Faut-il ajouter le mien à la pluie d’hommages qui a suivi le décès inopiné de Michèle Rivasi le 29 novembre dernier? Plutôt qu’ajouter mon éloge funèbre à la liste, je préfère vous inviter à lire le beau texte rédigé par mon confrère Rodolphe Baquet et celui très bien écrit par Augustin de Livois, directeur de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle. C’est précisément la santé naturelle qui a perdu une ardente avocate en la personne de Michèle Rivasi. Après avoir embrassé les causes environnementales qui ont fait sa réputation d’empêcheuse d’empoisonner en rond, la députée européenne écologiste avait en effet affronté les lobbies du médicament et des vaccins en défendant bec et ongles le droit de se soigner autrement. Et pour défendre ce droit, cette militante de la liberté n’avait pas hésité à se mettre en marge de sa propre formation politique, laquelle avait même désavoué ses prises de position contre la gestion du covid, le pass vaccinal et la campagne d’injections forcées. Durant la crise sanitaire, Michèle Rivasi aura sauvé à elle toute seule l’honneur perdu des Verts convertis au covidisme totalitaire ! Bien qu’issue des rangs socialistes, l’élue écologiste était apparemment la seule de son groupe à comprendre encore en quoi consiste l’application des principes écologiques dans le domaine de la santé. Je ne la connaissais pas personnellement mais j’admirais profondément cette femme de combat travailleuse et courageuse. Elle est partie trop tôt et elle va cruellement manquer sur les bancs des opposants aux dérives despotiques de la Commission Européenne. La faute à la fatalité et à une crise cardiaque fortuite ? Dès son annonce, d’autres explications de sa mort subite ont émergé sur les réseaux sociaux et dans certains médias alternatifs. En guise d’hommage particulier à la grande dame disparue, je vais de mon côté examiner trois hypothèses sur « la cause de la cause » de son décès et apporter un éclairage à la manière Néosanté, c’est-à-dire en explorant le contexte psycho-émotionnel de l’infarctus mortel.
L’hypothèse du vaccin
Chat échaudé craignant l’eau froide, je ne vais pas insinuer, comme je l’ai fait à tort pour le Dr Olivier Soulier, que Michèle Rivasi était vaccinée et qu’elle a succombé aux effets secondaires de la thérapie génique. Certaines personnes ont lancé cette rumeur sur la toile mais je n’ai pour ma part trouvé aucun élément l’accréditant. Au contraire, des sources fiables indiquent que la députée ne disposait pas du pass vaccinal durant la période où cet Ausweiss discriminatoire était exigé aux grilles du parlement européen. Ces même sources confirment que l’élue devait se faire tester et exhiber un résultat négatif pour accéder à l’enceinte parlementaire de Bruxelles ou de Strasbourg. Même si son accident cardiaque sans antécédents rappelle l’épidémie sévissant chez les injectés à l’ARN messager, il n’y a donc pas lieu de soupçonner un « double jeu ». Ce qui est en revanche certain, c’est que Michèle Rivasi n’était pas viscéralement antivax. Elle a déclaré à maintes reprises qu’elle récusait cette étiquette et qu’elle était au contraire favorable aux vaccins, pour elle-même et sa progéniture. Elle prônait le libre choix, relayait la parole vaccinocritique et s’indignait du poids de Big Pharma, mais elle n’a jamais remis en question la médecine des vaccins en tant que telle. Dans le dossier covidien, elle dénonçait l’attribution du marché et l’opacité des contrats sans trop s’alarmer du contenu des fioles et de leur toxicité. Si elle avait renoncé à l’injection expérimentale, on peut imaginer qu’elle se pliait religieusement au rituel de la vaccination antigrippale, voire à celle contre les pneumocoques. Or faut-il vous rappeler que ces deux vaccins ont été largement administrés en Italie du Nord et à Madrid peu avant les pics de mortalité attribués au covid? En tant que grosse fumeuse et personne relativement âgée (70 ans), Michèle Rivasi s’est peut-être sentie menacée et obligée de se protéger préventivement au moyen de produits soupçonnables, eux-aussi, de renfermer des nanoparticules et des contaminants toxiques. Sans préjuger de son statut vaccinal, il eût été judicieux de procéder à une autopsie et d’examiner tant la composition que la consistance de son sang. Car même « vierge » de vaccins récents, la députée a pu être contaminée par les nanosaloperies excrétées par tous ses collègues vaxxés, phénomène dont la biologiste Hélène Banoun démontre la réalité dans son ouvrage fraîchement édité. Elle le fait sous un angle pasteurien en parlant de virus et de protéines virales mais elle argumente scientifiquement que les piquouzés sont bel et bien contagieux ! Bref, il ne faut pas écarter l’hypothèse qu’un vaccin ou l’autre, d’une manière ou d’une autre, ait préparé le terrain à la défaillance cardiaque de Michèle Rivasi.
