Dira-t-on bientôt que les vaccinateurs de gens mentent comme des arracheurs de dents ? En tout cas, les organisateurs et les zélateurs de la vaccination anticovid font vraiment ce qu’il faut pour s’approprier le dicton. Ils trahissent notamment la vérité en faisant croire que le vaccin fait un tabac et que la population se rue dessus comme une ribambelle de gosses affamés sur une crème glacée. C’est faux et cela commence à se voir. Beaucoup de personnes conviées à se faire vacciner ne prennent pas rendez-vous et cela se traduit par des milliers de « créneaux » vacants, comme on dit en France, et des vaccinodromes souvent déserts. En Belgique, on dispose des chiffres définitifs pour les plus de 75 ans : près de 30% d’entre eux n’ont pas reçu la première dose, ce qui est énorme quand on sait que le taux de vaccination a atteint 94% dans les maisons de retraite. Malgré une propagande incessante, l’absence fréquente de consentement et un suivi des réfractaires confinant au harcèlement, 150.000 seniors belges ont refusé la piqûre. N’est-ce pas un signe évident que la confiance n’est pas au rendez-vous ? Au lieu de l’admettre honnêtement, les autorités parlent de succès, d’engouement, et sont en train de recourir à une vieille technique de marketing consistant à inventer la demande pour écouler un excès d’offre. En Wallonie, par exemple, l’agence vaccinaliste a communiqué qu’elle s’attendait à un « tsunami » de candidats à l’inoculation dans les prochaines semaines. Puisque les moutons ont l’instinct grégaire, on peut effectivement prévoir une légère affluence éphémère, laquelle sera bien sûr filmée par les médias d’État saluant alors une « accélération » de la vaccination. Mais ce dopage artificiel de la demande est une duperie puisque dans le même temps, les vaccinateurs procèdent à un rajeunissement accéléré du cheptel convoqué. Moi, sexagénaire, j’ai reçu un texto et une lettre la semaine dernière. Et je connais plusieurs quinquas qui ont déjà été sollicités. À son grand étonnement, le journaliste de Kairos Alexandre Pénasse a reçu son invitation alors qu’il n’a que 42 ans et ne présente aucun facteur de risque. Bref, l’église vaccinaliste verse dans la duplicité et son clergé est occupé à rameuter un maximum d’ouailles dans l’espoir de maquiller l’échec relatif de la campagne. L’avantage de cette situation, c’est que le trucage ne va pas faire longtemps illusion. Même en dévalant l’escalier des catégories d’âge et en oubliant les publics cibles, les piquoûzeurs vont assez vite se retrouver en manque de bras à piquer. Le gros inconvénient, c’est que l’horizon vaccinal se rapproche à toute allure pour les jeunes générations : au rythme où ça va, on verra très bientôt des adolescents et des enfants parmi les cobayes de cette expérience médicale de masse.
Victoire usurpée
Les vaccinateurs osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. Et plus le mensonge est gros, moins ils rechignent à le proférer. Ces derniers temps, ils s’arrogent carrément l’évolution favorable des chiffres épidémiques, comme si rien d’autre ne pouvait expliquer l’éclaircie. Euh, excusez-moi les gars, mais l’an dernier à la même époque, le virus est aussi parti en vacances dès que les beaux jours sont arrivés. Or, si je ne m’abuse, il n’y avait pas de vaccin en 2020. Et aujourd’hui, toujours pas de stratégie thérapeutique précoce digne de ce nom. Il n’y a plus que les virocrates et ceux qui les vénèrent pour ne pas voir que la coronavirose est saisonnière et qu’elle se fait la malle, comme toutes les autres, dès que le temps se réchauffe et que les gens s’aèrent. Comme arguments, on va me rétorquer que la mortalité a diminué et le nombre de clusters a chuté dans les Ehpads. Oui, mais c’est à mes yeux une erreur de raisonnement : le printemps attire les hirondelles et non le contraire ! Dans les homes pour personnes âgées, la maladie – naturelle et post-vaccinale – a déjà moissonné tout ce qu’elle pouvait faucher. Et qui plus est, la foi vaccinaliste y a conduit à relâcher très vite la discipline sanitaire. Je l’ai bien vu dans la maison de retraite où séjourne ma vieille maman : du moment que la quasi-totalité des résidents a été vaccinée, les portes de la prison se sont entrouvertes et ils ont pu retrouver une vie presque normale. Chassez la barbarie, la santé revient au galop. Non seulement les conditions de séquestration des aînés se sont améliorées mais les tests effectués se sont raréfiés, ce qui conduit ipso facto à un moindre dépistage d’asymptomatiques assimilés à des « cas confirmés ». Et dites-moi, les paramètres de la méthode PCR n’ont-ils pas été modifiés ? Aux USA, les CDC viennent étrangement d’adapter leurs recommandations en préconisant 28 cycles d’amplification, contre 35-40 auparavant. Si la consigne est pareillement appliquée en Europe, ça signifie que les laboratoires repèrent automatiquement moins de contaminés et que l’action du vaccin est donc surestimée. Voilà comment on usurpe une victoire et comment on nous fait croire que « ça marche». La vérité, c’est que le taux de vaccination, à l’instar des confinements et du port du masque, n’influence que marginalement les courbes covid. On le voit bien au Proche-Orient, où les pays voisins d’Israël ne font pas moins bien tout en vaccinant beaucoup moins. On le voit bien aussi en Belgique, où la pandémie se tasse dans toutes les régions malgré un « engouement » pour le vaccin très contrasté.
