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Mieux expirer pour ne pas… expirer

Par 8 juillet 2020février 22nd, 20232 commentaires

Avant de prendre un peu de repos et de mettre l’infolettre en pause pendant 3 semaines,  permettez-moi de revenir sur la thèse que je défends depuis maintenant 6 mois :  cette pseudo-pandémie virale est pour l’essentiel une pandémie de peur. Dans le sillage d’un Didier Raoult et de quelques autres scientifiques, je soutiens évidemment que cette virose saisonnière a suscité une psychose excessive et que celle-ci a été contre-productive : les mesures adoptées ont créé de l’anxiété chez beaucoup, de l’angoisse chez certains et une détresse intense chez les personnes âgées confinées dans leurs maisons de retraite. Nuisible pour la santé en général et pour l’immunité en particulier, ce genre de stress est  également connu pour aggraver les assuétudes (tabac, alcool…) et augmenter la consommation de certains médicaments psychotropes. Selon le SNDS (Système  Français de Données de Santé), les prescriptions d’hypnotiques étaient supérieures de 5 à 8% eu cours du confinement , ce qui révèle l’augmentation des troubles du sommeil et  la prévalence  accrue des symptômes dépressifs.  Mais ce ne sont là que des dégâts collatéraux mineurs en regard du pouvoir méconnu de la peur, celui de faire mourir ceux qui en sont les proies ! Loin d’être seulement une conséquence de l’alarmisme des experts, de la « sur-réaction » des autorités et de l’emballement des médias, la peur distillée par ces trois  catégories d’acteurs est à mes yeux  la CAUSE principale de la mortalité  erronément attribuée à un agent infectieux. Depuis le début, je pense que nous avons affaire à une épidémie fictive mais auto-réalisatrice, c’est-à-dire générée par sa narration « hallucinée », pour reprendre le terme employé par Jean-Dominique Michel.
 
Mourir de la peur de mourir
 
Qu’est-ce qui me permet de tenir de tels propos ? C’est bien sûr le « nouveau paradigme médical » dont les éditions  Néosanté ont fait leur cheval de bataille. Fondée notamment sur les travaux d’Henri Laborit, les découvertes du Dr  Ryke Geerd Hamer, les intuitions de quelques autres pionniers de la psychosomatique et la synthèse de tout cela effectuée sous le nom de « biologie totale » par le Dr Claude Sabbah, cette nouvelle vision de la santé postule que les maladies ont un sens en terme de survie et qu’elles découlent, dans leur grande majorité, de chocs émotionnels ingérables par le psychisme. Depuis que nous existons, nous avons maintes fois souligné que la frayeur de la mort se somatisait le plus souvent dans les poumons et qu’elle pouvait y semer des tumeurs alvéolaires.  A fortiori, la terreur ressentie par un individu peut se traduire par des pathologies moins dangereuses que le cancer, comme la grippe ou la pneumonie.  Dans la revue Néosanté du mois de mai, nous avons publié deux articles montrant comment la peur impactait, non pas tant le système immunitaire, mais surtout le système nerveux autonome. Pour peu que son système neurovégétatif soit faible et encore affaibli par un ressenti de grave danger pour la sphère pulmonaire, un être humain très effrayé  peut ainsi trépasser sous le seul effet de ses émotions. Il peut  – ironie tragique –  mourir de la peur de mourir ! Et ça, ce ne sont pas seulement quelques soignants « sectaires » qui l’affirment. Depuis sa création en 2011,  notre mensuel a interrogé des dizaines de médecins et chercheurs  convaincus des pouvoirs de l’esprit sur le corps,  tant pour le meilleur ( la pleine santé, la guérison) que pour le pire (la maladie et la mort prématurée). Pour notre numéro de juin, nous avons interrogé le Dr Patrick Clervoy, psychiatre français qui a suivi des soldats engagés lors de plusieurs opérations militaires à hauts risques. Il a vu clairement que les émotions intenses pouvaient déclencher une mort  subite et que celle-ci était fréquemment précédée  –  tiens, tiens – d’une détresse respiratoire aiguë.  Dans le numéro de juillet-août, notre journaliste Carine Anselme interviewe Christophe Haag,  chercheur en psychologie sociale, spécialiste des émotions extrêmes  et auteur du livre « La contagion émotionnelle » (Albin Michel). Et que nous dit-il ? Accrochez-vous : il faut à peine 21 millièmes de secondes pour qu’une émotion soit transmise d’un individu à l’autre.  Pas besoin de se tousser dessus et inutile d’adopter des gestes barrières car cette contagion immatérielle – la seule, la vraie –  s’opère à distance, par exemple par téléphone ou via la télévision. S’il existe, le coronavirus a probablement moins tué que le Journal de 20 heures ou le discours va-t-en-guerre du président Macron !
 
