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La semaine dernière, je vous disais que le nouveau livre de Pierre Chaillot apporte une confirmation statistique choquante : l’injection génique expérimentale a entraîné de gros problèmes de fertilité chez les couples en âge de procréer. C’est indéniable puisque la natalité s’est effondrée à partir du printemps 2022, soit 9 mois pile après la campagne vaccinale ciblant les jeunes générations.

En analysant les chiffres officiels, Pierre a également trouvé que l’année 2021 est marquée par une mortalité néonatale exceptionnellement élevée, ainsi que par un record d’enfants nés sans vie, ce qu’on appelle dans le jargon obstétrique les « mortinaissances ». Il s’est produit non seulement une perte de fécondité évidente, mais également une perte de viabilité des fœtus et des bébés. Chose particulièrement inquiétante, ces indicateurs funestes n’ont guère faibli malgré la fin des vaccinations covid, ce qui permet de soupçonner un effet néfaste à long terme des pseudo-vaccins à ARN.

Choqué par ces révélations chiffrées, je l’ai plus encore été par l’article publié le 10 février par le Dr Colleen Huber, une docteure en naturopathie connue aux États-Unis pour ses recherches sur le cancer et dont les travaux ont été publiés dans de grandes revues scientifiques comme The Lancet ou Cancer Strategies Journal. Depuis quatre ans, cette naturopathe-oncologue dénonce l’impact des vaccins sur l’appareil reproducteur (tant féminin que masculin) et sur le déroulement des grossesses, lesquelles échouent dans des proportions très anormales.

Malgré la censure féroce dont elle fait l’objet, le Dr Huber parvient doucement à se faire entendre. Et c’est heureux car cette lanceuse d’alerte s’appuie sur quatre sources d’informations difficilement contestables : 1) ce que les gynécologues observent dans leurs pratiques cliniques ; 2) ce qui ressort des essais Pfizer et Moderna ; 3) ce que rapportent les données officielles de pharmacovigilance et 4) ce que disent les nombreuses études parues à ce sujet. Dans l’article que je vous ai traduit ci-dessous, l’auteure fournit en effet pas moins de 49 références, dont une majorité de travaux publiés dans des journaux scientifiques ! En préambule, Colleen Huber cite l’accusation extrêmement grave formulée par la journaliste et essayiste américaine Naomi Wolf, dont le livre-réquisitoire préfacé par le Pr Raoult sortira bientôt en français. Après avoir examiné en détail les documents émanant de Pfizer, l’écrivaine parle carrément d’une « attaque délibérée contre la sexualité humaine ». 

Personnellement, je ne suis pas sûr que l’on puisse aller jusque-là et que cette thèse d’un grand complot génocidaire par dénatalité planifiée soit la bonne. Jusqu’à plus ample informé, il ne faut pas éliminer la possibilité que ce désastre natalo-sanitaire soit involontaire et imprévu par les apprentis-sorciers de l’ARN messager. Ce ne serait pas la première fois que les vaccina-tueurs provoquent une hécatombe sans intention consciente de la provoquer. Mais ce qui sûr, c’est que les résultats sont là et que le taux de fécondité est au plus bas dans les pays où l’on a administré les fioles Pfizer et Moderna. Qu’il y ait préméditation ou non, les faux vaccins fabriqués par ces deux firmes sous la supervision de la DARPA sont bel et bien des instruments de dépopulation !

Cette semaine, je vais donc à présent m’effacer pour vous proposer de lire le texte du Dr Huber. Il faut absolument alerter les candidats papas et mamans sur les risques qu’ils prennent en se faisant injecter de tels produits contraceptifs et abortifs. Et à ceux qui ne parviennent pas à enfanter, il faut donner les infos nécessaires pour entamer une courageuse croisade judiciaire. Car les coupables de ce dépeuplement des ventres et des berceaux doivent être poursuivis et sévèrement punis !

