Entre les derniers soubresauts de la saga corona et les premiers numéros de la pas nette variole du singe, vous avez peut-être manqué un épisode de la série « Alerte à maudit virus », celui des hépatites aiguës pédiatriques. En date du 19 mai, 614 cas de ces inflammations sévères du foie chez des enfants avaient été signalés dans le monde, dont 125 cas en Europe. L’OMS s’en est émue, les CDC américains ont tiré le signal d’alarme et, selon leurs bonnes vieilles habitudes sensationnalistes, les médias de masse ont sélectionné l’info pour en faire leurs titres et choux gras. Certes, tous ces vendeurs de peur n’ont pas inventé les tristes événements ni exagéré leur sévérité puisque quelques dizaines de ces hépatites infantiles ont débouché sur des transplantations du foie et que plusieurs décès ont été déplorés. Mais fallait-il agiter un épouvantail supplémentaire alors que l’incidence du mal ne semble pas déroger à la normale ? En France, par exemple, la Direction générale de la santé vient de communiquer que « la survenue de ces cas n’est pas inattendue et ne témoigne pas, à ce stade, d’un excès de cas ». Idem en Belgique où la douzaine de diagnostics enregistrés ne préoccupe guère les autorités. Ce qui est plus inquiétant et qui justifie un peu l’agitation médico-médiatique, c’est que la plupart de ces drames demeurent inexpliqués. Leur étiologie est en effet inconnue, ce qui signifie que la cause n’est pas formellement identifiée et que les responsables habituels manquent à l’appel.
Melting-pot étiologique
Voilà qui est intéressant car l’hépatite est justement une maladie qui montre très bien à quel point le paradigme pasteurien patauge dans la semoule. En règle générale, cette affection est attribuée à un agent viral. Mais comme il y a des formes différentes et que la symptomatologie peut diverger sensiblement, il a fallu à chaque fois trouver un nouveau coupable en lui octroyant une nouvelle lettre de l’alphabet : A, B, C, D,E, F….On n’est pas encore à la lettre « G », mais ça ne saurait tarder à l’allure où ça va. Le problème, c’est que cette armée d’assaillants viraux donne très rarement la maladie – 95% des porteurs ne développent aucun symptôme – et qu’il existe aussi beaucoup d’hépatites, diagnostiquées sans virus détecté. Heureusement pour les virologues, ils peuvent alors se rabattre sur une causalité bactérienne ou parasitaire. Et si aucun microbe ou parasite ne se manifeste dans les analyses, ils peuvent encore invoquer l’origine toxique. La plus connue est bien sûr l’alcool, mais il y a également les solvants chimiques et certains médicaments dits « hépatotoxiques ». Le plus célèbre de ces agresseurs pharmaceutiques du foie, nous l’avons déjà dit maintes fois, n’est autre que le paracétamol. Dans le mensuel Néosanté du mois de juin, le dossier consacré à ce médoc souligne d’ailleurs qu’il est la première cause des hépatites aigües et que 20% d’entre elles se produisent sans surdose, autrement dit sans que la posologie conseillée sur la boîte soit dépassée. A-t-on vérifié que les moutards atteints n’avaient pas pris du Doliprane ou du Dafalgan ? Il paraîtrait que oui puisque l’hépatotoxicité liée aux médicaments a été exclue des facteurs possibles. On notera quand même que la consommation de paracétamol a encore bondi de 8% en France en 2021 et que le comprimé blanc est souvent – et très imprudemment – donné aux enfants. La piste qui tient officiellement la corde, c’est celle d’un adénovirus qui aurait muté et/ou qui aurait subitement décidé de s’attaquer à la glande hépatique au lieu d’incommoder les fosses nasales. Le hic, c’est que ce virus anodin accompagne généralement des rhumes et qu’il est tellement inoffensif qu’on l’utilise comme vecteur d’antigènes dans les vaccins. Le considérer à présent comme un ennemi impitoyable, c’est pour le moins incohérent. De plus, on ne l’a dépisté que dans 75% des échantillons, voire 50% selon certaines sources. Il faut donc un complice et la science médicale pense l’avoir trouvé… dans le sars-cov2 : selon une étude récente parue dans The Lancet, le célèbre virus corona serait en effet doté d’un « super-antigène » tapi dans sa protéine de pointe et capable de s’endormir dans l’organisme pour se réveiller férocement en présence de son banal cousin adéno. Plus abracadabrant et fantasmagorique que ça, tu meurs.
Le vaccin est contagieux !
