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Chère Émilie Dequenne,

Nous ne nous connaissons pas, nous ne nous sommes jamais rencontrés, même pas croisés dans les rues du plat pays qui est le nôtre, et je ne vous ai jamais vue que sur les petits et grands écrans. Je ne suis pas un fana de cinéma et je ne suis pas non plus facilement ému par les malheurs et les déboires de ses stars.

J’ai pourtant été très touché par vos confidences télévisées du 1er décembre, au cours desquelles vous avez annoncé la récidive de votre cancer des glandes corticosurrénales et fait part de votre désarroi. C’était bouleversant de sincérité et d’humanité et les larmes qui ont perlé sur vos paupières ont aussi humidifié mes yeux.

Vous avez notamment confié votre peur de mourir et cela m’a déchiré le cœur car vous êtes effectivement trop jeune et trop belle de corps et d’âme pour vous en aller prématurément en laissant derrière vous votre fille et vos parents. Ce n’est pas juste, ce n’est pas dans l’ordre naturel des choses et c’est contraire aux lois de la vie. Vous aspirez à vivre au moins jusqu’à 80 ans et à vous éclipser en douceur, voilà qui est plus conforme à la logique du vivant !

À l’approche du solstice et de Noël, fêtes de la renaissance et de la mort défaite, l’envie m’est venue de vous écrire cette lettre pour vous encourager à espérer et à croire en votre guérison. La médecine n’a pas le droit de vous condamner et de vous enfermer dans des statistiques morbides sous prétexte que votre pathologie est de mauvais pronostic. Les exceptions existent, toutes les tumeurs sont réversibles à n’importe quel stade et il y a des pistes thérapeutiques alternatives prometteuses qui donnent déjà des résultats probants.

Puissent les mots qui vont suivre vous parvenir, vous inciter à explorer de nouveaux sentiers de santé et vous aider à la retrouver. Mais avant de vous faire miroiter les raisons de rester optimiste, il me paraît nécessaire de bousculer sans ménagement la confiance que vous placez trop naïvement dans la cancérologie conventionnelle.

La réalité derrière le mythe

Cette confiance est en effet imméritée car les prétendus « progrès de la science » oncologique sont une tromperie, voire une parfaite escroquerie. Savez-vous que l’amélioration des traitements conventionnels est une mystification purement mathématique ?

Certes, il y a de plus en plus de cancéreux qui sont en rémission après 5 années de prise en charge par un cancérologue. Passé ce lustre, ils sont considérés comme guéris et leur guérison est mise au crédit des cures suivies. Progressivement, le nombre de ces « rescapés » a augmenté durant les dernières décennies et leur contingent est aujourd’hui évalué à 60 % des diagnostiqués.

Mais dans le même temps, la médecine du cancer et les autorités sanitaires ont déployé d’immenses moyens pour dépister la maladie de plus en plus tôt. Que l’on songe par exemple à la mammographie systématique pour les femmes ou à la détection intensive des gonflements prostatiques chez les hommes. Non content d’entraîner surdiagnostics et surtraitements, ce dépistage frénétique de plus en plus précoce a mécaniquement fait augmenter le nombre de rémission à 5 ans sans que le taux de survie progresse véritablement.

Claironnées chaque année par les médias de masse pour inciter aux dons à la recherche, les « avancées médicales » sont en réalité rares et dérisoires. En 2004, une étude australienne parue dans la revue scientifique Clinical Oncology a estimé que la contribution curative de la chimiothérapie était seulement de 3 % pour les 22 cancers les plus courants ! Bien sûr, Big Pharma et ses relais médiatiques se sont empressés de fustiger cette « étude controversée », mais ses constats incontestables demeurent valables : les progrès tant vantés sont un leurre, une illusion digne de prestidigitateurs !

Dans Néosanté, nous avons mentionné des travaux ultérieurs indiquant notamment que la chimio cytotoxique était inefficace pour les cancers du sein hormonodépendants ou que l’immunothérapie ne tenait pas ses promesses malgré son coût prohibitif. Pour vous ré-informer, chère Émilie, je vous suggère de lire le dernier article écrit par la journaliste Sylvie Simon juste avant son décès. Intitulé « Chimiothérapie, la vérité très indésirable »,vous pouvez le lire gratuitement sur le nouveau blog qui héberge aussi mes infolettres.

