Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Ce proverbe n’a jamais été plus pertinent que depuis le commencement de la « vaccination » anticovid. Dès les premières semaines de la campagne, il était clair que les injections expérimentales généraient beaucoup d’effets secondaires et que nombre d’entre eux étaient sévères. Il suffisait de consulter les chiffres officiels de pharmacovigilance pour prendre la mesure du phénomène. Sur la seule base des cas notifiés – donc sans tenir compte de la majeure partie de l’iceberg – , certains ont pu rapidement calculer que les piquouzes expérimentales étaient 75 fois plus meurtrières que tous les autres vaccins réunis ! Le méga scandale aurait pu éclater d’emblée mais un autre phénomène s’est produit dans le courant de 2021 : l’aveuglement volontaire des personnes censées piloter ou ausculter la politique sanitaire. On se souviendra, entre autres, de l’incroyable acte de censure commis par le site Médiapart au détriment du sociologue Laurent Mucchielli, lequel avait commis le crime d’alerter sur une mortalité inédite manifestement en lien avec les vaccins. Pour illustrer l’étrange cécité collective sévissant dans les milieux politique et médiatique, on pourra cependant se contenter d’une séquence du film La Loi, La Liberté, de Bernard Crutzen. Située à la quatorzième minute du documentaire, elle montre le premier Ministre belge affirmer à la télévision qu’un seul cas d’effet indésirable était enregistré en Belgique au moment de l’émission alors que l’organisme chargé de les recenser en avait déjà collecté plus de 14.000, dont 9.800 graves. Et ce sans que les animateurs du « débat » n’esquissent la moindre velléité de corriger la colossale fake news balancée sur le plateau. Quand ils se pencheront sur ce document, les historiens seront bien en peine de comprendre comment le chef du gouvernement de mon pays a pu proférer une telle énormité sans susciter de réaction outrée chez les pros de l’info. Il leur faudra passer la main aux psychiatres pour expliquer comment des êtres humains en apparence sains d’esprit peuvent quitter subitement la réalité et se parachuter dans un récit de fiction où le merveilleux et les faits alternatifs se substituent à la vérité.
Déni ou négationnisme ?
Évidemment, les menteurs et bidouilleurs auront beau jeu de nous sortir l’éternel alibi des coïncidences dénuées de causalité. Parmi les 291 rapports signalant un décès post-vaccinal en Belgique, quatre seulement ont jusqu’à présent été considérés comme « probablement liés au vaccin ». Ce chiffre n’a pas bougé depuis plus d’un an ! Comme quoi, les failles béantes de la vaccinovigilance permettent de prolonger le port des œillères. Mais à moins de se mettre carrément le doigt dans l’œil, il y a des données que les fabricants de consentement autrefois appelés journalistes ne peuvent ignorer et évacuer d’un trait de plume : les statistiques de mortalité toutes causes confondues. En dernière analyse, ce sont ces courbes-là qui reflètent si un traitement médical est efficient ou s’il est en train d’échouer misérablement. Et justement, on ne peut pas dire qu’elles soient rassurantes. En 2021 déjà, on observait une légère surmortalité en Europe, singulièrement dans la tranche des 18-50 ans. Et voilà que 2022 se révèle bien pire : sur les six premiers mois de l’année, l’Union européenne comptabilise près de 140.000 morts de plus que la normale ! Pour la Belgique et la France, cela représente respectivement 1500 et 20.000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne des années 2017 à 2019. Certes, il faudrait pondérer ces chiffres en tenant compte de l’ « effet papy-boom » consécutif au vieillissement accéléré de la population. Ils indiquent toutefois que les pompes funèbres continuent à travailler plus intensivement qu’en période prépandémique. La faute au virus ou au vaccin ? Avec une mauvaise foi écœurante, les médias subventionnés persistent à inculper le premier et à exonérer le second de toute responsabilité. Dans le journal Le Soir de jeudi dernier, par exemple, le plumitif de service souligne que la Bulgarie est le pays le moins vacciné d’Europe et qu’elle a enregistré une surmortalité de 13% depuis le début de l’année. Mais en ajoutant que la Grèce fait encore plus mal (15,9% de morts en plus que d’ordinaire), il « oublie » de signaler que ce pays compte proportionnellement deux à trois fois plus d’injectés que la Bulgarie ! En mentionnant que le Portugal se situe à une triste 4ème place en terme de surmortalité et qu’il a connu un pic de 40% en juin, Le Suaire omet également de rappeler que ce pays est le plus vacciné d’Europe, derrière Malte. Quand un tel niveau de malhonnêteté journalistique est atteint, ce n’est plus de déni qu’il s’agit mais de négationnisme et/ou de volonté délibérée de tromper l’opinion. Si tout porte à penser que le remède est devenu pire que le mal, faire semblant que les bénéfices l’emportent toujours sur les risques n’est rien moins que criminel. Les autruches à plume ou à micro sont-elles conscientes de cela ?