Naturellement, je ne souscris pas aux accents pasteuriens de cet article. Je déplore notamment qu’il se focalise sur la protéine spike et qu’il minimise la nocivité des nanoparticules lipidiques : en 2009, lors de la fausse pandémie de grippe porcine, c’était déjà l’adjuvant huileux qui avait détraqué la santé des vaccinés et fait beaucoup de dégâts. Je regrette aussi que le Dr Huber n’envisage pas l’hypothèse d’une présence clandestine d’autres nanomatériaux non déclarés et susceptibles de nuire dramatiquement à la fertilité. Mais l’essentiel, aujourd’hui, c’est de briser le déni sur la toxicité du vax et sur l’un de ses effets indésirables (ou désirés ?) les plus condamnables. N’hésitez pas à partager !

Yves Rasir

 

APERÇU DE L’IMPACT DES VACCINS COVID 

SUR LA FERTILITÉ

 

DR. COLLEEN HUBER (10 février 20025)

Naomi Wolf : « La pièce maîtresse des documents de Pfizer est une attaque délibérée contre la sexualité humaine, et en particulier contre les femmes et les bébés. Ils ont tué les bébés, et ils le savaient. Ils ont empoisonné le lait maternel, et ils le savaient. Ils ont endommagé les placentas, et ils le savaient. Ils ont réduit le nombre de spermatozoïdes, et ils le savaient ». [1]

Fausses couches et mortinaissances aux États-Unis et au Royaume-Uni

En juin 2021, six mois après le lancement initial des vaccins COVID, il était déjà clair que les femmes enceintes vaccinées au cours du premier ou du deuxième trimestre couraient un risque de fausse couche de 90 % [2]. Ces données ont été recueillies par le système de surveillance V-Safe des Centers for Disease Control (CDC) et ont été publiées dans le New England Journal of Medicine [3].

L’énorme bilan des fausses couches qui ont suivi le pic d’utilisation du vaccin COVID est documenté dans OpenVAERS, un résumé du Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des événements indésirables liés aux vaccins), et est illustré ici : [4]

La corrélation entre l’injection et la mort du fœtus a montré un timing très serré, la plupart des morts fœtales se produisant le même jour. [5]

Avant les vaccins COVID, le taux moyen de fausses couches en 2001 était de 10 à 15 % de toutes les grossesses cliniquement reconnues, selon l’American College of Obstetrics and Gynecology [6].

Les données du Royaume-Uni, telles qu’elles ont été rapportées au système de carte jaune du Royaume-Uni, montrent un taux similaire de 90 % de fausses couches après le vaccin Pfizer, comme je l’ai calculé à partir des données qui ont été rapportées sur une page du gouvernement britannique qui a maintenant été supprimée [7]. Les archives Internet montrent toujours le document original qui indique que le gouvernement britannique était au courant du taux élevé de fausses couches à la date de publication, le 21 avril 2021 [8]. [Il indique que les résultats du vaccin Pfizer sont les suivants : 2 morts fœtales + 10 mort-nés + 489 avortements + 15 grossesses extra-utérines. En ce qui concerne les résultats positifs, les données britanniques font état de 2 nouveau-nés normaux + 2 naissances normales à terme + 35 grossesses normales + 8 naissances vivantes normales. Les résultats négatifs s’élèvent donc à 516 et les résultats positifs à 47. En divisant 516 / 47 = 10,97. Ainsi, les résultats malsains divisés par les résultats sains ont multiplié par plus de dix le risque de fœtus mort par rapport à un fœtus/bébé vivant.

Il convient de noter que les données britanniques peuvent être biaisées en faveur d’une sur-déclaration des événements indésirables, en raison d’une éventuelle dépendance à l’égard des données du système de cartes jaunes. D’autre part, les données peuvent être biaisées en faveur d’une sous-déclaration, comme on l’a vu dans le système VAERS américain. Toutefois, comme les statistiques sont très proches des données de Pfizer aux États-Unis, il est probable qu’elles soient confirmées.

