(Hommage au Dr Soulier)
Stupeur et tristesse. Le décès soudain du Dr Olivier Soulier, jeudi dernier, a suscité une vive émotion parmi la résistance. Il devait fêter ses 67 ans hier. Depuis trois ans, le médecin homéopathe lillois s’était beaucoup investi dans la lutte contre le totalitarisme sanitaire, notamment en animant de nombreuses émissions du CSI (Conseil Scientifique Indépendant) et en impulsant la création du SLS (Syndicat Liberté Santé) pour regrouper et soutenir les soignants suspendus. À travers séminaires et conférences, cet infatigable orateur tentait parallèlement de promouvoir une « médecine du sens » axée sur la symbolique des maladies et une nouvelle compréhension du vivant basée, en bonne partie, sur les découvertes du Dr Hamer. C’est à ce titre qu’ Olivier avait collaboré, dès le début, à l’aventure Néosanté. Il n’avait pas l’écriture facile, le temps lui manquait souvent, mais il nous a quand même offert quelques articles et dossiers que nous sommes fiers d’avoir publiés. En guise d’hommage à cet ami disparu, je vais aujourd’hui diffuser le premier texte signé de sa main et paru dans le n° 3 de notre revue mensuelle, il y a tout juste 12 ans.
Son thème ? L’embryologie, c’est-à-dire la science qui étudie le développement de l’être humain depuis la fécondation de l’ovule jusqu’à sa forme définitive en cours de grossesse. Ce sujet le passionnait depuis qu’il avait reçu, fin des années 80, l’enseignement direct de Ryke Geerd Hamer. Parmi ses fabuleuses trouvailles, le génial médecin allemand avait en effet découvert que les chocs psycho-émotionnels impactent le corps en suivant une stricte logique embryologique. En parfaite synchronicité, les conflits de l’âme affectent le cerveau et les organes qui lui sont reliés selon leur composition et le stade d’évolution auxquels ils correspondent. L’endoderme est la couche la plus primitive (celle des entrailles et de l’appareil reproducteur), l’ectoderme la plus récente (celle de la peau, du système nerveux et des organes sensoriels) tandis que les feuillets mésodermiques, l’ancien et le nouveau, président à la formation des os, des muscles et des glandes. Grâce au Dr Hamer, nous savons maintenant que les maladies sont spécifiques à ces quatre types de tissus et qu’elles ne « débordent » quasiment jamais sur les autres couches puisque leur origine conflictuelle ne concerne que l’une d’entre elles. Dans un même organe, par exemple le sein, il peut y avoir plusieurs feuillets superposés mais seul l’un d’entre eux sera cancérisé. Plus fort encore : les différents micro-organismes (bactéries, champignons, mycobactéries, virus…) se plient également à l’étagement embryologique et ils n’opèrent que dans le champ tissulaire nécessitant leur intervention ! La médecine « moderne » est totalement aveugle à cette merveilleuse logique du vivant dont Olivier Soulier, l’un des premiers, avait cependant saisi l’énorme importance dans l’art de guérir. Non content d’adhérer au nouveau paradigme hamérien, le praticien français avait élargi cette vision révolutionnaire en étudiant le symbolisme du corps humain auprès de la psychanalyste Annick de Souzenelle et du trop méconnu François Dor, spécialiste des mythes et de leur rapport avec l’embryogenèse. L’article reproduit ci-dessous reflète l’influence conjuguée de ces trois voies de connaissance.
