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Yves Rasir

Au tout début, nous y avons cru. À l’entame de l’année 2020, nous avons pensé que le Pr Didier Raoult faisait bien de « repositionner » l’hydroxychloroquine  et de  préconiser cette molécule en traitement de la nouvelle maladie venue de Chine. En découvrant rapidement qu’il s’agissait d’une fausse pandémie alimentée par une terreur irrationnelle, une méthode de dépistage bidon et des statistiques frauduleuses, nous avons cependant très vite remis en cause la nécessité de recourir à ce médicament non dénué de toxicité. Car oui, il faut le dire et le redire : l’HCQ n’est pas un bonbon pour la toux ni un  banal remède à la malaria prescrit également contre le lupus érythémateux et la polyarthrite rhumatoïde.  Dotée de dizaines d’effets indésirables potentiels, dont celui d’engendrer des détresses respiratoires (!), cette spécialité pharmaceutique chimique peut gravement léser ses consommateurs et peut même tuer ceux qui souffrent du cœur. On pense ce qu’on veut d’Agnès Buzin, mais l’ex-Ministre française de la Santé n’a pas eu tort, fin 2019, de déclasser l’antipaludéen et de le ranger parmi les « substances vénéneuses » exigeant de sérieuses précautions d’usage. Depuis cette décision controversée, la recherche scientifique a encore mis en évidence que l’hydroxychloroquine avait des effets tératogènes et pouvait donc engendrer des malformations congénitales, tout comme la Thalidomide, le Distilbène ou la Dépakine de sinistre mémoire !  Les partisans inconditionnels du druide marseillais et de sa potion sont-ils bien conscients de prendre la défense d’un apprenti-sorcier administrant à tour de bras un authentique poison ?  

La potion n’était  pas magique 

En guise de plaidoirie pour sa molécule chérie, l’ancien patron de l’IHU phocéen invoque constamment des décennies de prescription sans conséquences sanitaires perceptibles. Mais en quoi cet argument est-il valable puisque des tas d’autres médicaments dangereux aujourd’hui interdits ont été longtemps prescrits avant qu’on ne  découvre ou admette leurs ravages ? À juste titre, Didier Raoult a d’ailleurs accusé le paracétamol d’être une drogue plus dangereuse que sa protégée, or l’antalgique superstar vendu sans ordonnance est précisément un redoutable hépatotoxique qui mériterait d’être chassé des pharmacies ! Remède pire que le mal, l’HCQ est également soupçonnable d’occasionner plus de morts qu’elle ne sauve de vies, comme en atteste la nouvelle étude parue  le 2 janvier dans la revue Biomedicine and Pharmacotherapy. Effectuée par des chercheurs lyonnais, cette étude arrive à la conclusion que l’hydroxychloroquine  donnée en 2020 aux malades du covid  a tué 17.000 d’entre eux, et ce seulement dans les six pays étudiés (Belgique, Turquie, France, Italie, Espagne et USA). Purement rétrospective et usant d’extrapolations hasardeuses, cette recherche a certes des faiblesses que n’ont pas manqué de pointer les défenseurs du Plaquenil et de son prescripteur-vedette. Le travail est notamment basé sur la méta-analyse parue en 2021 dans Nature Communications, alors que celle-ci avait inclus les deux études  malhonnêtes de l’OMS (Recovery et Solidarity) recourant à des dosages trop élevés (quatre grammes sur trois jours au lieu de 2,4 grammes sur cinq jours). La récente étude française se base aussi sur des chiffres belges carrément erronés, ce qui a même suscité un « fact checking » du très covidiste et anti-Raoult journal Le Soir. Malgré ses erreurs et ses failles méthodologiques, la recherche en question ne mérite cependant pas d’être balayée d’un revers de main. Elle montre à tout le moins que le « remède miracle » n’en était pas un et qu’il a, plus que probablement, été contre-productif. Si la chloroquine avait performé au lieu de nuire, ce genre d’analyse aurait mis en lumière un impact favorable sur la mortalité au lieu d’indiquer l’inverse.  

