peuvent y mettre de l’eau salée, c’est moins cher. Il faudrait parvenir à faire connaître ces études de la réalité à ceux qui ne les ont pas. Mais vis-à-vis des croyants qui, eux, sont prisonniers de leurs croyances, qui réfutent la réalité et refusent toute vérification, il faut s’y prendre autrement. Mais comment ?
    Petite remarque concernant la maladie de Charcot comme effet des injections chez certains injectés. Si l’on tient compte du décodage des maladies, je ne suis pas convaincu que la maladie soit causée par le contenu chimique des flacons avec ses divers polluants. Je penche plutôt pour l’effet de l’injection elle-même sur des gens qui n’en veulent pas mais qui sont forcés de les accepter…

  • Catherine dit :

    Merci, Yves, pour ce nouveau pavé substantiel dans le marécage vaccinal…
    1. Je suis moins dubitative que toi concernant RFK Jr. Il me semble au contraire très astucieux de sa part d’exiger des vaccins sûrs et efficaces : comme cela n’existe pas et n’existera jamais, vu que le concept même de vaccin va contre la nature, c’est une façon pédagogique de faire avancer la Recherche sans braquer totalement les milieux scientifiques conventionnels.
    D’autre part, étant donné sa fonction, il est normal que RFK rencontre le PDG de Pfizer. La puissance de Big Pharma et la dépendance populaire à son égard sont telles que je vois plutôt son dézingage comme une opération de démolition contrôlée !
    Cela dit, le contexte est apocalyptique et les plus intègres devront avoir la foi chevillée au corps pour garder le cap… tout comme nous !
    2. Bravo à Que Choisir qui dénonce les dangers de l’ibuprofène… et grand dommage qu’ils concluent en faveur du paracétamol : “Au vu des complications infectieuses graves rapportées avec l’ibuprofène et le kétoprofène dans un contexte de recrudescence des infections à streptocoques, l’ANSM conseille donc de recourir au paracétamol (Doliprane, Efferalgan ou autres) : « Privilégiez l’utilisation du paracétamol en cas de douleur et/ou de fièvre, notamment dans un contexte d’infection courante comme une angine, une rhinopharyngite, une otite, une toux, une infection pulmonaire, une infection dentaire, une lésion cutanée ou la varicelle »” !!!

Laisser un commentaire