Avant de céder la place au médecin trop tôt décédé, j’adresse un petit mot aux lecteurs qui m’ont demandé d’apporter un éclairage psychobiologique sur sa disparition, comme je l’ai fait en son temps pour Guy Corneau, emporté lui aussi par une affection cardiaque. Il est vrai que le sens de l’infarctus ne m’est pas étranger et que je dispose d’informations me permettant de conjecturer ce qui lui est arrivé. Olivier me lisait tous les mercredis, me gratifiait souvent de ses commentaires et il nous arrivait fréquemment d’échanger sur des sujets divers. Il y a trois semaines, il avait encore réagi à l’un de mes billets et il souhaitait m’en parler. Je n’ai pas répondu assez vite à son message et je le regrette vivement car ce partage lui aurait peut-être permis de décharger ce qu’il avait sur le cœur. Bien évidemment, sa crise cardiaque fatale n’est pas le fruit du hasard ou de la fatalité. Elle résulte de fragilités et de souffrances intimes, d’incohérences aussi, que je pourrais rendre publiques afin d’aider celles et ceux qui sont à risque de somatiser la même problématique. Dans l’immédiat, je vais toutefois m’abstenir de commenter le départ du Dr Soulier. Ce n’est pas le moment. Le temps est à présent au deuil, au recueillement et aux hommages. Je m’associe à ceux qui ont déjà été rendus, comme celui-ci, celui-ci ou celui-là. Et je vous dis à plus tard pour essayer de décoder les raisons de sa mort subite et prématurée.
Yves RASIR
La vie à la lumière de L’EMBRYOLOGIE
Dans le nouveau paradigme médical, le sens des maladies et le sens de la vie n’en forment qu’un. Et comme celle-ci débute avec la conception – ou même avant, selon certains -, il est logique que son sens profond se révèle déjà depuis le tout début, dès les premiers instants de la fécondation et dès le développement de l’embryon. Passionné d’embryologie, le Dr Olivier Soulier a découvert dans les prémisses du séjour utérin des clefs de compréhension de l’être humain : chaque individu rejoue l’histoire de l’humanité et ses cellules gardent en mémoire les solutions propices à son accomplissement tant physique que psychique et spirituel. En prélude à son séminaire parisien, le médecin français nous dévoile quelques-uns des merveilleux secrets du commencement de la vie.
Par le Dr Olivier Soulier
L’embryologie est la science qui étudie le développement de l’être humain depuis sa conception jusqu’à sa naissance. Longtemps considérée comme une science obscure, elle a commencé à être redécouverte avec les travaux des vingt dernières années sur l’importance de la vie intra-utérine. Des livres comme “ Naître “ de Lars Nielsen, avec ses photos de fœtus pendant la grossesse, nous ont fait découvrir avec émerveillement le développement de l’enfant. L’embryologie nous révèle des secrets extraordinaires pour la compréhension de notre être et de notre fonctionnement. Notre vie peut nous paraître compliquée, notre corps complexe, mais à l’origine, tout est simple. Au travers de l’embryologie, la vie se déploie dans une claire logique. Tout était simple avant d’être compliqué. Par cette voie, tout peut retrouver la simplicité et l’évidence. Reste le chemin.
Les trois couches embryonnaires
Le fœtus est constitué de trois couches. Chacune d’entre elles a ses spécificités et correspond à un stade de l’évolution des espèces et des êtres humains. Elles se surajoutent les unes aux autres, marquant l’évolution et la complexification progressive des espèces.
– L’endoderme (qui donne utérus et tube digestif) c’est notre survie, la structure présente chez le ver de terre.
– L’ectoderme (qui donne système nerveux, peau et organe des sens) est notre vie relationnelle et relationnellement sexuée : la forme la plus évoluée de notre vie.
– Le mésoderme (qui donne os, chair, muscles et glandes) est notre interface et notre adaptation. La mise en actes et en mouvements de notre vie.
Mais il est possible d’aller encore beaucoup plus loin. L’embryologie devient alors une source extraordinaire d’informations pour nous.
Dès le commencement, tout a un sens
Je vais prendre quelques exemples pour vous permettre de rentrer dans cette grande aventure.
– Quand le spermatozoïde et l’ovule se rencontrent, ils sont tous les deux habillés de couches protectrices et ils doivent se déshabiller pour la pénétration.
– L’ovule est rond, sans sens ni direction. Un ballon parfait. Il se polarise dès la rencontre avec le spermatozoïde. Le côté de pénétration devient le pôle animal. Immédiatement se regroupent de l’autre côté les globules polaires (issus des premières divisions menant à l’ovule, c’est un patrimoine chromosomique qui ne forme pas de prime abord le futur œuf. C’est aussi le symbole de l’aspect caché et non accompli du féminin, inspirateur de Mythe de Lilith). Cela devient le pôle végétal. Le spermatozoïde donne ainsi un sens à l’ovule parfaitement rond.
