L’Aloe vera ne doit plus être présenté, il est maintenant bien connu des thérapeutes et du public. Il appartient au genre Aloe, qui compte plus de 400 espèces, parmi lesquelles l’Aloe arborescens beaucoup moins répandu et utilisé. L’Aloe arborescens est souvent confondu avec l’Aloe vera tant ce dernier est entré dans l’inconscient collectif par le matraquage publicitaire dont il fait l’objet. Il suffit en effet de voir le mot « Aloe » pour penser directement à l’Aloe vera, même si la mention « arborescens » apparaît à sa droite. Notre cerveau est bien conditionné et nous joue quelques fois de petits tours ! Cet article vous permettra de ne plus tomber dans le piège et de mieux faire connaissance avec une plante trois fois plus riche en principes actifs.
Quelles sont les caractéristiques botaniques de l’Aloe arborescens, et ses différences avec l’Aloe vera ?
Toutes deux sont des plantes succulentes (plantes charnues adaptées pour survivre en milieu aride par leur capacité à stocker l’eau dans leurs feuilles, tiges ou racines) avec une inflorescence racémeuse (ensemble de fleurs disposées sur un axe commun, comme une grappe).
L’Aloe vera est une plante acaule (sans tige), possédant de grandes feuilles (pouvant atteindre 90 cm et 2 kg) vert clair, épaisses et charnues, épineuses sur les bords et disposées en rosette. Sa fleur jaune est constituée d’une inflorescence racémeuse sur une hampe simple ou ramifiée.
L’Aloe arborescens est un arbuste pouvant atteindre 2 à 3 mètres de hauteur, à feuilles persistantes (même mortes), vert foncé, étroites et filiformes (60 cm et 250 g.), très épineuses et avec une cuticule plus épaisse, disposées sur des tiges ramifiées. Son inflorescence de couleur rouge écarlate est disposée sur une hampe généralement simple.
Les différences morphologiques de l’Aloe arborescens expliquent sa rareté sur le marché. Cette plante ne se prête pas à la culture à grande échelle ni à la mécanisation de la récolte comme l’Aloe vera. Elle se cultive de manière artisanale, le rendement des récoltes est beaucoup plus faible que celui d’autres espèces d’Aloe, et la récolte doit se faire de façon manuelle.
L’Aloe arborescens est originaire d’Afrique du Sud, et c’est l’espèce d’Aloe qui est actuellement la plus répandue géographiquement. On le retrouve dans le Sud-Ouest de l’Afrique, sur le pourtour méditerranéen et en Europe centrale. Le Japon est le premier producteur d’Aloe arborescens, entièrement destiné au marché intérieur. L’Italie en produit également à usage médicinal et cosmétique.
Un peu d’histoire
Les Aloès sont connus depuis des millénaires, on en trouve des traces en Mésopotamie, Egypte, Grèce et Rome antiques… Au Moyen-Age, les Croisés en rapportèrent sous forme d’Elixir de Jérusalem et Sainte Hildegarde de Bingen le mentionne dans ses écrits (« Le suc de cette plante est chaud et a de grandes vertus »). Cependant, il subsiste des doutes quant à l’espèce utilisée.
En 1695, l’Aloe arborescens était cultivé dans les jardins de la Compagnie néerlandaise des Indes Orientales au Cap, en Afrique du Sud. A partir de ce moment, il commence son voyage planétaire d’abord par les Pays-Bas (Amsterdam) et le Japon. Le botaniste anglais Philip Miller en fit la première description botanique en 1768.
Un peu plus proche de notre époque, le médecin ophtalmologue et chirurgien russe Vladimir Filatov (1875-1956) a choisi l’Aloe arborescens, abondant en Russie méridionale et Asie centrale, pour ses surprenants effets cicatrisants. Il a élaboré ce qu’il appela la « thérapeutique tissulaire basée sur les stimulateurs biogènes ». Selon lui, les préparations à base d’aloès sont des stimulants non spécifiques des fonctions physiologiques de l’organisme. L’augmentation des moyens d’adaptation et de défense du patient grâce à la thérapie par l’aloès permet d’utiliser les médicaments spécifiques avec plus d’efficacité. Sa composition biochimique compliquée a pour conséquence son spectre pharmacologique extraordinairement large et une influence sur pratiquement tous les organes et systèmes de l’organisme humain.1
A la fin de la deuxième guerre mondiale, le gel d’Aloe arborescens a été utilisé efficacement au Japon pour soigner les brûlures des irradiés d’Hiroshima. Dans ce pays, la plante était déjà utilisée comme laxatif et pour les soins de la peau.