J’avais déjà mis en garde contre ce risque pour la fertilité en février 2021, avant le pic d’utilisation des vaccins COVID aux États-Unis et au Royaume-Uni [9].

Après avoir obtenu davantage de données, le Dr Pierre Kory a estimé plus tard, et de manière plus précise, le risque de fausse couche à 87,5 % [10]. J’en parle plus en détail sur mon site.

La fausse couche est souvent désignée par son nom clinique d’« avortement spontané » [11].

J’ai également montré qu’au Royaume-Uni, les femmes enceintes vaccinées par Moderna et par Astra Zeneca avaient des issues de grossesse similaires, avec un risque de mort fœtale de l’ordre de neuf pour un et de dix pour un. Tout cela était connu dès le 4 mai 2022 [12].

Données sur les naissances en Europe

En août 2022, l’équipe de recherche de Hagemann avait recueilli des données sur les naissances dans 19 pays européens et constaté une tendance cohérente. Dans tous les pays, la réduction des naissances a commencé à la fin de l’année 2021. Cela s’est produit neuf mois après le pic d’utilisation du vaccin COVID dans toute l’Europe [13]. Je discute de ce phénomène et des conclusions de Hagemann ici.

Le gynécologue-obstétricien James Thorp pratique l’obstétrique depuis 1980 et est spécialisé dans les grossesses à haut risque. En 2022, il a observé : « Ce que j’ai vu au cours des deux dernières années est sans précédent : beaucoup, beaucoup, beaucoup de complications dues aux vaccins COVID, chez les femmes enceintes, chez les mères et chez les fœtus, chez les enfants… mort fœtale, fausse couche… sans précédent. » [14]

Le Dr Thorp en a parlé plus en détail lors d’une interview avec Tucker Carlson, évoquant « une multiplication par 1200 des anomalies menstruelles et une multiplication par 57 des fausses couches » [15].

En 2022 également, une autre gynécologue-obstétricienne, Kimberly Biss MD, a évoqué une baisse de 50 % de la fertilité et une augmentation de 50 % des fausses couches dans son cabinet de groupe, depuis l’adoption du vaccin COVID [16].

Ce n’était pas le premier vaccin pour lequel la grossesse et le fœtus connaissaient une issue tragique. L’Organisation mondiale de la santé s’intéresse depuis longtemps aux « vaccins anti-fécondité » et aux « vaccins régulateurs de la fécondité », au moins depuis 1992. La gonadotrophine chorionique est le seul antigène qui remplit les critères d’un vaccin contraceptif idéal. L’OMS avoue également que « des études sur des primates ont montré que l’immunisation avec des vaccins anti-hCG rend les animaux infertiles sans aucune altération détectable de leurs cycles menstruels ». Et que « les mêmes vaccins sont envisagés pour réguler la fertilité masculine » [18]. Ces vaccins ont été très efficaces pour atteindre l’objectif fixé. Sur 80 femmes vaccinées participant à un essai, « une seule grossesse a été rapportée dans ce groupe après un total cumulé de 900 mois-femmes de rapports sexuels non protégés » [19].

L’OMS a également admis qu’il existait « des formulaires de consentement éclairé utilisés dans les essais cliniques qui impliquent souvent qu’il n’y a pas de problèmes ou d’effets secondaires associés à l’utilisation de la méthode ». Et que cette pratique était « contraire à l’éthique » [20]. Ce qui est également contraire à l’éthique, c’est que l’OMS n’a pas informé des risques d’infertilité le grand public des pays où ces vaccins ont été administrés.

Il semble que les vaccins COVID aient un effet similaire sur la fertilité.

Qu’est-ce que les fabricants de vaccins savaient et quand ont-ils su que les vaccins COVID avaient des effets néfastes sur les bébés et les fœtus ?

