Article n°101 Par Jean-Pierre Joseph
Pasteur a commis cette grande erreur de croire que les maladies venaient de l’extérieur : les virus et les bactéries sont des ennemis qui nous agressent avec méchanceté et seuls les vaccins, les antibiotiques et les médicaments chimiques de toutes sortes pourront nous en débarrasser. Ce concept militaire de la lutte anti-agents extérieurs a donné naissance à une fantastique industrie, celle de la pharmacie et des vaccins. Celle-ci a pu, grâce à ses bénéfices pharaoniques, contrôler peu à peu tous les rouages du pouvoir, en achetant les politiciens, les médecins et les médias. Les écoles de médecine, les hôpitaux, les asiles psychiatriques et les centres de recherche scientifique sont tous inféodés aux multinationales. Le dogme du « hors de la médecine point de salut » a triomphé et des millions et des millions de gens se sont laissés convaincre que la guérison et le maintien de la santé étaient dus aux vaccins et aux traitements médicaux.
En réalité ce sont les progrès de l’hygiène (eau non polluée, meilleure alimentation, etc.) qui ont permis la diminution, puis la disparition de nombreuses maladies dans les pays occidentaux. Preuve en est que ces maladies maintenant disparues dans les pays riches continuent à faire des ravages dans les pays pauvres. Ironie du sort, dans ces pays, les vaccinations font plus de dégâts que dans les pays industrialisés car, en raison de la malnutrition et des eaux polluées, les enfants et les adultes supportent mal l’agression vaccinale. Les statistiques de l’OMS le prouvent de manière irréfutable, mais le grand public l’ignore parce que les médias font, sur ce sujet, un silence assourdissant !
Le drame actuel
Dans mon livre Vaccins, un génocide planétaire ?, je cite ces études bouleversantes, ainsi que dans ma rubrique Vaccins, nouvelles 2016 sur le site santeglobale.info. Le drame vient du fait que le point de vue des médecins, scientifiques et chercheurs qui contestent l’efficacité des vaccinations et des traitements chimiques en excès n’est jamais rapporté au public par les médias officiels, tous corrompus à un degré que le commun des mortels a de la peine à imaginer ! Et la plupart des experts qui font partie des organismes officiels ont des liens d’intérêt avec les industries pharmaceutiques et vaccinales. Ils protègent donc, non pas la santé des populations, mais bien la santé financière des multinationales ! Un des exemples les plus hallucinants de cette corruption est le fait que l’aspartame, un édulcorant sucré d’une dramatique toxicité, a été autorisé dans la plupart des pays civilisés alors qu’il ruine la santé de millions de gens.
Ce ne sont pas les traitements médicaux, quels qu’ils soient, qui guérissent les maladies, c’est le corps qui se guérit lui-même, pour autant que nous ne l’empêchions pas de faire son travail. Cette vérité est essentielle pour sortir du drame de maladies qui poussent les gens à consommer des traitements médicaux dont la conséquence est d’empoisonner à petit feu l’organisme en paralysant ses fonctions d’autoréparation. Un traitement chimique en situation d’urgence peut sauver des vies, mais donner des médicaments à vie à des gens ne peut que les priver de tout espoir de guérison naturelle. Car les « béquilles chimiques » rendent le corps de plus en plus impuissant à rétablir l’harmonie de la santé.
Virus et bactéries ne sont pas des ennemis à abattre mais des partenaires, des alliés, qui agissent pour notre bien, dans la mesure bien sûr où un système immunitaire en bon état peut gérer leur travail de fabrication de vitamines et de dépollution du corps. L’abus d’antibiotiques, pour détruire les bactéries considérées comme des agresseurs ainsi que la pasteurisation des aliments sont devenus des fléaux dramatiques car chaque prise d’antibiotiques détruit notre flore intestinale, qui est l’un des agents les plus importants du système immunitaire et les aliments stérilisés par la chaleur ont perdu toute valeur nutritive. Sans parler des fours à micro-ondes qui sont d’une effarante toxicité. Les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les milliers de produits de consommation bourrés de molécules chimiques, les ondes électromagnétiques des téléphones portables et des ordinateurs, la radioactivité et toutes les autres formes de pollutions nous font vivre dans un environnement de plus en plus toxique. Nous ne pouvons pas continuer à faire les autruches en nous persuadant que « tout va bien », continuons comme d’habitude… faisons comme si nous ne sommes responsables de rien et que nos gouvernants, autorités médicales ou religieuses, institutions de toutes sortes et multinationales de toutes tailles sont dignes de confiance !
