Pendant plus de 35 ans de pratique de Chirurgie Dentaire, j’ai été frappé par la quantité d’articles concernant les conseils en Santé aussi bien en alimentation, hygiène de vie, activité sportive, sommeil, prévention, spiritualité, etc. et pratiquement rien sur la bouche et les dents.
Il est vrai que dès que l’on évoque ces fameux “cristaux “, on crée une onde de presque panique chez la grande majorité de nos contemporains. Et si, maintenant, on les considérait comme des bijoux ?
On va reprendre l’histoire depuis le début.
Quand le bébé arrive au monde, il a tout ” à bord” : tête, bras, jambes, cœur, poumons, foie, etc. etc. sauf…. les dents. L’apparition de la première, aux environs des 6 mois, est presque une fête pour les parents ! Puis, suivant un rythme immuable, les autres se mettent en place, et à 30 mois l’enfant peut, avec sa denture lactéale complète, partir vraiment à la conquête de son environnement. Il est bien évident que le développement de l’enfant sera optimal si la respiration physiologique est respectée, (c’est-à-dire par le nez), si les habitudes vicieuses (succion tétine, doigts, etc..) ont été abandonnées depuis longtemps et si la mastication est effective, aussi bien à droite qu’à gauche afin de développer une ossature et une musculature équilibrées. Les bonnes habitudes d’hygiène auront été données bien évidemment afin d’éviter toute carie.
Vers l’âge de 6 ans, nouvelle période de turbulences, car en même temps que les incisives de lait commencent à bouger, les premières molaires définitives font leur irruption. On peut considérer qu’à sept ans, les calages postérieurs (les molaires) et antérieurs (les incisives) sont en place. L’enfant a terminé la phase de la gestion spatiale, il sait garder son équilibre postural en allant en avant, en arrière, à droite, à gauche, en haut, en bas. Il va pouvoir rentrer dans sa phase de gestion relationnelle, et pendant cette période, les germes des dents définitives vont s’imprégner des “vibrations émotionnelles” du futur adolescent. Eh oui, on peut considérer, pour la suite des évènements, que ces cristaux, constitués en partie de silice vont jouer le rôle de clés USB et collecter les informations du vécu de l’individu. Entre 12 et 14 ans, l’enfant va traverser une période très inconfortable que les adultes appellent la crise d’adolescence !
Peu de monde a fait un lien entre cette période d’instabilité et ce tsunami buccal. En l’espace de quelques mois, 12 dents de lait vont tomber pour être remplacées par 12 définitives, et 4 molaires supplémentaires vont se mettre en place. Pendant cette période, la langue va perdre ses calages volumétriques, et ainsi provoquer une certaine instabilité physique. A laquelle vient s’ajouter l’instabilité psychique car, comme nous le verrons plus loin, les dents et le cerveau sont intimement connectés. Qui ne se souvient pas de cette époque où on était mal dans sa peau ? La crise que l’on appelle d’adolescence est en fait la période de transition où l’enfant commence à s’éloigner de son petit monde et côtoyer celui des adultes. Sa maturation relationnelle lui permet maintenant d’analyser, de penser par lui-même. Cette troisième période s’étend de 14 à 21 ans.
Pendant cette troisième septaine, l’individu va peaufiner la plupart de ses stratégies de gestion de vie en fonction de son environnement. La croissance physique devrait permettre à la bouche de terminer le développement idéal initié par les deux précédentes périodes afin de recevoir les 32 dents qui, elles, ont leur taille définitive. Malheureusement, c’est à ce moment-là que l’on s’aperçoit chez beaucoup d’enfants (plus de 70%) qu’il y a du désordre dans l’alignement des organes dentaires qui génère les consultations chez les orthodontistes. Toujours est-il que l’organisation buccale, qu’elle soit naturelle ou pilotée, va se conclure par la mise en place, lentement, des dents que l’on appelle “de sagesse” aux alentours des 18 ans. Pour se terminer vers les 21 ans. Les arcades dentaires ainsi constituées vont assurer les différents fonctionnements évidents comme la mastication, la déglutition, la phonation, le sourire, et les plus subtils car inconscients comme la gestion de l’équilibre postural et celui du stress jusqu’à la fin de la vie. Ce qu’il va être détaillé maintenant.