 
La tragédie de l’hypoxie
 
Cette hypothèse me semble d’autant moins saugrenue qu’un phénomène bizarre s’est produit en marge de cette grippe baptisée Covid : une épidémie d’hypoxie silencieuse. Je vous en ai déjà parlé mais ça vaut la peine qu’on s’y attarde. Car si la terreur médiatisée est l’arme du crime, cette étrange  manifestation somatique semble en être la signature traumatique.  Pour rappel, l’hypoxie silencieuse  est un manque d’oxygène dans le sang n’entraînant pas – du moins pas immédiatement – de difficulté à respirer. Elle peut survenir concomitamment à une détresse respiratoire mais pas nécessairement.  La fréquence respiratoire est généralement plus élevée mais le malade semble respirer normalement. On l’appelle également « hypoxie heureuse » parce que les patients sont inconscients de leur état de sous-oxygénation et qu’ils sont même légèrement euphoriques, comme sous l’influence d’un gaz. Lorsque le corps médical s’aperçoit du problème par l’apparition de  cyanose (marques bleues sur la peau et les muqueuses), il est déjà moins une car la carence en oxygène peut rapidement déboucher sur la défaillance du foie et/ou des reins. Un peu partout dans le monde, les hôpitaux ont vu affluer de nombreux « covidés »  déjà cyanosés et qu’il a fallu placer dare-dare sous oxygène.  Of course, la médecine a rapidement tenté d’attribuer le processus à l’action du coronavirus. Ce dernier serait tellement sournois qu’il provoquerait une infection très ciblée s’attaquant au surfactant pulmonaire, la substance qui remplit les alvéoles. Ce faisant, leur lien avec les poumons est coupé et les niveaux d’oxygène commencent à chuter. Et si c’était plutôt la rançon du stress subi à l’idée d’être atteint par un mal  que certains ont carrément comparé à la peste ? Sans être physiologiste, tout le monde sait qu’une émotion forte est synonyme d’hyperventilation : on ingère goulument de l’air et cette façon de respirer produit un changement des proportions de gaz dans le sang, avec une hausse du taux d’oxygène (O2 ) et une baisse du dioxyde de carbone (CO2).  Or l’organisme humain est ainsi fait qu’il ne supporte pas les changements de proportions entre ces deux gaz, il cherche toujours à rétablir l’équilibre. La  présence de COest indispensable à l’absorption de l’O2 par les poumons, puis à son passage dans le sang et de là, à l’imprégnation des cellules.   Paradoxalement, l’individu qui stresse s’empoisonne à l’oxygène et compromet dangereusement son oxygénation sanguine et cellulaire. Dès lors, on peut imaginer l’impact iatrogène des interventions médicales consistant à fournir encore plus d’oxygène. Rappelez-vous la vidéo du Dr Caméron Kyle Sidell: au plus fort de l’épidémie,  ce  jeune médecin urgentiste new-yorkais a alerté sur le fait que la plupart des patients  placés sous respirateur artificiel mouraient. Et il se demandait à juste titre si ce  n’était pas ce geste médical qui les tuait. Quand ils intubent un « hypoxique heureux »,  les soignants ne font en effet qu’aggraver la situation, comme l’expliquait le Dr Zach Bush dans la vidéo que j’ ai partagée il y a 15 jours.  L’introduction forcée d’oxygène à haute pression génère une lésion oxydative et inflammatoire sur des tissus impuissants à encaisser le choc gazeux. À New-York, 88% des personnes placées sous respirateur sont mortes. En Europe, où les deux principales comorbidités (diabète et obésité) sont moins répandues,  on parle de 40 à 60% de décédés parmi les patients intubés. Question : aurait-on pu éviter cette tragédie si l’intubation n’avait pas été privilégiée par hantise du virus ? Autre question : ne faudrait-il pas, comme je le soulevais dès le mois de février, remettre en cause les bénéfices de l’oxygénation médicale sous toutes ses formes, lunettes et masques compris ? Autrefois, on réanimait les patients en pratiquant le bouche-à-bouche. Aujourd’hui encore, les pompiers procèdent de la sorte lorsque l’équipement fait défaut. Or cette technique efficace consiste à insuffler un air chargé en CO2 puisqu’il provient des poumons du secouriste. Je me demande si l’oxygénothérapie n’est pas le vrai problème révélé par cette « pandémie ». Et je soupçonne que les chiffres de mortalité sont étroitement reliés à son mésusage face à l’hypoxie silencieuse.
 