– Puis l’ovule fécondé fait son voyage dans la trompe, et se multiplie sans augmenter de taille à l’intérieur d’une membrane pellucide. Cette trompe est comme ces images des machines à remonter le temps. Ce cône est décrit en sens inverse dans une forme lumineuse comme l’aspect de la mort vu par les personnes qui ont fait des expériences de NDE (états de mort clinique dans les accidents et les comas dépassés ; Near Death Experience, voir les travaux très sérieux du psychiatre américain le Dr Moody). La vie commencerait et se finirait en fait par deux trompes. Une qui concentre l’énergie et une autre qui vous emmène plus loin. Cornes d’abondance.
– Une fois arrivé dans l’utérus, l’ensemble cellulaire quittera cette “ paix lucide “ protectrice pour atterrir en forme d’amas non formé dans la paroi de l’utérus.
Mémoire d’abondance
Continuons nos découvertes. Cette paroi de l’utérus est tapissée d’un endomètre dont les cellules les plus superficielles (dites déciduales), au moment de la nidation, se remplissent littéralement de glycogène (forme de stockage de sucre), et fusionnent pour former une couche compacte en surface. Concrètement, l’œuf atterrit dans une couche de sucre.
Nous avons tous en nous cette mémoire d’une abondance, où nous baignions dans la nourriture. Souvenir d’un paradis terrestre. Mémoire qui doit certainement jouer dans toutes les formes de dépendances affectives et alimentaires. C’est la première phase de la vie terrestre. Il nous faudra ensuite apprendre à intégrer en nous cette capacité à générer nous-mêmes nos propres sources d’énergie. C’est le coup d’envoi du chemin qui nous mène de l’abondance extérieure à l’autonomie intérieure. Au départ de la vie, dans les formes les plus primaires de vie, il n’y a qu’un feuillet puis apparaît le deuxième, puis se forme le fameux feuillet tridermique, point de départ de la forme animale et humaine.
L’embryologie résume l’histoire du monde
La première idée serait de penser que toutes les espèces vivantes animales sont assez, voire très différentes. Que leur genèse a des origines et des formes très spécifiques. Mais en fait, un œuf fécondé, vu aux premiers stades, a le même aspect, qu’il soit destiné à donner un poisson, un oiseau, un mammifère ou enfin, un être humain. Mieux encore, c’est ce même point de départ de vie, qui (au stade d’ un seul feuillet) peut donner une paramécie, ou une algue.
– Puis, si au lieu de se développer directement, il se sépare pour donner sans délai le départ d’un deuxième feuillet, il va donner une étoile de mer et un oursin.
– Puis, si au départ du deuxième feuillet naît un troisième, alors c’est la lignée des poissons, des oiseaux et des mammifères.
L’Homme descend de l’algue
C’est simplement le même processus qui se prolonge plus loin de façon plus complexe et complète. L’embryon humain se différencie des algues vers le 6ème jour ; des oursins et des étoiles de mer, vers le 12ème jour, et des larves vers le 15ème jour. Il restera semblable aux poissons et aux amphibiens jusqu’au 17ème jour. Il ne prendra une forme spécifique de mammifère que vers le 19 – 21ème jour. Ce n’est que progressivement qu’il se différenciera de l’aspect des mammifères supérieurs en perdant sa queue et prenant l’aspect définitif d’un être humain, vers 7 à 8 semaines. Dans son développement utérin, l’être humain rejoue toute l’histoire de l’humanité depuis son début.
Cela veut dire que chaque grossesse reprend et résume à la fois l’histoire humaine, la croissance et le développement des individus (ou ontogenèse) et l’histoire de la filiation de toutes les espèces, l’évolution des organismes vivants (ou phylogenèse), pour arriver à l’être humain.
C’est toute l’histoire du monde qui se refait à chaque nouvelle vie.
