Cette formule du célèbre médecin endocrinologue d’origine indienne Deepak Chopra, qui a consacré sa carrière à étudier les relations corps-esprit, a grandement contribué à attirer l’attention du grand public sur la nécessité d’une approche globale de la santé.
L’importance de cultiver des émotions positives devient chaque jour plus évidente. Certaines, de nature dynamisantes, ont la capacité de provoquer un état de bien-être et de plaisir en libérant par exemple de la dopamine, de la sérotonine ou de l’ocytocine.
À l’inverse, des émotions négatives vont déclencher la production de cortisol, la fameuse hormone du stress, racine de toutes les souffrances. Le corps ne peut pas faire face très longtemps à une torture mentale.
Mieux vaut sans doute quelques écarts dans la bonne humeur que le plus strict des régimes suivi dans la colère ou la négativité. Des émotions peuvent se révéler bien plus indigestes que certains aliments ayant pourtant la réputation de l’être.
FAITES-VOUS LE CADEAU DE LA JOIE
La joie déclenche une série de réactions physiologiques positives et entraine la libération d’endorphines dans le cerveau. Les endorphines sont des substances chimiques qui améliorent l’humeur et qui exercent une action analgésique sur le corps, générant calme et positivité.
S’engager dans des causes plus vastes que soi, par du bénévolat par exemple, participe également à une amélioration de la santé.
Platon disait déjà : « C’est une folie de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir l’esprit ».
La sagesse populaire n’a pas manqué de le remarquer avec nombre d’expressions très imagées : « ça m’est resté en travers de la gorge », « j’ai du mal à l’avaler », « j’en ai plein le dos », ou encore « elle n’a pas digéré son divorce ». La liste pourrait être longue.
Les questions de santé semblent bel et bien être des signaux d’alarme pour nous dire que quelque chose ne va pas dans notre manière de vivre mais aussi de penser. Il est difficile d’être en pleine forme quand on stagne dans les émotions négatives comme la haine, la mélancolie ou la colère. Apprendre à écouter leurs messages, c’est déjà entrer dans un processus de guérison.
« Les actualités me rendent malade » : Richard ne pensait pas dire si vrai !
Il raconte :
Alors que mes problèmes d’estomac devenaient de plus en plus pénibles malgré des examens complémentaires tous négatifs, mon médecin en vint à la conclusion que l’origine était certainement psychosomatique.
De nature plutôt cartésienne, cette idée ne me plaisait pas beaucoup mais comme ce médecin était un homme que je respectais et en lequel j’avais confiance, j’ai finalement dû admettre qu’il avait peut-être raison et accepté son curieux remède.
Il venait en effet de me surprendre en train de réagir violemment devant mon écran de télévision devant l’irresponsabilité de certains politiques mettant un terme à mon indignation avec ces mots : « voir cela me rend malade ! ».
C’est là qu’il me dit en riant : « Je vais vous prescrire une diète médiatique ! ». S’il riait, cela n’empêchait qu’en même temps, sa recommandation était très sérieuse.
« Si vous voulez aller mieux, il faut lâcher ! Vous n’allez pas changer le monde !».
En fait, je ne me rendais plus compte que j’avais en permanence un discours de révolte bien que ma femme m’invite souvent à plus de patience. J’ai donc accepté de faire cette diète médiatique.
Au début, cela m’a changé mais j’avoue que maintenant cela ne me manque plus du tout et que c’est très agréable pouvoir prendre ses repas sans voir le dernier scandale ou le dernier crime mais aussi sans mes douleurs.
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Tout ce que nous voyons, écoutons, mangeons a une vibration. Si cette vibration est supérieure à nous, cela entraine un sentiment de bien-être tout comme à l’inverse cela peut nous vider littéralement de notre énergie.
Certaines personnes ont le don de parvenir à abaisser notre vibration. Nous pouvons par exemple être dans une belle énergie et tout d’un coup nous sentir déstabilisé après la rencontre d’une personne grincheuse ou médisante.
Deux personnes ne peuvent partager la même réalité que si elles sont sur la même fréquence. Que se passe-t-il le plus souvent lorsque deux personnes se rencontrent ? Force est de constater que c’est rarement celle qui a la plus basse vibration qui monte.
Notre cerveau est beaucoup plus enclin à capter une information négative pour la raison suivante : négliger une information négative est potentiellement beaucoup plus dangereux que de négliger une information positive.
