La semaine dernière, un titre de journal a vivement attiré mon attention : « Des chercheurs révèlent pourquoi les cancers se propagent souvent dans les poumons ». Super, me dis-je, je vais enfin apprendre quelque chose d’intéressant sur la santé en lisant mon quotidien. Après lecture, je peux cependant vous dire que je me suis fait berner et que je n’ai rien appris sur les métastases pulmonaires.
En fait, l’article détaille comment les cellules cancéreuses s’incrustent dans les poumons – un processus biochimique complexe faisant intervenir une protéine et un acide aminé spécifiques – mais n’explique absolument pas pourquoi. Comme c’est souvent le cas, les scientifiques prétendent divulguer les causes d’un phénomène alors que leurs « découvertes » se résument à en décrire les conséquences.
Si ces chercheurs avaient vraiment trouvé quelque chose d’important, ils pourraient nous dire pour quelle raison la protéine impliquée dysfonctionne au lieu de noyer le poisson et de tromper l’opinion. C’est une peu comme si des experts en aéronautique nous expliquaient les accidents aériens en nous disant que les avions crashés s’écrasent au sol parce qu’ils perdent de l’altitude : ça sert à quoi, ce genre d’expertise descriptive mais pas du tout explicative ?
Si ce type d’article sans intérêt m’agace, c’est parce que de vrais découvreurs ont déjà fait le job et dissipé le mystère depuis belle lurette. Grâce à la Médecine Nouvelle du Dr Hamer, on sait très bien pourquoi, chez plus de la moitié des patients atteints de cancer qui présentent des métastases, celles-ci se forment dans les poumons, l’autre petite moitié se répartissant essentiellement entre le foie, les os et le cerveau. La clé principale de cette énigme, c’est que les métastases ne sont pas ce qu’on croit !
Voyage en absurdie
Pour la médecine officielle, un cancer métastasique est un cancer qui s’est propagé de l’endroit où il est d’abord apparu à une autre partie du corps. Étymologiquement, le mot « métastase » signifie d’ailleurs « changement de place ». Ce déplacement s’effectue soit vers un organe voisin ou vers des tissus proches (par exemple une tumeur de la prostate qui atteint la vessie ou un cancer du sein qui s’étend aux ganglions lymphatiques situés près des aisselles), soit à distance du site primaire (par exemple un cancer de l’estomac qui se déplace vers les ovaires ou un cancer du rein vers le cerveau).
Par quel miracle se produit cette deuxième catégorie de dissémination ? L’oncologie classique nous explique sans rire que des cellules cancéreuses quittent leur foyer initial avec leur baluchon et qu’elles voyagent à travers la circulation lymphatique et sanguine pour aller essaimer ailleurs. C’est du moins ce qui est supposé car cette migration cellulaire via le sang ou la lymphe est une théorie dénuée de preuve : on n’a jamais filmé de cellules baladeuses durant leur périple ni observé leur présence dans les fluides où elles sont censées naviguer. Tout ce que la science a réussi à faire, c’est à identifier dans la circulation des protéines libérées par la tumeur, mais pas les cellules tumorales proprement dites, dont la capacité à voyager est pure spéculation.
Les oncologues ont imaginé cette transhumance parce qu’ils ne peuvent expliquer autrement que les cellules métastasées ressemblent aux cellules tumorales primaires et ont parfois les mêmes comportements. Pour prendre une métaphore qui vaut ce qu’elle vaut, c’est un peu comme si la police française présumait que des individus de type africain ou asiatique sont des migrants illégaux venus par bateau parce qu’ils sont noirs ou jaunes. Or elle ne peut pas prouver que ces non-blancs viennent d’un autre continent ni qu’ils ont voyagé par voie fluviale ou maritime.
Mais y croit-elle vraiment, la médecine, à cette fable absurde de bébés cancers en croisière sur la lymphe et le sang ? Si elle y croyait, la moindre des précautions serait d’interdire le don de sang aux personnes en rémission d’une pathologie cancéreuse. Il serait en tout cas prudent de dépister d’éventuelles métastases comme on le fait avec le VIH pour les séropositifs, voire de remettre en cause la sécurité des transfusions puisque cette même médecine affirme que 10 % des cancers métastasiques surviennent spontanément, c’est-à-dire sans autre événement tumoral antérieur.