Le véritable fléau
 
Ce que j’espère surtout, c’est que le phénomène hypoxique  « covidien » va servir de révélateur au véritable fléau qui ravage les pays industrialisés, à savoir l’hyperventilation chronique. Contrairement à une croyance aussi fausse que bien enracinée, le stress consubstantiel à  nos sociétés « modernes » trépidantes n’est pas synonyme de respiration insuffisamment ventilante. Nous sommes au contraire très nombreux à hyperventiler en permanence. Nous respirons trop vite, trop fort, trop mal. Dans son article du mois de juin, notre chroniqueur Yves Patte expliquait que beaucoup d’hommes et de femmes ont la mauvaise habitude d’inspirer par la bouche. Ce n’est pas  un penchant anodin car l’évolution a façonné l’être humain pour qu’il inspire par le nez. Les narines font office de filtres mécaniques (notamment pour les microbes !) et l’inspiration nasale joue un rôle de filtre chimique en  stimulant la synthèse du monoxyde d’azote (NO), un composé extrêmement important pour notre corps. Ce gaz est en effet un vasodilatateur pour les vaisseaux sanguins, un régulateur du système nerveux parasympathique (celui qui calme le stress) et un acteur non négligeable du système  immunitaire. Dans sa chronique de juillet-août, notre spécialiste du modèle paléo examine la façon d’expirer et fait le même constat navrant:  nous expirons trop vite, trop peu, trop mal. C’est une catastrophe car il en résulte un déséquilibre constant entre le dioxygène et le dioxyde de carbone. Plus vite on expulse le CO2, moins on absorbe l’O2. Il y a un siècle, un individu moyen respirait 4,9 litres par minute. Nous en sommes aujourd’hui à 12 litres par minute ! Cette croissance vertigineuse de la consommation fait que nos cellules sont de moins en moins oxygénées. Le pire, c’est que nous sommes enfermés dans un cercle vicieux : nous hyperventilons parce que nous sommes stressés, nous aggravons le stress parce que nous hyperventilons. Pour échapper au piège, il faut revoir complètement  sa façon de respirer, tant à l’inspir qu’à l’expir, et Yves Patte nous indique des solutions puisées dans la  méditation et  dans  la tradition du  Pranayama yoga (yoga du souffle). En gros, il s’agit de respirer mieux en  inspirant plus calmement et en expirant plus profondément, jusqu’à vider complètement ses poumons par des exercices d’apnée. Le yoga aurait-il pu sauver les hypoxiques prétendument attaqués par  un virus ? À mon avis, ce n’est pas du tout à exclure. Ma conviction est en tout cas que les « covidés » en hypoxie ont été mal traités, sinon maltraités, et que leur hyperventilation aiguë est survenue sur un terrain d’hyperventilation chronique.  Par le plus grand des hasards (pour ceux qui y croient encore), j’ai rencontré récemment un jeune gars qui a été sévèrement atteint et qui présentait ces facteurs de risques caractéristiques. Il m’a aussi confié un vécu relationnel correspondant typiquement à la causalité conflictuelle des troubles pulmonaires. Je vous raconterai ce cas d’école à mon retour de vacances en France, en espérant que celles-ci ne soient pas gâchées par le soi-disant rebond épidémique et un éventuel reconfinement dont la rumeur circule depuis hier. Manquerait plus que les marchands de peur m’empêchent de me ressourcer un peu à l’abri de leurs délires virophobiques !