Le livre de Naomi Wolf, « The Pfizer Papers », montre les endroits où Pfizer, dans ses propres documents destinés à la FDA, avait connaissance des signaux de danger après l’administration de doses de vaccin du produit BNT 162b2 de Pfizer/BioNTech, également commercialisé sous le nom de vaccin COVID « Comirnaty ». Ces signaux ont été observés lors des essais menés par Pfizer. Au début de l’année 2021, Pfizer avait connaissance et la FDA avait été informée de ce qui suit :

– des lésions chez les fœtus et les bébés [21].

– 48 catégories différentes d’effets indésirables pour les bébés allaités [22] . De plus, le vaccin COVID a été trouvé dans le lait maternel [23]. Les auteurs de cette découverte ont écrit : « Sur les 11 personnes allaitantes recrutées, des traces de vaccins BNT 162b2 et mRNA-1273 COVID-19 mRNA ont été détectées dans 7 échantillons provenant de 5 participantes différentes à différents moments jusqu’à 45 heures après la vaccination. » Leur présence moyenne dans le lait maternel était de 5 010 à 9 110 particules/mL, ce qui équivaut à des milliards de particules par quart de cuillère à café.

– 28 décès de fœtus ou de nouveau-nés. Cependant, pour 88 % des grossesses ayant fait l’objet des essais de Pfizer, aucun résultat n’a été rapporté [24]. Pfizer n’a pas encore expliqué cette absence flagrante de rapport sur l’issue des grossesses des femmes ayant participé à l’essai du vaccin.

En ce qui concerne Moderna, il y a également eu des signaux de danger et des dommages aux grossesses que l’entreprise n’a pas signalés au public. Dans l’étude de Moderna sur les animaux, il y a eu 22 % de naissances naturelles en moins chez les rats vaccinés contre le COVID [25].

Menstruations et irrégularités menstruelles

La menstruation est considérée comme un cycle de processus opposés – l’un qui construit et fait proliférer les cellules endométriales et le stroma de la muqueuse utérine pendant deux semaines après l’ovulation, alternant et contrebalançant avec un processus destructeur de cette muqueuse endométriale, qui commence par une chute des niveaux d’hormones, en particulier la progestérone, une diminution de l’oxygène, la mort des cellules de la muqueuse endométriale, la liquéfaction et l’élimination de ces cellules, ce que l’on appelle les menstruations. Si la muqueuse reste intacte, vous pouvez porter un bébé de la gestation à la naissance. Si vous perdez la muqueuse, tout disparaît, y compris une éventuelle nouvelle vie humaine. Nature décrit la menstruation comme « un phénomène de lésions et de réparations répétées des tissus qui est un équilibre subtil entre la prolifération, la décidualisation, l’inflammation, l’hypoxie, l’apoptose, l’hémostase, la vasoconstriction et, enfin, la réparation et la régénération »[26]. Il s’agit d’une activité importante, à peu près sinusoïdale et qui s’inverse continuellement, mais il s’agit d’un cycle mensuel typique du système reproducteur féminin.

Des saignements menstruels excessifs ou fréquents, appelés respectivement ménorragie et métrorragie, ont été fréquemment signalés après l’administration des vaccins COVID. Ces saignements abondants peuvent entraîner une perte de fer et une anémie ferriprive. L’excès de saignement est plutôt associé à la destruction de la muqueuse utérine, l’endomètre, ainsi que de la plupart de ses vaisseaux sanguins. Dans cet article, j’ai parlé de la dégradation de la paroi endothéliale des vaisseaux sanguins après l’administration du vaccin COVID, et du fait que cette dégradation peut être si importante qu’elle détruit le vaisseau et entraîne une fuite de sang dans les tissus environnants.

Naomi Wolf, citée au début de cet article, avait lancé une enquête en ligne au début de la saison des vaccins COVID, au printemps 2021. Cependant, une censure intense sur les médias sociaux a effacé les enregistrements des données qu’elle avait collectées.

