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LE MONDE DES MICRO-ORGANISMES (I) une autre vision des bactéries

Par 10 août 2017mars 9th, 2023Pas de commentaires

Dans sa quatrième « loi biologique de la nature », le Dr Hamer énonce que les microbes (champignons, bactéries ou virus) ne sont pas des ennemis à combattre à tout prix car ils jouent un rôle positif dans le corps humain. Sur commande du cerveau, ils interviennent essentiellement pour réparer les tissus nécrosés ou pour démonter les tumeurs générées en phase active du conflit psycho-émotionnel. C’est une révolution copernicienne dans la compréhension des phénomènes pathologiques et des processus de guérison ! Mais bien avant lui, le Pr Antoine Béchamp (1816-1908) avait déjà réhabilité les microbes en observant leur polymorphisme et leur apparition endogène à partir de minuscules particules qu’il nomma les « microzymas ». Au fait des découvertes hamériennes et familier des théories de Béchamp, le Dr Alain Scohy a amplement vérifié que les unes et les autres disaient vrai en utilisant, dans son Institut Paracelse, un microscope électronique à fond noir : il y voit les microzymas « construire » les micro-organismes, lesquels se comportent conformément aux lois de la médecine nouvelle. Selon le médecin français exilé en Espagne, il faut donc abandonner la vision pasteurienne de l’univers microbien et changer complètement de regard sur la vie et sur la maladie ! Dans ce dossier ébauchant une nouvelle science du vivant, Alain Scohy invite plus particulièrement à reconsidérer la responsabilité des bactéries dans les pertes de santé.

Par le Dr Alain Scohy

La psychosomatique et les travaux du Dr Hamer nous ont permis de comprendre que la PEUR nous fragilise considérablement sur le plan psychologique et qu’elle peut parfois engendrer des pathologies sévères. Hamer différencie deux sortes de peurs :

  • – Les peurs par rapport aux dangers que nous voyons arriver. Ce sont les PEURS FRONTALES. Ces peurs, nous pouvons les esquiver ou les fuir, et cela peut se traduire par une hyperthyroïdie. Nous pouvons également les affronter en mettant en route une poussée de diabète pour être plus puissants si nous les vivons dans la “résistance”, ou en construisant des tumeurs à partir des vestiges branchiaux (branchies permettant de respirer sous l’eau) qui seront baptisées « lymphomes » par la médecine officielle si nous nous sentons “impuissants”, c’est-à-dire noyés par la difficulté.
  • – Les peurs par rapport aux dangers que nous ne voyons pas arriver, parce qu’ils arrivent par derrière ou que nous ne pouvons pas les visualiser à l’œil nu, comme les microbes ou les virus. Ils entraînent ce que Hamer a baptisé les PEURS DANS LA NUQUE. Ces peurs sont pires que les peurs frontales, car elles sont comme autant d’épées de Damoclès pour chacun de nous. Elles nous fragilisent au plan psychologique et favorisent donc le développement de cancers et de pathologies lourdes, comme les manifestations asthmatiques, par exemple.

Au niveau social, le paradigme de Pasteur nous a plongés corps et bien dans cette peur, puisque selon lui, ces microbes ou virus seraient responsables de nos maladies. C’est bien sûr une des causes du comportement vaccinaliste. C’est cette peur qui est à l’origine de certaines maladies inventées par les humains, comme le SIDA.
La réalité des micro-organismes est indéniable. Avec un simple microscope optique, il est possible de dénombrer dans un gramme de terre fertile ou de vase plus d’un milliard de micro organismes. Idem dans un millilitre du liquide présent dans le tube digestif. Mais cette réalité évidente ne nous renseigne ni sur l’origine de ces micro-organismes, ni sur leur finalité. Sont-ils des étrangers plus ou moins invasifs ? Sont-ils endogènes, produits par notre propre organisme ? Sont-ils des constituants obligatoires de notre corps physique organisé ? Ont-ils une vie propre, ou ne sont-ils que des assemblages provisoires en vue d’un travail défini ?

Aujourd’hui, en sortant du paradigme pasteurien, la psychosomatique démontre que si des parasites manifestement organisés peuvent parfois se développer dans notre organisme, c’est pour manifester une souffrance psychologique profonde qui préexiste à leur pénétration en nous.
Par ailleurs, le professeur Antoine Béchamp a pu démontrer que les germes ne sont jamais invasifs sur un être organisé. De ce fait, contrairement aux croyances du paradigme médical actuel, les micro-organismes ne génèrent jamais de pathologies.
Mais voilà : la biologie officielle ne veut pas entendre parler des microzymas. Pourtant, prendre en considération les travaux de Béchamp et les avancées actuelles de la psychosomatique permettrait de sortir définitivement de la PEUR DANS LA NUQUE et de comprendre autrement, de manière beaucoup plus intelligente, les processus de la vie et de la santé.

LES MICROZYMAS
Rappelons que le microzyma est une microcellule mesurant entre 30 et 60 nanomètres de diamètre. Il est animé du mouvement brownien. Au microscope électronique, il apparait comme limité clairement par une membrane et présentant en son cœur un cristal de silicium. En lien avec les données actuelles des nanotechnologies et de l’informatique, ce cristal permet de comprendre où sont stockées les informations acquises, comme celles qui nous viennent de nos ancêtres. Il est clair que tout ce qui concerne la structuration, l’architecture et le fonctionnement du corps fait partie de ces informations.
Nous savons également, grâce aux travaux de Béchamp, que les microzymas sont les unités vitales qui synthétisent les enzymes ou zymases. Ces substances chimiques étonnantes – et encore inexpliquées – permettent toutes les transformations chimiques au coeur du vivant, avec un infini respect de l’environnement local !
Les microzymas se nourrissent et évacuent des déchets. C’est au coeur des microzymas qu’ont lieu les combustions et la respiration dites « cellulaires ». Ils se reproduisent très rapidement et sont quasiment immortels – contrairement aux cellules et aux micro-organismes. Ils semblent contenir de l’ADN. Je vous propose de passer en revue les données officielles de la science sur la question, et de les revisiter au fur et à mesure, en tenant compte des travaux de Béchamp en particulier.