Si l’on vous crie « au feu » et que c’était vrai, les conséquences peuvent être dramatiques si vous n’en avez pas tenu compte. Mais si l’on vous recommande d’aller voir le dernier spectacle soi-disant génial et que vous le ne faites pas, votre vie n’en sera pas vraiment changée pour autant.
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LA MALADIE : UN APPEL A VIVRE
« En quoi est-ce que je me suis trahi ? » est la première question qui devrait se poser sur le chemin de la guérison. Il est dommage que cela soit presque toujours à l’occasion d’un choc grave que les gens se remettent en question et décident enfin de prendre les décisions utiles pour se réaliser, pour aller à la rencontre de leurs aspirations.
« Docteur, si je m’en sors… je change de vie ! ».
Cet ami qui dirige un service de cancérologie raconte :
« La douleur des grands malades est toujours beaucoup plus que physique car l’angoisse, la solitude, la dépression, la peur de la mort s’en mêlent.
Autant que de soins, ce dont les gens ont besoin c’est d’écoute, de présence, de tendresse mais aussi de comprendre que la maladie est un appel à changer de vie. Je côtoie des personnes atteintes de cancer depuis bientôt 30 ans mais plus le temps passe, plus je me rends compte que ce sont les âmes qui auraient d’abord besoin d’être soignées.
Combien de fois, j’ai entendu des patients dont le pronostic vital était en jeu me dire : Docteur, si je m’en sors, je change tout dans ma vie !
Il est vraiment triste que les gens ne réalisent la nécessité d’être eux-mêmes et n’envisagent de faire ce qu’ils aiment seulement le jour où ils ont un coup dur. La maladie veut toujours nous ramener à nous même, à une vie en harmonie avec nos valeurs profondes.
J’essaie toujours désormais de faire passer ce message. Ceux qui ne comprennent pas la leçon de la maladie et retournent à leur ancien mode de vie n’améliorent pas nos statistiques ».
ILLUMINEZ VOTRE CHAMP ENERGETIQUE
AVEC UNE BELLE FREQUENCE
Une grande partie de notre vie se joue à un niveau invisible, à un niveau quantique.
L’extraordinaire de la physique quantique est qu’elle a démontré que notre Univers n’est fait que d’ondes, de densités, de fréquence et d’intensités très variées. C’est ainsi que nous baignons dans un champ d’énergie électromagnétique dans lequel chacun se comporte comme un émetteur-récepteur.
Notre monde est en création perpétuelle, le sentiment vécu dans l’instant présent décide de notre vibration. Tant que notre vibration énergétique fondamentale s’inscrit dans la paix, la joie, la générosité, la relation avec la force fondamentale qui anime l’Univers reste fluide, nous sommes dans le sens du courant.
Nous avons ainsi toujours plusieurs futurs potentiels en fonction de la manière dont nous entrons en connexion avec l’énergie fondamentale qui fait pousser le brin d’herbe, battre le sang dans nos veines.
Incarnez d’ores et déjà ce que vous voulez vivre!
Une personne peut être triste et espérer la joie mais si son espérance souligne sa tristesse c’est ce qu’elle attirera en définitive. Trop souvent lorsque l’on dit « j’espère », il faut entendre « j’ai peur ».
Il est essentiel d’avancer dans une joyeuse expectative du lendemain avec l’intime conviction que l’Univers ne demande qu’à s’exprimer au travers de nos désirs.
Quand nous avons le sentiment qu’un sentiment de mal-être s’installe en nous, il convient de réagir aussitôt pour se reconnecter harmonieusement à l’Energie créatrice source de tout. Il faut bouger mentalement et physiquement, ne serait-ce qu’en allant boire un verre d’eau ou en s’étirant ou faire le tour du jardin.
Rien n’est plus puissant pour créer délibérément la vie que l’on souhaite que d’irradier déjà le bonheur que nous voulons vivre. Plus nos vibrations s’inscrivent dans une spirale positive, plus les circonstances ont tendance à s’en faire l’écho. La joie sera toujours le meilleur déclencheur.
La culpabilité, la peur, la jalousie, le ressentiment ne font qu’affaiblir notre champ vibratoire et nous mettre en relation avec de probables insatisfactions.
