Skip to main content

Dans ma lettre du 31 janvier, j’avançais deux hypothèses pouvant expliquer que la grippe saisonnière paraît plus sévère et plus meurtrière cette année. Aujourd’hui, voici deux autres pistes explicatives à ce phénomène. Leur point commun, c’est évidemment de rompre avec la théorie pasteurienne du vilain virus et de ses méchants variants pour envisager de possibles causalités toxiques.

En plus de la pollution médicamenteuse et de la pollution vaccinale, je suis d’avis que deux autres types de toxicités pourraient être à l’origine des syndromes grippaux ressentis comme nouveaux et anormaux : la pollution électromagnétique et la pollution chimique. Si vous songez à des hypothèses supplémentaires, n’hésitez pas à vous exprimer en commentaire.

La pollution électromagnétique

Dans les années 80, l’un de mes premiers reportages portait sur les courants vagabonds générés par les lignes électriques à haute tension et dont se plaignaient des riverains et des agriculteurs dont le bétail dépérissait. Je conserve quelques souvenirs prégnants de cette enquête en milieu rural. Je me rappelle notamment que j’avais tenu un tube néon à bout de bras en dessous de fils à haut voltage et que cette lampe UV s’était allumée toute seule. Je me souviens aussi avoir demandé à mon frère électricien, emmené avec moi, de faire des mesures sur une clôture métallique : son appareil avait littéralement implosé et j’avais dû le lui rembourser ! Je me rappelle enfin que j’avais mis ma main sur la gouttière d’une maison proche d’une ligne HT et que j’avais reçu une décharge électrique qui m’avait arraché un cri de surprise.

Inutile de préciser que depuis lors, je suis convaincu des effets du rayonnement non ionisant sur les êtres vivants ! Depuis que j’écris sur la santé, je n’ai pourtant jamais cédé à l’alarmisme à ce sujet. Par exemple, je prends au sérieux les études montrant qu’il n’y a pas de lien entre la téléphonie mobile et le cancer du cerveau. Il ne me semble pas raisonnable de continuer à alimenter les craintes à ce propos.

J’applique néanmoins le principe de précaution et j’avertis mes lecteurs lorsque des recherches mettent en évidence des corrélations troublantes, par exemple celle-ci qui suggère un lien entre le port du portable dans une poche de pantalon et l’apparition du cancer du côlon. La relation est hautement probable puisque les tumeurs se développent principalement du côté où le smartphone est porté.

Est-ce déjà un impact de la 5G ? À quantité égale de data téléchargée, cette cinquième génération de radiofréquences émet moins d’ondes que la 4G et serait donc moins nocive. Selon les experts rassurants, le rayonnement 5G est en outre absorbé à 99 % par la peau et ne pénètre dans l’organisme qu’à petites doses. Mais avec la numérisation accélérée de la société, le niveau d’exposition de la population augmente exponentiellement. On estime que cette exposition devrait décupler, voire centupler en quelques années « grâce » à l’internet des objets puis à l’internet des corps.

Vu que la Chine a déployé cette technologie en 2019 et que Wuhan en est une sorte de vitrine mondiale, on peut d’ailleurs se demander s’il n’y a pas un rapport avec l’épidémie de pneumonies atypiques survenue dans cette ville quelques mois plus tard. Le soupçon est d’autant plus légitime que certaines études, notamment celle-ci, suggèrent que les ondes 5G peuvent affecter négativement la microcirculation pulmonaire (ce qui provoque de l’hypoxie), favoriser l’hypercoagulation, perturber le système immunitaire, attiser l’inflammation et aggraver les pathologies cardiaques. La ressemblance frappante de cette symptomatologie avec celle de la grippe covid serait purement fortuite ? C’est difficile à croire….