Le concept “d’orthoposturodontie ” est apparu dans les années 1990 avec le Dr Michel Clauzade. Il établit un lien entre l’équilibre de l’Homme sur Terre et l’équilibre buccal. Pour faire simple, on va dire que le squelette est maintenu par des chaines musculaires (fig. 1), antérieures, postérieures et latérales, comme les haubans d’un voilier, dont le tonus est contrôlé par notre cervelet. Celui-ci reçoit en permanence des informations de tous nos capteurs spatiaux entre autres et distribue des ordres de contraction ou relâchement aux muscles afin que notre structure tienne la route face à la gravité terrestre. On peut comparer aisément ce travail à celui du skipper sur son voilier. Les signaux venant des capteurs principaux de la posture, situés au niveau des yeux et des pieds, sont intégrés avec ceux des articulations de la mâchoire inférieure, nommée articulations temporo-mandibulaire (ATM) droite et gauche. Ces signaux sont validés à chaque déglutition, équivalent de l’appui sur la touche « Entrée » de l’ordinateur. L’enregistrement ainsi obtenu va générer les tensions nécessaires dans les muscles posturaux. La situation peut devenir plus complexe si on ajoute d’autres programmes volontairement (comme la force ou la vitesse) et très problématique si on mélange plusieurs “programmes incompatibles“, par exemple aller à droite en regardant à gauche.
L’exemple peut faire sourire mais cela se passe souvent à ” l’insu de notre plein gré” comme le disait un célèbre cycliste. En effet, quand on ferme la bouche, les dents du bas rencontrent les dents du haut, et la mâchoire inférieure se retrouve calée contre le crâne. Mais qui nous dit qu’elle est bien placée ? L’expérience clinique permet d’affirmer qu’elle est très rarement bien centrée dans sa zone de tolérance. Et cela mérite une petite explication. L’ATM est la seule articulation du corps qui peut assurer des mouvements dans les 3 sens de l’espace, donc agit comme le gyroscope du pilote d’avion et au repos elle ne doit être ni trop en avant, ni trop en arrière, ni trop à droite ni trop à gauche, ni trop en haut ni trop en bas. Maintenant, il suffit d’imaginer le travail du cervelet recevant les renseignements donnés par l’ATM droite et l’ATM gauche, en même temps que les autres données posturales, donnant les ordres aux muscles et cela à tous les trois dixième de seconde environ de notre vie en mouvement. C’est colossal !
En résumé, les dents jouent le rôle, au moment de la fermeture, d’engrenages et en même temps de réglage de tension. A cet instant, on peut visualiser une guitare en filigrane! On réalise que les cordes sont bien tendues par des petits rouages que l’on définit comme des roues “dentées”. L’analogie semble parfaite. Le corps humain peut se tenir correctement dans sa verticalité en fonction d’un bon équilibre buccal. Si l’on pousse l’observation un peu plus loin, on va constater que, régulièrement le musicien expérimenté va accorder son instrument, et ce, à l’oreille. Et qui, dans ce monde pense à peaufiner le fonctionnement de sa bouche, en quelque sorte, finalement à s’accorder? Nous avons laissé notre bouche se construire toute seule, ou nous avons demandé à un tiers d’apporter des modifications d’ordre orthodontique. Puis certains d’entre nous ont subi, a minima, quelques soins ou “réparations”, et pour beaucoup d’autres d’énormes transformations après des extractions. Et ce, sur quels critères, sinon empiriques ! Nous, les dentistes, avons appris à réparer les dégâts, mais sans trop savoir pourquoi ils s’étaient produits. Si ce n’est la sempiternelle raison de la mauvaise hygiène. Alors, quel est le bon fonctionnement d’une bouche? Peu de monde connait la réponse, et beaucoup croit la savoir. Et pourtant elle est bien simple : elle se vérifie au moment de la mastication qui doit se faire de façon alternative à droite puis à gauche, comme la marche. Et au repos, les dents ne doivent pas se toucher, pendant que la langue est en contact avec le centre du palais. Ce bon fonctionnement dentaire, a été mis en évidence lors de réhabilitation neuro occlusale du Pr Pedro Planas dans les années 50. Alors, on peut se demander : s’il y a nécessité de réhabilitation, c’est qu’à un moment donné un dérapage a eu lieu. L’apport de la rééducation plurifonctionnelle a permis de mettre en évidence que l’insuffisance de fonctionnement buccal générait un manque de place, d’où les chevauchements dentaires. En fait, le bon fonctionnement primordial débute avec celui de la respiration. Une ventilation nasale à 100% conditionne une bonne oxygénation, mais aussi le développement des sinus qui assurent à leur tour l’élargissement de la face, donc le périmètre de l’arcade dentaire supérieure. Une bouche légèrement ouverte est le témoin d’une respiration buccale, avec obligatoirement une position de langue basse. Cet ensemble de 17 muscles n’étant pas assez stimulé va générer une cascade de symptômes neuro végétatifs qui vont du manque d’énergie permanent à un caractère anxieux et émotif, en passant par une attitude scoliotique jusqu’aux pieds plats. L’aphorisme de JB Lamarck (1744-1829) rendu célèbre par Claude Bernard « La fonction crée l’organe et l’organe s’adapte à la fonction » prend toute sa signification.
