Skip to main content
decodage

L’ALLERGIE

Par 1 mai 2011juin 7th, 20232 commentaires

Quel est le bio-décodage de l’allergie ? C’est très simple :

– L’allergie, c’est le conflit du souvenir de l’ambiance et du décor de la première fois.
– Il n’y a pas d’allergie sans choc préalable.
– Selon le type de ressenti à l’instant du choc, une zone du cerveau et du corps vont se décoder.
– Exemples :
o conflit de séparation, avec un animal, un lieu, etc. : décodage au niveau de la peau (épiderme) : eczéma ;
o séparation avec soi-même et agression : psoriasis.
o si aspect de peur : la trachée, le larynx
o si angoisse « ça sent mauvais » : les sinus, rhume des foins.
– L’intention positive est double :
o Être séparé du mal-être,
o Être en contact avec le bien-être.

2 cas de figure

1 l’allergène = danger
1/à l’instant du CHOC, notre esprit inconscient associe un ou des éléments présents dans l’environnement.
Exemple : une femme agressée dans le noir, en hiver, par un homme barbu, chauve, à lunettes, et parfumé, aura peur dès qu’elle rencontrera un homme barbu et chauve et à lunettes et dans le noir ; ou se sentira apeurée dès qu’elle sera dans le noir ; ou se sentira en danger en face de tous les hommes barbus, ou de tous les chauves, ou de tous les « lunetteux », ou de tous les hommes…
Cet élément (l’allergène) sert de signal de danger, comme l’homme préhistorique arrivant dans une clairière en automne où il fut agressé par un lynx, l’année précédente. Son inconscient biologique (psychisme, cerveau, organe) s’en souvient et il n’a pas, lui, besoin de s’en souvenir. Cela libère son esprit conscient pour d’autres taches.

2/lorsqu’un ou des éléments du CHOC (rail) se représentent, immédiatement la triade (psycho-cérébro-organique) passe en sympathicotonie, en phase de survie, de stress.

3/s’il ne se passe rien (ce qui est le plus courant : si le nouveau barbu ne l’agresse pas) la triade passe en vagotonie : c’est
l’allergie proprement dite (rhinite, eczéma, inflammation.). Dès le CHOC apparaît une courte sympathicotonie, et le patient passe tout de suite en vagotonie ; les deux phases se chevauchent.

2 l’allergène = salut  !
Mlle W. n’a plus son petit chat, son père excédé durant la nuit l’a « perdu » à 50 km de la maison. Au matin, l’enfant l’appelle et pleure, mais son père la contraint au silence. Elle est en conflit actif. Dix jours passent et la chatte revient, squelettique ; l’enfant est heureuse. Mais sa chatte est revenue pour mourir. L’enfant est en conflit permanent de séparation. Chaque fois qu’elle retrouve un chat, elle passe en solution et apparaît un eczéma suintant.
L’importance des rails sans ressenti
Au moment du choc, tous les éléments sensoriels sont enregistrés (heure de la journée, poussière, bruit…), il suffit qu’un seul élément (pour autant qu’il soit significatif) réapparaisse pour que la totalité de la réaction physiologique apparaisse.
En présence de poils de cheval, il est revécu chez Mlle Y comme une intrusion dans son espace et sans avoir besoin de se souvenir du drame, sans avoir besoin de ressentir un émotion d’intrusion, elle éternue. Cela réagit en elle, pour elle. En présence d’un élément du drame (le rail), la réaction physique d’adaptation est aussitôt là.

« Sans pour autant en être conscients, les humains comme les animaux “enregistrent” les circonstances concomitantes au choc. Si elles se représentent plus tard, ces mêmes circonstances provoqueront ce que l’on appelle de l’allergie. » Dr H.

C’est toujours un mécanisme qui « signale le danger » en se référant au CHOC.
Quelques exemples
* Des enfants de 11 ans jouent au docteur dans les foins. Quelqu’un les découvre : CHOC  !
À partir de là, quand ils sentent l’odeur des foins, le vieux conflit de puanteur revient.
Le rappel induit un rhume des foins.
Quand on explique cela, les crises passent.
Il y avait une réaction à des pollens. On sent l’odeur par le nez, mais aussi par d’autres sens, par exemple la peau. Lorsque le pollen est sur la peau : il y a une réaction, un CHOC immédiat suivi d’une vagotonie.

* Une mère s’arrête d’allaiter. Le sevrage est mal vécu par le bébé : conflit de séparation avec sa maman. L’enfant reçoit du lait de vache = rappel de la séparation d’avec la mère (car il n’y a plus de contact physique). Même quand l’enfant se trouve devant un verre de lait de vache, il y a un rappel du conflit de séparation, ou même en entendant le mot « vache

*Un chat a été opéré, il est noir. Il dort habituellement dans la chambre. Le lendemain, il est mort. CHOC pour l’enfant. Dès que l’enfant voit un chat noir, il revit le conflit lié à la séparation et fait une allergie cutanée. Dès qu’il comprit, il guérit.
Sa sœur est allergique aux poils de poney. À 5 ans, son poney est mort. CHOC : conflit de séparation. Dès qu’elle voit un poney arrive l’allergie cutanée. Car elle solutionne son conflit de séparation, et passe en vagotonie, se gratte la peau, a de l’eczéma ; aussi les parents décident de l’isoler de tous les poneys et chevaux, ce qui entretient son drame lié à la séparation  !
Thérapie
Il faut reconstituer les détails sensoriels du CHOC, selon les perceptions des cinq sens. Ce sont des signaux biologiques d’alarme.

Le fait d’évoquer le choc DANS SON INTÉGRALITÉ peut déjà soulager le patient.
Christian Flèche

2 commentaires

Laisser un commentaire