Je vous conseille également la lecture en ligne du dossier « Chimio : ce qu’on ne vous dit jamais », rédigé par une cadre supérieure de l’industrie pharmaceutique. Entre autres révélations, cette enquête à l’intérieur du système dévoilait que certains médicaments vedettes favorisent l’apparition de cancers secondaires et que certaines nouvelles molécules très lucratives accroissent le risque de mortalité sans bénéfice notable pour la qualité de vie.

Si ces deux textes ne suffisent pas à dissiper le mirage de la cancérologie triomphante, je peux également vous donner des références d’ouvrages décrivant le « business du cancer », dénonçant ses protocoles commercialement téléguidés et illustrant à suffisance que ses victoires sont largement illusoires.

D’autres voies existent

Si je vous propose ce retour au réel, ce n’est pas pour vous décourager ni ruiner votre espoir de vaincre votre cancer. Au contraire, ce regard critique sur le parcours thérapeutique classique a pour intention bienveillante de mettre en valeur d’autres voies de guérison possibles.

Votre médecin vous a-t-il parlé et prescrit de la vitamine C au milieu des 30 médicaments que vous absorbez quotidiennement ? Je parierais que non. Il est pourtant scientifiquement démontré que cet antioxydant majeur administré à hautes doses en intraveineuse peut faire merveille en complément ou en remplacement des traitements conventionnels. Mon excellent confrère Xavier Bazin lui a consacré plusieurs lettres d’investigation ces dernières années, notamment celle-ci, également celle-ci ou encore celle-là.

Votre cancérologue est-il au courant que la mélatonine est un complément alimentaire anticancer très efficace ? Il en fut longuement question lors du sommet « octobre jaune » organisé l’année dernière par mon autre confrère Gaspard Frey. On y a notamment évoqué les résultats spectaculaires obtenus par des chercheurs italiens pour leur essai clinique publiée dans le très respecté European Journal of Cancer : parmi les 250 victimes d’un cancer métastasique terminal, les patients supplémentés en mélatonine ont été deux fois plus nombreux à avoir survécu un an plus tard !

L’équipe médicale qui vous suit vous a-t-elle dit qu’un remède aussi basique que le bleu de méthylène suscitait de grands espoirs et que le cancérologue Laurent Schwartz lui a d’ailleurs consacré un nouveau livre aux éditions Thierry Souccar. Et vos thérapeutes vous ont-ils informée de l’incroyable découverte effectuée en 2021 par des chercheurs belges : un « bête » acide gras de la catégorie Oméga-3, le DHA, serait un implacable tueur de cellules cancéreuses ! En se gavant de cette molécule naturelle, les plus agressives semblent littéralement imploser et se dissoudre.

Sans minimiser ces développements récents de la nutrithérapie, je vous conseille toutefois de regarder dans le rétroviseur et d’explorer le potentiel des médecines naturelles ancestrales. Depuis qu’il a annoncé arrêter les traitements de son cancer pulmonaire récidivant et s’en remettre désormais à la Médecine Traditionnelle Chinoise, le chanteur Florent Pagny semble avoir repris du poil de la bête et n’être plus au bord de la tombe.

Autant savoir qu’en Chine, ça fait des millénaires qu’on a compris que les surrénales jouent un rôle clé dans la gestion du stress et qu’il existe toutes une pharmacopée pour les épauler. À cette fin, les praticiens actuels de MTC recourent toujours à une série de plantes adaptogènes comme la rhodiole et l’éleuthérocoque.

Dans votre cas, je pense qu’il serait particulièrement opportun de vous pencher sur les fabuleuses trouvailles du Dr Georges Ceulemans, médecin et chirurgien anversois du siècle dernier. Spécialisé dans la chirurgie du côlon, ce disciple d’Hippocrate a remarqué au cours de ses multiples opérations que les patients cancéreux avaient toujours des glandes surrénales atrophiées, nettement plus petites que la normale.

Pour en restaurer le volume et la vitalité, ce précurseur des techniques hormétiques préconisait le sport et l’exposition en alternance au chaud et au froid. Chez ses patients gravement atteints, il prescrivait avec succès de la prednisolone, un glucocorticoïde de synthèse aux effets anti-inflammatoires très prononcés. Ce remède hormonal serait-il opérant sur vos surrénales dysfonctionnelles ? Les stéroïdes physiologiques (cortisone et hydrocortisone) pourraient-ils avantageusement rivaliser ? C’est à discuter avec un endocrinologue chevronné.