Le diagnostic de bouche trop petite a généré un développement exagéré de techniques orthodontiques par extractions. Le parti pris inverse d’amener la bouche à se développer par la méthode Soulet-Besombes (1953), juste par des exercices quotidiens de stimulation avec une gouttière en caoutchouc a été jugé obsolète par la Science. Mais des “gaulois réfractaires” comme le Dr Michel Montaud et d’autres chirurgiens-dentistes ont pu mettre en évidence des améliorations spectaculaires défiant les explications scientistes. De constats en constats, il apparaissait une parfaite corrélation entre l’amélioration buccale des jeunes patients et leur fonctionnement global aussi bien physique que psychique. C’est ainsi qu’est née la Dentosophie, terme reliant la sagesse et la dent. A l’heure actuelle, peu de praticiens s’occupent avec attention de ces cristaux précieux qui ont encore des messages à nous transmettre. Il faut bien reconnaitre que remettre en cause une grande partie de Savoir pour changer de cap n’est pas facile. Les lecteurs de Néosanté en savent quelque chose !
Poursuivons maintenant le voyage dans le monde peu visible, mais avec la possibilité d’en voir les manifestations, en revenant au moment de la poussée dentaire. La dent est animée par une Energie que l’on peut qualifier d’identique à celle de la plante qui va sortir de terre. La place est programmée, l’heure est aussi programmée, mais dès que l’organe va émerger dans le milieu buccal, il va subir tout un tas de tiraillements musculaires, fonctionnels et rien ne nous dit si la finition est conforme au programme génétique. Et même, on peut pratiquement affirmer que jamais la dent ne profite de son plein potentiel, car l’enfant est très souvent soumis à la règle de : ” tais-toi ” ou “serres les dents et avance”… La dent est ainsi freinée dans sa croissance. Prenons par exemple une molaire qui aurait dû avoir une hauteur de 7mm au-dessus de la gencive, mais qui n’en a que 6 à la fin de sa croissance. Et pareil pour son antagoniste; il manque donc 2mm de matière. Pour assurer la déglutition, il faut que les dents se rencontrent. Donc les muscles masticateurs vont devoir se contracter un peu plus que prévu pour arriver à amener ce contact. D’où hyper tension au niveau des insertions musculaires. Rappelons-nous de l’image de la guitare ; les cordes sont trop tendues, elle ne joue donc plus juste. Cette petite surtension permanente aura un effet discret sur le sujet, tant la plasticité à cet âge est importante et les mots pour décrire ces maux ne sont pas encore disponibles. Pour compléter la situation, après la hauteur, observons un autre sens, la latéralité. Les contractions au niveau de la face, de la tête et du cou, vont être totalement différentes suivant le caractère de l’enfant, ce qu’il vit, comment il le vit. Prenons l’exemple d’un petit introverti, qui va souvent contracter ou même se pincer les lèvres : non seulement il va réduire son volume buccal, mais il risque de provoquer, par aspiration, une version interne de la dent. Et là, automatiquement, nouveaux arrangements pour les contacts entre antagonistes. N’oublions pas que ce phénomène est à multiplier au bout du compte par 32 ! Mécaniquement, il apparait évident que la fermeture buccale est un compromis entre tous les contacts dentaires, compromis qui s’est installé à bas bruit, qui se manifestera un jour par des symptômes. Ou pas.