LA CELLULE
Les scientifiques, après BICHAT, ont décrété que la cellule est la plus petite “unité fonctionnelle” de tout être vivant, à savoir un “être” capable de fonctionner de manière autonome et de se reproduire. Et tout micro-organisme relèverait d’une organisation cellulaire. Ils se sont arrêtés trop tôt :
“Quand on scrute bien, on trouve que dans toute cellule, qu’il y ait ou qu’il n’y ait pas de noyau, existent ou apparaissent tôt ou tard des parties qui ont une forme déterminée, qui sont organisées, qui sont douées d’activités chimiques : les microzymas. Et certains tissus ne sont vivants que par les microzymas qu’ils contiennent ; et certaines productions peuvent n’être formées que de microzymas”. (p. 514 du livre de Béchamp : LES MICROZYMAS).
Béchamp et d’autres savants de son époque avaient pu démontrer que toute cellule est construite par des microzymas : la membrane cellulaire, en particulier, est constituée par des microzymas qui s’accolent. Un peu comme s’ils faisaient la ronde, en trois dimensions… Et une fois la ronde refermée, ils s’aplatissent pour former une membrane. Cette membrane cellulaire n’est donc pas une simple structure physico-chimique, mais une sorte de mur constitué de briques vivantes et actives : les microzymas.
Cette réalité permet de comprendre plus aisément le mystère de la pompe à protons de la paroi cellulaire. Là, comme pour les zymases ou enzymes, nous sommes devant une réalité qui nous dépasse. Les microzymas puisent les ions potassium extracellulaires et les concentrent à l’intérieur de la cellule, et, à l’inverse, ils évacuent les ions sodium à l’extérieur de la cellule. Les différences de concentration qui en résultent créent des champs électromagnétiques qui expliquent, entre autres choses, la rapidité des échanges au coeur du vivant.
Le noyau apparaît alors comme un réservoir de microzymas qui semblent ne se réveiller que lorsqu’il faut construire de nouvelles cellules. Ils quittent alors ce qui paraît être pour eux une sorte de refuge, ils sortent de la cellule, se multiplient et bâtissent de nouvelles cellules. Ce qui peut se manifester alors par une déformation du noyau qui amènera les histologistes à parler de “cancer”…
Tout le paradigme officiel en vigueur actuellement repose sur des présupposés (datant du 19e siècle) dont le but ultime est d’évacuer l’intervention du Créateur à l’origine de la Vie…
“Il est clair que VIRCHOW s’est trompé en croyant que la granulation moléculaire n’est pas organisée, n’est pas vivante et n’est pas douée d’activité ; il a partagé l’erreur commune à tous les physiologistes, à tous les histologistes et à tous les chimistes. Et maintenant, vous comprenez combien l’étude des microzymas, de leur prodigieuse activité chimique et physiologique, prouve la grandeur de cette erreur.
En réalité, ce n’est pas la cellule qui est le support de l’activité vitale, ce n’est pas en elle que réside primitivement cette activité ; c’est dans le microzyma. Et c’est parce qu’il en est ainsi que la cellule ou un tissu quelconque ne sont pas le produit d’une génération spontanée ; c’est parce qu’il en est ainsi que la cellule formée par les microzymas dans des expériences in vitro aussi bien que dans l’organisme, n’est pas le résultat de l’action d’une force semblable à celle qui détermine la cristallisation.
Le microzyma forme l’organisme parce qu’il est organisé, et l’organisme est doué d’activité chimique parce que le microzyma en est déjà doué. (…)
Une cellule antérieure n’est pas nécessaire pour expliquer la formation d’autres cellules. Dans l’embryon, tous les tissus se forment plus ou moins rapidement, d’une manière plus ou moins analogue, sans qu’on aperçoive d’abord une cellule présider à leur développement. Sur les plaques ou dans des masses uniformément granuleuses, où l’on n’aperçoit d’autre élément figuré que le microzyma, on reconnaît, à un moment donné, les formes cellulaires en voie de formation et se complétant peu à peu. Jamais dans un liquide on ne voit se former une cellule ou un vibrionien sans qu’on note préalablement les microzymas qui en sont le point de départ. (…)
Nous verrons que dans un organisme déjà adulte, des cellules se forment par les microzymas suivant le même mécanisme. Encore une fois, pour qu’une cellule naisse, il n’est pas besoin d’une cellule antérieure : le microzyma et le milieu créé par son activité chimique au sein de la masse qui le contient, suffisent. (…)
De même que par progression, les microzymas sont des facteurs de cellules (entendez ici “bâtisseur” et non employé des PTT !), toute cellule, tout tissu, reviennent aux microzymas par régression.”
Et Béchamp ajoute un peu plus loin :
“La fin physiologique d’une cellule, c’est sa dissolution, sa régression, son retour aux microzymas formateurs : quand la cellule se détruit, les microzymas restent”.
L’examen de sang frais au microscope optique à fond noir permet de visualiser non seulement les microzymas libres évoluant dans le sérum, mais également les différentes cellules sanguines, les plaquettes, la fibrine, des cristaux…Il est d’ailleurs étonnant de constater que les divers globules blancs sont remplis de microzymas vivants qui se déplacent à l’intérieur du cytoplasme. Il semble que l’une des fonctions des divers globules blancs soit justement de transporter les microzymas là où il y a besoin de main-d’oeuvre !
Il est fréquent de voir des globules rouges en souffrance ou en fin de vie, baptisés “echinocytes”. Ces globules rouges sont devenus sphériques, ils apparaissent plus petits, et leur paroi présente alors un aspect granuleux caractéristique qui correspond à la réalité des microzymas qui en sont les briques de base.
En général, au bout de 48 heures, il ne reste plus une seule cellule entière mais des milliers de microzymas qui peuvent alors évoluer et travailler indépendamment des cellules d’origine.
Et Béchamp continue : “Il en est de même des bactériens : quand la bactérie disparaît, les microzymas reparaissent”.
Là encore, nous pouvons confirmer cette réalité par nos observations. Nous avons pu observer par exemple le crachat d’une personne souffrant d’infection chronique trachéale. L’examen montrait de manière claire des bactéries ressemblant à des borrelias. Après 18 heures sur la paillasse du microscope, sur la même lame, les bactéries avaient disparu complètement et les microzymas qui les constituaient avaient construit ce qui semble correspondre à un véritable arbre bronchique.
Nous pouvons donc mettre de côté toutes les peurs, à la mode aujourd’hui, autour de la soi-disant maladie de Lyme.
Et puisque nous en sommes à parler des bactéries dans cette rubrique, notons que des scientifiques se passionnent aujourd’hui pour l’étude des bactéries intestinales, allant jusqu’à parler de la découverte d’un nouvel “organe” propre et distinct, avec ses spécificités, capable d’influencer le psychisme. Aux Pays-Bas en particulier, certains chercheurs testent des procédés de “contamination” de la flore intestinale de sujets malades par d’autres flores en provenance de “donneurs”. Ainsi, la flore de donneurs minces et sportifs pourrait influencer favorablement le comportement et la santé de malades obèses et diabétiques.
Ces phénomènes font penser aux troubles de la personnalité que l’on observe à la suite des transfusions sanguines ou lors des greffes d’organes. Tout se passe comme si les microzymas étrangers véhiculaient avec eux des informations émotionnelles acquises par les donneurs. Et ces informations émotionnelles “parasiteraient” en quelque sorte les receveurs. Mais, de même que les greffes ont tendance à être rejetées, il est probable que les microzymas installés artificiellement dans l’intestin des receveurs n’y resteront pas et que l’amélioration ne serait donc pas durable.
Béchamp observe que les bactéries présentes dans les aliments ne subsistent pas à leur passage dans l’estomac.
“Dans l’estomac d’un chien en digestion, il y a des bactéries qui, physiologiquement, passent avec les produits digérés dans l’intestin grêle ; et un peu au-delà du pylore, on n’en retrouve plus, il n’y a que des microzymas ; mais les bactéries reparaissent dans le gros intestin et même un peu auparavant”.
Et nous ne connaissons pas très bien l’origine des bactéries présentes et “fabriquées” dans l’intestin : s’agit-il des microzymas propres à l’individu et présents normalement dans l’intestin ? Ou bien de microzymas présents dans les aliments ? Ou bien d’un mélange des deux avec – au bout de quelques temps – évacuation des bactéries d’origine étrangère ? Cette dernière hypothèse permettrait d’expliquer l’influence de certains aliments sur le psychisme ou l’atténuation de certains troubles par l’ingestion quotidienne de “probiotiques” comme l’ultra-levure. C’est incontestablement une affaire “à suivre” et à approfondir !