En attendant, je vous suggère de lire l’infolettre où je relate ma découverte du Dr Ceulemans, l’article très intéressant de l’ostéopathe belge qui me l’a fait découvrir, ainsi que son livre « Le Cancer : pour qui, pourquoi, comment ». Vous ne le trouverez pas en librairie ni sur internet, il est épuisé et non-réédité. C’est pourquoi nous l’avons numérisé et nous l’offrons ici en lecture gratuite. Hommage à ce grand médecin belge injustement méconnu et qui vous aurait probablement précieusement secouru.

Un choc pathogène à trouver

Pionnier de la compréhension du fonctionnement surrénalien, Georges Ceulemans avait également perçu l’origine psycho-émotionnelle du cancer. Il en avait saisi la causalité conflictuelle en interrogeant systématiquement sa patientèle sur les événements ayant précédé leur perte de santé. C’est cependant le génial médecin allemand Ryke Geerd Hamer qui a fait faire aux connaissances un pas de géant en élaborant sa Médecine Nouvelle Germanique (M.N.G.).

Celle-ci énonce que toute pathologie émane d’un choc qui prend au dépourvu et qui est vécu dans l’isolement. La maladie est la solution choisie par le cerveau archaïque pour surmonter un traumatisme ingérable par le psychisme et elle possède un sens biologique, c’est-à-dire qu’elle présente un intérêt en termes de survie et qu’elle offre une issue à la problématique de départ. Même le cancer ? Oui, même le cancer !

Aucune affection ne survient par hasard et la localisation de chacune reflète une prodigieuse intelligence à l’œuvre dans la nature. Au prix d’un travail colossal, le Dr Hamer a identifié pour chaque organe le type de conflit pouvant conduire à ses différents dysfonctionnements. Par exemple, le sein est particulièrement sensible au ressenti de séparation, la vessie à des disputes de territoire et le pancréas aux contrariétés familiales très indigestes.

Quel est le conflit des corticosurrénales, me demanderez-vous ? En guise de réponse, voici un extrait du livre « Et si les maladies étaient des mémoires de l’évolution ? », du Dr Robert Guinée. Ce médecin belge aujourd’hui retraité a longtemps côtoyé le Dr Hamer, il en connaît l’œuvre mieux que quiconque et son ouvrage – que j’ai eu le privilège d’éditer – en est sans conteste la meilleure synthèse en langue française.

Extrait de la page 261 : « Le commun dénominateur des conflits surrénaliens est celui où on est dans le surstress « d’avoir pris la mauvaise direction, d’avoir misé sur le mauvais cheval, d’avoir été mis hors-jeu ». Dans un sens plus virtuel, on envisagera la notion de projet. Ces sens dérivés sont toujours vécus avec un ressenti plus exactement exprimé comme suit : « ne pas avoir été capable de prendre la bonne direction ». 

Pour le dire autrement, les surrénales sont le siège du « conflit du mouton » très bien décrit par Bernard Tihon dans son ouvrage « Le Sens des Maux » : s’il s’éloigne du troupeau et qu’il prend une mauvaise direction pour le rejoindre, le mouton est promis à une mort probable. La solution biologique de survie est donc une nécrose de corticosurrénales qui aura pour conséquence de le priver de forces et de le clouer sur place. C’est après la solution du conflit, lorsque le berger remet le mouton dans la bonne direction, que l’animal retrouve toute son énergie.

Cela vous parle, madame Duquenne ? Vous auriez été sujette à ce genre de choc émotionnel quelques mois avant l’apparition de vos symptômes ? Vous auriez somatisé une peur panique de faire fausse route ? Évidemment, il faudrait approfondir ce décodage sommaire avec un(e) thérapeute. Il faudrait savoir à quel endroit exact se situait la tumeur et si vous avez subi une forte diminution de production d’androgène et/ou une modification brutale de la sécrétion de cortisol. Selon ces divers paramètres hormonaux, la cancérisation de la glande peut exprimer une détresse plus particulièrement liée aux rapports de couple.

Quid du vaccin ? 

À propos de mouton et de troupeau, permettez-moi de conclure cette lettre déjà trop longue par une brève allusion à la vaccination anti-covid. Êtes-vous vaccinée et combien de doses avez-vous reçues ? Le fait que votre masse tumorale ait été découverte fin 2023 à un stade très évolué n’est peut-être pas non plus une coïncidence fortuite.

