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Yves Rasir

Dans sa dernière vidéo, le statisticien Pierre Chaillot dresse le bilan final de la grande mascarade. Après quatre ans, il est en effet possible de faire le décompte de la « terrible pandémie » qui est d’ailleurs officiellement terminée. Il manque encore quelques données de l’année 2023 mais leur arrivée dans quelques mois ne va pas significativement influencer les résultats. Ceux qui ont lu le livre de Pierre, suivi sa chaîne ou découvert ses analyses dans Néosanté n’auront évidemment pas appris grand-chose : dans les chiffres de mortalité, Il n’y a pas trace d’une quelconque catastrophe sanitaire. Une fois standardisées, c’est-à-dire en tenant compte de la croissance démographique et du vieillissement de la population, les statistiques de décès ne montrent rien d’anormal. Il y a bien une brève surmortalité en mars-avril 2020 mais ce pic provient de décès qui n’ont jamais été déclarés covid-19 et qui peuvent en totalité provenir des interventions humaines et non d’un virus tueur. Quant à la dite « seconde vague », elle coïncide clairement avec la campagne de vaccination antigrippale et avec le regroupement abusif de toutes les pathologies hivernales sous la même étiquette diagnostique. Si le prétendu fléau infectieux n’a pas rempli les cimetières, il est en revanche certain que sa « seule solution » en fioles a fait beaucoup de morts en 2021 et 2022. Pierre Chaillot montre que les campagnes de vaccinations anti-covid sont invariablement suivies d’un excès de décès dans les tranches d’âges concernées, ce qui exclut formellement un effet du hasard. J’ai demandé à Pierre d’approfondir le sujet et d’expliquer ses méthodes de calcul. Dans l’article qu’il a rédigé pour nous (lire ci-dessous), il évalue entre 225.000 et 360.000 le nombre de victimes de la piquouze dans l’Europe des 27.  C’est bien sûr énorme, c’est une tuerie de masse assimilable à un génocide, mais ce n’est pas l’effroyable hécatombe annoncée par certains virologues affolés par le phénomène de fuite immunitaire, l’apparition de nouveaux variants ou la production incontrôlée de protéine Spike par les vaccinés. Où est par exemple « l’épidémie hors de contrôle » prophétisée par le très alarmiste Geert Van Den Bossche ? Depuis que l’injection expérimentale ne fait plus recette, les courbes de mortalité s’aplatissent et l’année 2023 fait même figure d’excellent millésime. Moralité : qu’ils soient covidistes ou dans notre camp, les scientifiques pasteuriens se trompent systématiquement ! Au final, la triple conclusion qu’on peut tirer des années covid confirme ce que soutient Néosanté depuis 4 ans : 1) Si virus il y a, il est dénué de pathogénicité ; 2) A fortiori, ce faux pathogène n’est pas une arme biologique dotée d’un pouvoir létal ; 3) Les vaccins ne contiennent pas non plus de bioparticules meurtrières, leur toxicité éphémère étant due à leurs adjuvants déclarés, aux nanocapsules lipidiques véhiculant l’ARN et probablement à d’autres composants chimiques inavoués. Certes, comme l’écrit Pierre à la fin de son texte, la vaccination anti-covid a consisté à « jouer à la roulette russe avec un énorme barillet». Il est non moins évident que le virus couronné a servi de ruse pour inoculer un maximum d’êtres humains avec les produits américains. S’ils n’ont pas été conçus pour dépeupler, il reste à en dévoiler la vraie finalité.

Yves Rasir


Vaccins anti-covid : combien de morts ?

Par Pierre Chaillot

En décembre 2023, les travaux que nous avons menés avec Patrick Meyer, chercheur en bioinformatique à l’université de Liège, ont été relus par nos pairs et présentés lors de la 7e Conférence internationale sur la biologie computationnelle et la bioinformatique. Désormais, même le monde de la recherche “conventionnelle” a reconnu que des vagues de mortalité ont accompagné les campagnes de vaccination anti Covid-19. Dès janvier 2022, Patrick Meyer avait diffusé un préprint pour tirer la sonnette d’alarme. Il avait constaté, comme beaucoup, que les décès des jeunes européens compilés par Euromomo, ont commencé à dépasser régulièrement la zone de surmortalité à partir de l’été 2021. Il a alors récupéré les données et lancé une analyse à l’aide des méthodes habituelles qu’il utilise pour travailler. Pour faire simple, il a tenté de produire un modèle de prédiction du nombre de décès total, chaque semaine, à l’aide du nombre de décès du passé et du nombre de décès Covid déclarés. Il s’agit de faire comme si les nouveaux décès à partir de 2020 étaient les mêmes qu’auparavant, auxquels s’ajoutent les fameux “décès Covid”. Il a ensuite ajouté au modèle le nombre de doses de vaccins injectées à la population pour constater que cette variable était significativement corrélée au nombre de décès total, mais pas dans le sens attendu : plus on vaccine les gens, et plus ils meurent, particulièrement chez les plus jeunes. Cette découverte lui a, bien évidemment, valu son lot de problèmes et d’attaques de la part des médias, politiques et “confrères” inféodés à l’industrie pharmaceutique. Je l’avais alors contacté pour lui présenter mes travaux, de nature différente, mais menant aux mêmes conclusions, afin d’envisager une collaboration.