A la fin du XXème siècle, un père franciscain, Brésilien d’origine italienne, le Père Romano Zago, a contribué à sa renommée internationale par la publication de deux livres, « Du cancer on peut guérir »2 et « L’Aloe n’est pas un médicament et pourtant il guérit »3, dans lesquels il cite des témoignages de guérison et révèle une recette à base d’Aloe arborescens, de miel et d’alcool.
Actuellement, l’Aloe arborescens fait l’objet de recherches scientifiques, principalement en Italie et au Japon, mais aussi, dans les pays d’Europe de l’Est et en Afrique du Nord.
Principes actifs
Avant d’énumérer les différents constituants de l’Aloe arborescens, il faut savoir que la feuille de cette plante (tout comme celle de l’Aloe vera ou d’autres espèces du même genre) est composée de gel en son milieu, entouré de suc et de l’épiderme. Les différentes parties de la feuille contiennent des principes actifs spécifiques.
C’est la synergie des différents principes actifs qui confère à l’Aloe arborescens ses propriétés thérapeutiques.
Comme le disait Henri-Charles Geoffroy (fondateur de La Vie Claire) « Il ne faut rien enlever à l’aliment car non seulement les parties soustraites font défaut, mais les parties restantes perdent partiellement ou totalement leur activité biologique ».
Le suc contient principalement des polyphénols, parmi lesquels les fameuses anthraquinones laxatives (réputées cancérigènes par action irritante sur les intestins en cas d’usage à long terme). Cependant, il y a des différences notables de composition entre les plantes fraîches et les plantes sèches. Au cours de la dessiccation, par oxydation et dimérisation, il se forme des hétérosides de dianthrones qui ont un pouvoir laxatif plus puissant que celui des molécules présentes dans le végétal frais4. Les recommandations émises par les différentes autorités de santé concernent les anthraquinones isolées et séchées. Lorsque la feuille entière d’Aloe est utilisée fraîche, les anthraquinones se présentent sous leur forme fraîche et en concentration plus faible puisqu’elles sont incorporées au gel et à l’épiderme de la feuille et ne représentent qu’une petite partie du produit.
Les polyphénols du suc d’Aloe arborescens sont composés des anthraquinones (aloïne A et B, barbaloïne, isobarbaloïne), de méthylchromones (aloésine, aloésone, aloé-résine A) et d’aloénine. Outre leur action laxative stimulante par stimulation de la motricité intestinale favorisant le péristaltisme, ces substances exercent une activité anti-oxydante, anti-inflammatoire, antiulcéreuse par inhibition de la sécrétion gastrique et antitumorale. Il serait donc bien dommage de s’en priver.
Les autres principes actifs de l’Aloe arborescens se trouvent principalement dans le gel au centre de la feuille, et dans l’épiderme.
Les glycoprotéines : ce sont les lectines. Deux lectines ont été isolées des feuilles de l’Aloe arborescens, l’aloctine A et l’aloctine B, aux propriétés anti-inflammatoire, immunomodulatrice (notamment par activation du Complément C3), antitumorale (par action mitogénique sur les lymphocytes, inhibition de la croissance tumorale, augmentation de l’activité des cellules Natural Killer), antiulcéreuse (inhibition des lésions gastriques), et inhibitrice de la HIV-1 transcriptase inverse5. Elles sont en outre responsables de l’effet thérapeutique bien connu de l’Aloe sur les brûlures (action mitogénique des lectines sur les fibroblastes).
Les polysaccharides isolés de l’Aloe arborescens sont notamment les glucomannanes Arborans A et B. Ces deux molécules sont spécifiques à l’espèce arborescens et ne se retrouvent pas dans l’Aloe vera, elles ont une action hypoglycémiante. Les véracylglucanes A, B et C favorisent la phagocytose, exercent une activité antitumorale (A, B) et antiinflammatoire (A, B et C). Enfin, l’acémannane agit de diverses manières et a des propriétés bactéricides, antivirales, antinéoplasiques6. Cette molécule exerce une fonction antigénique, elle provoque une réaction immunitaire permettant aux cellules de se défendre contre les agressions virales, bactériennes et contre les cellules tumorales. In vitro, elle a stimulé les lymphocytes T, augmenté les lymphocytes CD4 et s’est révélée capable de tuer le virus de l’Herpès en 15 minutes. Elle exerce également une action contre les dommages provoqués par les rayons X ; en effet, elle induit le développement des fibroblastes essentiels pour la reconstruction du tissu conjonctif de soutien et pour la production de collagène7. Enfin, Mc Daniel et Mc Analley ont montré dans une étude pilote, en 1987, sur 53 patients atteints du SIDA traités avec de l’acémannane pendant 3 mois, une amélioration des paramètres cliniques et biologiques8.
