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Yves Rasir

Attention : si vous êtes allergique aux théories du complot, mon édito d’aujourd’hui pourrait vous donner des boutons, voire provoquer une sérieuse réaction. Sans risque de me tromper, je vous avertis que c’est l’article le plus ouvertement complotiste que j’aie jamais rédigé. En l’écrivant dans ma tête avant de le coucher sur écran, j’étais moi-même surpris d’échafauder une si folle théorie, d’envisager une conspiration aussi machiavélique, digne d’un thriller hollywoodien mêlant science-fiction et géopolitique. L’hypothèse que je formule est en effet très audacieuse : et si les vaccins anti-covid étaient des armes de guerre développées par les services secrets américains et israéliens pour éliminer leurs ennemis à distance? Et si les injections avaient pour vraie finalité de faire exploser des cibles comme le Mossad vient de le faire au Liban ? Au cas où vous n’auriez pas suivi l’actualité, je vous rappelle en effet ce qui vient de se passer au pays du Cèdre: en l’espace de deux jours, l’explosion de plusieurs milliers de bipeurs et de talkie-walkies a fait des dizaines de morts et des milliers de blessés parmi les membres de la milice chiite Hezbollah, et parmi leurs proches innocents malheureusement. Les appareils étaient piégés avec un explosif et leur mise à feu a été télécommandée par un faisceau d’ondes. Selon certains médias, cette opération « high tech » était planifiée depuis au moins 15 ans et elle a nécessité la mise en place de sociétés-écrans chargées d’introduire la charge explosive dans les récepteurs mobiles. Imaginez maintenant que l’état hébreu planche sur une façon encore plus performante de pister et supprimer ceux qui ont juré sa perte : quoi de plus efficace que d’introduire la « bombe » dans le corps-même des terroristes, non pas en les tuant directement mais en activant électromagnétiquement un processus pathologique généré par des nanomatériaux ?

La piste vaccinale

À ce stade de mon billet, un flash-back s’impose. Dans notre infolettre du 25 mars 2020, nous avons lancé un gros pavé dans la mare en révélant que la Lombardie, épicentre européen de la première vague de covid, avait été peu auparavant le théâtre de campagnes de vaccination contre la méningite. Ce fut également le cas en 2019 aux alentours de Madrid, autre région durement touchée quelques mois plus tard par la « pandémie ».  Une étude démographique vient encore de rappeler que la surmortalité attribuée au coronavirus a été exceptionnellement forte dans le Nord de l’Italie et le centre de l’Espagne durant le printemps 2020. Dans les provinces de Bergame, Crémone et Plaisance, la perte d’espérance de vie fut particulièrement spectaculaire puisqu’elle a atteint les quatre années. Y avait-il un lien entre cette hécatombe et l’administration du vaccin anti-méningite dans ces mêmes zones géographiques?  Cette troublante coïncidence n’a curieusement jamais fait l’objet d’investigations journalistiques, parlementaires ou judiciaires. Dans plusieurs lettres ultérieures et dans plusieurs numéros du mensuel, nous avons également épinglé un deuxième suspect : le vaccin contre la grippe. Nombreuses sources scientifiques à l’appui, nous avons montré qu’il y avait une très probable relation de causalité entre la vaccination antigrippale automnale et ce qui a été appelé la « deuxième vague » du covid. Les trois années suivantes, nous avons pointé que les injections anti-covid étaient à leur tour responsables de pics de mortalité anormale, l’évidence du lien causal étant confirmée plus tard par les enquêtes statistiques de Pierre Chaillot et d’Eusèbe Rioché. Dans ses articles et dossiers, notre journaliste Pryska Ducœurjoly s’est logiquement focalisée sur les possibles explications biologiques de ces désastres vaccinaux successifs : en raison des phénomènes d’« interférences virales », d’« anticorps facilitants » et de « remplacements épidémiques », il est connu que la vaccination contre une maladie peut très bien favoriser l’émergence d’une autre maladie, entraîner sa recrudescence et prendre des proportions catastrophiques. Pour ma part, ces pistes explicatives me laissaient cependant sur ma faim : les flambées de mortalité furent tellement locales et transitoires qu’une origine toxique m’a toujours paru plus crédible.

