En ces temps où l’on veut faire régner la terreur – une fois de plus – face à un prétendu « colibacille » tueur, nous arrivons peut-être au virage indispensable pour retrouver une saine vision de la vie et de la santé.
Que sont les bactéries ?
Que dire de la contagion ?
Que sont les virus ?
Quel est leur rôle ?
Y-a-t-il un « secret de famille » derrière tout cela ?
Un des tout premiers à parler de contagion est sans aucun doute Semmelweis (1818-1865).
Mais Béchamp étudia la question avec une rigueur exceptionnelle et put démontrer :
1 – qu’il peut exister des maladies parasitaires provoquées par l’invasion d’un organisme complexe par d’autres organismes complexes venant vivre en symbiose ! La psychosomatique permet aujourd’hui d’observer et de comprendre que ces phénomènes sont là pour manifester une problématique psychologique ou affective particulière. Ainsi, les oxyures si redoutés des enfants (et trop méconnus par les médecins modernes) manifestent une problématique identitaire (l’anus étant la carte d’identité biologique des mammifères avec ses glandes odoriférantes et son odeur absolument unique et spécifique pour chaque individu).
2 – que les microbes ou bactéries peuvent véhiculer une information d’un individu à un autre … mais ne se développent jamais chez un individu étranger. Et cela se comprend : ils n’ont pas d’individualité propre. Ils sont des agglomérats de microzymas qui s’unissent pour effectuer un travail (chantier) plus important qu’en temps normal. Et les microzymas ne se multiplient JAMAIS dans un organisme qui n’est pas le leur, ce qui explique entre autres choses la difficulté de faire perdurer une greffe ou une transfusion chez un individu.
Les photos de bactéries que l’on peut trouver très facilement sur Internet démontrent de manière évidente que les bactéries sont des agglomérats de microzymas … sauf pour les aveugles volontaires bien sûr. Ainsi, ces colibacilles sont constitués de granulations plus ou moins nombreuses juxtaposées et alignées – avec donc des tailles variables – et ces cyanobactéries sont constituées de granulations agglutinées en « mûres » !
3 – que les microbes ou bactéries peuvent à n’importe quel moment redevenir microzymas et ces derniers vont alors pouvoir se consacrer à d’autres activités, comme par exemple construire d’autres bactéries ou des cellules. C’est à partir de ce fait qu’a été élaborée la théorie du polymorphisme microbien, théorie violemment combattue par les biologistes pasteuriens comme par Béchamp. En fait, une bactérie ne se transforme pas en une autre bactérie mais redevient microzymas !
Un peu de bon sens permet par ailleurs de comprendre facilement qu’un tas de fumier n’est pas fabriqué par les mouches qui tournent autour mais bien par le paysan qui a rassemblé les déjections de ses animaux d’élevage. Le rôle biologique des mouches est de disperser la matière azotée et de permettre son recyclage. Il en est de même des bactéries et des microbes. Ils sont là pour remettre en ordre une problématique pathologique, ce que la psychosomatique va confirmer.
Faute de pouvoir plagier les découvertes de Béchamp sur les microzymas, Pasteur décida d’en nier l’existence et recommanda à ses collaborateurs et élèves de pratiquer l’aveuglement volontaire[1]. Ainsi, sachant qu’ils étaient visibles au microscope à un grossissement d’au moins 750, il recommandait de ne jamais dépasser un grossissement de 400. À l’époque, la technique de la microscopie sur fond noir[2] n’existait pas et Pasteur aurait été sans doute bien contrarié de constater qu’ils étaient visibles dès 4 ou 500 de grossissement ! Ses successeurs usent d’un procédé très particulier avant tout examen microscopique de manière à s’assurer qu’aucun microzyma ne puisse survivre. En effet, les tissus sont préalablement :
ð fixés (= tués) par un bain[3] de formol et d’acide, afin de dissoudre les microzymas que Pasteur a décidé d’occulter faute de pouvoir ici s’attribuer les découvertes de Béchamp,
ð déshydratés totalement (l’eau = 70% en moyenne de la matière vivante),
ð dégraissés (toluène ou trichloréthylène),
ð inclus dans de la paraffine brûlante que l’on laisse refroidir[4], du plastique liquide que l’on solidifie à l’aide d’une poudre « siccative »[5], ou congelés,
ð coupés en tranches ultrafines[6] et de ce fait obligatoirement dilacérés, fripés +++.