Les médias subsidiés n’en parlent pas et pratiquent l’omerta mais beaucoup de médecins européens et américains « dissidents » estiment que les injections expérimentales censées protéger contre la grippe covidienne ont provoqué une vague de « turbo-cancers » se distinguant par leur agressivité et leur fulgurance. Plusieurs études et rapports accréditent l’hypothèse d’un lien entre le pseudo-vaccin et ce type d’effet secondaire sévère. Au Japon, la relation causale est même reconnue officiellement.

Cela vaudrait la peine d’examiner la chronologie de votre maladie car il est possible également de soigner les dégâts du vax avec des compléments alimentaires et des remèdes éprouvés. Outre le chélateur et puissant détoxiquant EDTA, il semblerait que la vitamine C et le bleu de méthylène, encore eux, soient en mesure de neutraliser les nanostructures délétères.

En toute hypothèse, il faudrait enquêter sur votre propension à angoisser pour des questions de direction à prendre. Et tenter de repérer ce qui a bien pu vous stresser au point de déclencher une solution cancéreuse intenable à long terme. Puisse ce message arriver sous vos yeux et vous pousser à entreprendre un décryptage potentiellement salutaire de votre corticosurrénalome. Je me mets bien entendu à votre disposition pour vous aider et vous orienter dans cette démarche.

Recevez, chère Émilie Dequenne, l’assurance de ma sincère compassion et l’expression de ma plus haute considération.

Yves Rasir

PS : À l’heure d’écrire ces dernières lignes, j’apprends que la comédienne est à nouveau hospitalisée. Puisse ma bouteille à la mer épistolaire lui parvenir quand même et lui laisser entrevoir une meilleure année 2025. Et si nous faisions l’effort de prier pour elle ? Aussi étrange que cela paraisse, ce soutien spirituel a déjà démontré son efficacité. Après la trêve des confiseurs que je m’accorde les deux prochaines semaines, il faudra que j’aborde ce passionnant sujet.

11 Comments

  • Sicard dit :

    Bonjour Yves
    Puis-je mettre le lien de cette lettre sur le site “les moutons enragés”?
    Merci pour votre travail de ré-information
    En vous souhaitant de bonnes fêtes de Noël
    Cordialement
    A.

  • De Hauw dit :

    les tout nouveau médicaments contre Le Cancer en Russie. gratuits et effectifs?

  • Alain dit :

    BRAVO ET MERCI, pour toutes vos lettres de ré-information.
    Sur la chimio, l’ivermectine, l’hydroxychloroquine,
    les faux-souvenirs induits par “hypnothérapie” et tous les autres sujets médicaux présentés sur votre site.
    MERCI
    Vos info-lettres salvatrices pour notre santé et nos consciences malmenées
    par l’emprise du “spectaculaire” tentaculaire qui ronge l’occident.
    Vous réalisez un véritable travail de journaliste scientifique avec honnêteté et conscience (lanceur d’alerte)
    Après une introduction “état-des-lieux, vous approfondissez chaque thème en l’enrichissant de vos propres recherches.
    BRAVO ET MERCI
    Car en plus, Vous mettez tout ce travail “gracieusement” à disposition du public.

  • CARINE dit :

    Cher Yves,

    Quelle magnifique lettre!
    Je suis en accord avec chaque mot, chaque citation et je vais prier pour elle
    Pourvu qu’Emilie la lise.
    Je vais aussi l’imprimer et la garder.
    Merci

  • Alain BONNEVAL dit :

    Mon épouse est décédée en 2020 de sa Chimiothérapie agressive à doses massives de 2019, avec au milieu une infection au staphylocoque “soignée” par antibiotiques, malgré mon désaccord ;
    Au début (Août 2010), 2 centres oncologiques consultés (Brive et Limoges, ils se font suivre les dossiers) décident le même traitement pour un cancer du sein de 3 tumeurs minuscules : une série de 3 Chimio en 2010, puis Mastectomie TOTALE ???
    Puis elle décide d’arrêter la Chimio ;
    Dès le début, j’avais acheté plusieurs compléments : sélénium, les 4 produits de Mirko Beljanski (attention aux contrefaçons), injections de gui dans le sein selon l’Anthroposophie de Rudolf Steiner, Cure de jus de Rudolf Breuss, Desmodium adcendens de Tubéry, Bactivit (pré et pro-biotique), magnésium, propolis … Ce qui lui avait permis de rester en santé ;
    Mais malheureusement, elle les a arrêtés en fin 2016 pour suivre des Chimio par cachets journaliers, puis de l’hormonothérapie (qui n’est que de la Chimio “déguisée”) ;
    En 2019, finalement, le nouvel oncologue arrive à la convaincre pour cette dernière Chimio très agressive, qui a eu l’ait de fonctionner sur les marqueurs jusqu’à fin 2019, pour repartir exponentiellement en 2020, et son décès en Avril 2020 ;
    Juste avant, hospitalisée à cause des conséquences de cette Chimio, et ayant été déclarée Positive, elle est transférée en aile Covid ;
    En plein Covid, donc par téléphone seulement, J’apprends “qu’elle était devenue Chimio-résistante” !!!
    Je n’exclus pas en plus une injection de Rivotril, non-inscrite sur son dossier médical ;
    Au total, elle aura tenu presque 10 ans ;
    FUYEZ la Médecine Chimique ;