Soutenir que des cellules cancérigènes peuvent ainsi nager tranquillement dans nos veines et n’effectuer aucune analyse du sang récolté, c’est complètement incohérent ! On a connu des scandales sanitaires portés en justice pour moins que ça.
À la lumière des conflits
Admettons toutefois que cette histoire abracadabrante de cellules malades en balade tienne debout. Comment se fait-il que la gendarmerie, autrement dit le système immunitaire et ses escadrons de lymphocytes, ne procède pas immédiatement à leur arrestation ? Comment se fait-il que les cancers des vaisseaux sanguins soient peu fréquents alors les cellules cancéreuses voyageuses sont censées les emprunter ? Et surtout, comment se fait-il que les migrantes choisissent toujours les mêmes destinations ? Face au mystère de ces affinités très prononcées pour les poumons, le foie, les os et le cerveau, la cancérologie conventionnelle est le bec dans l’eau tandis que la Médecine Nouvelle Germanique (MNG) du Dr Hamer a résolu l’énigme depuis longtemps.
Si plus de la moitié des cancers métastasiques émerge dans les poumons, c’est pour la simple raison que ceux-ci sont particulièrement sensibles à la frayeur de mourir. Un cancer pulmonaire, c’est toujours la conséquence d’un conflit de peur tellement intense qu’il fait craindre pour sa vie et redouter la mort. Dans 100 % des cas de carcinome alvéolaire, on va trouver un choc psycho-émotionnel très brutal qui aura précédé de quelques mois l’apparition des premiers symptômes. Et qu’y a-t-il de plus paniquant que de recevoir un diagnostic de cancer ?
De manière tragique, c’est en effet l’annonce d’une première maladie cancéreuse qui fait souvent naître la deuxième. Et c’est pourquoi le cancer pulmonaire sera plus souvent un cancer secondaire qu’un cancer primaire : la peur du cancer – le Dr Hamer parlait de « conflit du diagnostic » – peut à elle seule déclencher une deuxième cancérisation dans les poumons !
Pour les soi-disant métastases osseuses, le ressenti conflictuel est différent : les os sont les tissus où s’exprime le profond sentiment de dévalorisation. Mettons-nous un instant à la place d’un homme de 60 ans qui apprend qu’il souffre d’un cancer de la prostate et qui entame un parcours de soin à base de chirurgie, de radiothérapie et/ou de chimiothérapie. En conséquence de ce protocole agressif, il risque fort de devenir impuissant, incontinent, ou les deux à la fois. Et quoi de plus dévalorisant pour un sexagénaire toujours vert de devoir porter des couches et/ou de renoncer à sa virilité ?
Il en va de même pour une femme atteinte d’un cancer du sein et obligée de subir une double mastectomie, perdant ainsi les attributs symbolisant par excellence sa féminité. Même si le bistouri peut « reconstruire » les organes perdus, y a-t-il blessure émotionnelle plus douloureuse que celle-là ? Comme par hasard, le cancer de la prostate et celui du sein se « communiquent » couramment aux os. Et comme par hasard, les métastases osseuses sont bien plus courantes que le cancer primitif des os. De manière à nouveau dramatique, ce sont cette fois les traitements du cancer qui provoquent ces « complications » souvent fatales.
Au demeurant, l’oncologie orthodoxe serait bien en peine d’expliquer pourquoi des tumeurs – c’est-à-dire un mécanisme de prolifération cellulaire – se métastasent en pathologie ostéolytique – c’est-à-dire en destruction cellulaire. Elles sont transgenres, peut-être ? Elles transitionnent de la multiplication anarchique vers la nécrose organisée parce que ça leur chante ? À force de porter des œillères, cette médecine du cancer ne réalise plus à quel point les scénarios qu’elle échafaude sont idiots. Une maladie qui crée de la matière ne peut pas subitement se transformer en maladie qui en soustrait, c’est aberrant, ça n’a pas de sens !