LES MICRO- ORGANISMES
Selon la science officielle, les micro-organismes seraient des êtres organisés autonomes, avec trois niveaux de complexité dans leur organisation :

  • 1 – Les EUCARYOTES chez lesquels il est possible de visualiser un noyau délimité par une membrane et possédant un nucléole. Ils sont constitués d’une ou de plusieurs cellules. Ils ont parfois la forme d’un filament possédant plusieurs noyaux : les cœnocytes. Sont classés dans ce groupe les algues, les mycètes et les protozoaires. Une amibe mesure entre 400 et 600 micromètres (µm), une paramécie entre 150 et 200 µm, une levure entre 1 et 30 µm. (Pour convertir les µm en nanomètres, il suffit de multiplier par 1000 : 1 µm = 1000 nm).
  • 2 – Les PROCARYOTES ne possèdent pas de noyau. Ce sont les bactéries. Selon la science officielle, ils possèderaient un simple chromosome libre dans leur cytoplasme . Leur taille varie entre 0,5 et 3 µm, soit 500 à 3000 nanomètres (nm).
  • 3 – Les VIRUS qui seraient à la frontière entre le vivant et le minéral et auraient un fonctionnement très particulier, parasitant obligatoirement des cellules pour pouvoir vivre et se reproduire. La taille des virus varie entre 30 et 300 nanomètres…

L’unité entre ces trois catégories se situe au niveau du fonctionnement : ils se nourrissent, vivent des combustions internes et des réactions chimiques grâce à des enzymes ou zymases, évacuent des déchets et réagissent positivement aux réactifs de l’ADN. Ils seraient par ailleurs capables de se reproduire.