Je le crois d’autant moins facilement que j’ai lu en 2020 le livre « L’arc en ciel invisible », du journaliste scientifique Arthur Firstenberg. Dans cet ouvrage très documenté de près de 600 pages, l’auteur raconte l’histoire de l’électricité et montre que son invention a donné le coup d’envoi des grandes maladies de civilisation comme le cancer, le diabète et l’infarctus du myocarde. Pour lui, ces fléaux sont clairement la conséquence de l’électrification et de la pollution électromagnétique qui va en s’accroissant depuis 150 ans. Celle-ci impacterait fortement l’activité magnétique naturelle de la terre et, par résonance, la santé de ses habitants.

Dans un bref chapitre, il défend aussi la thèse selon laquelle les pandémies de grippe ont jalonné quatre grandes étapes de l’ère industrielle : 1889 (grippe « russe ») avec l’apparition des lignes électriques, 1918 (grippe « espagnole ») avec la création des stations radio, 1957 (grippe asiatique) avec la construction de puissants radars, et 1968 (grippe de Hong-Kong) avec le lancement cette année-là de nombreux satellites.

Selon Firstenberg, les pandémies grippales plus récentes sont à mettre en parallèle avec la communication sans fil et avec l’activation du programme HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program), un programme de l’armée américaine voué à l’étude des interactions entre les radiofréquences et la ionosphère. Divagation complotiste ? Il est quand même curieux que les aurores boréales se soient décalées loin vers le sud en 2024 : on en a même observé en France et en Belgique !

Et si justement la ionosphère était le lieu où notre avenir sanitaire se joue ? Dans l’indifférence quasi générale, une étude très interpellante est sortie en décembre 2023 : elle postule que l’envoi de satellites dans l’espace n’est pas chose anodine et que ces engins composés de métaux conducteurs perturbent en profondeur les « ceintures de Van Allen », sorte de double couche filtrante qui protège la terre des vents solaires et des rayonnements cosmiques.

Selon les chercheurs, l’industrie spatiale mondiale ajoute à chaque seconde 2 000 fois plus de matériaux conducteurs qu’il n’y en avait naturellement, avant l’envoi du premier satellite ! Depuis Spoutnik, ce sont des milliers de machines qui ont été plantées dans l’épiderme ionosphérique. À elle seule, la société SpaceX d’Elon Musk a mis en orbite plus de 6 000 satellites pour son programme Starlink et elle prévoit d’en envoyer 42 000 pour former une « mégaconstellation » couvrant la planète et permettant à tous les humains de se connecter directement à internet.

D’après l’étude, entre 500 000 et 1 million de satellites devraient s’ajouter à ce réseau dans les prochaines décennies, démultipliant ainsi une « perturbation potentielle de la ionosphère » aux conséquences incalculables et imprévisibles. En faisons-nous déjà les frais ? Je ne comprends rien à la physique des plasmas mais je retiens de cet article que la pollution métallique de l’espace peut avoir des répercussions magnétiques inattendues sur le plancher des vaches, particulièrement aux endroits où les vieux satellites en fin de carrière retombent dans l’atmosphère. Si ça se trouve, notre santé est dès à présent plombée par le quincaillerie qui nous surplombe et cette dernière ne serait pas étrangère à l’étrangeté des symptômes grippaux.

La pollution chimique

L’hypothèse de la pollution électromagnétique est toutefois superflue pour expliquer que les syndromes grippaux hivernaux ont tendance à s’intensifier et à faucher plus de vies : la pollution atmosphérique suffit amplement à éclairer cette involution. Selon l’OMS, les effets combinés de la pollution de l’air ambiant et de la pollution de l’air intérieur sont associés à 6,67 millions de décès prématurés par an. Et selon l’UNICEF, c’est 8,1 millions de Terriens qui succombent chaque année d’une maladie liée à la piètre qualité de l’air, due notamment aux concentrations d’ozone.