Le déni des morts
Non contents de s’attribuer un progrès qui n’est pas le leur, les vaccino-menteurs dissimulent l’horreur, c’est-à-dire les immenses dégâts humains indubitablement provoqués par le vaccin. Aux États-Unis comme en Europe, les données officielles sont pourtant éloquentes ; jamais une campagne vaccinale n’avait autant blessé et tué à court terme. Selon le bilan établi par le statisticien Gérard Delépine au 9 avril, Il y avait déjà 20 fois plus d’accidents et de trépas post-vaccinaux déclarés que pour la vaccination H1N1 ces 15 dernières années, et ce pour un nombre d’injections similaire ! L’hécatombe demeure silencieuse parce qu’il est rarement possible d’établir un lien de cause à effet entre le vaccin et le décès. Pour un cas avéré de relation causale, comme cette thrombose fatale qui a coûté la vie à un jeune étudiant nantais, il y en a plein d’autres qui ne sont pas comptabilisés du fait que les autopsies ne sont pas réalisées. Très illogiquement, l’absence de preuves est donc confondue avec la preuve de l’absence. Et la succession de drames individuels n’apparait pas sur les radars comme une tragédie collective. Pour briser l’omerta et espérer que les consciences s’éveillent, il ne faut pas compter sur les écrans de surveillance, il faut compiler les témoignages et montrer du doigt les « coïncidences temporelles » dont nous avons connaissance. Pas celles touchant des victimes douteuses , par exemple le comédien Yves Rénier, qui était cardiaque et avait 82 ans, mais celle d’hommes et de femmes en pleine santé et dont la mort subite est clairement imputable à l’administration préalable du vaccin. C’est ce que Jean-Jacques Crèvecœur a fait dans la dernière émission de l’Info en Questions : son énumération de vies brisées dans la fleur de l’âge avait de quoi émouvoir les gouvernants au lieu de les laisser indifférents. On peut rester froid devant des chiffres globaux, invoquer impassiblement le hasard ou se retrancher derrière le glaçant « rapport bénéfices/risques », mais il est plus difficile de nier un destin saccagé et une famille endeuillée. Quoi que, il ne faut jamais sous-estimer la puissance du déni, ni dans le chef des prélats vaccinalistes, ni dans celui des fidèles. J’en ai fait l’expérience amère pas plus tard qu’hier : sur mon mur Facebook, j’ai publié le faire-part de décès d’un quadragénaire liégeois et j’ai mis en vis à-vis le message que celui-ci avait posté dix jours avant sa mort : il se réjouissait d’avoir été vacciné, se disait en pleine forme, envisageait déjà sa deuxième dose et invitait ses followers à l’imiter. Très vite, j’ai été pris à partie par certains de mes propres suiveurs qui m’ont vertement reproché de « récupérer » le malheur d’autrui à mon profit et de désigner l’injection comme responsable sans en faire la démonstration. C’est vrai que je n’ai pas enquêté et que le décès inopiné du quadra vaccinophile est possiblement attribuable à une morbidité cachée. Mais franchement, avec quel pourcentage de chances ? Une sur mille ? Une sur un milliard ? Les réactions outrées m’ont passablement énervé car dans quelques semaines, ce ne seront plus des adultes qui vont défrayer prématurément la nécrologie : si les parents laissent faire, il va y avoir des ados, des enfants, voire plus tard des bambins assassinés par vaccin interposé. Alors même que la grippe covid ne les concerne pas, on va leur faire courir un risque insensé qu’aucun bénéfice virtuel ne peut justifier. Surtout pas la mythique immunité de troupeau – toutes les épidémies s’éteignent bien avant que ce seuil théorique ne soit atteint – et encore moins ce projet délirant d’éradiquer un virus de la famille corona, par nature ubiquitaire, transformiste et immaîtrisable. La perspective d’un seul bébé sacrifié m’est déjà insupportable et c’est pourquoi je vais persister à « récupérer » les connexités troublantes dont je serai informé. Pour la chair de nos chairs, il y a urgence à ce que toutes les vérités éclatent.
Très bel article mais on ne voit pas le nom de l’auteur, que j’aimerais découvrir.
Yves Rasir, pour vous servir