Presque deux ans plus tard, le fruit de cette collaboration a été reconnu (non sans mal) de manière officielle. Oui, les gens meurent quand on fait une vaccination de masse, et cela se voit statistiquement : 

  • les pics de décès et de vaccins sont synchrones, bien trop souvent pour que cela soit dû au hasard
  • les pics de décès au sein d’un même pays divergent selon les tranches d’âges

Ainsi, on vaccine d’abord les plus âgés, et on obtient un pic de décès des plus âgés, et quand on vaccine 4 mois plus tard les plus jeunes, on obtient un pic de décès chez les plus jeunes. Les pics de mortalité ne peuvent donc avoir comme cause une épidémie. Impossible de se cacher derrière un “nouveau variant du Covid” qui serait à chaque fois spécifique à une tranche d’âge !

Comment estimer le nombre de décès dus au vaccin ?

La source qui devrait faire référence pour la sécurité des médicaments est la pharmacovigilance. Dans un monde idéal (ou plutôt presque idéal, sinon on n’aurait pas besoin de vérifier la sécurité des médicaments après leur distribution), la pharmacovigilance devrait être proactive. Il devrait exister un système prenant des nouvelles des patients après la prescription d’un médicament, au moins pendant les premiers temps suivant sa mise sur le marché. Au lieu de cela, il existe un système passif, que presque personne ne connaît, et pour lequel il est extrêmement long et fastidieux de déclarer le moindre événement. Avec l’esprit mal placé, on imaginerait presque que c’est fait exprès ! Lors de ma dernière conférence, une personne non-voyante du public a témoigné que son médecin traitant avait refusé de déclarer les effets indésirables qu’elle a subis après sa vaccination anti-Covid, arguant que “c’est trop long”. On comprend pourquoi la vaccination est réputée être une pratique parfaitement sûre : quand ça se passe mal, on ne déclare rien.

Malgré ces difficultés, on pouvait compter mi 2023, sur le site addreports (qui recense les données de pharmacovigilance pour l’Europe), plus de 36 000 décès déclarés comme effets indésirables après une vaccination anti-Covid-19. Aux États-Unis, la situation est la même. Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) propose de consulter de manière très transparente tous les effets indésirables remontés à la pharmacovigilance pour tous les vaccins depuis 1990. En 30 ans de vaccinations hors vaccins Covid-19, 3 700 décès de patients ont été remontés à la pharmacovigilance américaine… En seulement deux ans et pour les seuls vaccins Covid-19, 14 000 décès de patients sont déjà remontés. A ce titre, les agences de santé, comme les politiques, les médias et l’industrie pharmaceutique, répètent à l’envie “pour aucun de ces décès on ne peut prouver que le vaccin est bien la cause”. C’est exact. Il y a des décès tous les jours, avec ou sans vaccin. Personne ne peut prouver scientifiquement que c’est bien le vaccin qui a tué. Même si le vacciné était jeune et en bonne santé juste avant sa piqûre, on ne peut qu’avoir un soupçon légitime. 

Mais rappelons-nous les coefficients multiplicateurs à appliquer pour approcher la réalité. Selon la déclaration de Berlin sur la pharmacovigilance, seuls 2 à 5 % des effets

indésirables sont réellement déclarés ; selon le LEEM (Les entreprises du médicament), la proportion est de 5 à 10 %. Cela signifie qu’en signalant un mort à la pharmacovigilance, Big Pharma et les agences de sécurité vous répondront : “vous ne pouvez pas prouver que c’est le vaccin qui a tué”, mais dans le même temps “ce mort remonté représente au moins 10 morts dans la population totale”. C’est la politique du “en même temps” appliquée à la pharmacovigilance. Une simple “règle de 3”, en utilisant le facteur “10 %”,  estime le nombre de décès dus au vaccins à 360 000 en Europe et 140 000 aux États-Unis, en écrasante majorité de début 2021 à fin 2022. Sur cette période de 2 ans, il est décédé 10,4 millions de personnes dans l’Europe des 27 et 6,8 millions de personnes aux États-Unis. Les décès imputables aux vaccins selon la pharmacovigilance représentent entre 2 et 3% des décès. C’est énorme mais c’est aussi quasiment invisible pour un observateur classique : avez-vous eu connaissance de 100 décès ces deux dernières années ? Si non, la probabilité est très faible pour que vous puissiez réellement connaître un décédé du vaccin. Le nombre de décès est, certes, massif, mais ce n’est pas une hécatombe.