On peut donc légitimement affirmer que la fermeture idéale est rarement atteinte. Au moment de la déglutition, les muscles de la mâchoire sont amenés à se contracter afin d’amener les contacts dentaires à peu près à des valeurs équivalentes. Notre cerveau ne supporterait pas longtemps que l’on marche avec une chaussure et une pantoufle, il ne supportera pas non plus de ressentir dans les muscles de la tête et du cou un déséquilibre avant- arrière, haut- bas, et surtout pas gauche-droite. Ces appuis nivelés se reproduisent en gros 2000 fois par jour automatiquement au moment de la déglutition. Ces efforts répétés continuellement vont provoquer des désagréments fréquents au niveau physique qui vont du mal de dos aux problèmes d’articulations, tensions musculaires, céphalées, puis vers des niveaux moins palpables comme les acouphènes, l’hypertension, altération de la digestion, les impatiences et enfin les niveaux subtils caractérisés par des difficultés de gestion du stress, des cyclothymies, le bruxisme, le mauvais sommeil, etc. etc. Finalement, on va s’apercevoir que les dents jouent aussi un rôle de fusible. Un serrage trop fort, va entraîner une douleur vive et provoquer un relâchement immédiat des contractions musculaires. Le problème récurent est que tout sur-stress génère une contraction automatique au niveau des muscles masticateurs et le cercle vicieux est mis en route. Et qui pâtit de cette situation en premier ? Mais les dents bien sûr, et les fins ligaments qui les relient à l’os.
Pour terminer cette succincte approche, on va côtoyer l’invisible en observant les manifestations à distance. Comme souvent, les découvertes se font par hasard, enfin si l’on veut, car comme l’a dit Einstein: le hasard, c’est Dieu qui passe incognito. L’expérience clinique a permis de mettre en évidence que de plus en plus souvent les enfants avaient du mal à mettre leurs dents en place. On trouvait non seulement beaucoup de chevauchements, mais en plus des articulés inversés (les dents du haut surplombent normalement les dents du bas ; il se peut qu’une ou plusieurs dents inférieures fassent l’inverse en fonction de tous les compromis expliqués plus haut).
En parallèle de ces dysfonctionnements buccaux, ces enfants présentent souvent des perturbations fonctionnelles du genre dyspraxie, dyslexie, dysorthographie, sans parler des comportements caractériels. Et la magie veut qu’avec les enfants, sous forme de jeux, on arrive à des résultats époustouflants. L’exemple qui va suivre montre le changement qui s’est opéré dans le cerveau d’Axel (3 ans ½) en l’espace d’une seule minute. Comme on l’a vu, un enfant de cet âge a ses 20 dents de lait normalement en place. Mais Axel présentait un inversé d’articulé entre deux incisives du côté droit. Au niveau comportement, on pouvait le comparer à un ressort, en perpétuel mouvement. Afin d’obtenir un moment de calme, je suggère à sa grand-mère qui en avait la garde de lui proposer de dessiner. Un sujet simple : une maison un arbre un soleil. On ne peut pas dire que la première réalisation soit convaincante (Fig 2); désordre total, tout en deux exemplaires, même le prénom ! La mise en place d’une simple gouttière souple dans la bouche a joué le rôle d’amortisseur de fermeture, le temps d’un aller-retour dans le salon, et Axel est revenu donc avec pour seul changement la position de sa mâchoire inférieure. Cette deuxième réalisation (Fig 3) nous a laissé sans voix. Surtout quand on l’a vu dessiner la cheminée, et la fumée qui en sortait, alors que ce n’était pas demandé! Que s’est-il passé pendant cette minute dans son intérieur ? La première hypothèse est que le cerveau a été débarrassé immédiatement de certains parasitages analogues à ceux d’une station de radio mal réglée. Les faux contacts ont disparu, Il a joué donc plus juste. Son cerveau a mieux géré les commandes de la main, a permis une organisation spatiale du dessin, sa mémoire a été débridée, son imagination libérée. Il est bien évident que l’opération a été renouvelée maintes fois, avec des acteurs différents. Le résultat est à chaque fois le même : dessin ou écriture améliorée, meilleur centrage sur la feuille, symétrie respectée, et même la joie peut transparaître. La lourdeur des illustrations empêche leur publication dans cet article. Toujours est-il que le caractère reproductible en fait un élément valable scientifiquement.