 
Yves Rasir

2 commentaires

  • Benito dit :

    Merci a BLOT pour son commentaire, mais avez vous pensé à la possibilité que la “maladie” dont on parle n’est pas claire. Les symptomes ne sont pas uniques. En plus, est-il-possible qu’il y a plusieurs personnes avec des infections respiratoires pour les causes differentes? Est-il-possible que le germe n’est pas la cause, mais ce sont les toxines environmentales et les carences en nutriments qui causent les maladies? Reflechissons à la théorie des microbes pour expliquer chaque maladie. Meme a cette epoque il y a avait une autre théorie – la théorie du terrain par Dr. Antoine Béchamp. Selon Béchamp, les virus (exosomes) ou les exosomes ne sont pas la cause, mais l’effet d’un terrain intérieur polluée.

  • BLOT dit :

    Bonjour

    Pharmacien depuis une quarantaine d’années, je partage tout à fait votre point de vue. Voici d’ailleurs le dernier article que j’ai publié sur mon blog:
    COVID 19 : REVELATEUR DE L’ETAT DE DELABREMENT DE NOTRE SOCIETE
    Pour toute épidémie, il y a une équation simple à résoudre :
    Un être humain + un virus = un résultat
    Le résultat de cette équation peut prendre plusieurs valeurs :
    1 non contamination donc pas de maladie
    2 contamination sans symptôme
    3 contamination avec de légers symptômes
    4 contamination avec symptômes plus graves
    5 contamination avec forme grave de la maladie entrainant la mort
    Pour que le résultat de l’équation soit l’une des 3 premières possibilités, nous pouvons agir soit sur le virus, soit sur l’être humain
    1- AGIR SUR LE VIRUS
    Deux possibités pour agir sur le virus: soit le détruire, soit l’empêcher d’agir.
    A – Destruction du virus à l’aide de médicaments
    Selon la théore chère à Mr Pasteur, un germe (bactérie ou virus) = une maladie. Alors bien sûr, la solution la plus radicale est de trouver un médicament pour tuer le virus. C’est ce que l’on a fait pour les infections bactériennes avec les antibiotiques. Pendant des années cela a marché. Puis sont apparues de plus en plus de bactéries résistantes aux antibiotiques et actuellement nous avons des supers bactéries qui résistent à tous les antibiotiques et qui entrainent de nombreuses infections en milieu hospitalier ( les maladies nosocomiales) et on a beaucoup de mal à trouver de nouveaux antibiotiques. La solution du médicament antivirus peut sembler bonne dans un premier temps, mais risque de sélectionner des souches de virus ultra-résistants. N’oublions pas tous les effets secondaires dus à ces médicaments
    B – Empêcher le virus d’attaquer à l’aide d’un vaccin
    Le vaccin semble une évidence pour tout le monde. La propagande vaccinale fonctionne à merveille. On a même entendu un ministre de la santé affirmer que la vaccination ne se discute pas. Et bien si, ça se discute.
    Un vaccin provoque la formation d’anticorps, ce qui permet de neutraliser la bactérie ou le virus avant que la maladie apparaisse. Je ne nie pas cette action du vaccin, bien que parfois il y ait besoin d’ajouter des adjuvants plus ou moins toxiques pour l’obtenir. Ce que je mets en doute, c’est l’utilité du vaccin.
    Lors d’une vaccination, on injecte dans l’organisme . un microbe tué ou atténué, ou une toxine rendue inactive. Le microbe ,rendu inoffensif, n’entraine donc pas la maladie. En revanche; le corps avec son système de défenses immunitaires, reconnait le microbe comme s’il était actif et fabrique des anticorps pour l’éliminer.
    Le système immunitaire garde la mémoire de ces anticorps. Ainsi, si le microbe actif se présente par la suite, le corps saura fabriquer plus rapidement les anticorps nécessaires adaptés spécifiquement à la lutte contre ce microbe et empêcher la survenue de la maladie.
    Pour que le vaccin soit efficace, il faut que la personne a qui on l’injecte, ait un système immunitaire en parfait état de fonctionnement. Des études faites sur le vaccin contre la grippe chez les personnes âgées montrent que plus ils sont âgés, moins ils répondent au vaccin, car les défenses immunitaires diminuent avec l’âge.
    Donc si vous êtes en bonne santé physique et psychologique , nous verrons plus loin que votre corps est capable de se défendre tout seul, il en a les moyens et donc le vaccin est inutile.
    Par contre si vous êtes en moins bonne santé physique ou psychologique, votre corps fonctionne moins bien et votre système immunitaire s’affaiblit. Plus il s’affaiblit, plus vous êtes vulnérable en cas d’épidémie. Malheureusement, le vaccin ne vous sera d’aucun secours car plus vos défenses immunitaires diminuent, moins vous répondez au vaccin.
    Dans un cas comme dans l’autre, le vaccin n’a que peu d’intérêt: soit il est inutile, soit il est innefficace.