L’anthropologue Kathryn Clancy et ses collègues ont ensuite lancé une enquête en ligne auprès de femmes de plus de 18 ans, à laquelle plus de 16 000 réponses ont été reçues. Parmi elles, 42 % ont signalé des saignements menstruels plus abondants après la vaccination par le COVID [27]. Cette étude s’est étendue à plus de 165 000 femmes, et 42 % de celles qui avaient des cycles menstruels normaux ont eu des changements menstruels après la vaccination. Et même 66 % des femmes ménopausées ont présenté des symptômes menstruels inattendus après la vaccination. Même les médias pro-vaccins ont fait état de ces résultats [28].

Le système V-Safe du CDC comporte des champs de texte libre dans lesquels des informations peuvent être soumises concernant les effets indésirables des vaccins. Cette base de données a montré que 62 679 femmes avaient signalé des irrégularités menstruelles à la suite d’une vaccination. Cette information a été publiée dans la revue The Lancet. [29]

La littérature évaluée par les pairs a confirmé à plusieurs reprises l’association entre la vaccination COVID et les irrégularités menstruelles, quelle que soit la marque du vaccin [30]. Une autre étude portant sur 14 153 femmes a révélé que 78 % d’entre elles avaient subi des changements menstruels à la suite de la vaccination [31]. Une étude plus modeste, publiée dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, a révélé des proportions similaires de femmes affectées. 67 % d’entre elles étaient plus susceptibles d’avoir des menstruations prolongées, et 41 % étaient plus susceptibles de continuer à avoir des menstruations pendant plus de 9 mois [32]. Une étude menée au Japon a montré que les saignements menstruels étaient prolongés de 2,5 jours en moyenne après la vaccination COVID [33].

Les femmes qui n’ont pas de menstruations sont 2 à 5 fois plus susceptibles d’avoir des saignements après la vaccination par COVID [34]. Il est intéressant de noter que Moderna était 32 % plus susceptible que Pfizer d’avoir cet effet. Et il se trouve que la dose de vaccin Moderna est deux fois plus forte que la dose de vaccin Pfizer.

La raison pour laquelle les résultats mentionnés dans les paragraphes ci-dessus sont importants n’est pas seulement liée à l’inconfort de la femme concernée, mais aussi au fait que les saignements menstruels vident le contenu de l’utérus, et que ce contenu inclut parfois une nouvelle vie humaine. Par conséquent, l’association des vaccins avec l’augmentation des saignements menstruels a un effet abortif sur certaines femmes, à certains moments de leur cycle menstruel. C’est ce qui ressort de l’énorme perte de grossesses évoquée au début de cet article.

Le public aurait dû être alerté de cette possibilité. Quiconque défend le droit des femmes à faire leurs propres choix en matière de procréation aurait dû demander une telle transparence. Les familles, en particulier les futurs parents et les parents en devenir, avaient le droit de savoir.

Effets du vaccin COVID sur les ovaires

Le véhicule d’administration des vaccins COVID est constitué d’enveloppes de nanoparticules lipidiques (LNP), dont on a constaté qu’elles atteignaient l’ovaire en plus forte concentration que la plupart des autres organes et qu’elles s’y accumulaient [35]. La FDA, Pfizer et la société Acuitas en ont eu connaissance en novembre 2020, avant la distribution des vaccins COVID au public [36].

Les cellules de la granulosa dans les ovaires entourent l’« œuf », ou ovocyte humain, et sont impliquées dans des boucles de rétroaction hormonale avec l’hypophyse et l’hypothalamus dans le cerveau. Ces interactions régulent le cycle menstruel, c’est-à-dire le début et la fin des saignements mensuels. Les cellules de la granulosa produisent des œstrogènes pendant la première phase, la phase folliculaire du cycle menstruel, et plus tard, pendant la phase lutéale, elles produisent de la progestérone. Les cellules de la granulosa soutiennent et nourrissent également le follicule en développement. Lorsque ces cellules ont été soumises au vaccin COVID in vitro, leurs proportions relatives d’hormones ont doublé et triplé, en particulier le rapport FSH/inhibine B chez toutes les femmes testées [37]. L’inhibine B est une hormone clé dans la régulation des cycles menstruels [38]. Des variations aussi importantes (2 à 3 fois) des proportions hormonales suffisent à perturber le jeu normalement bien coordonné des hormones féminines, avec les effets perturbateurs prévisibles qui en résultent sur les ovocytes et les cycles menstruels.