Résumé de solutions
Une vie humaine n’est donc pas seulement un pas de plus dans le monde, mais toute la vie qui se refait depuis le début pour chaque nouvel être. Puis, en fin de constitution, vient le pas décisif : chacun vivra sa propre vie. Cela veut dire que nous portons en nous toute l’histoire du monde, depuis le début. Plus encore : nous la connaissons, car notre conception nous l’a fait retraverser. Toute cette mémoire est portée par les chromosomes qui nous viennent de la nuit des temps, porteurs de tout ce que les êtres humains ont pu expérimenter pour devenir ce que nous sommes aujourd’hui. Ces chromosomes ont traversé toute l’histoire, transmise comme un bâton de relais de génération en génération. Quoi d’étonnant que nous ayons parfois des souvenirs “ historiques “ de ce que nos chromosomes ont vécu antérieurement ?. Leur programme ressert à chaque fois, toujours un peu plus perfectionné. Mais il en est à son énième usage. De ce fantastique chemin, issu de l’animal vers l’humanité, nous avons gardé de nombreux modes de fonctionnement animaux, autant de modes et de réflexes de survie. Quoi d’étonnant, par exemple, que les problèmes de vessie nous informent sur un problème de marquage sexué du territoire ? Sur ces couches successives, nous avons construit l’histoire et nous sommes le résumé des solutions gagnantes de la vie.
Le cœur et la sexualité
Ces deux dimensions ont une place à part. Nous sommes en quelque sorte tendus entre ces deux aspects de notre vie. Leur embryologie est à ce titre bien révélatrice.
– Les cellules qui vont donner le cœur et les cellules reproductrices sont toutes les deux “ extra embryonnaires “ ou “ extra corporelles “. Cela veut dire qu’elles viennent d’une partie de l’œuf qui ne formera pas le futur enfant (mais qui formera les annexes : placenta, membranes et cordon). Ces cellules issues de “l’extérieur” vont migrer vers l’enfant au cours de la grossesse (c’est le “va quitte ton pays” de la bible). Elles sont les pèlerins de l’histoire du monde qui vont rejoindre le nouvel être pour lui apporter les données des forces essentielles de la vie.
– Les cellules qui vont donner la base des ovocytes et des spermatozoïdes migrent en venant de l’allantoïde, racine du cordon ombilical, qui à cette époque n’est pas implanté sur le ventre mais plutôt à notre racine, près de notre “ queue “ (car à ce stade nous avons une queue comme les dinosaures).
C’est-à-dire que notre génitalité nous vient de notre cordon, de notre base, de nos origines.
– Les cellules qui vont donner l’ébauche cardiaque sont au départ devant notre tête, aussi bizarre que cela puisse paraître. Au début de notre vie, nous avons notre cœur devant nos yeux. Que d’enseignement et de sagesse aurions-nous si nous pouvions ne pas l’oublier et si cela guidait notre vie ! Puis, secondairement, il va en quelque sorte se replier et passer devant notre face pour rentrer dans notre poitrine. La crosse de l’aorte est, dans sa forme de “crosse” repliée à 180°, le témoin de cet axe qui s’est replié pour s’intérioriser. Dans les photos de fœtus vers 5 – 6 semaines, on voit bien encore le cœur devant les yeux. Que de mémoires de cœur qui sortent de la poitrine dans les émotions ! Que de programmes en ce cœur qui doit guider notre chemin et notre vie ! Car au commencement tout était clair, ce n’est que secondairement que les choses se sont compliquées et que nous pouvons perdre notre sens. Nous sommes tendus entre la sexualité à la source et le cœur devant les yeux. Dans cette ébauche cardiaque se trouve aussi l’ébauche du foie. Puis, lors de l’entrée dans la cage thoracique, le foie est séparé du cœur par le diaphragme pulsateur de la vie. Autour du diaphragme se trouvent le foie (symbole de la famille matérielle et de la peur de manquer) en dessous, et le cœur (symbole de l’amour à l’état pur) au-dessus. La respiration, seule fonction végétative consciente, nous permet de rythmer les équilibres entre ces deux grandes forces.