Une autre méthode pour envisager le nombre de décès imputable aux vaccins est de suivre l’évolution du nombre de décès semaine après semaine, pour détecter les anomalies de mortalité. Cela suppose de créer un modèle (qui sera toujours discutable) d’estimation du nombre de décès attendus chaque semaine. On calcule alors la différence entre le nombre de décès attendus et le nombre de décès observés pour savoir s’il y en a trop (ou pas assez). Si le modèle fonctionne et qu’il n’y a pas d’événement majeur impactant la mortalité, cette différence devrait osciller autour de 0, semaine après semaine, sans logique identifiable. Pour créer le modèle, nous utilisons le taux de mortalité hebdomadaire entre 2013 et 2018, et nous reportons sa tendance linéaire sur les années suivantes. Nous pouvons également récupérer le nombre de vaccins distribués par semaine, par tranche d’âge, pour de nombreux pays pour vérifier s’il y a une concordance entre les deux. Pour cette donnée, la semaine correspond à celle de remontée des données. Il y a donc quelques jours ou semaines de décalage expliquant pourquoi parfois le pic de décès semble précéder le pic de vaccins.

Par exemple, pour les 50-59 ans en Pologne, comme pour quasiment toutes les tranches d’âge en Europe, l’année 2019 présente une sous-mortalité. L’hiver est particulièrement doux, la hausse de décès concomitante à la baisse des températures est bien plus faible que d’habitude. Ensuite, nous observons 3 périodes de surmortalité. La première fin 2020 a été attribuée au “Covid-19”. On note qu’elle a lieu pile pendant la période de vaccination antigrippale, dont les effets indésirables courants (toux, fièvre, fatigue intense…) sont ceux du Covid-19.  Les mauvais traitements (ou l’absence de traitement) infligés aux personnes (notamment âgées) ainsi catégorisées suffisent à expliquer ce bond. Le deuxième pic de surmortalité a lieu exactement pendant la première vague de vaccination anti-covid. Le troisième pic pendant la vague pour la dose de rappel anti -covid et le classique vaccin contre la grippe. La 4e dose en Pologne (comme partout dans le monde) n’a pas eu le succès escompté.

Cet exemple a l’intérêt de montrer que la mortalité retombe à des niveaux habituels voire bas à partir de 2022 et 2023 (l’année 2023 est incomplète). Cela signifie que l’excès de décès calculé en 2021 (plus élevé que celui de 2020, malheureusement pour les ténors de la théorie du virus tueur) n’est pas dû au modèle. Il aurait pu arriver que le modèle se mette à diverger de la réalité et à sous-estimer les décès attendus, expliquant les courbes de 2021. Le retour à la normale est une preuve supplémentaire de l’imputabilité des morts aux vaccins.

Pour la tranche des 50-59 ans en Pologne, il y a 6400 décès en trop pendant les 52 semaines qui ont suivi la première campagne de vaccination début 2021. C’est 3300 de plus que la période précédente dont on a accusé le “virus du Covid” d’être responsable de la mortalité de fin d’année pendant qu’on vaccinait contre la grippe, et 5500 de plus que l’année suivante ou la mode de la vaccination anti covid s’est arrêtée. On ne sait pas distinguer l’impact de la vaccination anti Covid seule parmi l’ensemble des mauvais traitements infligés. Les statistiques nous donnent une fourchette entre 3000 et 5000 pour cette tranche d’âge.

Pour estimer les dégâts en Europe, nous avons réalisé ce travail pour les 22 pays fournissant ces deux types de données, représentant les ¾ des décès de l’Europe des 27. Nous avons ensuite synchronisé toutes les campagnes vaccinales pour chaque tranche d’âge, afin de mesurer la mortalité pendant 52 semaines consécutives sur les différentes périodes suivant la vaccination.

La variation de décès des plus de 80 ans est très importante. Même si la vaccination a emporté son lot de personnes âgées (les liens entre pics de décès et pics vaccinaux sont évidents), la rigueur des hivers, des canicules, et surtout les mauvais traitements infligés pendant la crise Covid (notamment le palliatif en lieu et place du soin) ont un impact bien plus important que les vaccins. La population qui meurt le plus (et qu’on vaccine le plus) est celle pour laquelle on mesure le moins bien le lien entre les deux.