Des dégâts sous-estimés 

Mais alors, comment expliquer que de nombreuses autres études, comme celle menée en Belgique par l’Institut Sciensano, ont bel et bien conclu à un effet positif de l’HCQ sur le taux de décès en hôpital ? Cela n’a rien de mystérieux à nos yeux.  D’abord parce que les médecins hospitaliers savent que la dose fait le poison et qu’ils l’ont administré en respectant scrupuleusement la posologie conseillée.  Ensuite parce que ces mêmes blouses blanches hospitalières sont parfaitement au courant de la cardiotoxicité  du médicament et qu’ils ont prudemment évité  de le distribuer aux insuffisants cardiaques. Et enfin, surtout, parce que les patients ont été soignés au lieu d’être laissés en plan ou directement mis sous respirateur artificiel ! Outre une action sur les états inflammatoires, cette prise en charge a permis d’activer l’effet placebo et de réduire drastiquement l’effet nocebo, comme je le postulais dès juin 2020 dans mon infolettre intitulée « Le vrai protocole Raoult ». Si le druide a fait cinq fois mieux dans son IHU-Méditerrannée qu’à Paris et dans l’Est de la France, c’est certainement aussi parce que l’hydroxychloroquine a été employée en lieu et place des antiviraux comme le Redemsivir, médoc encore bien plus toxique et inapte, lui, à favoriser l’assimilation du zinc. Bref, la très iatrogène HCQ a fait illusion parce qu’elle a évité une iatrogénie encore plus prononcée. Mais seulement à l’hôpital ! Non sans raison, le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie au CHU de Bordeaux, a fait remarquer que l’étude lyonnaise ne tenait pas compte des malades mis sous chloroquine par leurs médecins traitants et décédés d’un arrêt cardiaque « en ville ». Leur nombre est inconnu. À ces victimes non-comptabilisées, il faudrait aussi ajouter les patients qui se sont procurés le médicament sous le manteau et l’ont consommé « sauvagement » à leur détriment. Et comme l’étude menée à Lyon ne s’est pas penchée non plus sur les décès survenus en Inde et au Brésil, deux pays où la molécule antipalu s’achète à tous les coins de rue, le bilan humain global est sans doute bien plus lourd que redouté. Lorsque le Pr Molimard évalue le passif mondial de l’HCQ à « des centaines de milliers de morts excédentaires », je ne pense pas qu’il exagère et je trouve navrant que de nombreux résistants et lanceurs d’alerte crient au complot et à l’intox. Il tombe sous le sens que la potion meurtrière a contribué à auto-réaliser la pseudo-pandémie et à remplir les cimetières.   

L’éthique a trop bon dos 

Dans son argumentaire, Didier Raoult fait systématiquement appel à l’éthique pour justifier sa décision de ne pas procéder à un essai clinique. Selon ce raisonnement louable, il était moralement inadmissible de ne pas traiter tous les covidés et de faire perdre aux malades des chances de guérison. Avec une rigueur toute soviétique,  les patients admis ont donc été soumis au même protocole thérapeutique « compassionnel ». Personnellement, je trouve l’esquive un peu facile. Sans groupe contrôle ne recevant pas le médicament, il est impossible de discerner son effet réel et ses inconvénients. Sans randomisation (tirage au sort des participants) ni double aveugle (ni le patient ni le soignant ne savent qui reçoit quoi), il est vain d’espérer atteindre l’objectivité. À défaut de produit inactif, l’IHU aurait pu tester une autre molécule garantie inoffensive, voire une plante bienfaisante comme l’Artemisia.  Contrairement à ce qu’a parfois suggéré Raoult, les essais cliniques contre placebo en double insu et randomisés offrent le plus haut niveau de preuve scientifique en « Evidence Based Medicine ».  De son côté, l’épidémiologiste et chercheur émérite Michel de Lorgeril ne cesse de rappeler cette vérité élémentaire. La différence entre ces deux fortes têtes ? Le premier critique peu la vaccinologie tandis que le second l’a prise en grippe depuis qu’il en examine les fondements. Dans ses ouvrages sur les vaccinations, le Dr de Lorgeril dénonce en effet l’absence de véritable contrôle dans le développement des vaccins. Et c’est aussi ce que dénoncent les auteurs israéliens du livre « Des tortues jusqu’en bas » : selon leur remarquable enquête appuyée par des centaines de références, les vaccins ne sont JAMAIS comparés à de véritables placebos, ce qui permet de faire croire à leur efficacité et surtout de dissimuler leur insécurité.  En agissant de la sorte, l’industrie vaccinale et les instituts de recherche qu’elle stipendie bafouent l’éthique médicale au lieu de la servir. D’une certaine manière, le Panoramix marseillais a commis un crime similaire en omettant de vérifier l’innocuité  de sa potion prétendument miraculeuse. Lorsque l’histoire de la mascarade sera écrite, je crains malheureusement que son nom soit associé à une partie de l’hécatombe faussement imputée à un pathogène inexistant…  