LES EUCARYOTES
Parmi les eucaryotes, on distingue les algues microscopiques, les protozoaires et les mycètes. Dans les trois cas, il s’agit déjà d’êtres organisés complexes, disposant d’une autonomie évidente.
Les algues microscopiques sont des êtres vivants complexes uni ou pluricellulaires, ne disposant pas d’une mobilité active. Elles sont capables de photosynthèse, c’est-à-dire qu’elles transforment l’énergie solaire en énergie chimique et elles peuvent fabriquer leurs constituants à partir des matières premières inorganiques présentes dans l’environnement : elles sont “autotrophes”, c’est-à-dire qu’elles se suffisent à elles-mêmes. Leur paroi cellulaire est plus ou moins rigide, à base de cellulose et de pectine. Leur reproduction se ferait par fission, c’est-à-dire division de la cellule-mère en deux cellules-filles identiques. Même lorsqu’elles atteignent des tailles macroscopiques (visibles à l’oeil nu), voire plusieurs mètres de longueur, les algues ne présentent jamais de différenciation ou de spécialisation cellulaire comparables à celles des végétaux ou des animaux. Il semble s’agir du premier niveau d’évolution des êtres vivants complexes. L’examen de la spiruline au microscope optique montre une organisation spiralée particulière. Sous la membrane cellulosique, les cellules sont alignées de manière très régulière. Lorsque la spiruline se démonte – au bout d’un certain temps sur la lame du microscope – les microzymas libres qui ont bâti ces structures sont très nombreux.
Les protozoaires sont des êtres vivants complexes, unicellulaires, de taille variable – de 1 µm à 2 mm – le plus souvent microscopiques. Ils n’ont pas de paroi rigide et ils sont incapables de réaliser la photosynthèse : ils sont de ce fait “hétérotrophes” (ils doivent se nourrir à partir de corps organiques qu’ils trouvent à l’extérieur). Ils sont mobiles : ils se déplacent à l’aide de cils, de flagelles ou par des mouvements amiboïdes. Les cils ou flagelles sont constitués d’un squelette axial recouvert d’une membrane qui prolonge la membrane cytoplasmique. Ils se nourrissent de matières organiques puisées dans leur environnement par des mécanismes de phagocytose ou tout simplement d’osmose pour les molécules solubles. Ils sont retrouvés en particulier dans les milieux aquatiques ou éventuellement comme parasites à l’intérieur de tissus animaux ou humains.
La reproduction se ferait par fission binaire asexuée la plupart du temps. Leur développement exige une température comprise entre 15 et 25°, jamais au-delà de 40° ; et un pH neutre entre 6 et 8. Certaines espèces sont capables de former des kystes pour pouvoir supporter la dessiccation (absence d’eau) ou l’absence d’éléments nutritifs.
Les mastigophores se déplacent à l’aide de flagelles et ils peuvent venir parasiter les hommes – en particulier :

  • 1- trichomonas vaginalis dans le vagin,
  • 2- giardia lamblia dans l’intestin,
  • 3- trypanosoma gambiense atteignant le système lymphatique puis à partir de là tout l’organisme dont le système nerveux dans la maladie du sommeil (Afrique).
  • 4- trypanosoma cruzi dans la maladie de Chagas (atteinte sous-cutanée puis du muscle cardiaque, de l’appareil digestif et du système nerveux), en Amérique centrale et au Sud des USA.

Les sarcodines se déplacent grâce à des pseudopodes développés à partir du cytoplasme. Une espèce est connue pour parasiter l’homme : entamoeba histolytica ou amibe. Les ciliés disposent de cils répartis sur toute leur surface. Chez l’homme, le balantidium coli peut venir parasiter le tube digestif. Ce parasite est déjà bien organisé, le mouvement de ses cils lui permet de se déplacer dans un mouvement spiralé, il dispose d’un orifice lui servant de bouche et d’un autre lui permettant l’évacuation des résidus. La présence de ce parasite est le plus souvent inoffensive. Les symptômes aigus sont rares et assez comparables à l’entérite amibienne.
Les sporozoaires n’ont pas d’appareil locomoteur, ils ont un cycle évolutif complexe avec des phases de reproduction alternativement sexuées et asexuées chez des hôtes différents. Certains sporozoaires se retrouvent dans des maladies humaines, en particulier le plasmodium malariae dans le paludisme, le toxoplasma gondii dans la toxoplasmose et le pneumocystis carinii lors de certaines pneumonies sévères.
La plupart des protozoaires sont donc des parasites déjà bien organisés. Ils sont souvent sensibles aux antibiotiques en cas de maladie humaine. Il est clair qu’ils ne peuvent se développer chez leur hôte que si celui-ci peut bénéficier en quelque sorte de leur présence pour manifester son mal-être.

Les mycètes sont également des êtres vivants complexes, uni ou pluricellulaires, hétérotrophes comme les protozoaires, mais immobiles. Leurs cellules sont entourées d’une paroi de chitine. Ils se reproduisent par divers mécanismes sexués ou asexués. S’ils sont de taille macroscopique, ils sont constitués essentiellement de filaments longs, denses et ramifiés (moisissures et champignons) : le mycélium. Ils vivent essentiellement dans le sol humide. Ils dégradent la matière azotée provenant des cadavres des autres animaux ou des débris végétaux. C’est la croissance du mycélium qui leur permet d’accéder à leur source de nourriture et de rencontrer les souches avec lesquelles ils vont se reproduire de manière sexuée.
À l’intérieur des filaments, il peut exister ou non des cloisons de chitine. Le nombre de noyaux y est variable. Il existe aussi des organes de fructification dans lesquels sont produites les spores pour une reproduction asexuée. Chaque spore est une petite cellule avec un noyau, un cytoplasme déshydraté et une membrane cytoplasmique protégée par une enveloppe extérieure. Elles sont disséminées essentiellement dans l’air. Sitôt dans un milieu favorable, elles germent et donnent naissance à un nouveau mycélium.
Les levures possèdent une organisation cellulaire vraie. Leur morphologie est très variable, sphérique, allongée, ovalaire. Elles se reproduisent le plus souvent de manière asexuée par bourgeonnement. La reproduction peut aussi se faire par fission binaire à l’échelle de chaque cellule.
Certains mycètes peuvent parasiter l’homme, en particulier : histoplasma capsulatum, blastomyces dermatidis, cryptococcus néoformans et coccidioides immitis.

CONCLUSION
Tous ces micro-organismes eucaryotes ont une organisation cellulaire complexe avec de nombreux organites spécialisés. Même s’ils sont la plupart du temps invisibles à l’oeil nu, ils ont une taille relativement importante. Ils se reproduisent soit par division en deux, soit par le biais de mécanismes plus ou moins sexués. A moins qu’ils ne soient bâtis par les microzymas, comme toutes les cellules et les êtres organisés à tous les niveaux.