Dès que l’on a conscience de se laisser aller à des basses vibrations, il faut se rappeler que le prix va certainement être lourd à payer. Nous pouvons facilement contrer leurs effets en refusant de se complaire dans la négativité pour rejoindre de hautes vibrations et en changeant de perspectives. Tout problème peut être vu de deux manières, en s’apitoyant sur son sort ou bien en comprenant que les supplications ne servent à rien. L’important est de prenant les décisions qui s’imposent, à commencer par faire en sorte d’exprimer une meilleure énergie.
Le bonheur est le résultat d’une habitude. Il est facile de concevoir les bénéfices que l’on peut attendre des hautes vibrations générées par des pensées harmonieuses dans l’amour, la bienveillance, la générosité, la confiance.
Les travaux de Masaru Emoto à ce sujet sont d’un intérêt majeur et illustrent notre pouvoir créateur. Ce chercheur japonais a travaillé pendant 20 ans sur la structure de l’eau et a mis au point une méthode d’observation des cristaux gelés d’eau.
Il a commencé par remarquer que les cristaux étaient très différents selon la provenance. Les eaux pures et vives donnaient naissance à de beaux cristaux aux formes harmonieuses pendant que les eaux stagnantes ou usées donnaient des cristaux incomplets ou disharmonieux.
Un membre de son équipe eut l’idée d’associer de la musique à l’expérience. Quel allait être le résultat de la vibration du son ? Pour une même eau, les cristaux formés n’avaient aucune ressemblance selon qu’il s’agissait d’une musique douce ou d’une musique agressive.
Masaru Emoto exposa ensuite l’eau à différents mots écrits sur un papier. En collant ce papier sur une bouteille, il remarqua que lorsque l’eau a été exposée au mot « beau », les cristaux ont des formes équilibrées, et que lorsque l’eau a été exposée au mot « laid », les cristaux sont asymétriques et incomplets.
Quand on sait que le corps humain d’un adulte est composé à 70% d’eau, cela montre une fois de plus la nécessité de lui apporter les bonnes informations vibratoires. Nous devenons ce que nous pensons tout au long de la journée.
Jugez-vous toujours utile d’avoir dans votre langage des étiquettes comme vieux ou encore inutile pour vous définir sous prétexte par exemple que vous avez en théorie l’âge de la retraite ?
LA NECESSITE D’UNE « QUANTIQUE ATTITUDE »
Nous avons bel et bien la possibilité et la capacité de contribuer à la création de notre monde par de hautes vibrations mais il n’y as pas de droits acquis. De la même manière qu’il ne suffit pas de surveiller une seule fois un jeune enfant pour le protéger, c’est en permanence qu’il faut être attentif à la façon dont nous parlons de nous-même, des circonstances.
C’est un chemin de chaque jour que de vouloir cultiver de hautes vibrations. Il ne nécessite l’aide de personne, d’aucun maître, d’aucun gourou mais simplement, en permanence, de se poser cette question : que suis-je en train d’émettre ?
Le sentiment d’être heureux peut être fragile et passager si l’on attend qu’il vienne uniquement de l’extérieur. Les repas les plus savoureux peuvent laisser affamé de joie, de paix intérieure.
Nos vies sont grandement enrichies dès que nous savons créer en nous-même des sentiments d’allégresse, de paix, sans rien attendre pour cela.
Ce n’est pas notre âge, ni ce que nous possédons qui est réellement la source de votre pouvoir mais votre manière d’appréhender la vie. Notre cerveau est une machine à enregistrer et toutes les croyances, les opinions que nous avons acceptées sont imprimées dans notre esprit subconscient. Nous devons le saturer de pensées harmonieuses pour voir la paix et la joie s’inscrire dans notre corps et dans les circonstances.
S’il peut sembler difficile de ressentir la joie sur commande, il y a cependant une chose dont personne ne devrait jamais manquer, la gratitude, qui a le don merveilleux de propulser dans de hautes vibrations.
Peut-on rester positif après cette crise du Covid 19 et quelle leçon en tirer ?
S’il en était besoin, la mise en scène de la pandémie a démontré qu’un virus redoutable est celui de la peur. Pour tous ceux qui savent s’en protéger et avancer dans une Quantique Attitude, les opportunités de développer une belle énergie sont intactes. Et cela d’autant plus que l’on a des projets généreux et respectueux de la planète car nous sommes tous relié dans le grand champ d’énergie qui nous entoure comme le démontre les physiciens quantiques.
Dr Christian Bourit