Yves Rasir

10 commentaires

  • Geneviève Glisière dit :

    Autant que j’aie pu comprendre de la chimie médicale, tout ce que nous absorbons contient sa proportion de poison, différente pour chaque organisme, puisque chacun de nous est unique. Ainsi, les débats sans fin qui mettent en causes (hélas ‘et effets’) les gurus sachant, dans quelque domaine que ce soit, n’ont aucune chance de déboucher sur autre chose qu’une perte d’énergie: retour au point zéro. La ‘faute’, si elle existe, appartient à ceux qui ont perdu la connaissance de leur souveraineté et qui préfèrent s’en remettre, pour les soigner (le terme est exact: soi-nier), à des substances et individus extérieurs, lesquels ont eux aussi, au final, perdu la conscience du respect d’eux-mêmes. Nous n’en avons pas terminé avec les clivages et pensées binaires… Ni d’ailleurs avec cette chimère pandémique que tous continuent de nommer, pour mieux enfoncer l’empreinte, sans doute. J’entends beaucoup parler de ‘projection prédictive’, cependant que l’attention portée à la chimère insuffle vie à son golem. Si nous n’en parlons plus, elle disparaît. Le bio-décodage nous enseigne la responsabilité. Pour cela : merci, Yves !
    Geneviève

  • Delphine André dit :

    Permettez-moi de rajouter encore une fois mon grain de sel. Vous n’aimez pas le Pr Raoult : c’est bien votre droit. Certes, il est un fervent défenseur de la vaccination en général. Au moins a-t-il eu le courage de critiquer les nouvelles moutures à base d’ARNm. Vous rejetez l’hydroxychloroquine : personne n’ira prétendre qu’il s’agit d’une molécule naturelle. De là à lui attribuer toutes ces morts, il y a un gouffre que seule l’industrie pharmaceutique franchit allègrement quand ça l’arrange. Reprenez le tableau des signalements pour différentes molécules parmi les plus prescrites sur les 35 dernières années (dans l’article du Dr Maudrux référencé dans mon précédent commentaire). Attribuer un décès pose toujours problème à un organisme de pharmacovigilance, ok, mais c’est la comparaison qui est intéressante.
    Vos propos flatteurs sur Mme Buzyn m’ont bien fait rire. Elle s’est contentée de retirer l’hcq de la vente libre à la demande de Sanofi, demande intervenue en 2019. Ces gens doivent avoir une boule de cristal, pour avoir prévu la plandémie… Mme Buzyn est suffisamment sotte pour avoir avoué dans son récent livre, paraît-il, que sa mère hospitalisée pour covid a été soignée avec l’hcq. L’état de la vieille dame s’est considérablement amélioré en trois jours. Simple coïncidence, bien sûr !
    Quant à l'”Evidence based medicine”, c’est surtout une invention de l’industrie pharmaceutique, seule capable de financer ces grands essais qu’elle peut ensuite bidouiller à sa guise, avec l’aide de quelques “key opinion leaders” grassement rémunérés, et de quelques responsables des agences d’accréditation qui sont ses obligés. Voir à ce sujet les analyses de Jean-Dominique Michel qui a parfaitement décrit cette “corruption systémique” active depuis quelques décennies. Et de plus en plus.
    Si vous me permettez, ne soyez pas dupe de toutes ces forfaitures, Monsieur Rasir. Vous et votre journal, vous méritez mieux que ça.