L’excrétion (shedding)

On a beaucoup écrit sur l’excrétion depuis les observations faites en 2021 dans ma petite clinique, dont j’ai parlé ici. Pfizer avait subtilement reconnu l’excrétion dans sa documentation à la FDA avant la mise sur le marché du vaccin COVID, [39] mais très peu l’avaient remarquée, et ceux d’entre nous qui étaient complètement censurés sous la contrainte de l’administration Biden, comme je l’étais de presque tous les médias sociaux à l’époque, ne pouvaient pas communiquer ce danger à de larges audiences.

Au printemps 2021, une étude portant sur 6 049 femmes âgées de plus de 18 ans (âge moyen : 38 ans) a inclus 3 390 femmes qui n’avaient jamais reçu de vaccin COVID. Dans ce groupe, 50,1 % ont présenté des anomalies menstruelles dans les trois jours suivant l’exposition à une personne vaccinée contre le COVID, à une distance inférieure à six pieds, et 71,7 % ont présenté des symptômes menstruels irréguliers dans la semaine suivant cette exposition. Dans les deux cohortes de femmes, qu’elles aient été directement vaccinées ou secondairement exposées à des personnes vaccinées, 92,3 % ont signalé des irrégularités menstruelles [40]. 4,83 % des femmes non vaccinées ont même signalé une chute de plâtre déciduale, c’est-à-dire que la totalité de la muqueuse utérine est évacuée d’un seul tenant. Avant les vaccins COVID, un tel événement était si rare que moins de 40 cas de ce type avaient été rapportés dans les revues médicales du monde entier en 109 ans [41].

Les symptômes les plus fréquemment signalés dans cette étude étaient des saignements menstruels plus abondants que d’habitude, des règles précoces et des saignements menstruels prolongés. Si la protéine spike a effectivement pénétré dans l’organisme et s’est retrouvée dans l’appareil génital de femmes qui se trouvaient simplement à proximité des vaccinés COVID, l’ubiquité de la pénétration de la protéine spike est tout à fait impressionnante par sa portée.

Mais le vaccin COVID est différent des autres vaccins à excrétion. Les vaccins contre la polio et la rougeole sont notoirement excréteurs, en raison de la présence de virus vivants dans ces vaccins qui imprègnent le corps des vaccinés, faisant d’eux des vecteurs de maladies transmissibles. Même le CDC, politiquement et financièrement empêtré, a reconnu cette transmission [42]. Mais les vaccins ARNm ne contiennent pas de coronavirus qui se répliquent d’eux-mêmes pour infecter l’individu ou d’autres personnes. On a découvert que les exosomes, que l’on peut considérer comme des paquets de sortie, transportent des protéines de pointe pendant au moins un an [43] et qu’ils transportent dans le plasma celles qui ont été spécifiquement produites par les vaccins Pfizer [44]. De là, il n’y a qu’une courte distance à parcourir jusqu’à la salive et à l’extérieur du corps. Cependant, aucune explication adéquate de la transmission vectorielle de ces vaccins jusqu’à l’utérus ne semble encore disponible.

Les effets des vaccins COVID sur les testicules et la fertilité masculine

Les Pfizer Papers de Wolf exposent les résultats histopathologiques détaillés de feu le pathologiste Arne Burkhardt, résultats qui auraient pu être perdus dans des discussions académiques ésotériques au sein de petits groupes. Ses diaporamas sont reproduits mot pour mot et accompagnés de photographies en couleur de ses résultats microscopiques. À un moment donné, Burkhardt déclare : « Je pense que ces images sont très troublantes pour moi ». À l’autopsie d’un homme de 28 ans, décédé 140 jours après l’injection de Pfizer, il a trouvé des spermatocytes presque inexistants et « une forte expression de la protéine spike dans les spermatogonies ». Il a trouvé la même chose dans l’autopsie d’un homme plus âgé : « Pas un seul spermatozoïde » et “une forte expression de la protéine spike dans les spermatogonies”. Il y a également une « infiltration lymphocytaire dans les testicules et la prostate » [45].