Pour rappel, la pseudo pandémie de covid a pris naissance dans l’une des villes les plus polluées du monde. Comme l’attestent cet article publié en juillet 2019 et cet autre article daté du 7 février 2020Wuhan était le théâtre de violentes flambées grippales depuis plusieurs années et l’année 2019 avait vu la population descendre dans la rue pour protester contre la pollution de l’air. Il tombe sous le sens que ces événements sont liés et qu’il ne faisait pas bon habiter la mégapole industrielle lorsqu’un soi-disant virus y a déclenché un pic de pneumonies atypiques.

Quelques mois plus tard, des scientifiques ont d’ailleurs constaté une étroite corrélation entre la mortalité attribuée au covid-19 et les niveaux d’exposition aux particules fines. Bien sûr, les chercheurs fonctionnent sous logiciel pasteurien et ils nous expliquent sans rire que l’assaillant viral a profité de l’inflammation des tissus victimes de la pollution pour envahir les alvéoles pulmonaires. Question : il se cachait où le coco en 2018, lorsque les Wuhannais super-grippés crachaient déjà leurs poumons ? Le dogme de l’infection contagieuse ne tient pas debout puisque la seule exposition à des pics de pollution suffit déjà à déclencher une brutale augmentation des pathologies respiratoires.

Ce qui est sûr et qui fait consensus, c’est que les vagues de grippe sont attisées par les particules fines. Celles-ci sont au minimum un cofacteur aggravant des syndromes grippaux. Or il coule de source qu’en période de grand froid, leur production s’accroît. Les voitures consomment davantage, les citoyens se chauffent et la demande d’électricité augmente. J’ai découvert récemment et avec effarement que la Belgique recourt à de vieux réacteurs d’avions lorsque son parc nucléaire déglingué ne peut pas suivre. C’est tellement effarant que la presse française ne s‘est pas faite prier pour s’emparer de l’info. On peut se demander si tout ce kérosène gaspillé n’est pas impliqué dans l’inflation d’infections hivernales gratinées.

À propos d’aviation, n’oublions pas le rôle éventuel des chemtrails. Même si l’écrasante majorité des traînées sont de la vapeur d’eau, je suis pour ma part persuadé que les épandages chimiques sont une réalité. Comme l’a dévoilé la revue Néosanté dans son numéro de novembre 2023, il y a plus de mille projets de géo-ingénierie qui ont été développés par des scientifiques du monde entier afin de manipuler le climat et de le refroidir, et c’est sans compter les programmes militaires secrets possiblement destinés à empoisonner l’ennemi ! Lorsque des chercheurs suisses analysent de mystérieux filaments tombés du ciel et y trouvent des dérivés de benzène et d’autres produits toxiques, je suis donc enclin à leur faire crédit.

S’agissant de pollution chimique, les candidats complices des grippe agressives sont de toute façon légion. En interférant avec le système endocrinien et par conséquent avec le système immunitaire dont ils diminuent la réponse, les désormais célèbres PFAS (composés perfluorés) pourraient également être soupçonnés. Il est déjà prouvé que ces « polluants éternels » et omniprésents dans l’environnement sont associés à la prévalence de la bronchopneumopathie chronique, alors pourquoi pas à celle d’autres affections respiratoires ? Il en va de même pour les microplastiques que nous avalons et respirons à profusion. Selon cette étude internationale publiée en 2023, on les retrouve à foison dans le foie, les reins, la rate et les poumons…

Bref, on a l’embarras du choix pour désigner des substances délétères susceptibles d’influer sur l’incidence et le tableau clinique de la grippe saisonnière. Et je n’ai pas encore parlé du poison qui fait pour moi office de principal suspect : le glyphosate ! Beaucoup de gens l’ignorent, mais cet herbicide total, c’est-à-dire non sélectif, a un effet ravageur sur la flore intestinale humaine. C’est ce qu’énonce notamment le Dr Joseph Mercola dans son dernier article sur le sujet. On y apprend, entre autres, que 55 % des bactéries composant le microbiote sont sensibles au glyphosate et que ce sont surtout les bactéries bénéfiques qui trinquent, les germes « pathogènes » générateurs de dysbiose étant au contraire favorisés.