Comme tous les organismes complexes, nous pouvons les considérer comme des êtres vivants organisés et autonomes bâtis par des microzymas. Il est clair dans tous les cas que ces créatures restent extrêmement frustres par rapport à un insecte, voire un mammifère et encore plus par rapport à un être humain.
Ils peuvent vivre indépendamment ou bien être des parasites et vivre alors aux dépens d’un autre organisme. À ce titre, on peut les regrouper avec certains parasites plus complexes qui vivent à l’intérieur d’êtres vivants plus évolués : les oxyures, les ascaris, le tænia, les schistosomes (bilharziose), la douve du foie, etc.… Il est possible de parler ici de “contamination” et de “contagion”. Mais ces phénomènes ne relèvent pas d’un mécanisme de guerre ou d’invasion au sens propre. Il n’y a pas de volonté sadique de détruire chez ces “envahisseurs”, mais une sorte de quête de symbiose, de “convivialité” : vivre ensemble. L’être parasité fournit des nutriments, le parasite permet à son hôte d’exprimer un mal-être, une souffrance psychologique. Ainsi, les oxyures racontent un conflit d’identité. Le plasmodium malariae (paludisme) un conflit de déracinement en lien avec un exil loin du pays natal, etc.
Nous savons que – au cours de la vie embryonnaire, pendant les trois premiers mois de la vie intra-utérine – le petit enfant passe par tous les stades de la vie qui ont précédé l’espèce humaine. Il est d’abord l’équivalent d’un être unicellulaire comparable à une algue, puis un coquillage, un oursin, un poulpe, un poisson, un serpent, etc. Il garde des mémoires et des vestiges physiques de chacun de ces stades. Ce n’est qu’à partir du début du 4e mois qu’il est apte à accueillir l’esprit, c’est-à-dire la conscience et l’intelligence, entre autres choses.

Il est bien évident que, pour pouvoir envisager de faire la guerre, il faut d’abord et avant tout disposer d’une intelligence et d’une conscience particulièrement développées qui relèvent de la dimension de l’esprit. Bien sûr, certains mammifères évolués disposent déjà d’un certain niveau d’intelligence et de conscience. Mais seul l’être humain – qui semble bien “dominer” la création sur la terre au sens où il se situe à un sommet de l’organisation, de la beauté, de l’intelligence et de la conscience – pratique la guerre, les génocides, les tortures, le sadisme. Il ne semble donc absolument pas raisonnable de penser que ces Eucaryotes puissent mettre en place des stratégies de guerre. La théorie sur laquelle repose toute la médecine officielle relève donc d’un mythe inconcevable. La guerre bactériologique est invraisemblable : il faut chercher la cause des maladies ailleurs !

LES PROCARYOTES OU BACTERIES
Ils sont en moyenne 100 fois plus petits qu’une cellule classique, ils n’ont pas de noyau, et ils peuvent former des filaments. On retrouve généralement dans leur paroi un complexe glucidique particulier, le peptidoglycane. Ils peuvent parfois réaliser la photosynthèse.
Selon la science officielle, leur reproduction se ferait par scissiparité : ils se coupent en deux. Par ailleurs, ils répondent positivement aux réactifs ADN et pourraient donc contenir ces molécules.
Les bactéries sont hétérotrophes : elles doivent trouver à l’extérieur leurs éléments nutritifs. Par contre, elles peuvent secréter des “exo-enzymes” pour hydrolyser certains éléments nutritifs trop volumineux.
L’étude des bactéries par les biologistes officiels leur permet d’aboutir à une classification ou répertorisation.
Selon eux, il existe deux grands types de bactéries selon qu’elles sont colorées ou non par la coloration de Gram. La paroi des bactéries “gram +” contiendrait peu de lipides, les “gram –” en contiendraient plus.
Par ailleurs, ils différencient trois types morphologiques : les bactéries sphériques, les bactéries allongées et les bactéries spiralées :

  • – Les COCCI sont les bactéries sphériques. Elles peuvent être parfaitement sphériques comme le staphylocoque doré, en forme de fer de lance comme le streptocoque pneumoniae ou en forme de grains de café comme le neisseria gonorrhoeae ou gonocoque. Elles se disposent les unes par rapport aux autres de manière variable : en amas, ou par deux (diplocoques), ou en chaînettes.
  • – Les BACILLES ressemblent à des bâtonnets aux extrémités souvent arrondies. Elles peuvent aussi être effilées ou carrées. Souvent, les bacilles diphtériques sont disposés en palissades, et le bacille tuberculeux en Y par assemblage de trois.
  • – Les SPIRILLES ont une apparence spiralée. C’est au sein de ce groupe que l’on trouve les plus grandes bactéries.
    La microscopie électronique permet d’aller plus loin dans cette classification.
  • – Dans certains cas, les bactéries sont recouvertes d’une capsule plus ou moins épaisse et visqueuse qui favorise leur adhérence sur les cellules côtoyées.
  • – Elles sont parfois équipées de « pili » , à savoir de fins prolongements leur permettant d’adhérer et d’échanger entre elles et le milieu environnant. Elles peuvent aussi disposer d’un ou plusieurs flagelles pour se déplacer par des mouvements spiralés.
  • – On trouve souvent à l’intérieur des bactéries ce que l’on nomme un mésosome, c’est-à-dire une sorte de sac situé près de la surface de la bactérie et contenant des lamelles.
  • – Certaines bactéries peuvent former des endospores qui leur permettent de survivre dans un environnement difficile. Elles sont alors recouvertes d’une membrane épaisse supportant des températures anormales et certaines radiations. Elles entrent en dormance et peuvent rester ainsi plusieurs années.