    C – Contenir l’épidémie par le confinement.
    Comme je l’ai dit dans un précédent article daté du 4 avril 2020 le confinement est une fausse bonne idée. Contrairement à ce qui est dit, je ne pense pas que le confinement ait permis de diminuer le nombre de personnes contaminées, je pense bien au contraire qu’il a été un activateur de l’épidémie et du nombre de décès et cela pour plusieurs raisons.
    Le jour où le confinement a été décidé, tout le monde s’est retrouvé enfermé avec le risque important d’enfermer des gens non contaminés avec des gens contaminés.
    Une étude publiée dans un grande revue scientifique, The Lancet, montre un large éventail d’effets psychologique négatifs de la mise en isolement, dont des symptômes de stress posttraumatique, de dépression, des sentiments de colère et de peur, ainsi que l’abus de substances psychotropes. Certains de ces impacts, en particulier les symptômes de stress post-traumatique, s’avèrent être de longue durée : on peut encore les détecter des mois ou des années plus tard. ».
    Dans le numéro de juillet 2020 de Science et Vie, on peut lire ceci : « L’isolement physique et affectif dans lequel le confinement a plongé du jour au lendemain des milliards d’individus est un dangereux facteur de désordres mentaux. Pire : des études révèlent que la solitude altère notre cerveau, dérègle notre immunité et augmente le risque cardio-vasculaire. » Dans le même numéro, on peut lire ceci : « un des effets biologiques avérés de l’isolement est de dérégler le système immunitaire. Les gènes codant pour la défense contre les infections bactériennes sont surexprimés et créent une inflammation chronique; en revanche, la défense virale est, elle, amoindrie. »
    Le seul confinement dérègle nos défenses immunitaires, mais il faut ajouter l’hystérie médiatico-politico-scientifique qui a créé une psychose et une peur totalement disproportionnées. De nombreuses études ont montré les effets néfastes de la peur et du stress sur notre immunité, des effets d’autant plus importants que le stress et la peur durent longtemps. Que ce soient les médias, les politiques ou les scientifiques, tous n’ont cessés de répandre la peur, aggravant ainsi l’épidémie.
    L’hécatombe dans les maisons de retraite n’est pas surprenante. Là aussi, on a tout fait de travers. Dans notre société, nous préférons nous séparés de nos anciens et nous les enfermons dans des maisons de retraite où ils sont coupés du monde. La seule chose qui les motivent à rester en vie, c’est la visite de leurs proches (membres de la famille ou amis).La décision prise a été de les enfermer dans leur chambre et de les priver de toutes les visites. Il ne leur restait plus que la télévision pour normalement les distraire, mais l’hystérie télévisuelle n’a fait qu’augmenter leur désarroi, les rendant de plus en plus vulnérables au virus.
    Oui le confinement et l’hystérie médiatico-poitico-scientifique ont contribués à l’aggravation de l’épidémie et à l’augmentation du nombre de décès. Pour moi c’est une certitude.
    Ce qui est inquiétant par ailleurs pour notre pays, c’est que sous prétexte d’une crise sanitaire, le peuple se soit laissé enfermé et privé de liberté sans aucune réaction, sans aucune résistance et que, parmi les médias, il n’y en ait pas eu un seul pour protester contre le confinement. Un tel peuple de moutons apeurés est prêt pour la dictature.
    LE COQ GAULOIS SE SERAIT-IL TRANSFORME EN POULE MOUILLEE?
    2 – Agir sur l’être humain
    Cela ne vous surprend pas de voir que le même virus avec la même virulence peut ne rien provoquer chez une personne et au contraire en tuer une autre? Comment l’expliquer? Le Biologiste Antoine Béchamp, contemporain de Pasteur, avait montré que le microbe ne s’active que sur un terrain favorable, sinon il vit en parfaite symbiose avec son environnement. Le virus ne va s’activer dans le corps que si celui-ci le lui permet. Autrement dit, suivant notre terrain c’est à dire notre état de santé physique et psychologique, nous serons contaminés puis malades ou pas. Si nous remplaçons la variable « être humain » par la variable « être humain en bonne santé physique et psychologique » nous obtenons le résultat « pas de contamination » ou « contamination sans mettre la vie de la personne en danger ». Ceci explique qu’en cas d’épidémie, seule un faible pourcentage de la population sera malade. Ce sont les personnes à risque dont l’état de santé physique et psychologique ne leur permet pas de se défendre efficacement. C’est à chacun d’entre nous de tout faire pour ne pas être une personne à risque, de tout faire pour rester en bonne santé physique et psychologique.