Dans son livre « Glyphosate, vérité alarmante & héritage toxique », la chercheuse Stéphanie Seneff insiste également sur l’impact du désherbant sur l’intestin humain : il l’acidifie fortement et cette acidification entraîne une prolifération des Bacteroides. Résultat : des troubles intestinaux récurrents, voire permanents, et une immunité perturbée puisque celle-ci dépend largement de l’équilibre du microbiote. Or comme l’ont montré maintes enquêtes comme celle-ci, nous sommes tous pollués par le glyphosate qui a la faculté de s’accumuler dans les reins et dans le foie.

Ce qui me fait dire que le principe actif du Round Up pourrait être mêlé aux épidémies grippales de haute intensité, c’est précisément cette accumulation hépatique. Le foie est notre émonctoire principal, c’est la station d’épuration de l’organisme. Si celle-là dysfonctionne, celui-ci devient plus vulnérable à toutes les maladies, qu’elles soient aiguës ou chroniques, infectieuses ou non. Perso, j’ai remarqué que mes dernières grippes s’accompagnaient d’un dérangement intestinal, au point que je croyais d’abord à la gastro. Et je me rappelle que les troubles intestinaux ont été observés chez la plupart des covidés, au point que certains ont espéré soigner la « nouvelle maladie » avec des probiotiques.

Ce qui me fait également penser que le glyphosate est impliqué dans la récente épidémie de grippes « étranges », c’est qu’il a beaucoup, mais alors beaucoup plu en 2024. En Belgique, selon le bilan officiel de pluviosité, les précipitations ont été « très exceptionnellement excédentaires ». Il n’avait plus autant flotté depuis 1833 ! Or qui dit pluie abondante dit beaucoup de mauvaises herbes à éradiquer par les agriculteurs toujours autorisés à pulvériser leurs champs avec ce redoutable polluant.

En Belgique, on est mal barré car le ministre de l’agriculture qui s’était couché devant Bayer/Monsanto vient d’être renommé au même poste dans le nouveau gouvernement. En France, ce n’est pas pas mieux puisque la girouette Macron a renié sa promesse de prohiber le Round up. Les mêmes causes donnant les mêmes effets, préparons-nous donc des deux côtés de Quiévrain à vivre des épisodes grippaux de plus en plus secouants et de moins en moins classiques.

La principale parade au glyphosate et aux polluants agricoles en général, c’est naturellement l’alimentation biologique. Selon cette étude très révélatrice99,8 % des Français sont contaminés mais les niveaux d’herbicide dans les urines sont significativement inférieurs chez les personnes déclarant consommer au minimum 85 % d’aliments bio. C’est mon cas et ça n’a pas empêché que je fasse une grippe canon début janvier. Avec mes quatre hypothèses, je n’ai probablement pas fait le tour des facteurs environnementaux pouvant expliquer l’aggravation et le caractère bizarre des syndromes grippaux.

Yves Rasir

7 commentaires

  • de Fauconval Pierrette dit :

    Monsieur,
    je ne résiste pas à vous partager très simplement, étant flûtiste professionnelle, je cherchais pourquoi, depuis des mois et des années, ma flûte ne sonne plus bien. Certains jours, vraiment plus bien. Et même une fois, mon élève et moi avions le même son très moche (elle avait une flûte d’étude, moi, ma flûte professionnelle), Je remettais cela à mon manque de travail, à l’humidité, à … Le même son !
    Mais, fin novembre, alors qu’une élève entrait dans ma salle, ma sonorité a changé tout net. Elle avait le très bon portable de son papa, celui de son travail qui capte vraiment très bien… C’est sûr que les téléphones portable neutralisent une partie de la vibration de ma flûte.
    Maintenant, je sens en la jouant quand une élève est derrière la porte, ou quand un parents d’élève envoie ses sms dans le couloir du conservatoire, … Et que dire de mon collègue la salle à côté, qui ne peut faire son cours de solfège sans ordinateur …
    C’est donc pour moi une catastrophe, d’autant qu’il est question de mettre la wifi dans toutes les salles de cours.