Des mémoires d’oiseau
Les cellules du sang ont aussi une origine particulière. Elles viennent de la poche vitelline. Il y a deux types de placenta. Ils sont issus des grandes poches qui sont sous le ventre des embryons. Chez les oiseaux, c’est la partie la plus haute ou poche vitelline (“vit tel un “ ) qui se transformera en placenta et nourrira le futur oiseau. C’est de cette poche que viennent nos cellules sanguines. Elles portent en elles des mémoires d’oiseaux. Elles nous permettent logiquement de capter l’oxygène de l’air… dans lequel volent les oiseaux. Chez les mammifères et les humains, cette poche s’atrophie et c’est une partie plus basse, l’allantoïde, qui se développe pour former le placenta. Si les oiseaux sont branchés sur le ciel, nous, humains, sommes branchés sur la terre. Au commencement tout est clair. Le placenta, organe fondamental de la vie in utero, va totalement disparaître à la naissance. Quelle particularité qu’une partie aussi fondamentale de nous disparaisse, emportant avec elle les mémoires de tout ce qui a été vécu. Toutes les expressions des maladies peuvent aussi être revues au travers de la genèse des organes.
La mémoire du transgénérationnel
Elle peut aussi très bien s’expliquer dans la compréhension du début de la vie. La cellule ovogonie va se diviser par deux fois pour donner l’ovule (qui sera fécondé par le spermatozoïde). Ce processus de double division s’étend d’une génération de femme à l’autre. Il commence chez une femme, dans le ventre de sa propre mère vers 6 semaines, s’arrête en route, tout en restant “ chromosomes ouverts “, c’est-à-dire susceptibles de capter tout le vécu. Il se terminera pour la première division lors de l’ovulation. Cette première phase aura capté et intégré tout ce que la femme a vécu de sa conception jusqu’à son état de femme fécondable. La deuxième division commence à l’ovulation et se termine avec la pénétration du spermatozoïde. Elle capte tout le vécu de la rencontre, de la séduction, du choix du partenaire et de la réunion des désirs. Les affinités de cerveau à cerveau, tout ce qui va faire le programme de la géniale logique transgénérationnelle. Que de mémoires! il est alors facile de comprendre la base des expressions transgénérationnelles et des intentions de conception.
Les mémoires émotionnelles cachées dans le ventre
Pendant la vie intra utérine, il existe plusieurs circulations de sang. L’essentiel des échanges se fait sous le diaphragme, au niveau du cordon. Le foie recevant un sang beaucoup plus oxygéné que le cerveau. Beaucoup d’émotions se vivent là sans jamais repasser au-dessus, dans une zone plus consciente. On sait aussi aujourd’hui que le tube digestif contient des centaines de millions de cellules nerveuses et sécrète autant de neurotransmetteurs que le cerveau. C’est lui qui sécrète la plus grande partie de la sérotonine (neurotransmetteur de la sécurité, cible d’action de tous les antidépresseurs). Un véritable cerveau dans le ventre ! Un cerveau qui se programme dans la grossesse en zone non consciente et continue à influencer notre vécu. Plus encore, c’est dans le ventre que se fera la grossesse à la génération suivante. Cela veut dire que de nombreux vécus se transmettent d’une génération à l’autre sans jamais passer au stade conscient.
J’ai voulu, dans ces quelques exemples vous montrer la formidable richesse de l’embryologie. Chaque stade peut être une véritable mine de découvertes sur nous-mêmes et sur notre vie intérieure. En guise de conclusion, j’ai très envie de raconter l’histoire des jumeaux qui sont dans le ventre de leur mère et qui discutent. “Crois-tu qu’il y a une vie après la grossesse ?” dit l’un. “Je ne sais pas, lui répond son jumeau, personne n’en est jamais revenu”…
(article paru dans le Néosanté n° 3, juillet-août 2011)
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Parmi les contributions du Dr Olivier Soulier à Néosanté, il y a une interview réalisée en 2012 sur la sclérose en plaques, sujet dont il était incontestablement l’un des meilleurs décrypteurs. Il y a aussi un dossier publié en 2014 sur « le sens des désirs alimentaires », qui était également l’un de ses thèmes de prédilection.
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