L’Aloe arborescens contient quelques enzymes participant à ses propriétés thérapeutiques. La carboxypeptidase (CPase) et la bradykinase aux effets analgésiques, antiinflammatoires et antithermiques, cicatrisants et stimulant les défenses immunitaires en favorisant la production locale de macrophages, la catalase antioxydante, ainsi que des amylases, lipases, protéases, cellulases…
Il contient aussi naturellement un peu d’acide salicylique, antalgique, antiinflammatoire, antipyrétique, antiagrégant plaquettaire et anti-acnéique.
D’un point de vue nutritionnel, l’Aloe arborescens contient des vitamines (A, C, E, B1, B2, B3, B5, B6, B9, B12), minéraux et oligo-éléments (Ca, Mg, Na, K, Cr, Fe, Mn, Zn, Ge) dont le Germanium, des acides aminés dont les 8 essentiels, de la choline.
Indications thérapeutiques
La liste de principes actifs et leurs propriétés permettent d’envisager l’Aloe arborescens pour différents problèmes et pathologies.
Activité immunomodulatrice (dues principalement aux lectines et polysaccharides) : traitement des infections bactériennes et virales, des états d’affaiblissement de l’immunité. En Pologne, une étude clinique menée sur des enfants de 3 à 12 ans souffrant d’infections ORL à répétition a prouvé son effet immunomodulateur. Les patients recevant une préparation pharmaceutique à base d’Aloe arborescens et de jus d’aronia (Bioaron C) ont montré une diminution de l’incidence des infections ORL. L’effet immunomodulateur a été attribué à l’augmentation de l’activité de phagocytose des neutrophiles. Certains oligo-éléments (Zn, Cu, Fe) et vitamines (A, C…) participent également à cet effet.
Diabète de type II : les molécules spécifiques présentes dans l’Aloe arborescens (Arborans A & B, Aloïne A & B) sont de grande utilité pour le diabète de type II. L’Aloe arborescens agit de diverses manières pour réguler la glycémie. Les molécules actives se trouvent dans le gel et dans la peau. Les composants présents dans la peau agissent en potentialisant l’action de l’insuline et en empêchant la dégénérescence des cellules β dans les îlots de Langerhans du pancréas. Ceux présents dans le gel au milieu de la feuille provoquent une action hypoglycémique rapide en diminuant le taux de glucose sanguin pendant 24 heures (Beppu et al.)9. De plus, l’Aloe arborescens contient du chrome indispensable constituant du facteur de tolérance au glucose optimisant l’action de l’insuline.
Activité antioxydante : grâce aux polyphénols du suc de la feuille, aux enzymes contenus dans le gel ainsi qu’aux oligo-éléments et vitamines, l’Aloe arborescens lutte contre l’oxydation en piégeant les radicaux libres.
Activité antiinflammatoire : due en particulier à la présence d’acide salicylique, de certains composés phénoliques (acide cinnamique, anthraquinones), de polysaccharides, de lectines, et de certains oligo-éléments (Cu), elle s’exerce à tous les niveaux de l’organisme et est particulièrement recherchée pour les inflammations digestives et articulaires. Kodym et al (2002)10 ont utilisé l’extrait aqueux de l’Aloe arborescens pour le traitement des inflammations et infections des parties externes de l’œil comme la conjonctive, le bord des paupières, le sac lacrymal et la cornée.
Activité cicatrisante : la capacité des polysaccharides à favoriser la production de fibroblastes explique cette action cicatrisante. Le jus de feuilles entières d’Aloe arborescens facilite le processus de guérison et de cicatrisation, et inhibe sélectivement la croissance microbienne sans effets secondaires. Les études ont montré des effets protecteurs sur les blessures dermatologiques induites par radiations X chez la souris (mesure de l’activité antiradicalaire, des effets protecteurs sur l’acide nucléique, de l’induction de protéines antioxydantes et de méthallothionéines) 11.
Activité antiulcéreuse et sur la sphère digestive: L’Aloe arborescens montre des effets significatifs protecteurs et curatifs d’ulcère, grâce aux polyphénols du suc ainsi qu’aux lectines et polysaccharides contenus dans le gel. Il exerce un effet bénéfique sur toute la sphère digestive, régulateur d’acidité gastrique, rééquilibrant de la flore intestinale et régularisant du transit, agissant tant sur la constipation que la diarrhée, cicatrisant des muqueuses.
Activité antimicrobienne : Les effets du gel et de la peau de la feuille d’Aloe arborescens ont été testés sur la croissance de 5 microorganismes dont Escherichia coli, et les deux extraits ont montré de grands pouvoirs antimicrobiens12.
