Vous allez bien depuis l’année dernière ? Vous êtes prêt(e)s à encaisser la Saison 3 de « La grande mascarade ? ». A priori, la position des résistants à l’injection forcée devient très inconfortable, si pas de plus en plus intenable. On a un peu l’impression que toutes les issues de secours sont bouchées et que le dernier carré de réfractaires va se retrouver coincé sans pouvoir échapper à la piquouze obligatoire. Face à des lecteurs du Parisien, le voyou qui sert de président à la France vient d’ailleurs de l’avouer sans détour : il s’agit, selon ses propres termes orduriers, d’emmerder jusqu’au bout les non-vaccinés. Et à l’instar de la république covidiste française, les autres pays occidentaux accentuent la pression sur les rebelles par toutes sortes de mesures vexatoires et discriminatoires. À première vue, la situation devient désespérée pour les récalcitrants et on ne voit pas très bien comment le film va se terminer. Mais s’il s’agissait d’un western et si la cavalerie arrivait juste à temps pour sauver les survivants assiégés par les indiens ? Cette métaphore optimiste me paraît de mise et je vous propose d’écouter les bruits de sabot et les sons de clairon qui résonnent.
L’altruisme change de camp
D’abord, il y a la stimulante évolution des discours provax : à part Emmanuel Macron dans ses vœux de fin d’année, qui ose encore prétendre que la vaccination est un geste altruiste et qu’il faut se vacciner pour les autres ? Puisque le vaccin n’empêche pas d’être contaminé et de contaminer autrui, il devient clair pour tout le monde que cet argument ne tient plus la route. Et les grands prêtres de l’église de vaccinologie commencent à s’en rendre compte puisqu’ils balancent eux-mêmes aux orties le dogme de l’immunité collective. Cette dernière, pourtant évoquée comme le Graal durant toute l’année 2020, a même été qualifiée d’illusoire et de « mystique » par le Dr Anthony Fauci, qui est un peu le pape américain de la religion covidiste. En Belgique, c’est le Pr Nathan Clumeck, infectiologue adulé par les médias, qui a fait un sort au mythe de l’immunité de troupeau en proposant de changer la communication et de parler dorénavant des injections comme d’« outils de protection » pour soi et pour les proches fragilisés mais plus comme d’une planche de salut communautaire. L’air de rien, c’est le principe même de la sacrosainte « couverture vaccinale » qui reçoit ainsi une volée de plomb. Mieux : à la faveur de la vague omicron, on entend maintenant des virologues louer la « vaccination naturelle » procurée par l’infection et suggérer que les non-vaccinés jouent un rôle positif dans l’affaiblissement de l’épidémie. Si ça continue dans le même sens, ils vont bientôt décorer les résistants pour avoir refusé la piqûre et permis ainsi, dans un bel élan de bravoure solidaire, d’accélérer la fin du fléau….
Deux fois plus de vaxxés trépassés au Royaume-Uni !
Ce qui pourrait ensuite faire office de rebondissement décisif, c’est la démonstration que le vaccin est un remède pire que le mal. Jusqu’à présent, les vaccinatueurs – non, ce n’est pas une faute de frappe – ont pu bénéficier des failles de la pharmacovigilance et de la sempiternelle « absence de lien causal démontré » entre les produits administrés et les nombreux décès enregistrés. La légère et relative surreprésentation des patients non-vaxxés en hôpital et en soins intensifs leur offre également un alibi en or. Et le trépas récent des deux frères Bogdanoff leur procure encore un supplément de pain bénit. Mais les criminels en blouse blanche ne pourront pas toujours manipuler en rond et s’en tirer à bon compte car il existe un moyen objectif d’évaluer la campagne en cours, à savoir la mortalité globale selon le statut vaccinal. Pour juger l’efficacité de toute intervention médicale, il suffit en effet de prendre patience et de voir si les décès « toutes causes confondues » sont significativement inférieurs parmi les populations ayant subi ladite intervention. Avec un recul suffisant, les chiffres de mortalité générale sont les seuls à pouvoir « parler » dès lors que les deux groupes – vaxxés et non vaxxés – sont bien identifiés. En Grande-Bretagne, ces statistiques sont disponibles et l’ingénieur belge Jean-Luc Guilmot a pris la peine de les examiner attentivement. Selon l’article qu’il a posté sur ce site canadien et selon une analyse déjà publiée le 10 décembre sur le blog de Jean-Dominique Michel, les données britanniques indiquent indubitablement que les vaccins abrègent plus de vies qu’elles n’en sauvent. Quel que soit le nombre de doses, on meurt nettement plus dans le groupe des piqués que dans celui des non-piqués. Dans la tranche d’âge 10-59 ans, il y aurait même une surmortalité deux fois plus élevée chez les injectés ! C’est énorme et ça voudrait donc dire que le vaccin anticovid double le risque de décéder de n’importe quoi chez la plupart des enfants et adultes en bonne santé qui le reçoivent. Certes, ce genre d’observation chiffrée peut facilement être biaisée. En l’occurrence, il se pourrait que les réfractaires jouissaient d’une meilleure santé au départ et/ou qu’ils se sont mieux soignés depuis douze mois. Quand bien même il y aurait un biais, les chiffres anglais montrent que la vaccination ne présente pour eux aucun intérêt. Vous entendez le bruit des chevaux ?