Les métastases hépatiques ? Ici aussi, la MNG aide à dissiper le brouillard. Pour la médecine nouvelle, le foie est l’organe particulièrement vulnérable à la peur de manquer. C’est bien sûr le manque d’argent et de nourriture, la peur de mourir de faim, qui fait office de menace principale. Il n’y a pas si longtemps en Occident, une maladie grave était synonyme de dégringolade sociale et de misère économique mortelle. Dans les pays du tiers-monde où règnent encore la famine et la malnutrition, le cancer du foie est précisément le plus répandu. C’est même la pathologie cancéreuse dont la prévalence est supérieure dans l’hémisphère Sud, ce qui est édifiant quant à ses causes réelles.
Le conflit de manque a cependant évolué avec les siècles et il peut aujourd’hui être relatif à des notions comme l’amour, la réussite ou la reconnaissance. Recevoir un diagnostic de cancer, surtout s’il est de mauvais pronostic, ça peut engendrer la peur panique de perdre ce à quoi ou ceux à qui l’on tient. Selon le Dr Claude Sabbah, concepteur de la Biologie Totale des Êtres Vivants, le conflit de manque peut également émerger par identification empathique avec ceux qu’on aime : « si je meurs, je vais terriblement manquer à ma famille, à mon conjoint, à mes enfants ». C’est très toxique pour le foie de se penser indispensable.
Le cerveau et son rôle
À la lumière de cet éclairage, le phénomène des métastases hépatiques n’est donc pas plus mystérieux que celui des métastases pulmonaires et osseuses. C’est un abus de langage par lequel la médecine désigne les nouveaux cancers provoqués par les chocs d’apprendre un premier cancer. Quid des métastases cérébrales ? En tant qu’organe, le cerveau peut aussi se cancériser. Le sens biologique est de fonctionner en mode turbo et de doper les neurones pour résoudre le conflit causal.
Et c’est pourquoi tout type de cancer est susceptible se « propager » au cerveau : le choc est ressenti comme une carence en matière grise à combler d’urgence. Il n’est donc pas étonnant qu’environ la moitié des « métastases » cérébrales proviennent d’un cancer du poumon (traduction : que la moitié des cancers cérébraux succèdent à un cancer pulmonaire) puisque celui-ci traduit une frayeur de mourir : quoi de plus urgent à résoudre que sa mort imminente ?
Il n’est pas étonnant non plus que le cancer ne se propage jamais du cerveau vers le corps. C’est un fait bien admis : tous les cancers peuvent « remonter » jusqu’à l’encéphale mais aucun cancer ne va en descendre pour se disséminer ailleurs. Le cancer cérébral sera toujours secondaire, jamais primaire. Vous avez déjà entendu la médecine justifier ce mystérieux sens métastasique unique ? Moi pas. Avec la vision psychobiologique, le voile se déchire pourtant facilement : en tant qu’ordinateur central de l’organisme, le cerveau actionne les programmes naturels et archaïques de survie appelés maladies. On ne peut pas être à la fois le chef d’orchestre et un musicien de cet orchestre.
Pour clore ce billet anti-mythe, revenons à la prétendue première forme de métastases, le déplacement par pression sur les tissus connexes ou par infiltration des organes adjacents. En réalité, même cette versioncrédibledu pèlerinage tumoral ne tient pasla route. Pour qu’elles s’invitent dans un deuxième endroit, encore faut-il que les cellules cancéreuses proviennent d’un endroit appartenant au même feuillet embryonnaire : l’endoderme, le mésoderme ou l’ectoderme.
Comme l’a démontré le Dr Hamer, ces trois couches héritées de l’embryogenèse sont respectivement en lien avec le tronc cérébral, le cervelet ou le cortex. Et un conflit qui impacte l’une de ces trois strates ne va pas affecter les deux autres, du moins pas tant qu’un second ou un troisième conflit ne vient pas s’ajouter au premier.