L’hypothèse de l’assassinat
Nettement plus « complotiste », l’hypothèse de son assassinat commandité par la pharmafia a également fleuri sur le web. Ce que j’en pense ? Sur ce sujet, vous savez que je m’en tiens à une position équidistante : voir des complots partout, c’est de la paranoïa ; n’en voir nulle part, c’est de la stupidité. Dans cette guerre contre les peuples déguisée en crise sanitaire, je suis pour ma part convaincu que des personnalités pouvant contrarier le déroulement de la plandémie ont été éliminées par ses artisans comploteurs. J’ai fait part de cette conviction dans ma lettre intitulée « Trop de morts suspectes », où je mentionnais notamment les trépas « providentiels » de Kary Mullis, Prix Nobel inventeur de la PCR, et du président tanzanien John Magufuli, coupable d’avoir ridiculisé cette méthode de dépistage risiblement aléatoire. Pour fonder mon discernement, je pars de deux interrogations : la personne disparue dérangeait-elle suffisamment l’État profond ? Et le moment du meurtre présumé était-il très suffisamment troublant ? Concernant le Dr Olivier Soulier, je ne vois pas que ces deux critères sont rencontrés. Je pense au contraire que la zizanie engendrée par son éviction du CSI arrangeait très bien les concepteurs de la psycho-opération covidiste. Vu ses antécédents cardiaques et sa consommation d’une potion chamanique le soir de sa mort, je ne vois pas de raison de nier le caractère naturel de cette dernière. Je sais que certains « lanceurs d’alerte » et hérauts de la résistance ne partagent pas mon avis mais j’attends toujours qu’ils déballent leurs biscuits. Pour Michèle Rivasi, j’envisage plus sérieusement la piste de la machination macabre. Elle s’était investie à fond dans le dossier Pfizer et s’apprêtait à déposer des conclusions potentiellement explosives pour la Commission et sa Présidente Ursula Von der Leyen. De la corruption et de la conspiration à l’assassinat, il n’y a qu’un pas d’autant plus facile à franchir qu’il est aujourd’hui très facile d’éliminer un gêneur en provoquant une défaillance du cœur. Savez-vous que ça fait près d’un demi-siècle que la CIA a mis au point un « pistolet » permettant d’injecter un poison simulant une crise cardiaque ? Le mode opératoire est indétectable sur le corps de la victime et le venin ne laisse aucune trace dans son organisme. Voici une vidéo qui atteste de la réalité de cette invention et de son usage probable par les services secrets américains dans les années 70. Cinquante ans plus tard, il coule de source que ce type d’armes s’est amélioré et que des techniques encore plus sophistiquées, par exemple à énergie dirigée, font partie de l’arsenal des barbouzes. En tant que fer de lance de la transparence, Michèle Rivasi dérangeait certainement des gens qui avaient tout intérêt à la réduire au silence. On n’est pas dans un James Bond mais dans le monde tel qu’il est et que décrivait crûment John Le Carré dans ses romans inspirés de faits réels.