La piste du graphène

Et si ce toxique était le graphène ? Par prudence et par souci de ne pas semer la peur en l’absence de preuve indubitable, je n’ai jamais été affirmatif quant à la présence d’oxyde de graphène (OG) dans ce qui a été injecté à nos amis mougeons. Mais je n’ai pas non plus balayé cette éventualité d’un revers de main. Dans l’un ou l’autre billet, j’ai notamment signalé que de nombreux chercheurs indépendants (une trentaine actuellement) sur les cinq continents ont analysé le contenu des fioles ou le sang de personnes vaccinées et qu’ils estiment y avoir repéré des nanoparticules artificielles. À plusieurs reprises, j’ai aussi évoqué le travail du journaliste-citoyen Dominique Guillet, alias Xochi, qui a trouvé sur le net des brevets et des études indiquant que l’utilisation d’oxyde de graphène pour la fabrication de vaccins était déjà bien avancée en 2020, voire déjà concrétisée à cette date. Sur son site Xochipelli, le fondateur de Kokopelli a aussi entrepris la traduction du blog anglophone C0r0n@ 2 Inspect, lequel compile les travaux et les photographies semblant prouver la présence de nanostructures dans les injections ou le sang des injectés. Des nanostructures, c’est-à-dire des dispositifs nanoscopiques formés d’infimes objets métalliques qui s’auto-assemblent, adoptent des formes géométriques et paraissent dotées d’antennes. « Les nanoréseaux centrés sur le corps humain nécessitent l’utilisation de nano-antennes fonctionnant dans la bande térahertz qui sont du même type que celles trouvées dans les échantillons de vaccins », précise un article récemment posté sur le blog. Dominique Guillet a  également traduit les dossiers de Mik Andersen, un scientifique qui semble particulièrement bien informé de ce qui se trame dans les laboratoires industriels en matière d’ « internet des corps »,  autrement dit de l’inoculation de minuscules robots sensibles aux micro-ondes et capables de communiquer via la 5G. Aurait-on déjà accompli, via la vaccination de masse,  le rêve transhumaniste de fusionner l’Homme et la machine ? La plandémie Covid-19 avait-elle pour but d’opérer  cette fusion à grande échelle et de « tatouer numériquement » un  maximum de gens ? On peut sérieusement se poser la question. Tout récemment aussi, est parue une étude apportant de l’eau au moulin de cette hypothèse : après avoir examiné les fioles Pfizer et Moderna par stéréomicroscopie, les auteurs concluent que « leurs observations suggèrent la présence de nanotechnologie » dans les vaccins de ces deux firmes.  Ça commence à faire beaucoup d’éléments à charge !

Pfizer et ses nano-projets

Malgré  ces faits nouveaux, je persiste cependant à penser qu’il n’y a pas lieu de se montrer péremptoire à propos du graphène. Le chercheur américain Jeff Green a d’ailleurs descendu l’étude coréenne en flammes en expliquant que les images obtenues pouvaient être des artefacts ou refléter des circonstances naturelles comme la déshydratation de la solution. L’accumulation d’indices convergents est une chose, la démonstration de la culpabilité en est une autre. Ce qui me trouble davantage, c’est une information détonante dénichée encore une fois par Dominique Guillet et partagée sur son canal Telegram « Les Brigades anti-graphène » : la multinationale Pfizer travaille depuis longtemps sur l’internet des corps et l’implantation de nanopuces dissimulées dans une seringue ! Enfin pas elle, mais une de ses filiales au Royaume-Uni qui est spécialisée dans la « technologie humaine » et qui s’appelle étrangement Bioteq. Dans cette vidéo postée sur Odysee, on voit d’abord un reportage attestant que cette entreprise est pionnière dans la conception et le développement de « microchips » insérées sous la peau et alimentées par l’énergie corporelle. Mais on y voit surtout, à partir de la minute 2’49“, des diapositives issues d’une présentation interne remontant à octobre 2020 et qui ont fuité dernièrement. Sur ces dias, les ingénieurs de Bioteq exposent sans fard que le tatouage numérique peut s’effectuer via une aiguille hypodermique et qu’un essai clinique a même été tenté avec succès en mars 2019 sur 2739 d’employés de Pfizer ! Grâce au dispositif implanté, les cobayes humains pouvaient être géolocalisés durant 98,6% du temps. Mais pour que les « nanotags » fonctionnent une fois dans le sang, devinez quoi : il faut qu’ils soient encapsulés dans des polymères et que le sérum ne coagule pas. Seule solution : le conserver à maximum -70°C ! Quel hasard, c’est justement la température que ne devaient pas dépasser les fioles Pffizer/BioNtech et qui a justifié que les vaccins anti-covid soient administrés dans des vaccinodromes et non dans le circuit médical classique. Officiellement, il fallait congeler l’ARN messager pour lui éviter de se dégrader. Mais cette révélation à mes yeux explosive permet de soupçonner une toute autre motivation !