Le cancer a du sens
Par ailleurs, avoir cru que les cellules cancéreuses étaient un ennemi à détruire au plus vite a mené les sociétés industrialisées dans une impasse : celle de la chirurgie et de la chimiothérapie. On a oublié de se poser une question fondamentale : quel est le sens du cancer ? Quelle fonction remplit-il ? En réalité, le cancer est un mécanisme biologique intelligent comme l’ont prouvé de grands chercheurs, comme Gernez, Hamer, Athias et bien d’autres, un mécanisme qui a pour but de nous permettre de survivre à une crise. Il est un appel au changement de nos habitudes et à un travail de libération émotionnelle. Lorsqu’on fait cela, les cellules cancéreuses redeviennent normales. Les détruire n’a pas plus de sens que de casser l’ampoule rouge allumée au tableau de bord de notre voiture ! Si notre garagiste faisait cela, on crierait à la folie ! Mais les tonnes de médicaments de chimiothérapie avec lesquels on empoisonne des millions de gens ne font que casser les ampoules qui nous avertissaient d’un travail à faire sur soi… Quelle aberration ! Quel drame !
Dans « Confessions d’un médecin révolté », le Professeur Peter YODA écrit : « Les médecins sont soumis à une sorte de lavage de cerveau durant leurs études et ils croient presque tous ces mensonges enseignés volontairement. Ils prétendent donc qu’il existe des cellules humaines malignes, dégénérées, appelées cellules cancéreuses. D’après les « experts du cancer », ces cellules malignes doivent impérativement être tuées au moyen de thérapies destructrices. Qu’elles fassent partie d’un ensemble plus grand de cellules, nommé être humain, n’entre évidemment pas en ligne de compte. De même il n’est discuté dans aucune faculté occidentale si les cellules cancéreuses sont réversibles et si elles peuvent de nouveau se différencier en cellules tout-à-fait normales. Un cancérologue connaît l’anatomie et pourra vous dire pourquoi vous avez tel ou tel organe. Mais que sait-il au fond du cancer ? Dans les facultés et les cliniques, il apprend seulement qu’il faut procéder à l’ablation de la tumeur ou la détruire par chimiothérapie ou rayonnement. Et si la théorie de la destruction indispensable de la tumeur était FONDAMENTALEMENT fausse ? Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi 230.000 personnes environ meurent chaque année du cancer en Allemagne MALGRé, dans la plupart des cas, une destruction préalable de leur tumeur ? Avez-vous seulement osé vous demander si tant de personnes ne seraient pas mortes PARCE QUE leur tumeur a été tuée ? Je dis bien tuée !
Les médecins holistiques répètent que nous devons mobiliser nos forces d’auto-guérison. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Ces forces ont-elles été perdues, se sont-elles épuisées ? Bien sûr que non. Elles sont toujours présentes. Mais nous avons perdu foi en elles parce que nous avons échangé, il y a des décennies, la connaissance des forces d’auto-guérison contre celle de la « médecine moderne ». Nous disons aujourd’hui que si nous prenons les médicaments et recouvrons la santé, ce sont les médicaments qui nous ont aidés. SI nous demeurons malades, « malgré » les médicaments, ou si nous devenons encore plus malades, c’est que la maladie est plus forte. Percevez-vous que, dans ce système, la médecine moderne ne peut jamais perdre la face ? Que vous guérissiez ou que vous restiez malade, la faute est toujours à VOUS et pas à la médecine.
En moins de deux siècles, une poignée de médecins a réussi à tromper le monde entier et en même temps à édifier un système tel que ceux qui y collaborent sont toujours les gagnants. Les thérapies qu’ils ont créées ne servent en réalité qu’à satisfaire la pulsion de conservation du système et non les patients !
Peut-être comprenez-vous à présent pourquoi les gens « du dehors », c’est-à-dire hors du système, sont constamment combattus et pourchassés. Plus ils sont bons, plus ils sont attaqués et, même si vous ne me croyez pas, ils sont parfois assassinés.
Les hommes de main des firmes pharmaceutiques nous ont raconté que la qualité des médicaments se mesure à leurs effets secondaires. Plus un médicament a d’effets secondaires, plus il est actif. Comment pouvons-nous être assez aveugles pour croire à de telles inepties ? Les effets secondaires ne sont pas un mal nécessaire dans un traitement mais ils expriment en fait ses principaux effets. Accessoirement ils servent aussi à ce que vous ayez besoin de davantage de médicaments ou à ce que vous ne guérissiez pas si vite : un mouvement perpétuel parfait avec lequel on peut gagner beaucoup d’argent, surtout auprès des personnes âgées. Combien de fois ai-je moi-même vu des patients prendre plus de dix médicaments différents. Bien sûr, tout cela pour le bien du patient et pas pour l’enrichissement d’un petit nombre. Quelle cécité que la mienne pendant toutes ces années où j’ai exercé la médecine ! »
N’est-ce pas un témoignage bouleversant ?