L’étude israélienne sur les spermatozoïdes a été publiée six mois après le lancement du vaccin ARNm de Pfizer en Israël. La concentration en spermatozoïdes, la motilité des spermatozoïdes et le nombre total de spermatozoïdes mobiles ont continué à diminuer environ un mois, puis trois mois, puis environ cinq mois après avoir reçu le vaccin de Pfizer [46]. En l’espace d’un mois, la baisse médiane du nombre de spermatozoïdes était de 12 millions par ml et de 31 millions de spermatozoïdes mobiles. Très malheureusement, les auteurs ont choisi d’affirmer la « récupération » de l’immotilité et du faible nombre de spermatozoïdes à la fin de la période d’étude, leur marqueur T3, mais les données de leur propre tableau démentent cette affirmation.

Mécanisme de destruction des spermatozoïdes

Le mécanisme probable de la réduction de la production de spermatozoïdes est que les spermatogonies et les spermatozoïdes, ainsi que leurs cellules de soutien, les cellules de Leydig et de Sertoli, expriment tous abondamment le récepteur ACE2 et diverses protéases TMPRSS et furine, qui fixent toutes la protéine spike, ce qui est connu depuis 2020 [47]. Ces cellules se trouvent toutes dans les testicules, dont l’étude Pfizer-Acuitas a montré qu’ils recevaient le contenu du vaccin ARNm en quelques minutes [48].

La survie et le fonctionnement des spermatozoïdes dépendent de la participation de l’ACE2 au système angiotensine. Lorsque la protéine spike s’attache au récepteur ACE2, qu’elle cible spécifiquement, elle clive ce dernier, ce qui rend les spermatozoïdes non viables[49].

Réflexion finale

On dit, sans pouvoir le prouver, que cinq milliards de personnes dans le monde ont reçu au moins un vaccin COVID. La fécondité des deux sexes a été affectée par la vaccination COVID. Nous aurons beaucoup de chance si l’humanité survit à la baisse des naissances, aux morts subites dues aux maladies cardiovasculaires et à la montée en flèche des cancers, le bilan des vaccins COVID pour notre espèce.

Sources :

RÉFÉRENCES

[1] N Wolf. The Pfizer Papers; discussion. X.com. https://x.com/newstart_2024/status/1880372112549884014

[2] C Huber. COVID vaccines may rival or exceed “the morning-after pill” in abortion efficacy. Aug 6 2021. The Defeat Of COVID. https://colleenhuber.substack.com/p/covid-vaccines-may-rival-or-exceed

[3] T Shimabukuro, S Kim, et al. Priliminary findings of mRNA Covid-19 vaccine safety in pregnant persons. Jun 17 2021. NEJM. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104983

[4] J Roguski. Evidence of harm to unborn and nursing infants and their mothers. Jan 5 2025.

[5] Ibid.

[6] American College of Obstetrics & Gynecology. ACOG practice bulletin: Management of recurrent early pregnancy loss. Feb 2001. Int J Gyn Obstetrics. 24. https://obgyn.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1016/S0020-7292%2802%2900197-2

[7] Publishing Service.Gov.UK. COVID-19 mRNA Pfizer-BioNTech vaccine analysis print. Pp. 81-82. https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1072043/COVID-19_mRNA_Pfizer-_BioNTech_vaccine_analysis_print.pdf

[8] Publishing Service.Gov.UK. COVID-19 mRNA Pfizer-BioNTech vaccine analysis print. Pp. 81-82. https://web.archive.org/web/20220429005532/https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1072043/COVID-19_mRNA_Pfizer-_BioNTech_vaccine_analysis_print.pdf