Les travaux de Béchamp permettent de mieux comprendre le rôle et la place de ces procaryotes :
“Il ne faut pas vous imaginer que le microzyma se convertit en bactérie sans aucune transition : on peut au contraire constater plusieurs formes intermédiaires entre le microzyma et la bactérie. Nous en parlerons tout à l’heure : il faut seulement que vous vous souveniez que le milieu a une grande influence sur l’apparition de telle ou telle forme de l’évolution du microzyma, et qu’il y a une infinité d’espèces quant à la fonction ; enfin que selon le milieu, le microzyma peut produire des cellules au lieu de bactéries, de véritables microcytes celluleux et des moisissures”.
Travaillant sur des végétaux, du lait et de la viande, en multipliant les expériences avec une extrême rigueur, il en arrive à la conclusion suivante : Il semble exister des bactéries à un degré inférieur de développement dans les végétaux, mais aussi dans les muscles et organes de l’animal encore vivant.
“Au moment de la mort d’un animal sacrifié dans l’état de santé, dans tous les tissus, à tous les âges, les microzymas sont tous indépendants.
Dans les conditions que je viens de spécifier, on peut observer des microzymas accouplés à deux grains, ou à plus grand nombre de grains formant des chapelets. Plus tard, les granulations s’allongent de façon à présenter un petit et un grand diamètre. Bientôt, ces caractères s’accentuent encore davantage et on a de véritables bactéries, quelquefois même de vrais leptothrix, c’est à dire de très longs filaments. Très souvent, on peut apercevoir toutes ces formes les unes à côté des autres. Il existe aussi des formes intermédiaires difficiles à décrire ; il y a des bactéries articulées en séries linéaires ou brisées, mobiles, progressant dans diverses directions et agitant leurs articles. Souvent aussi, quand on observe à temps, on voit des vibrions se mouvant avec une rapidité singulière, traversant le champ du microscope comme une flèche, ou tournoyant sur eux-mêmes en progressant. On en voit d’ondulés (spirillum) etc.. Mais toutes ces formes disparaissent bientôt et l’on n’a plus que des bactéries typiques, c’est à dire un bâtonnet plus ou moins long.  Puis la bactérie devient immobile, s’allonge sans augmenter de largeur, et un seul article peut acquérir jusqu’à 0,01 millimètre et même davantage. Enfin, dans certains milieux, on voit apparaître des bactéries mobiles ayant un point brillant à l’une des extrémités : la bactérie à point brillant ou à tête. En résumé, les divers vibrions, le bactérium chaînette, le bactérium termo, le bactérium capitatum, la bactéridie ne sont que les diverses phases du développement des microzymas, ou de certains microzymas, plus ou moins dépendants de la nature du milieu.”

CONCLUSION
La plupart des bactéries ou procaryotes sont donc des constructions déjà élaborées, moins certes que les cellules. Elles ne sont parfois que de simples juxtapostions de microzymas. Mais il est certain que – comme pour les cellules – ce sont les microzymas qui conditionnent leur apparition en fonction de la qualité du milieu intérieur. Et c’est bien sûr le cerveau – pilote automatique du fonctionnement de notre corps – qui met en oeuvre toutes ces évolutions !
En pratique, il faut donc dédramatiser la présence de bactéries à l’intérieur de notre corps ou dans notre sang. Leur présence est habituelle. Nos observations sur le sang vivant en quête de microzymas nous montrent très souvent des bactéries : coques, bacilles, spirilles… Nous avons pu observer de nombreuses fois le fameux “vibrion” décrit par Béchamp, faisant penser à un “chef de patrouille” ou à un adjudant mettant ses effectifs en bon ordre.
Là encore, la théorie selon laquelle les bactéries auraient une vie propre associée à une intelligence démoniaque et cynique dans le but de nous détruire ou au moins de nous nuire, est totalement absurde.
La présence d’une bactérie coïncide toujours avec un travail de réparation salutaire. Et une fois celui-ci achevé, elle se “démontera” pour redonner des microzymas. Ces derniers pourront alors se consacrer à d’autres activités.
Dans tous les cas, la bactérie n’est jamais la cause d’une maladie. Elle est un symptôme parmi d’autres. De même que les mouches qui tournent autour d’un tas de fumier n’ont pas produit le fumier en question, mais veillent à redistribuer cette matière azotée pour fertiliser l’humus aux alentours, de même les bactéries sont des intermédiaires précieux pour retrouver la santé.
Il faut être conscient cependant que, dans certaines circonstances, la pullulation microbienne peut être excessive ou bien source d’empoisonnement toxinique. Ma pratique médicale avec les très nombreux malades que j’ai accompagnés depuis 1973 d’une part, toutes mes recherches par ailleurs autour des vaccinations, et l’histoire de la médecine, m’ont finalement convaincu que ces dérives ont pour origine une carence vitaminique, essentiellement en Vitamine C !
Tous les chercheurs authentiques sur la question – que ce soit le Pr. Linus Pauling, le Dr Archie Kalokerinos, le Dr Irvin Stone et bien d’autres – sont unanimes ! Ils ont pu démontrer que l’homme est incapable de synthétiser cette précieuse substance de même que la plupart des primates, créés pour vivre et être frugivore dans une zone équatoriale ou tropicale où les fruits sont particulièrement riches en Vitamine C naturelle.
Par ailleurs, ils ont démontré que chaque situation de stress intense multiplie les besoins vitaux : ce qui est tout à fait logique puisque les oxydations sont majorées par les stress et surtout par le travail de réparation, et donc par la production de substances oxydées et de radicaux libres. C’est un peu comme une bougie se consumant dans de l’oxygène pur : elle développe une flamme énorme et brûle en quelques minutes.
Nous pouvons passer en revue quatre circonstances particulières qui confirment cette hypothèse :