Cela expliquerait bien des choses

Pour rappel, les produits Pfizer et Moderna ont été développés à vitesse supersonique grâce à l’opération Warp Speed ordonnée par Donald Trump et supervisée par la DARPA, l’agence du département de la Défense des États-Unis chargée des nouvelles technologies à usage militaire. Pour rappel aussi, la majeure partie des vaccins Pfizer distribués en Europe et dans le monde ont été fabriqués dans l’usine de Puurs en Belgique, pays qui héberge à la fois le siège de l’OTAN,  le SHAPE (quartier général des forces alliées et de l’armée américaine en Europe), et la Commission Européenne, laquelle a traité en priorité avec Pfizer et lui a accordé des privilèges commerciaux extravagants.  Est-il absurde d’imaginer que ce favoritisme était dicté par des impératifs inavouables tenant à la composition exacte du vaccin Pfizer ? Est-il excessivement « conspi » de postuler que ce dernier contenait des ingrédients cachés destinés à nanopucer leurs destinataires, voire à provoquer chez eux des effets secondaires délétères ? Pour complotiste qu’il soit, ce scénario pourrait selon moi expliquer bien des choses. Par exemple, il pourrait expliquer le phénomène de la magnétisation des vaccinés et des adresses MAC par eux générées. En 2022, une de mes connaissances a vérifié expérimentalement la réalité de ce phénomène: en approchant et éloignant son smartphone d’une vaxxée privée du sien, le numéro identifiant apparaissait et disparaissait. Ce n’était pas un canular ni une fake-news puisque l’avocat Carlo Brusa l’a même fait constater par huissier. La théorie du complot pourrait également élucider l’impact très hétérogène de la vaccination covid. Certains lots ont été beaucoup plus toxiques que d’autres, jusqu’à 100 fois plus, ce qui devient compréhensible si le but était d’évaluer telle ou telle charge de nanomatériel ou tel ou tel dosage de radiation dans telle ou telle population. Quitte à vous dérouter par un pasteurisme apparent,  je pense aussi que la thèse de la machination pourrait expliquer… la contagion  observée durant la  pseudo pandémie. Tout s’est passé comme si les vaccinés excrétaient « quelque chose » et parvenaient à transmettre ce quelque chose à leur entourage. Vu qu’il ne pouvait s’agir de la propagation d’un virus (Cfr les analyses statistiques de Pierre Chaillot), on peut concevoir que les nanoparticules embarquées par les vaxxés ont été disséminées par voie aérienne.  Farfelu ? Pas du tout !  Dégotée une nouvelle fois par Dominique Guillet, voici une étude qui corrobore ce scénario : elle remonte à 2018 et elle montre que les composants nano-électroniques sont « aérosolisables », autrement dit qu’ils peuvent voyager dans les micro-gouttelettes en suspension dans l’air. Cela signifie probablement que personne n’a été épargné et qu’il suffisait de respirer ce nano-brouillard pour être « infecté » et manifester des troubles de l’odorat. J’en reviens pour terminer à ma théorie de départ : en lien avec Israël et ses agents œuvrant chez Pfizer et Moderna, l’armée américaine aurait mis au point le moyen d’attaquer à distance des cibles préalablement « équipées » en nanomatériaux fonctionnant à l’énergie humaine. Plutôt que de pirater les bipeurs, cette technique sophistiquée permettrait de pirater l’ennemi lui-même et de le neutraliser ni vu ni connu, ou à tout le moins de le pourchasser sans lui laisser la moindre chance de s’échapper.  Dans cette hypothèse,  la « crise sanitaire » était le prétexte idéal pour procéder à une implantation d’ampleur mondiale par voie vaccinale, les Madrilènes et les Lombards ayant fait les frais des premiers tests nanotechnologiques. Vous pensez que je déraisonne ou que je suis dans le bon ? N’hésitez pas à me le faire savoir en commentaire sous la version en ligne.  

