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decodage

LE DIABÈTE de type 2

Par 4 mars 2012juin 5th, 2023Pas de commentaires

Physiopathologie

L’anomalie fondamentale qui précède le Diabète de Type 2 noninsulinodépendant (DNID) est l’insulino-résistance des tissus périphériques qui provoque une hypersécrétion d’insuline. Cette insulino-résistance précède l’arrivée de l’insulino-déficience responsable de l’augmentation de la glycémie du DNID.
L’insulino-résistance :
-précède le DNID
– survient sur un terrain génétique
– diminue l’utilisation et le stockage musculaire du glucose
– augmente la production hépatique de
glucose
Dans cette pathologie, c’est l’entrée du glucose (source de notre énergie) dans le muscle qui pose problème. La voiture fonctionne, mais l’essence n’arrive plus au moteur. C’est une forme de « pré-jet », traduisant une peur liée à l’action ou au déplacement.
Dans le même temps, il y a une augmentation de la production de glucose par le foie, l’ensemble aboutissant à une augmentation de la glycémie.

De l’énergie pour le clan

Le sang étant un transposé du clan, c’est comme s’il fallait produire et garder de l’énergie pour un membre du clan : « Je dois produire plus d’énergie pour l’autre mais ne pas l’utiliser pour moi-même ». Transposé dans la vie d’une personne, c’est le sentiment de devoir se sacrifier pour le bien-être de l’autre. Au fond, c’est un sacrifice pour que l’autre vive, rebondisse ou avance dans sa vie. Le diabète pose la question suivante: qui a assisté, de près ou de loin, à la mort ou à un drame d’un proche, sans pouvoir rien faire pour lui ? Puisque je produis du sucre que mes muscles n’utilisent pas et que mon sang conserve , à qui suis-je en train d’offrir toute mon énergie ? Qui, dans notre vie et/ou dans notre histoire familiale, cherchons-nous inconsciemment à aider, à soutenir ou à sauver ? Un enfant ? Un parent ? Un amour ?…

Nous pouvons chercher dans la vie, le Projet-Sens (PS) et / ou la famille de la personne, un stress lié à :

– « je ne dois pas bouger pour me sauver ou pour sauver l’autre »
– la peur du faux mouvement
– la mémoire de grossesse où la femme a dû rester alitée par sécurité pour elle ou son enfant
– des mémoires d’accouchement prématuré / de cordon autour du cou
– des mémoires de fausse couche
– des blessés difficilement transportables
Mais aussi :
– l’impuissance à aider, voire même à sauver, une personne importante dans ma vie
– « J’aurais voulu mourir à sa place »
– « Je voudrais lui donner toute mon énergie pour pouvoir l’aider »
– « Je sais que je ne peux rien faire mais j’aimerais tellement l’aider (ou sauver l’autre) »
– un regret / remord de ne pas avoir suffisamment aidé un proche
– la mort d’un proche ou drame d’un proche sans pouvoir faire quelque chose pour lui (dans le PS).

Dans le DNID, le muscle n’utilise pas le sucre. Nous ne pouvons pas parler, à mes yeux, de résistance active, mais plutôt de résistance passive comme celle d’un boulet ou d’un poids mort qui empêche toute action ou tout déplacement.Le DNID parle ainsi de la peur d’être obligé à faire quelque chose ou la peur d’être obligé d’aller quelque part et, par extension, la peur de faire subir tout ça à l’autre. Qui voulons-nous empêcher d’agir ? Qui voulons-nous freiner ? L’autre ? Nous-mêmes ? Et pourquoi ? La physiopathologie du DNID peut aussi nous aiguiller vers un sentiment de culpabilité par anticipation : la peur que notre action ou notre déplacement ne provoque un drame chez quelqu’un qu’on aime : « Je veux l’aider à tout prix mais j’ai peur de faire mal ou de mal faire »

Nous pouvons chercher aussi dans la vie, le PS et/ou la famille de la personne, un stress lié à :
– des mémoires de déporté/d’enlèvement
– qui a été forcé de faire quelque chose ou d’aller quelque part ?
– qui n’aurait pas dû bouger/partir ?
– qui aurait voulu pouvoir retenir une personne aimée (enfant/parent/amour…)
– Je veux/dois ralentir l’autre pour aider l’un des miens ou moi-même
– des mémoires de personnes se sentant fautives pour avoir fait du mal à son clan ou un de ses membres
– mémoire de mort pendant une évasion/un déplacement
– mémoire de conséquence dramatique d’une émigration
– mémoire de personne se sentant impuissante devant des violences au sein de la famille

Etude symbolique du mot diabète :

Dans la langue des oiseaux, le D nous parle, entre autre, des origines. Dans le Tarot, le D est lié à l’empereur, c’est-à-dire à l’homme ou au père protecteur et sécurisant. En négatif se serait plutôt un homme tyrannique. Le I, quant à lui, est lié, à la roue de fortune pouvant exprimer un blocage. En hébreu le I est le point et par extension le germe et l’enfant. Le A se rapporte au Bateleur pouvant représenter l’enfant mais aussi l’action ou le choix. Le B est, en hébreu, la maison, le foyer, l’utérus. Et dans le tarot la papesse : la mère. Le E est, en hébreu, lié à la vie. Le T en Tarot pourra être associé au Mat, énergie libératrice et en mouvement. Mais il peut aussi être en relation avec la mort. Le mot DIABèTE, peut ainsi parler dans notre vie et/ou généalogie, d’un homme bloqué par un choix difficile à faire entre son désir d’aller apporter son soutien, sa protection à quelqu’un et celui de rester dans son foyer ; le drame de ne pas avoir pu apporter un soutien et une protection à quelqu’un qui était entre la vie et la mort ; le désir d’apporter à un membre du clan de l’énergie pour qu’il puisse rebondir et aller de l’avant après un drame. Cela peut également évoquer la mémoire d’un drame lié à un choix cornélien, comme celui de devoir choisir entre la mère et l’enfant lors d’un accouchement. DIABèTE pose ainsi quelques questions : des personnes ont-elles eu le désir d’aller se battre à la guerre et y sont mortes ? Des personnes ont-elles été coincées dans un foyer par l’arrivée d’un enfant ? Des personnes ont-elles dû quitter leur foyer ou leur pays pour aller travailler ou pour échapper à une quelconque tyrannie (d’un gouvernement / d’un père/…) ? Un enfant a-t-il été forcé, par son père, de quitter le foyer ? Des enfants sont-ils morts à la naissance ou des mères mortes en couche ?…

Thibaut Fortuner

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