  • 1 – la fièvre puerpérale au XIXe siècle

Le Dr Ignace Philippe Semmelweiss (1818-1865) semble démontrer la réalité de la contagion microbienne et ses conséquences désastreuses. La réalité microbienne est encore mal connue. Dans les hôpitaux publics, les sages-femmes ont été évincées la plupart du temps et les étudiants en médecine apprennent leur métier sur le tas. Ils passent de la salle de dissection des cadavres à la salle d’accouchement sans même se changer ni se laver les mains.
Si cet homme est manifestement sincère et de bonne volonté, il nous faut tenir compte du contexte.
À l’époque, la flambée industrielle a provoqué un énorme exode rural pour remplir les usines. Les populations déracinées sont enfermées dans des cités dortoirs, la pollution industrielle frise la démence, la nourriture est pauvre, carencée, voire frelatée, l’eau est polluée. Il est clair que la carence vitaminique est profonde. Le cynisme des étudiants et leur manque de respect pour les parturientes va être un traumatisme supplémentaire pour ces pauvres femmes. Tous ces stress, bien sûr, ne pouvaient qu’augmenter la situation de carence vitaminique.
Les bactéries transmises ou inoculées par le corps médical véhiculaient des microzymas missionnés pour démonter les cadavres des tables de dissection. En l’absence de Vitamine C, il leur était impossible de prendre conscience qu’ils n’étaient pas “chez eux” en quelque sorte. Ils étaient un peu comme des individus perdus dans un nuage de fumée noire lors d’un incendie. Et ils continuaient donc à démonter la matière organique autour d’eux, provoquant la mort des femmes contaminées.
Je crois que nous devrions cesser une fois pour toutes de parler de système immunitaire. C’est un mythe infantile et sans le moindre fondement scientifique.
Par contre, il existe de toute évidence un système identitaire à l’échelle des microzymas. Des bactéries étrangères à un organisme ne sont jamais invasives car elles savent qu’elles ne sont pas chez elles.
Tous les microzymas ont pour fonction essentielle de bâtir et de faire fonctionner les organismes vivants. Non de les détruire. Si donc ces bactéries étrangères et les microzymas qui les ont bâties ont pu être inopportuns et malvenus dans les cas dénoncés par le Dr Semmelweiss, c’était une conséquence du scorbut et non une malveillance bactérienne ou microzymienne !
Nous pouvons ranger dans la même catégorie certaines infections provoquées par des morsures d’animaux.
Il est clair qu’une plaie profonde, dilacérant le muscle en profondeur et saignant plus ou moins abondamment, peut entraîner une infection locale avec abcédation et gonflement parfois impressionnant. Au niveau des mains, ces infections peuvent enflammer les gaines tendineuses et déclencher des douleurs qui remontent vers l’avant-bras et le bras.
Ayant vécu une mésaventure de ce genre début février 2015, je peux parler en connaissance de cause.
Je me suis fait mordre par un vieux chat sauvage, l’un de ses crocs pénétrant très profondément dans la pulpe de mon index droit, l’autre croc pinçant très violemment la masse musculaire correspondante.
Mon doigt a doublé de volume très rapidement et une collection purulente s’est développée sous la peau qui s’était refermée trop hâtivement.
Tout cela a guéri en moins de 8 jours :
1 – En augmentant simplement les doses de complexe de vitamines B et la vitamine C,
2 – En faisant localement des pansements alcoolisés alternés avec des cataplasmes d’argile.
Mon corps m’informait de manière très précise de l’évolution de la situation : si j’oubliais les soins, les vitamines ou la prise de sucre (bonbons), la douleur repartait, en particulier au niveau de la gaine tendineuse au-dessus du poignet.
Le pus examiné au microscope à fond noir ne présentait aucun germe ! Les microzymas y étaient nombreux et vifs et grouillaient tout particulièrement à l’intérieur des globules blancs. Je pense que les “biologistes” officiels auraient mis ce pus en culture dans des boîtes de gel nourrissant. Ils auraient obtenu l’apparition de germes spécifiques non pas de la lésion ou de l’agression qui en était la cause, mais en fonction du type de boîte de gel utilisé : les constantes bioélectroniques, l’oxygène ou non, les éléments nutritifs. Avec Béchamp, nous savons parfaitement que ce sont ces conditions locales qui déterminent la construction par les microzymas de tels ou tels germes particuliers.
Dans la réalité du vivant, j’ai donc pu constater la présence d’un chantier particulièrement animé, mais pas le moindre germe. Ce que nous prenons pour une guerre n’est donc rien d’autre qu’une réparation en profondeur de lésions mécaniques plus ou moins importantes, avec évacuation de tissus nécrosés et peut-être (mais cela reste à démontrer) l’évacuation de bactéries étrangères. J’ai pu observer à maintes reprises sur le vivant que le pus et les diverses secrétions purulentes ne contiennent que rarement des germes, sauf s’il s’agit d’une problématique ancienne. Est-ce que les microzymas, en pareil cas, se mettaient à plusieurs pour résoudre une situation persistante et gênante ?
Je pense que le problème majeur de ce type de lésion est d’abord et avant tout l’évacuation des tissus nécrosés et dilacérés par la violence du traumatisme mécanique. Il y a 30 ans, les médecins n’hésitaient pas à inciser ce genre de lésions pour faciliter cette évacuation et accélérer la guérison. L’utilisation des antibiotiques bloque le travail des microzymas et abâtardit le tableau clinique en le faisant traîner en longueur. Les vitamines, au contraire, potentialisent le travail des microzymas.