Vous aurez remarqué qu’il manque une explication potentielle dans tout ça, celle du vaccin anticovid. L’hépatite aiguë est officiellement répertoriée parmi les effets secondaires possibles des injections et on peut soupçonner que sa fréquence soit plus élevée que celle notifiée par la pharmacovigilance. En outre, une étude parue en avril par le prestigieux Journal of Hepatology a formellement établi un lien causal entre la vaccination et l’apparition d’une hépatite auto-immune sévère, qui est encore une autre variété étiologique de l’inflammation gravissime du foie. De plus, une étude précédente menée pour le compte de Pfizer avait montré que leur produit expérimental pouvait provoquer pareille pathologie chez l’animal. La suspicion est donc triplement légitime mais elle a été balayée d’un revers de manche par les autorités sanitaires au motif que tous les enfants touchés n’étaient pas vaccinés. L’argument se tient, il est même très solide et on aimerait que la médecine pasteurienne s’en souvienne quand elle accuse des virus ou des bactéries d’être des fauteurs de troubles. Ce qui n’est pas trouvé dans 100% des cas ne mérite pas d’être qualifié de « cause ». Il y a cependant un biais dans ce raisonnement car il présuppose que le vaccin lui-même ne peut pas transmettre ses effets délétères à un tiers. Or il y a de bonnes raisons de penser que c’est le cas ! Il y a d’abord le fait que les flambées de covid ont clairement coïncidé avec les vagues de vaccinations et de rappels. Voici bientôt un an, un curieux pic épidémique estival a suivi de peu la campagne ciblant les moins de 50 ans. Beaucoup de non-vaccinés sont « tombés » malades au contact des tout frais vaccinés. Il y a ensuite de nombreux témoignages attestant de perturbations du cycle hormonal et d’autres symptômes étranges chez les femmes fréquentant étroitement des personnes vaxxées. Il y a enfin et surtout cette étude détonante menée à l’Université du Colorado et dont la presse a fait peu écho : elle conclut que les enfants non-vaccinés de parents vaccinés ont des quantités détectables d’anticorps contre le covid dans leur nez, ce qui signifierait que ces anticorps sont contagieux par voie aérienne ! Pour ma part, je ne crois évidemment pas trop à cette forme de contagiosité vaccinale. Je penche plutôt pour l’hypothèse selon laquelle la protéine pointue fabriquée et excrétée en grande quantité par les injectés à ARN messager pourrait infecter et affecter les novax en agissant comme une toxine. Ou pour l’autre hypothèse selon laquelle l’oxyde de graphène possiblement présent dans les fioles pourrait voyager entre deux corps très rapprochés. Quoi qu’il en soit, l’étude américaine suggère fortement que la réaction immunitaire post-vaccinale est transmissible, bien qu’elle soit très éphémère. Cette « contagion » serait-elle suffisante pour susciter des hépatites infantiles ? C’est hautement hypothétique mais l’éventualité ne peut plus être écartée par la communauté scientifique. Si l’on cherchait le statut vaccinal des enfants ET de leurs parents, peut-être découvrirait-on l’émergence d’une nouvelle hépatite V, avec « V » comme Vaccin….
Une tonalité de manque
En dehors de toutes ces pistes explicatives, il en est une dont on ne parle jamais et qui est pourtant capitale à nos yeux, à savoir le conflit psycho-émotionnel. En médecine nouvelle et en décodage biologique, la survenue d’une hépatite est interprétée comme la résultante somatique d’un sentiment de rancœur dans une tonalité de manque vital. En d’autres termes, la personne qui somatise ainsi a été préalablement écœurée par une situation qui l’a privée d’une chose essentielle, par exemple une nourriture suffisante ou, plus symboliquement, la reconnaissance ou la justice. Au mot « rancœur », certains décodeurs préfèrent d’ailleurs celui d’ « injustice » pour décrire le ressenti des futurs malades du foie. L’hépatite A, la plus dangereuse, est plus particulièrement liée à un contexte de misère et de privation alimentaire, ce qui explique au passage que cette maladie soit beaucoup plus répandue dans les pays du Tiers-Monde. Le virus a trop bon dos et c’est l’injustice de la faim et de l’extrême pauvreté qui est le vrai vecteur de cette variante « A ». Quelle serait donc la particularité « injuste » d’une nouvelle variante affectant préférentiellement les petits enfants (l’ âge médian des victimes est de 2 ans) et qui ne frappe qu’en Occident (Europe, Grande-Bretagne, Amérique du Nord) ? C’est très hardi de ma part, mais je propose qu’il pourrait s’agir du manque d’air infligé aux gosses de cet âge à travers l’obligation du masque. Dans un article saisissant, un chercheur allemand a récemment montré que le port obligatoire de la muselière était corrélé à un plus haut taux de décès. Dans les comtés du Kansas n’ayant pas imposé le bâillon, les chiffres de mortalité toutes causes sont bien meilleurs que dans ceux ayant contraint leurs citoyens à se couvrir le visage ! Sans pouvoir le prouver, cette étude indique par conséquent que le masque a probablement un impact pathogène encore plus redoutable qu’on pouvait le craindre. Jusqu’à provoquer une hépatite M, avec « M » comme Masque ? Mettons-nous dans la peau et le foie des mômes à qui l’on a imposé cette torture quotidienne. Et pensons à leur soulagement quand cette mesure inique a été levée et qu’ils ont pu respirer librement. Comme par hasard, cette poussée d’hépatites infantiles «d’étiologie inconnue » coïncide avec l’abandon général de la protection faciale, or la médecine du Dr Hamer nous apprend que les phases infectieuses et inflammatoires des maladies sont toujours des périodes de réparation psycho-émotionnelle. Puis-je donc suggérer aux épidémiologistes d’enquêter sur le passé masqué des petits patients enflammés du foie ? On serait peut-être surpris de constater que les plus affectés par cette règle criminelle ont été plus à risque de déclarer la maladie, surtout si eux-mêmes et/ou leurs parents ont été inoculés….
” De plus, une étude précédente menée pour le compte de Pfizer avait montré que leur produit expérimental pouvait provoquer pareille pathologie chez l’animal. La suspicion est donc triplement légitime mais elle a été balayée d’un revers de manche par les autorités sanitaires au motif que tous les enfants touchés n’étaient pas vaccinés. L’argument se tient, il est même très solide et on aimerait que la médecine pasteurienne s’en souvienne quand elle accuse des virus ou des bactéries d’être des fauteurs de troubles. Ce qui n’est pas trouvé dans 100% des cas ne mérite pas d’être qualifié de « cause ». ”
Néanmoins, l’augmentation du nombre de cas et le rapport vacciné/non vacciné ne peut-il être pris en compte ? Je m’explique : Si on a aujourd’hui 50% de cas supplémentaire et que le rapport vacciné/non vacciné est également de 50%, l’équation devient plus logique !!!!
Bonne journée, cordialement …….