L’hypothèse du conflit fatal
Malgré la plausibilité des deux hypothèses précédentes, je penche cependant pour une troisième : la députée EELV aurait tout bêtement succombé à un infar’ pas du tout bizarre. Ce qui me fait dire ça, c’est d’abord que Michèle Rivasi fumait comme une locomotive. Selon des témoins dignes de foi, elle allumait clope sur clope et se fichait des méfaits du tabac. Cette plante n’est pas la cause des crises cardiaques ni même des cancers pulmonaires ( entre 15 et 20% des cancéreux du poumon n’ont jamais fumé de leur vie) mais il n’est pas niable que son usage immodéré fatigue le cœur et les vaisseaux de ses usagers. Son addiction à l’herbe à Nicot était donc un facteur de risque considérable pour la septuagénaire stressée par son implication dans l’affaire Pfizer. L’événement déclencheur ? C’est Michèle Rivasi qui nous le dévoile elle-même dans ce discours révélateur prononcé à la tribune de l’assemblée européenne le 23 novembre 2023. Au cours de son intervention, la parlementaire déplore amèrement que sa lutte contre les pesticides tueurs d’abeilles a échoué. En plus de la reconduction de l’autorisation du glyphosate, le renoncement à l’interdiction des néonicotinoïdes l’avait terriblement peinée. Sa « résolution sur les pollinisateurs » n’avait pas été adoptée et, comme elle le dit explicitement, elle en avait « gros sur le cœur », ce cœur qui allait lâcher 6 jours plus tard…. Dans son commentaire sur X, Pryska Ducœurjoly écrit que Michèle Rivasi était « écœurée » que soit perdu ce combat lui tenant tellement à cœur. S’il s’agissait d’écœurement, elle aurait cependant somatisé ailleurs, au niveau du pancréas ou de la vésicule biliaire. Son ressenti étant clairement celui d’un cœur alourdi par la défaite, c’est plutôt cette pesanteur émotionnelle qui la fragilisait et l’exposait à l’accident. N’oublions pas toutefois ce que je pointais après le décès d’Olivier Soulier : comme l’enseigne la Médecine Nouvelle du Dr Hamer, un infarctus du myocarde est paradoxalement la guérison d’un conflit de territoire. On peut par conséquent supputer que la députée avait déjà digéré la déception et qu’elle repartait de bon cœur vers d’autres champs de bataille. Avec le dossier qu’elle tenait sous le bras le 29 novembre en se rendant au Parlement, elle allait encore faire preuve de combativité et ponctuer sa longue carrière d’un coup d’éclat ! C’était sans compter sur cette phase de réparation psychosomatique qui est survenue au plus mauvais moment mais qui est pour moi le scénario le plus probable de sa disparition regrettable. Les conflits de la vie et leur résolution sont des causes de maladie et de mort soudaine à ne pas négliger.
Yves Rasir
Monsieur RASIR je pense que votre intuition est juste ..il semble qu’elle avait accepté cette injection pour circuler et accéder au parlement.
https://www.dna.fr/politique/2023/11/29/l-eurodeputee-michele-rivasi-est-decedee…”
“Elle s’était illustrée ces dernières années dans la bataille pour plus de transparence dans les contrats européens de vaccins contre le Covid, et contre le pass sanitaire. Ces prises de position, lui avaient valu d’être étiquetée comme « antivax ». Elle s’était pourtant fait vacciner, à Strasbourg.”
cordialement.
« (…) comme l’enseigne la Médecine Nouvelle du Dr Hamer, un infarctus du myocarde est paradoxalement la guérison d’un conflit de territoire. »
C’est le cas de l’infarctus coronarien, mais pas de l’infarctus du myocarde (le muscle cardiaque) qui survient lors de la crise épileptoïde du choc biologique de se sentir dépassé par les événements.
Par ailleurs, pour ce qui est de l’infarctus coronarien chez la femme, ce peut être un choc sexuel et non de territoire.
La confusion étant assez fréquente, cette précision me semblait opportune.
Cordiales salutations
Bonjour,
Désolé pour cette critique mais relayer et donner du crédit aux théories bidons de la très pasteurienne Madame Hélène Banoun n’apporte aucun élément sérieux à l’enquête sur la cause probable de la mort de Madame Rivasi. Cette référence brouille au contraire l’excellente contribution de Néosanté à la recherche de la vérité et à la démolition du dogme Big Pharma.
Pour ma part, je considère qu’il faut être intransigeant dans la dénonciation de toutes ces fausses théories colportées par les adversaires d’Antoine Béchamp quels qu’ils soient. Il ne peut y avoir deux vérités sur ce sujet. “La vaccination est la plus grande escroquerie de tous les temps” Prof. Jules Tissot (1870-1950).
Merci de me lire et bonne continuation, longue vie à NEOSANTE,
Alain