Les coupes tombent dans un bac rempli d’eau pour leur permettre de se défriper lentement… Ensuite, le protocole varie selon qu’il s’agit d’un examen au microscope optique ou au microscope électronique.
Pour la microscopie optique, les coupes sont :
ð repêchés sur une lame de verre (microscopie optique, inclusions dans la paraffine),
ð chauffés (600°) sur la flamme d’un bec Bunsen pour souder la coupe dans le verre (microscopie optique),
ð baignés à nouveau dans le toluène ou trichloréthylène (microscopie optique),
ð réhydratés artificiellement (microscopie optique),
ð mordancés par un bain dans de l’acide pur (microscopie optique),
ð colorés (microscopie optique), etc..
Pour la microscopie électronique, les coupes sont récupérées avec une cupule métallique perforée de micro-trous qui permettront le passage du bombardement d’électrons. Elles sont ensuite recouvertes d’une couche de peinture métallique !
Et c’est l’examen au microscope de « ça » qui permet aux pseudo-biologistes officiels de tuer avant toute chose les microzymas et de continuer à en nier la réalité ! Il leur sera facile également d’interpréter les débris cellulaires inévitablement présents pour en faire de magnifiques « virus » … que personne n’a jamais vus en réalité … bien sûr puisqu’ils n’existent pas et sont des inventions gratuites ! Les virus relèvent d’un conte de sorcier à dormir debout. Et ce ne sont pas les superbes photographies parfois en 3D et en couleur[7] d’objets réalisés au crochet ou de dessins fait par des infographistes qui peuvent en démontrer la réalité !
Quelle est donc la réalité derrière tout cela ?
Les microzymas !
Les microzymas sont les unités élémentaires de base qui sous-tendent sans aucune exception toute vie organisée ! Leur réalité s’articule de manière parfaite et évidente avec le paradigme psychosomatique mis en lumière par Groddeck, Laborit, Balint, Hamer, Moirot, Frechet et tant d’autres savants authentiques.
Les microzymas – étudiés tout particulièrement par Béchamp – sont redécouverts de nos jours et baptisés « nanobes » ou « nanobactéries » par les géologues, « mycoplasmes » par Montagnier, « somatides » par Naessens, « endobiontes » par Enderlein…
Que savons-nous d’eux aujourd’hui ? En couplant les travaux de Béchamp avec ceux des géologues et de biologistes « ouverts » comme le Pr Philipa Uwins de Californie, nous pouvons affirmer que :
- Un microzyma mesure entre 40 et 60 nanomètres de diamètre.
- Il est constitué de matière organique à l’intérieur d’une membrane.
- Au cœur de ce matériel semble se trouver un cristal, probablement à base de silicium, ce qui expliquerait la transmission des informations héréditaires en particulier.
- Les microzymas contiennent probablement des acides nucléiques qui ne sont probablement que les chaînes de montage de nos métabolites propres et non les vecteurs de l’hérédité.
- Ce sont les microzymas qui synthétisent les enzymes permettant les réactions chimiques et les combustions au cœur du vivant.
- Ces granulations minuscules, bien visibles au microscope sur fond noir ou au microscope électronique, sont sans cesse agitées du mouvement brownien.
- Elles se reproduisent très rapidement, peut-être de manière sexuée ?
- Elles sont quasiment immortelles puisque des microzymas de plus de 12.000.000 d’années présents dans des roches calcaires fossiles peuvent se réactiver pour construire de nouveaux êtres vivants parfaitement viables (coquillages dans les aquariums en particulier).