Surmortalité post-vaccinale anormale
L’arrivée de la cavalerie est d’autant plus probable qu’il n’est pas indispensable d’avoir sous la main la répartition des morts selon le statut vaccinal : à elle seule, la mortalité globale est déjà éloquente. Comme l’expose le général Dominique Delawarde dans son dernier rapport, la situation mondiale montre à l’évidence que le vaccin fait pire que bien. Malgré une vaccination de masse menée tambour battant avec plus de 9 milliards d’injections, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020. Partout où elle a été appliquée, la « solution » vaccinale n’a fait reculer ni les contaminations ni la mortalité. Les pays les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie s’en sont d’ailleurs beaucoup mieux sortis que les pays les plus vaccinés. C’est un fait. Et les faits ont l’heureuse manie d’être têtus. Non seulement l’année passée fut tragiquement plus endeuillée en Occident mais les courbes de surmortalité épousent étroitement celles de la vaccination, au point que la responsabilité de la seconde dans la première ne peut plus être éludée. Cocorico, c’est encore un ingénieur belge qui a fait le job. Professeur de biostatistique à l’Université de Liège, le Pr Patrick Meyer a en effet croisé les chiffres de mortalité dans 18 pays européens avec ceux des inoculations dans différentes strates de la population. Pour lui, il ne fait pas un pli que la « variable vaccin » est pertinente pour expliquer l’excès de décès constaté en Europe, et particulièrement parmi les jeunes générations. Son article n’a pas encore été révisé et publié, mais vous pouvez déjà le consulter sur Researchgate en cliquant ici..
Si les textes scientifiques en anglais vous rebutent, allez plutôt visionner la courte vidéo que le jeune chercheur a enregistrée il y a deux jours. Il y résume ses conclusions avec limpidité et il explique aussi, au début de la capsule, pourquoi les chiffres des non-vaxxés en réanimation sont une mystification : vu qu’on ne peut pas mourir deux fois et que le vaccin décime allègrement dans les semaines et mois qui suivent son administration, il est parfaitement logique que la proportion de vaxxés à l’hosto soit plus modeste. Bravo à cet expert universitaire car ses éclaircissements ont la portée d’une puissante sonnerie de clairon !
La frayeur d’un assureur américain
Il y a encore bien d’autres signes annonçant un retournement de situation imminent. Il y a par exemple ces témoignages de tatoueurs et de thanatopracteurs relatant que le sang des vaccinés est plus sombre et plus épais que celui des non-vaccinés, ce qui atteste d’un inquiétant changement de composition du liquide sanguin. Il y a aussi ces résultats d’autopsies qui, selon les médecins allemands Bahkdi et Burkhardt, « donnent des preuves irréfutables du rôle des infections à base d’ARNm dans les décès post-vaccination ». Il y a également ce mini-documentaire édifiant réalisé par la Canadian Covid Care Alliance regroupant plus de 500 soignants : pour eux, il n’est plus permis de douter que les fioles Pfizer blessent et tuent ses « bénéficiaires » bien plus qu’elles ne les protègent. Il y a enfin, et j’en resterai là pour aujourd’hui, les déclarations explosives de Scott Davison, CEO de la grande compagnie d’assurance OneAmerica. Ce big boss s’affole car il a remarqué que sa société fait de très mauvaises affaires: elle doit débourser des millions de dollars imprévus en indemnités suite à de nombreux décès prématurés dans la tranche d’âge 18-64 ans. Selon l’assureur, la mortalité parmi la population active américaine aurait augmenté de 40% par rapport à son niveau pré-pandémique. Variable « covid » ou variable « vaccin » ? Vu que la majorité des causes de décès ne mentionne pas le coronavirus, il y a tout lieu de penser que l’origine de la surmortalité se situe dans les seringues. Et on peut aisément imaginer que d’autres compagnies d’assurances vont prochainement lancer des alertes sanitaires en faisant des constats similaires. Bref, il ne faut pas croire que nous sommes encerclés et que notre scalp pendra sous peu à la ceinture des vaccinatueurs. Le déballage des vérités sur les vaccins létaux va agir comme une cavalerie déboulant en toute fin de scénario. Elle arrive, elle est déjà là.
superbe article,
bon travail,
merci