Selon la littérature, l’activité antibactérienne de l’Aloe arborescens est essentiellement due à la conjonction d’un ensemble de molécules bioactives : l’aloïne, l’aloe-émodine, les polysaccharides, le mannose, l’acémannane qui agissent en synergie contre les infections bactériennes.
Activité antifongique : Des études in vivo sur des cochons d’Inde ont montré une inhibition de la croissance des champignons de 70%6.
Activité antitumorale : Les propriétés antitumorales s’expliquent par différents mécanismes, dont le pouvoir antiprolifératif et cytotoxiques de l’aloïne A & B, l’action immunomodulatrice, mitogénique sur les lymphocytes (aloctine A & B), la stimulation des cellules Natural Killer, du TNFα, l’activité antiinflammatoire, antioxydante, alcalinisante, ….
En 2009, Lissoni et al.13 ont conduit une étude clinique randomisée comparant l’efficacité de la chimiothérapie seule par rapport à la chimiothérapie accompagnée d’un traitement à l’Aloe arborescens sur 240 patients atteints de cancer (poumon, colorectal, estomac, pancréas) avec métastases. Le pourcentage de régression tumorale et de contrôle de la maladie était significativement plus élevé chez les patients ayant reçu la chimiothérapie et l’Aloe arborescens. Le pourcentage de survie à 3 ans était également plus grand dans le groupe Aloe arborescens.
En 2000, une expérience clinique a été conduite sur 99 patients de 15 à 78 ans atteints de maladies néoplasiques malignes de stade avancé, en phase de progression. Les patients ont été traités pendant 12 mois avec de l’Aloe arborescens selon la recette du Père Zago, de la mélatonine à effet retard et des lipopolysaccharides (LPS) sous forme homéopathique dynamisée. L’étude a montré une amélioration des conditions générales sur l’échelle de performance (Karnofsky) et une augmentation de la survie dans les trois groupes de patients (A. sous traitement conventionnel simultané – B. ayant subi un traitement conventionnel antérieur – C. n’ayant jamais bénéficié d’un traitement conventionnel) 7.
Autres activités : récupération chez les sportifs, effet neuroprotecteur contre les métaux lourds14, prévention du stress induit par les fréquences électomagnétiques15…
Pour conclure, je laisserai la parole au Dr Nacci :
« Des 250 variétés, la science a récemment porté un intérêt particulier à l’Aloe arborescens, considéré comme meilleur que les autres espèces y compris l’Aloe vera.
Comparé à ce dernier, l’Aloe arborescens a une plus grande concentration en principes actifs, au moins trois fois plus grande, et est plus résistant à notre climat.
Il contient environ une centaine de principes actifs. Parmi les substances connues, à part les 8 acides aminés essentiels, beaucoup de vitamines, de l’acide acétylsalicylique, de la choline, diverses formes de lipides, l’Aloe arborescens contient aussi quelques minéraux rares : zinc, manganèse, fer, germanium, chrome, magnésium, bore et sélénium, avec des implications pour diverses pathologies humaines parmi lesquelles beaucoup de pathologies dégénératives, des maladies de métabolisme et de carences. L’Aloe arborescens tend à normaliser les paramètres biochimiques et fonctionnels de l’organisme en 2 à 6 mois de traitement :
- Régularisation de la pression partielle de dioxyde de carbone dans le sang
- Régularisation de la glycémie, particulièrement chez les patients diabétiques
- Diminution des triglycérides
- Régularisation du cholestérol total avec une augmentation du ratio HDL/LDL
- Normalisation de la bilirubine
- Normalisation de l’acide urique
- Régularisation des rapports Na/K et Ca/Mg
- Augmentation de l’hémoglobine
- Protection des systèmes gastro-intestinal, hépatique, pancréatique et rénal
- Activation des défenses immunitaires contre les infections aiguës
- Rééquilibrage lymphocytaire dans les maladies infectieuses chroniques comme l’hépatite C, HIV/AIDS.
- Protection antioxydante de l’ADN contre les radiations ionisantes
En particulier, certaines substances efficaces dans le traitement des tumeurs devraient être valorisées, comme les anthraquinones Aloïne A, B et émodine, les polysaccharides dont l’acémannane ».
Et j’ajouterai, qu’en usage externe, l’Aloe arborescens fait des merveilles pour tout problème cutané, qu’il soit aigu comme une piqûre d’insecte, une plaie, une brûlure, des démangeaisons, ou chronique tel que l’eczéma, le psoriasis, l’acné….ou tout simplement comme cosmétique hydratant et anti-âge.