La situation est un peu similaire pour les 70-79 ans qui ont autant souffert de la panique Covid que du vaccin en lui-même. Le retour à la normale concernant la mortalité (en 2023, on semble se diriger vers un score proche de 0) est un fort indice de causalité. Si on se réfère à l’année 2022, on pourrait approcher les 100 000 victimes sur deux ans.

Les tranches d’âge entre 25 et 69 ans sont les réels témoins de la surmortalité vaccinale. Le pic de décès a été observé en plein pendant la campagne. Ils ont moins souffert de la panique de 2020 (du point de vue de la mortalité) et la mortalité retombe une fois que l’on cesse de les vacciner. De la même manière, 70 000 victimes en deux ans pour être une estimation raisonnable.
La tranche d’âge des 15-24 ans n’accuse aucune surmortalité liée au virus tueur. La surmortalité ne démarre qu’après la campagne de vaccination. Toutefois, il est difficile de mettre un élément causal puisqu’on ne distingue pas de retour à la normale. On peut accuser le modèle de diverger avec la réalité. Quoi qu’il en soit, le nombre retenu reste faible au regard des autres. Ainsi, entre 25 et 79 ans, sur ces 22 pays, nous observons 170 000 décès anormaux en lien avec les campagnes de vaccination. Cela pourrait faire 225 000 décès dans l’Europe des 27. En ajoutant ceux des plus de 80 ans que nous n’avons pas estimés, on se rapproche des 360 000 de la pharmacovigilance.

Halte au délire paranoïaque

La vaccination anti-Covid n’est qu’une des nombreuses escroqueries de l’industrie pharmaceutique. Parmi les dernièress, le scandale des opioïdes est reconnu comme ayant causé plus de 500 000 décès en 20 ans rien qu’aux États-Unis. Il aura fallu un changement temporaire d’oligarchie avec l’arrivée de Trump au pouvoir pour que l’affaire finisse par éclater. Rappelons toutefois, pour équilibrer les choses, que c’est l’administration Trump qui a lancé l’opération Warp Speed, offrant des milliards de dollars aux laboratoires pharmaceutiques et un blanc-seing pour qu’ils “trouvent un vaccin contre le Covid”. La lutte contre l’escroquerie pharmaceutique semble avoir une trêve en période électorale. Ces laboratoires ont attendu la fin de l’élection avant de dévoiler leurs résultats, qui auraient probablement favorisé Trump à l’époque. La vengeance est un plat qui se mange froid. En Europe, aucun changement d’oligarchie n’est visible à l’horizon. Il faut continuer de se battre, mais surtout pour éviter de vivre une nouvelle arnaque de ce type, voire pire.

Enfin, les excès de mortalité les plus visibles ont eu lieu dans les quelques jours suivant la vaccination. C’est la raison pour laquelle on considérait les gens comme non-vaccinés pendant les 15 jours suivant leur piqûre. Cela évite de constater la bosse. Une fois cette période passée, on a observé quelques mois d’une surmortalité faible. L’imputabilité du vaccin est quasi certaine au vu du nombre de décès remontés en pharmacovigilance, de personnes en bonne santé décédées subitement. On soupçonne des dégâts importants liés à la vaccination, qu’un autre événement a pu rendre fatals. On rappelle le grand nombre de sportifs ayant subi des arrêts cardiaques les mois suivant la vaccination par exemple. Cette période semble révolue. Les  plus abîmés et les plus fragiles sont malheureusement décédés, mais chez les autres les corps se réparent. Au vu des chiffres, il semble déraisonnable de passer d’une panique à une autre en voulant lancer de grands dépistages à effets indésirables invisibles. Le malade asymptomatique Covid est le même délire paranoïaque que le malade asymptomatique vacciné. La vaccination anti-covid était une roulette russe (avec un barillet énorme, ne l’oublions pas), et pour les très nombreuses personnes qui ont passé l’épreuve sans dégâts, le meilleur conseil à leur donner est tout simplement : arrêtez de jouer !

Un commentaire

  • Jean-Marie GLANTZLEN dit :

    Intéressant, mais pourquoi continuer de parler de “vaccin”, un concept adulé par les ignorants et autres mougeons dont le grand prêtre jurassien n’a jamais cherché un traitement contre sa rage de se faire mousser que ce soit sous le second empire comme sous la III° république ?

    Alors qu’il s’agit pour le pire d’ IGE(injections géniques expérimentales) fabricant dan ce cas des HGM (Humain génétiquement modifié) ,et aussi, effectivement, d’autres types d’injections, y compris peut-être ” d'”eau” (mais payée au prix fort) avec la complicité d’Ursula

    Sous le clavier ou dans la bouche des “complotistes” ça n’était pas et ça n’est toujours pas didactique parce que le culte vaccinale est planétaire et doit être combattu.

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