  • 2 – Les toxi-infections : tétanos, botulisme, diphtérie

Ces maladies se caractérisent par deux pôles actifs : un foyer localisé dans une région du corps avec développement de bactéries et une imprégnation toxinique des cellules nerveuses de l’organisme à partir du foyer bactérien. En général, le foyer primaire est peu évident, alors que les manifestations toxiniques sont tout à fait spectaculaires : en particulier l’opisthotonos pour le cas du tétanos avec le malade qui spasme tous ses muscles, se rigidifie et bloque, entre autres choses, la respiration.
Les bactéries étant construites par les microzymas du malade, il est étonnant de les voir fabriquer une toxine d’une si grande nocivité. Et ce constat pourrait remettre en cause les travaux de Béchamp et son regard sur la maladie.
Pourtant, l’injection intraveineuse de magnésium à dose suffisante sous une forme ou une autre guérit le tétanos en une demi-heure environ. Et si l’on opte pour une injection de Vitamine C, la guérison intervient dans les minutes qui suivent. Il semble que ces substances permettent aux microzymas d’effectuer non seulement la neutralisation des toxines partout où elles se trouvent, mais surtout qu’elles stoppent la synthèse de ces toxines au niveau des bactéries.
Il est donc probable que la synthèse de ces toxines ne relève pas d’une soi-disant intention malveillante des bactéries mais plutôt d’un désordre lié au scorbut. D’autant que l’un des symptômes de la maladie de Barlow (scorbut infantile) est justement l’opisthotonos !

  • 3 – Les bronchites aggravées – pneumocystoses ou autres

Il est fréquent de constater l’apparition de broncho-pneumopathies graves – et même souvent asphyxiantes (avec perte d’une partie de la capacité respiratoire) – chez des personnes étiquetées VIH positif (sida). Bien sûr, ces personnes, selon la médecine officielle, présenteraient une immunodéficience qui les fragiliserait et expliquerait la gravité de ces atteintes. Ces malades subissent alors des traitements “officiels” d’une telle violence qu’ils n’y résistent pas. Et la faute est attribuée aux prétendus virus et aux très méchantes bactéries qui les ont accompagnés.
La médecine psychosomatique nous propose un vision totalement différente. Pour elle, toute pathologie est liée à un stress psychoaffectif violent et la maladie est bien souvent le processus de guérison d’une pathologie grave. C’est d’ailleurs au moment de cette bascule en guérison que les évènements tournent mal, d’autant plus si le patient est soumis à des thérapies trop agressives.
Le stress responsable d’une atteinte broncho-pulmonaire est ce que l’on nomme la MENACE SUR LE TERRITOIRE. Toute situation qui nous “pompe l’air”, selon le langage populaire familier, est susceptible de provoquer ce type de pathologie. La pathologie elle-même est en général totalement silencieuse – mis à part un certain énervement, un peu de tension et un discret amaigrissement. Par contre, la bascule en maladie est très “bruyante” en quelque sorte, avec des douleurs, des températures élevées, des glaires et de la toux en abondance, et très vite des sécrétions purulentes.
Il nous faut bien comprendre que tous ces mécanismes de survie nécessitent de gros moyens pour nos microzymas, tant en matériaux, qu’en combustible (sucre) et en vitamines anti-oxydantes. Les besoins en Vitamine C en particulier doublent au moindre stress.
Une personne qui subit le prétendu diagnostic de séropositivité VIH avec le pronostic qui l’accompagne est bien évidemment catastrophée. C’est pour elle un effondrement sur tous les plans : celui de la simple survie bien sûr, mais aussi celui de son image face aux autres, et de sa responsabilité face à la santé de ses proches. Elle se retrouve véritablement “pestiférée”, elle vit la peur dans la nuque, l’exclusion et la culpabilité au plus haut point. Tout cela est bien sûr pour elle une effroyable “menace sur le territoire”. Cette situation augmente de façon considérable ses besoins en Vitamine C.
Quand par bonheur elle peut sortir de la peur de la médecine officielle, elle va vivre – en plus de sa fièvre et de sa broncho-pneumopathie – des céphalées intenses liées à la guérison des foyers de Hamer correspondants dans son cerveau. Ces phénomènes vont avoir tendance à réactiver sa peur et son angoisse. Le processus de guérison va être interrompu, ce qui va diminuer l’inflammation, les céphalées et l’intensité des symptômes de maladie. Du coup, elle va repartir en guérison et l’inflammation et les céphalées repartent … et ainsi de suite. Cela va faire de ce conflit ce que l’on appelle “un conflit en balance”, à savoir un conflit qui se réactive régulièrement.
À moins d’une complémentation suffisante en Vitamine C et en vitamines B, et d’une intense vie spirituelle (*), l’évolution sera bien évidemment chaotique et plus qu’inconfortable ! Et ce n’est pas la faute des microzymas ou des bactéries, mais bien de notre médecine officielle et de ses grands prêtres que nous déifions un peu trop.

  • 4 – La Mort subite du nourrisson

Je ne peux qu’inviter mes lecteurs à découvrir les travaux du Dr Archie Kalokerinos (**), ce médecin généraliste australien qui fut confronté à ce fléau au sein de sa clientèle infantile.
Après des années de travail qui l’ont amené au bord de la désespérance, c’est un vieux médecin proche de la retraite qui l’a orienté sur le diagnostic de maladie de Barlow (scorbut infantile).
La supplémentation systématique des enfants en Vitamine C lui a permis de passer d’une mortalité infantile de 50% à 0% pratiquement du jour au lendemain !
Le scorbut, comme la maladie de Barlow, se manifestent par des symptômes précis qui manifestent de manière évidente l’impact du stress et la réalité de l’hyperoxydation (voir encadré). Nous y retrouvons donc quelques manifestations évidentes de ce que nous venons d’évoquer pour les personnes étiquetées SIDA.
Malheureusement, de nos jours, les médecins ont complètement oublié cette problématique, tout particulièrement chez les bébés. Ce qui est à l’origine de bien des catastrophes et d’erreurs judiciaires puisque très souvent, les parents d’enfants souffrant de la maladie de Barlow sont poursuivis et condamnés pour soi-disant maltraitance à enfant !

Dans un prochain numéro de la revue, j’aborderai la question des VIRUS.

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