« La plante appelée Aloe est une véritable pharmacie capable à elle seule de guérir de nombreuses maladies » – Paracelse
Notes et références :
- Wolfgang Wirth – Guérir par l’aloès – Ed. Wilhelm Ennsthaller, Steyr
- Père Romano Zago – Du cancer on peut guérir – ADLE Edizioni – Padova
- Père Romano Zago – L’aloe n’est pas un médicament et pourtant il guérit ! – Editions Des Landes du Sud
- Jean Bruneton – Pharmacognosie – Ed. TEC&DOC
- Hamid et al, Lectins : Proteins with Diverse Applications. J App Pharm Sci. 2013 ;3 (4 Suppl 1) : S93-S103
- A Systemic Review on Aloe arborescens. Pharmacological Profile: Biological Activities and Pilot Clinical Trials – Phytother. Res. 29:1858-1867 (2015)
Abdel-Naser B. Singab,1* Hala M. El-Hefnawy,2 Ahmed Esmat,3 Haidy A. Gad1 and Jilan A. - Fondazione Raphael – Aloe arborescens, esperienze biologiche, esperienze cliniche : 99 casi – B.I.S. Ed.
- Mc Daniel, H.E., Mc Analley, B.H. – Clin. Res. 1987, 35, 483A
- Beppu et al. – Hypoglycaemic and Antidiabetic Effects in Mice of Aloe arborescens Miller var. natalensis Berger – Phytotherapy Res. Vol 7 S37-S42 (1993)
- Kodym A, Bujak T. 2002. Physicochemical and microbiological properties as well as stability of ointments containing aloe extract (Aloe arborescens Mill.) or aloe extract associated to neomycin sulphate. Pharmazie 57(12): 834–837.
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- Pellizzoni M, Kalhotka L, Lucini L, et al. 2012. Antimicrobial activity of different Aloe barbadensis Mill. and Aloe arborescens Mill. leaf fractions. J Med Plant Res 6: 1975–1981.
- Lissoni et al. – A randomized study of chemotherapy versus biochemotherapy with chemotherapy plus Aloe arborescens in patients with metastatic cancer – In Vivo 2009 Jan-Feb;23(1):171-5.
- Abbaoui et al. – Neuroprotective potential of Aloe arborescens agains copper induced neurobehavioral features of Parkinson’s disease in rat – Acta Histochem 2017 Jun;119(5):592-601
- Solek et al. – Aloe arborescens juice prevents EMF-induced oxidative stress and thus protects from pathophysiology in the male reproductive system in vitro – Environmental Research, volume 166, octobre 2018, pages 141-149.
- Associazione Maremmana Amici Aloe – L’Aloe dall’empirismo alle nuove conferme scientifiche – Innocenti Editore
- Aloctin A, An Active Substance Of Aloe Arborescens Miller As An Immunomodulator
Ken’ichi Imanishi – Dpt of Microbiology & Immunology, Tokyo Women’s Medical College – Phytotherapy Researc (1993) Vol.7, No. Special issue, pp. S20-S22 - . Nazeam4
Phytother. Res. 29: 1858–1867 (2015) - L’Aloes arborescent, un trésor de bienfaits – Véronique et Jean-Jacques Goichon – Ed. Sodalite 2016
- Giuseppe Nacci, M.D. – Mille piante per guarire dal cancro senza chemio – Octobre 2008
Titulaire d’un diplôme de diététicienne-nutritionniste, Brigitte Florani et passionnée par la santé naturelle et a complété son bagage par diverses formations en phytothérapie, aromathérapie, gemmothérapie et naturopathie (avec Robert Masson)… Parmi toutes ces disciplines, la gemmothérapie l’attire plus particulièrement et elle participe au travail de Lauren Hubele en traduisant ses livres de gemmothérapie de l’anglais vers le français. Après un passage instructif de trois ans à l’herboristerie rbuxelloise Desmecht, elle s’occupe maintenant de formations en gemmothérapie, aromathérapie et elle se dédie à l’Aloe arborescens, afin que cette plante merveilleuse soit connue et reconnue.
Livres :
- Gemmothérapie et affections aiguës – Lauren Hubele & Stéphane Boistard, traduction par Stéphane Boistard et Brigitte Florani – Ed. Dangles
- Gemmothérapie pour développer le système immunitaire des enfants de 0 à 10 ans – Lauren Hubele, traduction Brigitte Florani – Ed. Dangles
A paraître :
- Gemmothérapie pour restaurer l’immunité – Lauren Hubele, traduction Brigitte Florani – Ed. Dangles
Références internet :