[9] C Huber. COVID vaccine considerations. Feb 21 2021. https://www.primarydoctor.org/covidvaccine

[10] P Kory. Massive miscarriage rates among vaccinated pregnant women found buried in the Pfizer documents. Aug 20 2022. Pierre Kory’s Medical Musings. https://colleenhuber.substack.com/p/toxic-masculinity-is-not-as-advertised

[11] Medline Plus. Miscarriage. https://medlineplus.gov/ency/article/001488.htm

[12] C Huber. 10 to 1, Part 2: Post-vaccine pregnancy failures > successes. May 13 2022. The Defeat Of COVID. https://colleenhuber.substack.com/p/10-to-1-part-2-post-vaccine-pregnancy

[13] R Hagemann, U Lorré, et al. [Decline in birth rates in Europe; in German]. Aug 25 2022. Aletheia Scimed. https://www.aletheia-scimed.ch/wp-content/uploads/2022/08/Geburtenrueckgang-Europe-DE_25082022_2.pdf

[14] E Trigoso. “What I’ve seen in the last two years is unprecedented.’ Physician on COVID vaccine side effects on pregnant women. Apr 27 2022. The Epoch Times. https://www.theepochtimes.com/what-ive-seen-in-the-last-two-years-is-unprecedented-physician-on-covid-vaccine-side-effects-on-pregnant-women_4428291.html

[15] T Lindsay. Dr. James Thorp OBGYN on Tucker Carlson: Harms of the COVID vaccine for pregnant women. 2023. https://rumble.com/v2awx7a-dr.-james-thorp-obgyn-on-tucker-carlson-harms-of-the-covid-vaccine-for-preg.html

[16] K Biss. Post vax: miscarriage rates up 50%, fertility down 50%. https://rumble.com/v1o5nc2-post-vax-miscarriage-rates-up-50-fertility-down-50..html

[17] World Health Organization. Fertility regulating vaccines. Aug 17-18 1992. Geneva. pp. 35. https://drive.google.com/file/d/1FKMhagpd6bRZJ8la96bgH7UwQ8CmFNnI/view

[18] Ibid. p. 12.

[19] Ibid. p. 19.

[20] Ibid. p. 26.

[21] N Wolf. The Pfizer Papers [book]. 2024. Skyhorse Publishing. p. 153.

[22] Ibid. pp. 154-155 and 222.

[23] N Hanna, A Heffes-Doon, et al. Detection of messenger RNA COVID-19 vaccines in human breast milk. Sep 26 2022. JAMA. 176 (12). https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC9513706/

[24] Wolf. p. 291.

[25] Ibid. p. 285.

[26] V Jain, R Chodankar, et al. Uterine bleeding : how understanding endometrial physiology underpins menstrual health. Feb 8 2022. Nature Rev Endocrin. 18. 290-308. https://www.nature.com/articles/s41574-021-00629-4

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Un commentaire

  • Gherras dit :

    salut cher Mr Rasir.
    Je n’ai pas les références, mais j’ai lu que des medecins du Kenya sont arrivés à la conclusion que les vaccins contre le tétanos obligatoire chez les femmes enceintes, est sciemment destiné à réduire la fertilité des femmes africaines.
    J’opterais plus vers l’intentionnalité à réduire la population mondiale de cette modite piquouze covid. Toute l’affaire tourne autour de cet objectif qui est effrontement déclaré.
    Chez nous, au Maroc, plein de gens du peuple avaient refusé ou fait de telle sorte qu’elles ne soient pas piquouzés, surtout les jeunes. Cette année une grande compagne de vaccination contre la rougeole est menée ( sûrement dans le même but et aussi d’autres buts), alors qu’il n’y a aucun cas de rougeole.
    De la dinguerie comme toujours.
    Merci encore pour votre combat continu et hautement honorable .

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