  • Claudine Kiépura dit :

    Vraiment, c’est une TRES belle lettre. Merci et félicitations 😍
    Claudine

  • Patrick-Louis VINCENT dit :

    Bonjour Yves,
    Les traitements alternatifs au cancer sont légions aujourd’hui. Je ne comprends même plus que les malades fassent encore confiance aux soins conventionnels. Vous avez cité la vitamine C à hautes doses, la mélatonine et le DHA ; l’on peut ajouter l’ozonothérapie, la vitamine B17 et la vitamine D, l’extrait de pépins de raisin (leucémies), la racine de pissenlit, la quercétine contre les cellules souches cancéreuses, le gui, l’hyperthermie…
    Mais, selon mes connaissances, le meilleur remède contre le cancer reste la nourriture. Selon le dr. Colin CAMPBELL, qui a étudié les causes du cancer pendant son étude en Chine, il ne fait aucun doute que si tout un chacun développe des cellules cancéreuses, ce sont bien les protéines animales qui les promeuvent, c’est-à-dire les font croître et se multiplier. Lire absolument à ce sujet “l’enquête Campbell” et “le régime Campbell”. Un monument.
    Le jeûne est aussi efficace pour détruire les cellules cancéreuses. Après l’avoir fait, il faut adopter une nourriture entièrement végétalienne, en privilégier les crucifères, en particulier le brocolis pour son sulforaphane et le chou kale. C’est ce que recommande le dr. William LI qui a particulièrement étudier les cellules souches cancéreuses. Outre le brocolis, il recommande l’ail, le soja pour la génistéine, la curcumine, le thé vert, les noix, la quercétine que l’on trouve dans les oignons, les pommes, les poivrons, l’acide ellagique que l’on trouve dans les mûres, les myrtilles, les grenades, les châtaignes, le resvératrol que l’on trouve dans le raisin noir, mais aussi les pistaches, les cacahuètes, les canneberges, l’acide chlorogénique que l’on trouve dans les abricots, les prunes, les carottes, les phytates anticancéreuses et anti-métastases que l’on trouve dans les légumes verts et les légumineuses.
    J’ajoute que tous fruits sont anticancéreux, notamment les citrons et les canneberges qui, selon nutritionfacts.org détruisent à 80% et 100% les cellules cancéreuses.
    Amicalement
    Patrick-Louis

  • Eléonore Visart dit :

    Oui, c’est triste, j’en sais quelque chose, ma fille est morte du cancer du sein à 47 ans…après plus d’un an et demi d’agonie…Depuis ses 3 ans elle mangeait bio, elle était professeur de piano et donnait cours de Taï chi et de Qi Kong. Elle a essayé plusieurs médecines naturelles, puis la mort dans l’âme elle a accepté la chimio. Rien n’y a fait…

  • Sternotte dit :

    Magnifique article très complet, j’irais voir dans ce genre de centre (Allemagne) pour envisager les choses sous le même angle,
    https://3e-centre.com/
    Aussi lire le livre “affamez le cancer” de Jane Mc Lelland….
    Oui, la vitamine C en perfusions (incontournable)…

    Merci à Yves Rasir et de joyeuses fêtes aux lecteurs de Néosanté.

  • Muriel dit :

    Monsieur Rasir,

    Je vous lis toujours avec grand plaisir et intérêt mais cette lettre-ci mérite des remerciements marqués.
    Puisse-t-elle en effet parvenir à Emilie et lui redonner espoir, lui faire découvrir une autre approche.
    Pour ma part, je regarde plus en détail vos différents liens.
    Votre dernière suggestion me parle aussi !
    Bonnes fêtes de fin d’année et merci encore pour ce superbe écrit.
    Cordialement.

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