Skip to main content
le plein de sens

DIABÈTE( Institut Paracelse – Verona )

Par 11 octobre 2011juin 6th, 2023Pas de commentaires

Ghislaine est née en 1997. Fin janvier 2003, on lui détecte un diabète maigre. Elle vient nous consulter en avril 2003, elle est déjà sous insuline. Sur le plan du décodage, le diabète correspond à un conflit de répugnance et de résistance. Mais attention : ces gens-là résistent à tout, même à nos conseils, même à l’évidence ! Cela fait partie de leur mode de fonctionnement… Et une petite fille de cet âge est en osmose avec ses parents, nous allons donc retrouver des conflits équivalents chez ces derniers ! Le travail de décodage permet de retrouver rapidement une répugnance en particulier pour les personnes âgées. Or, elle a plusieurs grand-mères et arrière- grand-mères, et on la force à les embrasser – en particulier au moment des fêtes … juste avant l’apparition du diabète, comme par hasard ! “Je n’aime pas l’odeur chez la vieille Mamie !”. Nous retrouvons rapidement chez sa mère des préprogrammations évidentes : une répugnance insurmontable pour l’allaitement et le spectacle des seins, ainsi que des conflits professionnels très importants où elle est obligée de résister à l’envie de taper sur l’une de ses collègues. Le travail axé essentiellement sur la maman (compte tenu de la symbiose très forte entre Ghislaine et sa mère, normale à cet âge) reste très incomplet, malheureusement. Et les parents ne veulent pas prendre le moindre risque, l’hôpital les a installés dans la peur et ils sont décidés à poursuivre l’insuline coûte que coûte. Il est donc clair que dorénavant, le cerveau doit résister à l’effet de l’insuline qu’on lui injecte ! Les parents acceptent néanmoins de lui donner de la vitamine C. Par la suite, l’hôpital est stupéfait de constater l’évolution inhabituelle de ce diabète. Normalement, après la phase d’installation, il y a une période d’accalmie qui dure quelques mois puis le diabète flambe carrément. Cette période d’accalmie est baptisée “lune de miel” et les doses d’insuline y sont très faibles. Chez Ghislaine, depuis avril 2003, la “lune de miel” se prolonge insolemment encore aujourd’hui !