    En lisant votre article, je comprend qu’il s’agit peut-être plus d’un effet sur ma propre microcirculation pulmonaire.
    Je ne sais ce qui est pire …

    En tout cas, je vous remercie pour cet espace de commentaire, et surtout pour vos articles.
    Celui-ci m’a rappelé une vidéo sur Nexus ou Patrick Jaulent révèle un brevet déposé pour la wifi sous le canal 20, Et la fréquence 20 qui réduit les chromosomes.

    Merci encore pour votre éclairage.
    Cordialement,
    Pierrette de Fauconval

  • Mostaert Louis dit :

    OK pour toutes ces pollutions mises en cause. Peut-être pourrait-on rajouter la pollution « mentale ». Elle n’est pas nouvelle mais elle a été renforcée chez les gogos (ceux qui gobent) depuis la mise en scène covid.
    Ainsi, certaines gens sont encore plus conditionnés
    -comme vous l’avez rappelé, à se précipiter à l’hôpital dès les premiers symptômes.
    -à combattre la fièvre et l’inflammation.
    -à utiliser ces médocs (paracétamol et anti-inflammatoires) même si aucune étude randomisée officielle n’a jamais été menée pour vérifier leur efficacité.
    -à se faire injecter les mixtures appelées vaccins sans chercher à en connaître la vraie composition, surtout qu’il n’existe aucun contrôle officiel.
    -à ne jamais (faire) vérifier leur taux de vitamines (D, C), de zinc et de sélénium, pourtant vitaux !
    Maintenant, alors que toutes ces causes sont présentes partout tout-le-temps, pourquoi tout le monde n’est-il pas malade  ?

  • Sebasnature dit :

    Monsieur Rasir,
    Merci de reprendre votre bâton de pèlerin pour nous alerter « d’anomalies » dans les
    phénomènes que nous traversons.
    Des questions et des interrogations mais pas d’affirmations péremptoires. C’est la base pour poser des hypothèses constructives et élargir le débat sans être dogmatique.
    Et toujours une pléthore de liens référencés pour une vision plus complète.
    Quel talent !

    Concernant vos observations :
    Ondes électro-magnétiques, oui, ça a sûrement un effet, vu la manière dont c’est totalement occulté de tout débat publique et médiatique (ce qui est important est ce dont « ILS » ne parlent pas, puisqu’ils nous « abreuvent », voire nous « gavent »,
    comme des canards, d’informations de diversion!sans intérêt).

    Pollution chimique, oui, ça a aussi de l’effet, vu l’acharnement politique à nous imposer ces polluants reconnus toxiques.
    (Claire Séverac – guerre ouverte contre les peuples).

    Electricité, oui cela à un effet, mais
    on pense que c’est inoffensif car cela évolue avec nous depuis le début de son développement. Pourtant cela correspond à l’apparition et au développement du cancer et d’autres pathologies.
    (Un ingénieur électro-sensible en parle dans :  « cuisson lente, thermostat 5g. » Anthony Brun-Maestroni.
    Et également son schéma à 2:12:19 qui met en relation les innovations (radars, télécoms, électricité) et l’apparition des grandes grippes mondiales. Le hasard, sûrement.
    Un hasard, tout comme Huwan, avec la pollution atmosphérique, et la 5g (forum
    Mondial pour développer la 5G en novembre 2019) et le début d’une « pan-pan démie » à cause du « pan-pan golin ». Une histoire pour des lapins de 3 jours….