Par exemple, le cancer lobulaire du sein implique le mésoderme cérébelleux régi par le cervelet, tandis que le cancer des canaux galactophores concerne l’ectoderme qui est contrôlé par la partie corticale du cerveau. Ces deux cancers mammaires sont distincts et une femme qui développe un cancer lobulaire ne va pas nécessairement développer simultanément un cancer canalaire, et inversement. Malgré l’étroite proximité entre glande et canaux, les tumeurs ne vont pas non plus automatiquement « métastaser » entre elles, ce qui est logique puisque ce déplacement apparent est en réalité l’apparition d’un second cancer correspondant à un second conflit. Les carcinomes du sein sont dits « invasifs » parce qu’ils se propagent dans le voisinage mais ils sont toujours bien localisés dans un premier temps.
Au-delà de la controverse sur l’existence ou l’inexistence des métastases, un triste constat doit en tout cas faire réfléchir : on attribue aux cancers métastasés 90 % des décès par cancer ! Cela reflète que les victoires de la cancérologie sont un leurre, mais cela signifie aussi qu’une grande majorité de patients recevant un diagnostic de cancer le vivent très mal, qu’ils sont terrorisés et qu’ils assimilent leur sort à une mort inéluctable.
Pour enrayer cet engrenage psychosomatique funeste, une seule attitude s’impose aux thérapeutes dignes de ce nom : exposer aux malades qu’ils ne sont pas des statistiques, qu’il est toujours possible de les faire mentir et que les guérisons peuvent survenir n’importe quand et même sans traitement, ce qui est la stricte vérité. Voici, parmi de nombreux récits de rémissions spontanées qu’on peut trouver dans des livres ou sur internet, celui d’une femme de 74 ans atteinte d’un cancer de la peau et que la médecine jugeait perdue : elle a guéri en 20 semaines et n’avait pas récidivé 9 ans plus tard. Son secret ? Une foi à soulever les montagnes….
Yves Rasir
bonjour et merci de vos articles.
une question : ou se procurer le livre de référence du Dr Hamer ( je l’avais je ne l’ai plus 😭 ).
Merci de votre aide et continuez vos articles que je suis avec intérêt depuis de nombreuses années.
bien cordialement
Chris
https://amici-di-dirk.com/?lang=fr
bonjour et merci de vos articles.
une question : ousse procurer le livre de référence du Dr Hamer ( je l’avais je ne l’ai plus 😭 ).
Merci de votre aide et continuez vos articles que je suis avec intérêt depuis de nombreuses années.
bien cordialement
Chris
Je suis abonnée à NéoSanté, je lis régulièrement mais je n’ai pas souvenir (mais je peux me tromper) que vous ayez parlé des taches au cerveau qui ne sont pas des métastases. Ces taches en relation avec l’organe qui a été cancérisé, visibles sur un scanner cérébral sans injection, sont trouvées par les oncologues lorsqu’ils font une visite de contrôle et que le patient semble guéri. Ils irradient la tache et le patient meurt.
Et bien moi, je regrette qu’on n’ait pas retiré le sein de ma fille qui est morte, je suis convaincue que si on l’avait fait, elle aurait été sauvée. Si ce sein avait été retiré, ils auraient vu qu’ils restaient des tumeurs.
J’ai vu ma fille souffrir et dépérir, c’était vraiment comme si des métastases l’avaient complétement rongées. On ne sait que bien peu à ce sujet.
La tante du mari de ma fille est aussi morte du cancer et avec les mêmes douleurs que mon enfant et pourtant, elle a refusé le moindre traitement chimique. Son amaigrissement et ses souffrances, elle les as attribuées à des crises de désintoxications…A la fin, son corps n’était plus qu’une plaie…
super intéressant comme toujours
Bonjour
Etudier le protéome de chaque personne pour essayer d’apporter une solution? Selon le Pr zizi en Belgique le protéome est plus important que le génome.
https://www.proteomis.com/fr
Cdlmt