À l’époque de Pasteur et de Béchamp, tout le monde connaissait ces granulations et il avait déjà été démontré que les cellules ne se multiplient pas mais sont construites par l’assemblage de très nombreux microzymas. Béchamp avait pu démontrer de même que les bactéries ne sont pas des entités en soi mais des assemblages de microzymas plus ou moins labiles, capables de redevenir microzymas dès lors que les constantes du milieu dans lequel elles se trouvaient se modifiaient.
Nous avons depuis obtenu la preuve matérielle que les pires bactéries peuvent redevenir des microzymas capables de construire des tissus en fonction de leurs préprogrammations et missions respectives. Chacun peut s’en convaincre en visualisant les films présents sur Youtube, Facebook ou sur mon site où l’on voit en particulier des staphylocoques dorés bien vivaces présents dans un crachat trachéo-laryngé disparaître en quelques heures au profit de magnifiques arborescences évoquant l’arbre bronchique !
Conclusion :
Tout ce qu’on nous raconte dans le paradigme biologico-médical officiel actuel sur les bactéries ou les virus relève du conte de sorcier et n’a pas de fondement sérieux. Bien sûr, cela ne nous permet en rien de proposer une réponse à la question de ces maladies qui préoccupent notre monde en ces jours… Il nous reste à étudier ces cas et à en décoder la signification pour pouvoir aider les personnes atteintes.
ATTENTION ! Toute maladie avec bactéries est un processus de guérison. Et nous avons pu vérifier à maintes reprises que la complémentation systématique et suffisante en Vitamine C et Vitamine E Naturelle, associée bien sûr à une bonne hygiène de vie, rendait ces maladies tout à fait bénignes la plupart du temps.
[1] L’aveuglement volontaire reste de toute manière incontournable, comme le prouve cette interview des journalistes de F5 à l’Institut Paracelse en février 2011 : trois personnes parfaitement conscientes et soi-disant intelligentes – équipées de caméra et de toute la technologie moderne pour filmer et enregistrer – ont pu participer, assister et filmer le prélèvement d’une goutte de sang sur l’un d’eux puis sa mise en place sur la lame et sous l’objectif du microscope. Ils ont pu regarder de leurs propres yeux dans le microscope et sur les écrans à leur disposition… et ils prétendent ensuite, dans le reportage qu’ils diffusent 4 mois plus tard sur la 5, qu’il s’agissait d’un trucage !
[2] Technique du microscope à fond noir
Le microscope à fond noir (ou en champ sombre) permet d’améliorer le contraste d’échantillons qui sont à priori transparents et difficilement observables au microscope optique classique. La lumière source (transmise) n’atteint pas directement l’objectif ; seule la lumière diffusée et donc déviée par l’échantillon peut être observée. Le contraste est ainsi fortement amélioré, sans nécessiter la coloration d’un échantillon pourtant transparent. La préparation des échantillons est donc peu contraignante, mais cet avantage est contrebalancé par la faible intensité lumineuse perçue par l’observateur.
Utilisation du microscope à fond noir
La microscopie à fond noir est adaptée aux échantillons non colorés. Elle permet d’observer des structures vivantes et en déplacement comme des bactéries ou des organismes unicellulaires.
[3] Il est bien clair que les bains mentionnés dans ce protocole doivent être « à cœur », c’est-à-dire que le produit utilisé doit pénétrer au plus profond du prélèvement, au cœur de chaque cellule !
[4] Pour la microscopie optique.
[5] Pour la microscopie électronique.
[6] Le matériel utilisé est un « microtome », c’est-à-dire une guillotine sommaire équipée de lames de rasoir. Bien sûr, ces lames sont très vite ébréchées et elles ne sont pas remplacées souvent.
[7] À ma connaissance, le bombardement d’électrons de la microscopie électronique indispensable pour visualiser les soi-disant virus ne donne pas d’image en couleur !