Preuves des dégâts
Personnellement, il ne m’a pas fallu attendre cette confirmation statistique pour réaliser qu’une hécatombe d’origine vaccinale était en cours. Chaque jour, je lis la rubrique nécrologique de mon quotidien et je remarque que les cimetières sont en voie de rajeunissement de leurs habitants. Quasiment absents des annonces de décès en 2020, les sexagénaires et même les quinquagénaires y figurent maintenant régulièrement. Comme je me fie à d’autres sources que les médias mainstream pour m’informer, je suis aussi au courant que le vent a tourné et que la prétendue « épidémie de vaccinés » est devenue son exact opposé, à savoir une maladie frappant davantage les injectés. En Grande-Bretagne, où la transparence est de mise, les rapports officiels révèlent que plus de 9 décès sur 10 attribués au covid en 2022 se sont produits dans la population ayant reçu au moins une dose ! Plus convaincantes encore que ces données chiffrées, les preuves s’accumulent que les vaccins à ARN messager peuvent susciter toute une série de dégâts dans le corps humain. Dans cet article accablant et illustré , les Dr Michael Palmer et Sucharit Bhakdi expliquent les mécanismes par lesquels la protéine de pointe du vaccin agit funestement sur les vaisseaux et sur différents organes comme le cœur et les poumons. En conclusion de leur démonstration, les deux médecins écrivent que les lésions vasculaires induites par la vaccination sont indubitablement vectrices de caillots sanguins et de maladies liées aux troubles de la coagulation telles qu’infarctus, AVC ou embolie pulmonaire. Le 10ème paragraphe de ce document m’a particulièrement ému car il relate comment l’injection expérimentale peut mener à la dissection aortique, autrement dit à la rupture de l’aorte et à une hémorragie massive qui voit la victime se noyer littéralement dans son sang. C’est exactement ainsi qu’est morte Laetitia, jeune étudiante française décédée le 2 mai 2021 en Belgique et dont je vous ai raconté la fin tragique dans ma lettre « Un drame d’école ». À l’époque, certains confrères m’avaient vivement reproché de supputer la culpabilité vaccinale sans disposer d’indices suffisants. Aujourd’hui que le lien de causalité avec de tels « effets indésirables » est avéré, mes détracteurs ont-ils toujours envie de garder la tête dans le sable ?
Dénatalité inquiétante
Si le terme « génocide » me semble outrancier, je ne trouve pas excessif d’évoquer un « dépeuplement » pour décrire ce qui est en train de se passer parmi les populations vaccinées. Les vagues de surmortalité qui les submergent sont d’autant plus alarmantes qu’elles semblent s’aggraver au fil du temps et être proportionnelles au nombre de doses reçues. Il eût fallu écouter les experts indépendants quand ils parlaient d’échappement immunitaire, d’infection facilitée par la vaccination ou des dangers inhérents à la nouvelle technologie génique. Mais les trépas excédentaires ne sont qu’une face de la sinistre médaille : on enregistre également un peu partout une inquiétante baisse des naissances. Dans les pays occidentaux, on meurt trop ET on ne naît pas assez ! Dans cet article récent de France Soir, c’est la chute de la natalité en Allemagne et en Suisse qui est examinée. Selon l’office allemand de la statistique, l’année 2022 se distingue par une diminution de 9% des heureux événements. En Suisse, le déclin est encore plus net avec 15% de nouveau-nés en moins par rapport aux mêmes moitiés d’années précédentes. Comment interpréter cet effondrement soudain ? Encore une fois, les médias subsidiés n’envisagent même pas que le vaccin expérimental puisse être en cause dans cette brutale décroissance démographique. Or il ne manque pas non plus d’éléments scientifiques pour soupçonner le produit d’atteintes au niveau des organes reproducteurs. Une étude israélienne a montré que l’injection altérait la fertilité masculine à court terme et qu’après 6 mois, il y avait encore 16% de spermatozoïdes en moins dans les testicules des injectés. De leur côté, les femmes développent des dysfonctionnements ovariens et des troubles menstruels ayant parfois nécessité l’ablation totale de l’utérus, ce qui est plutôt gênant pour concevoir un enfant et mener une grossesse à terme. Non seulement les taux de natalité sont en train de plonger, mais il semblerait que les fausses couches et les morts subites du nourrisson suivent au contraire une pente ascendante. C’est en tout cas ce qu’on observe au Royaume-Uni, dont les données statistiques préfigurent généralement celles du continent. D’après cette source anglo-saxonne, la surmortalié infantile frôlerait les 700% en Europe depuis que les vaccins pour enfants ont été autorisés ! Bien sûr, il va être compliqué de les incriminer et d’établir un lien causal irréfutable avec la baisse de la natalité et le nombre d’accidents périnataux. Il y a tellement de facteurs pouvant influencer la fécondité et la santé primale que les négateurs de cette deuxième hécatombe vont encore pouvoir fermer les yeux longtemps. Mais tout est déjà sur la table pour suspecter un dépeuplement des couffins par le vaccin. Ceux qui s’interdisent de le faire font preuve d’un aveuglement volontaire supplémentaire.
Excellent article, qui récapitule un certaine nombre d’évidences sur divers fronts.
Déni ou négationnisme? Majoritairement, déni chez le petit peuple et négationnisme chez les {ir}responsables!, voilà qui répond à la question posée.
Dépeuplement ou génocide? Cela commence par un léger dépeuplement, lequel, en s’accroissant et s’accélérant, finit par progressivement se transformer en génocide…
Tuer ou stériliser, le résultat final est le même…!
Dans tous les cas, c’est juste criminel! Pour ceux-là, il faudra un nouveau Nüremberg…