  • Mostaert Louis dit :

    A propos d’études randomisées, j’attends toujours celles sur le paracétamol et les anti-inflammatoires, médicaments qui ont été très largement utilisés et prescrits sans qu’aucune étude préalable n’ait été menée avec la covid, alors que c’était exigé pour les autres traitements ! Je crains même que ces médicaments aient été largement utilisés par ceux qui ont utilisé l’HCQ sans aucune précaution, ce qui a dû mettre l’HCQ, au départ la moins pire des substances, au même niveau que les pires.
    A propos de ces études toujours, elles sont effectivement le seul moyen d’évaluer l’efficacité d’un produit quand celui-ci est nouveau et inconnu ou que la situation à traiter est nouvelle et inconnue. Sans être l’avocat ni le défenseur de Raoult, celui-ci affirme n’utiliser que des produits parfaitement connus et, dans le cas présent de la covid, dans une situation connue elle-aussi car il a toujours affirmé que la covid était une infection respiratoire comme les autres. En médecin praticien, il a utilisé le traitement avec pour principe que si ça marchait, on le verrait tout de suite et inversement. Maintenant, on peut critiquer l’efficacité prétendument obtenue puisqu’elle ne l’était pas pour tous les patients. A cela, on rétorquera que les patients ne sont pas tous sensibles pareillement aux traitements.
    Raoult a une double particularité. Celle d’affirmer qu’il ne sert à rien de chercher toujours de nouveaux médicaments car on a déjà tout ce qu’il faut parmi les médicaments bien connus depuis longtemps. Puis celle d’être favorable aux vaccins, mais pas favorable à la vaccination généralisée. Voilà bien de quoi être blacklisté par Big Pharma. Il y a plus de 20 ans, deux de ses confrères maintenant décriés avaient déjà publié un livre où ils affirmaient que la majorité des médicaments sur le marché étaient inutiles en plus d’être dangereux avec leurs effets dits secondaires. Personnellement, je me souviens que quand j’étais enfant dans les années 60, il y avait dans la pharmacie de ma mère à peine quelques dizaines de substances chimiques de base ou d’origine végétale et qu’avec tout ça, on soignait tous les malades. Contrairement à ce que fait croire le lobby pharma, il n’y a pas des nouvelles maladies nécessitant de nouveaux médicaments, il n’y a que des nouvelles causes de maladie. Mais pour lui, commercialiser des marchandises brevetées est bien plus lucratif que de produire et vendre du bicarbonate de soude !
    On peut regretter que Raoult n’ait pas traité ses patients à l’Artémisia. Il aurait pu aussi les traiter à la quinine, la substance végétale naturelle que l’industrie de la chimie a bidouillé en chloroquine pour la faire breveter puis, à la fin du brevet, a rebidouillé en HCQ pour à nouveau la faire breveter jusqu’à ce qu’elle cherche une nouvelle molécule pour la remplacer depuis la fin de son brevet. C’est comme l’acide salicylique naturelle qui a été bidouillée en acide acétylsalicylique pour pouvoir être brevetée. Si la molécule d’origine est bénéfique « naturellement », la molécule chimiquement et artificiellement modifiée l’est sûrement moins…

  • Bernard dit :