Finalement, on peut considérer que les dents ont un potentiel sur 3 niveaux : le premier est mécanique, concret, à l’image des rouages d’une montre; le second est d’ordre énergétique comme le fusible, et le troisième est vibratoire comme un transistor. L’obtention d’une bonne harmonie dentaire a amené le constat d’une nette amélioration du fonctionnement général de son propriétaire. Cette approche thérapeutique a permis de dégager des ressources insoupçonnées et de nouveaux raisonnements sur le fonctionnement de l’Homme. Et de sa Santé.
Etre en Santé n’est pas de ne pas tomber malade, mais de pouvoir récupérer un équilibre défaillant.
La Santé ne s’acquiert pas, elle Est. Si elle n’Est plus, les symptômes vont apparaître pour signifier à l’individu que quelque chose ne va pas dans son Intérieur. Et c’est à l’individu que va revenir le challenge de guérir.
Les dents de l’Homme avaient le programme d’arriver à la bonne heure, à la bonne place afin de permettre un beau ou bon passage sur Terre. Cela a pu être validé chez quelques vieux sages de peuplades reculées qui sont arrivés à la fin de leur existence, à un âge avancé avec toutes leurs dents en place. Le fait de ne pas y arriver voudrait-il dire que nous avons fait fausse route dans notre croissance individuelle. Et vu que très peu de bouches sont équilibrées, pourquoi pas ne pas avancer l’idée de fausse route dans notre croissance collective ? Bouche, Miroir de l’Homme ?
Avec ce miroir, nous avons donc un reflet de ce que vit ou ce qu’est l’Etre Humain. Cette image, matérielle, que nous percevons avec nos yeux n’est donc qu’une conséquence de la réalité. Si c’est une conséquence, il faut aller chercher la cause. Alors quelle peut être la cause de notre déformation intérieure, notre cataclysme buccal ? Une partie de réponse se devine si on arrive à répondre à la question : qu’est-ce que nous avons vécu qui ne nous a pas convenu et qui nous a fait vibrer négativement ? Cette vibration est une manifestation de notre psycho-affectif qui est venu nous percuter au plus profond de nous-même. La maladie, (ou le mal a dit), a donc bien un sens. Si notre psycho-affectif est responsable, la guérison passe par une re-transformation positive de notre psycho-affectif. Voilà pourquoi la Dentosophie est une auto-thérapie.
Un nouveau questionnement surgit à propos du pourquoi (ou pour quoi en deux mots) des bouches perturbées des enfants. Que viennent-elles nous dire ? Pourquoi le psycho-affectif de l’enfant serait-il déjà en tension ? Comment le sait-il ? Ou le sent-il ? Le débat entre Savoir et Connaissance est ouvert.
La vie est une pièce de théâtre : ce qui compte ce n’est pas qu’elle dure longtemps, mais qu’elle soit bien jouée. Sénèque
Dr Frédéric Tourtel
Figure n°1
Figure n°2
Figure n°3
Bibliographie :
Clausade Michel : Orthoposturodontie
Pelé Jean Michel: En finir avec la perte de vos dents
Planas Pedro: RNO Réhabilitation Neuro Occlusale
Montaud Michel: Nos dents, une porte vers la santé
Montaud Michel : De l’égoïsme à l’Amour
Ruiz Don Miguel : Les quatre accords toltèques
dentosophie.com
Test
Bonjour
Je viens de lire l’article « Bouche miroir de l’homme », et je constate qu’il n’y a pas de figures accompagnantes, alors qu’il y en a au nombre de trois mentionnées dans le texte . C’est vraiment dommage.
Cordialement .