Le mythe de la chimio
Le professeur Georges Mathé, un grand cancérologue français, parlait souvent à la radio et à la télévision. Mais il osa remettre en question la chimiothérapie. Il écrivit notamment : « Et des milliers d’essais ont bien convaincu de la véracité de cette loi : la chimiothérapie peut tuer la dernière cellule ; elle ne guérit pas les cancéreux. Et certains ont pu dire que, dans l’état actuel de ses conditions d’application, elle tue davantage de cancéreux par toxicité qu’elle n’en guérit ». Du coup, il fut totalement banni de tous les médias ! Des études américaines récentes ont même mis en évidence le fait que la chimiothérapie elle-même pouvait engendrer des cancers. Quel retournement de situation, quelle révolution dans la pensée dominante ! Le docteur Luc Bodin (www.luc-bodin.com) explique que « Au vu du grand nombre d’anomalies présentées par les cellules cancéreuses, les médecins et chercheurs de l’époque ont « pensé » que la cellule cancéreuse ne pouvait pas se renormaliser. Ils ont alors posé cela comme étant une hypothèse probable. Puis, le temps passant, cette hypothèse est devenue un postulat puis un dogme fondamental pour la médecine moderne à tel point que plus personne n’a pensé (ou osé penser) qu’il pouvait être erroné. Pourtant, les expériences du professeur Bissel (Berkeley, états-Unis) ont prouvé qu’un changement favorable du terrain (milieu extracellulaire) est capable de provoquer une réparation des cellules cancéreuses ». Le docteur Catherine Kousmine expliquait que le cancer est une sorte de « super émonctoire » que le corps crée quand il n’arrive plus à éliminer les toxines du corps. Le traitement consiste donc à décrasser l’organisme de ses toxines et alors le cancer peut disparaître. Cette notion de « super organe » se rapproche de celle avancée par la biologie totale. Par exemple, une mère inquiète pour ses enfants peut développer une tumeur du sein afin de produire davantage de lait… nourriture censée renforcer, au niveau symbolique, sa progéniture face à l’adversité. Les concepts de la biologie totale sont clairement expliqués dans la remarquable revue Néosanté menée de main de maître par Yves Rasir.
Jacques Coppey (dans Chamanisme du troisième millénaire) écrit : « Le numéro d’avril 2009 de la revue Nature comprend les résultats d’un demi-siècle de recherches sur les perturbations de l’expression des gènes au cours de la progression des tumeurs. Aucun travail ne contredit l’hypothèse de 1850 du docteur James Paget, fondateur de la physiopathologie, qui après avoir disséqué et analysé des milliers de tumeurs malignes, formula le concept seed and soil, soit que le développement d’une tumeur maligne implique deux conditions :
– Seed : la transformation maligne de cellules. Une cellule maligne est de même nature qu’une cellule souche.
– Soil : un terrain approprié, soit une niche ne freinant pas, voire favorisant l’expansion de la tumeur par divisions successives des cellules transformées.
Chez chaque être, des millions de cellules se transforment chaque jour à la suite de mutations spontanées ou provoquées. Or la fréquence de survenue d’un cancer augmente exponentiellement avec l’âge. C’est essentiellement parce que le volet « soil » augmente. La plupart des études se focalisent sur le volet « seed » mais négligent le volet « soil » et les thérapeutiques suivent pour tuer le frelon dans le nid en ignorant le « soil ». Myopie évidente, choix erroné des faits puisque tout processus cancéreux est réversible. »
Sagesse du corps
Penser que le corps humain est un parfait idiot qui fabrique des cancers sans raison, juste pour nous faire souffrir, montre une ignorance et une prétention incroyables.
Pour ma part, en 50 ans de pratique médicale, j’ai vu tant de folies considérées comme des « vérités scientifiques » ! Un exemple entre mille ? Enfant, on m’a opéré pour m’enlever les amygdales, c’était la mode ! Mais quand on comprend que les amygdales sont des ganglions lymphatiques, les plus haut situés de la chaîne de ganglions qui entourent le tube digestif, on perçoit l’absurdité d’enlever les deux ganglions visibles et qui sont enflammés alors que des centaines d’autres ganglions sont en souffrance ! Le seul traitement logique est de diminuer la toxicité du tube digestif qui crée l’inflammation de tous les ganglions ! Une alimentation vivante, non industrielle, sans produits animaux ni gluten va résoudre le problème mais enlever des amygdales, c’est ignorer la physiologie la plus élémentaire. Il en va de même avec la circoncision, un acte barbare sans aucune justification médicale. Que d’actes insensés les médecins n’ont-ils pas faits au nom d’idées totalement fausses !
Dans le domaine de la psychiatrie, l’horreur est au programme ! On a cru que des médicaments chimiques allaient guérir les malades. En fait les neuroleptiques ne font que priver les malades mentaux de toute chance de guérison ! Je montre cela dans des sketches visibles sur youtube !
La sagesse du corps est des millions de fois plus grande que celle de tous les scientifiques de la planète ! Comme le dit C.G. Jung : « Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ! » Toute maladie est une occasion d’apprendre à comprendre notre corps et les lois universelles de la vie. Toute maladie est une chance à saisir, une occasion de ne plus être une victime qui subit, un patient qui obéit, un consommateur qui consomme mais d’oser nous redresser, sortir de l’hypnose collective de la peur, prendre notre vie en mains pour devenir l’artisan de notre santé et de notre bonheur