    Je suis nouvel abonné,
    Je ne saisis pas l’objectif de votre hebdo…
    J’ai eu précédemment l’occasion de lire votre hebdo concernant le Dr Olivier Soulier qui m’avait choqué, comme celui d’aujourd’hui, je trouve que ça n’apporte rien comme nourriture bienveillante pour nous structurer dans la résistance nécessaire à la dérive actuelle.
    Votre logique me semble passablement pervertie et nourrie par des affirmations que je trouve légères, voir, gratuites.
    Le commentaire de Ginoux me parle.
    Heureusement, votre action ne se limite pas à cela !
    Avant de vous lire, j’ai lu sur BAM les deux interventions du Dr Colignon à ce sujet et ça mérite réflexion (https://bam.news/opinions/tribune/reponse-du-dr-colignon-sur-l-etude-attribuant-17000-deces-a-l-hydroxychloroquine).
    Je ne suis pas convaincu que régler des comptes par hebdo interposé apporte la lumière dont nous aurons grandement besoin !
    J’espère ne pas m’être fourvoyé en m’abonnant…

  • Ginoux dit :

    WAAOOUH ! Ils vous ont acheté ou quoi ???????????

    • Benedetti dit :

      Bonjour,
      Si vous lisez ma réponse ci dessous à Platon, vous comprendrez peut être, qu’il faut savoir remettre certaines ” évidences” en question…

  • Platon dit :

    Parfaitement d’accord avec votre analyse, la totalité des produits chimiques est néfaste pour les êtres vivants. L’hygiénisme est la seule règle cohérente.

    Juste une petite rectification, Michel de Lorgeril n’est pas épidémiologiste mais cardiologue et chercheur au CNRS. Il est l’un des auteurs de l’alerte sur la fausse “maladie” du cholestérol et des dangers de l’usage des statines. Il y a environ 2 ans j’avais fait la remarque suivante en commentaire sur son blog à propos des vaccins:
    “La vaccination est la plus grande escroquerie de tous les temps” Professeur Jules Tissot (1870-1950).
    Il m’avait répondu : “je ne suis pas loin de penser comme Jules”.

    Le problème de ces Diafoirus et Docteur Knock est qu’ils ont été formatés par la paire Rockefeller-Big Pharma dans le paradigme foireux de Pasteur l’imposteur.
    La remise en question est pour beaucoup longue et difficile voire impossible pour certains, sans parler des corrompus (ils sont légion).

    • Benedetti dit :

      Je suis d’accord avec vous et Yves Rasir.
      Après analyses et un certain recul, l’HCQ qui est un médicament de synthèse, à effets indésirables et efficace contre certaines maladies précises, a pu s’avérer nocive ( et mortelle) à doses non contrôlées et prise par toutes sortes de ” malades” ayant d’autres affections à risques !
      Ce triste constat me paraît logique.

  • Claude dit :

    Je vous soutiens et me réabonne régulièrement, mais là vous me décevez beaucoup et je vous trouve bien partial. Alors que pourtant vous reconnaissez que lorsqu’on donne le produit au bon dosage et en évitant les malades cardiaques (ce que Raoult a toujours dit) il y a bien effet positif. Et préférer faire presque l’éloge du Pr. Molinard, pour moi ça dépasse les bornes.

    • Delphine André dit :

      Pr Molinard dont les conflits d’intérêt sont bien connus. La question à se poser n’est-elle pas encore et toujours : pourquoi autant d’acharnement à l’encontre du Pr Raoult ? Pourquoi Big pharma veut-elle encore sa peau, pour le plus grand bonheur des medias “de grand chemin” ? Et que venez-vous faire dans cette galère, Monsieur Rasir ?
      Ci-dessous un article du Dr Maudrux concernant l’hydroxychloroquine, paru avant ce qui est probablement une énième étude bidon destinée à prouver que rien ne marche contre cette terrible pandémie en dehors d’une certaine injection. (Je blague, bien sûr).
      https://www.covid-factuel.fr/2023/10/25/hydroxychloroquine-privileges-et-discriminations

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