Yves Rasir

17 commentaires

  • Andrée dit :

    Tout est possible cher Yves Rasir.

  • Joseph dit :

    Il y a tellement de manipulation et de corruption partout que ce scénario est, malheureusement, des plus vraisemblables.
    Un être humain conscient de lui-même ne se laisse pas injecter n’importe quoi dans le corps ni ne laisse, non plus, injecter de tels poisons dans le corps de ses enfants.

  • Jo dit :

    Question : “les composants nano-électroniques sont « aérosolisables »”, donc vaccinés ou non, nous serions tous “contaminés” ?

  • Bernard V dit :

    Voir le brevet -8/152 348/00887-003 « systèmes et procédés pour créer secrètement des effets indésirables sur la santé des sujets »

    Livre de Patrick Jaulent, Anne-marie Yim et Nacima Mdhafar Bouzeroura…

  • Tarco24 dit :

    Je pense que vous avez raison. Je viens de lire (Julian Assange) que ce serait les militaires américains qui auraient diffusé ces “injections” via les laboratoires bien connus, en tant qu’armes technologiques, ce qui colle bien avec le scénario que vous exposez.

  • girardin dit :

    Oui ! pour moi ce que vous dîtes est tout à fait plausible, Merci Monsieur Rasir. J’en profite pour vous dire à quel point j’apprécie votre magasine néosanté !

  • Cendrine dit :

    En 2014 je suis allé au cinéma avec mes fils voir Kingsman secret service . En sortant de la séance j’ai tout simplement dit , c’est ce qui va nous arriver mais je ne peux pas expliquer rationnellement pourquoi … a l’époque tout était tranquille et pourtant j’ai eu cette évidence . Cette histoire de destruction de la population via un virus qui fait exploser les téléphones portables . C’est un film comique mais très violent et le scénario à été inspiré par ….. who knows

  • André Didden dit :

    Mais, je suis tout à fait d’accord avec cette vision des choses…

    Même les scénaristes d’Hollywood sont des petit joueurs à côte de ce que vous venez de décrire…

  • Jacques Nicolas dit :

    En 2015, Pfizer annonçait son partenariat avec l’Université Bar-Ilan pour évaluer l’injection de médicaments via des nanorobots à ADN.
    https://www.guyboulianne.info/2024/04/15/en-2015-pfizer-annoncait-son-partenariat-avec-luniversite-bar-ilan-pour-evaluer-linjection-de-medicaments-via-des-nanorobots-a-adn/
    Guy Boulianne, le 15 avril 2024.

    Bar Ilan University to work with Pfizer Inc. to evaluate drug delivery via DNA Nanorobots.
    https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/bar-ilan-university-work-pfizer-inc-evaluate-drug-delivery
    Pfizer. Thursday, May 14, 2015.
    Traduction Google : BIRAD – Bar Ilan University Research and Development Company Ltd. (BIRAD), et le laboratoire de bio-conception dirigé par le Dr Ido Bachelet à l’Université Bar Ilan, ont annoncé que BIRAD a conclu un accord d’évaluation avec Pfizer Inc.
    Cet accord vise à obtenir une meilleure compréhension des nanorobots à ADN en tant que porteurs potentiels de différentes protéines pour d’éventuels nouveaux traitements. Les termes du contrat n’ont pas été dévoilés…

    Ido Bachelet.
    https://en.wikipedia.org/wiki/Ido_Bachelet

  • Agnes MILLET dit :

    Bonjour, je suis en accord avec ce que vous écrivez même s’il est impossible pour moi de tout vérifier. La raison essentielle est que des scientifiques et des lanceurs d’alerte avaient averti de ce scénario dès 2020 juste avant et aussi pendant la vaccination et ils prévenaient les gens qui s’informaient ou étaient déjà éveillés : surtout, ne vous faites pas vacciner ! Les effets ne se feront pas sentir immédiatement, mais dans deux ou trois ans pour les problèmes de santé, et plus tard en corrélation avec la 5G au moment où ils le décideront. Je lance cependant un message d’espoir à ceux qui se sont laissés vaccinés et qui s’éveillent à présent : certaines doses ne contenaient que du sérum physiologique – “inoffensif” par rapport au vrai vaccin – espérons pour eux que c’est ce genre de dose qu’ils ont reçu !

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