    Les maladies ne nous tombent pas dessus par hasard. Elles sont le reflet de notre état psychologique, elles sont un message nous avertissant qu’il y a des blocages en nous qui perturbent notre harmonie intérieure.
    Rester en bonne santé physique est relativement simple : avoir un bonne alimentation, faire un minimum d’exercice physique, veiller à dormir suffisamment. Vous pouvez au besoin prendre des compléments alimentaires pour vous aider.
    Rester en bonne santé psychologique est de nos jours beaucoup plus difficile, notamment en raison de l’augmentation du stress dans nos vies modernes. Nous avons vu les conséquences néfastes du stress, de la peur sur nos défenses immunitaires nous rendant ainsi beaucoup plus vulnérables à la contamination. Il faut dire que le conseil scientifique, les médias et les hommes politiques ont tout fait pour alimenter la psychose et la terreur. Le summum a été atteint lorsque le Président de la République, au cours d’une allocution télévisée a déclaré la guerre à un virus. On pourrait en rire, tellement cela n’a pas de sens, mais quand on pense aux conséquences on a plus envie de rire. Pourquoi les scientifiques, les médias et les politiques ont-ils tout fait pour alimenter la psychose, pour transformer une banale épidémie en un fléau menaçant l’humanité? Il faudra bien que l’on obtienne des réponses.
    Choisir le positionnement « Etre contre le virus »a des conséquences très graves : confinement, privation des libertés, s’en remettre à un éventuel médicament ou à un éventuel vaccin, vivre dans la peur. Ce n’est vraiment pas ce que je veux faire de ma vie. La médecine allopathique, chimique montre vraiment ses limites quand elle en est réduite à enfermer des milliards d’individus pour soi-disant les protéger ‘d’un virus. Si c’est tout ce que notre médecine allopathique peut nous proposer, il est grand temps de changer de direction. Il est temps d’en finir avec la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur notre santé, industrie qui est plus dirigée vers le profit que vers la santé des populations. Il est temps aussi d’en finir avec la mainmise des grandes fortunes, comme Bill Gates, sur notre vie et notre santé.
    L’être humain possède un corps et un esprit, ce que tous les scientifiques qui ont défilé sur nos écrans, ont oublié. Ils s’en remettent à des simulations informatiques pour prendre leurs décisions, mais malheureusement pour nous, l’esprit humain ne rentre pas dans leurs équations. Et pourtant l’esprit est primordial pour rester en bonne santé. En son temps, Platon le disait déjà : « Il est folie de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir l’esprit ».
    Nous sommes à un tournant : soit nous prenons notre vie en main, soit nous nous en remettons à la haute finance et à Big Pharma au risque de perdre une grande partie de nos libertés.
    Soyez pour la vie, pour la liberté. Libérez votre esprit de tout ce qui est négatif.
    Ne soyez pas contre le mal, soyez pour le bien. Plus vous êtes contre quelque chose, plus vous vous focalisez dessus, plus vous lui donner de l’énergie, plus vous le renforcez.
    Ne soyez pas contre le racisme, soyez pour l’égalité des droits pour tous les hommes.
    Ne soyez pas contre la guerre, soyez pour la paix.
    Ne soyez pas contre la haine, soyez pour l’amour.
    A vous de continuer la liste.
    Avant tout soyez pour la vie. La distanciation sociale, le port du masque et le confinement sont contre la vie, ils nous séparent les uns des autres.
    Concernant les épidémies, on voit que souvent, un animal en est la source. Nous avons tellement modifiés et déséquilibrés leurs conditions de vie que les animaux sont devenus sensibles aux virus et bactéries et peuvent être à l’origine des épidémies chez l’homme. Nous sommes responsables des épidé
    Oui il est temps de nous réveiller sinon le coq gaulois ne sera plus qu’une poule mouillée prête à se faire plumer.

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