    Comme source aggravante, je pense qu’un système émotionnel affaibli joue aussi un rôle amplificateur sur ces pollutions.

    Que dire également des « parasites » physiques qui trouvent un terrain favorable dans nos corps déjà attaqués.
    A quand un billet de votre part sur ces empêcheurs d’être en bonne santé
    (Lee Meritt semble calée sur ce sujet. Mais je ne sais pas toujours reconnaître de bonnes idées novatrices, d’un charlatan… ).

    Aussi un livre « la fée électricité : fée ou sorcière » d’Annie Lobé.
    Je ne suis pas compétent pour estimer la qualité de son étude.

    Concernant ce que nous avons tous vécu courant décembre, Je fus, comme vous, interpelé par les dégâts « grippaux » de mon entourage.
    Je suis passé au travers.
    Est ce dû à mes jeûnes long effectués en 2024 (15 jours en août et 8 jours en avril) ?

    Autre réflection : Que pensez vous des brouillards persistants vus ces dernières semaines dans pleins d’endroits dans le monde (j’ai vu aux USA, en France, en Angleterre et autres) qui correspondent également temporellement à l’épidémie de grippe….
    Une interrogation de ma part quand à la superposition temporelle des événements (grippe et brouillard) et rien de plus, car je n’ai pas les compétences.
    Je suis juste capable d’observer….
    Et dire que « ça tombe » en même temps.
    Le hasard, sûrement…

    Le shedding, oui, je l’ai vécu avec ma mère. Une visite de mon frère fraîchement vacciné (car travaillant dans le domaine médical) quelques jours avant Noël 2022 (ou 2021) (variant surnommé « O’macron »).
    5 à 8 jours après, un Covid carabiné (le seul) pour ma mère et moi. Étrange coïncidence…
    J’observe, c’est tout.

    Bref, votre travail nous ouvre les yeux et vos
    interrogations donnent la possibilité d’une autre voie que celle imposée par :
    A – les médias dominants
    B – la pseudo-science
    C – l’oligarchie dominante
    D – des gens méchants qui nous veulent du mal.

    Réponse A, B ou C…
    D n’est pas une option.

  • GARREAU dit :

    Bonjour,
    Je me demande s’il s’agit vraiment de grippe. Quand je regarde la symbolique, je ne l’ai pas vue dans la seule petite fille que je connais l’avoir eu. Y a-t-il eu des analyses, des reconnaissances visuelles, pour attester qu’il s’agit d’une grippe ?
    Il n’y a pas eu plus d’analyse pour la petite fille et comme ce que le docteur lui a donné ne servait à rien elle a fait une surinfection avec otite et tympan percé

    Bonne journée et merci pour votre travail.

  • Hublet Mariejane dit :

    articles toujours très intéressants et bien documentés

  • Hélène dit :

    Ouf… En effet on est cerné par les multiples possibilités nuisibles de tomber malade, il faut se préserver bien sûr, essayer rester fort de l’intérieur pour que le corps et l’esprit résistent …
    Pour ma part je vais régulièrement chez l’ostéo pour équilibrage
    Bon, la pollution de toute part en effet, j’ai envie de dire des grOs mots…Mais bon, sinon à part manger bio bien sûr que pensez vous de l’idée de mettre un purificateur d’air dans nos maison ? Cela coûte assez cher mais je me demande si cela en vaut la peine ?
    Merci pour votre avis

  • Alterophile dit :

    Bonjour

    Vous êtes sûr que le portable écouté essentiellement à l’oreille est inoffensif ?

    Pourquoi alors les constructeurs prenaient, voire prennent encore parfois le soin de fournir des oreillettes, quoiqu’avec les progrès de ces merveilleux équipements sans cesse plus performant squi vont bientôt faire aussi la vaisselle et la lessive ….?

    Pour le reste merci.

    Bonne continuation

    Un octogénaire toujours multi-militant

Laisser un commentaire