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Yves Rasir

Ils osent tout, c’est à ça qu’on les reconnaît. Sous prétexte de l’arrivée d’Eris, un énième nouveau variant mis « sous surveillance » par l’OMS, les malades qui nous gouvernent sortent le coco du frigo, agitent la menace d’une reprise épidémique et n’excluent pas d’amortir la vague automnale par un retour du masque obligatoire. C’est déjà le cas dans certains États américains où l’obligation de porter le bâillon est à nouveau instaurée dans les collèges. Et c’est aussi le spectre agité en France par Aurélien Rousseau, le tout frais ministre de la Santé au sein de l’équipe remaniée cet été. Pour l’instant, ce guignol appelle seulement à « reprendre  le réflexe de mettre un masque si nécessaire » pour les personnes fragiles et leur entourage, mais nous aurions tort de minimiser ce simple conseil facultatif. Depuis bientôt quatre ans, nous savons que la « patrie des droits de l’homme » donne le ton en matière de mesures sanitaires coercitives et liberticides.  La République Française est en pointe du totalitarisme covidiste et ce que décide le régime autocratique Macron est souvent adopté dans la foulée par les autres nations occidentales. Il est donc essentiel de ne pas laisser passer (No passaran !) et de remonter aux barricades pour empêcher le retour de la mascarade (No masquaran !).

La mobilisation est d’autant plus de mise que le nouveau sinistre de la Santé cherche, l’air de rien, à banaliser l’usage de la muselière. Comme il l’a répété sur les plateaux télé, le geste de se masquer devrait être adopté spontanément par tous ceux qui manifestent des symptômes respiratoires et ceux qui les côtoient. Or ça fait déjà beaucoup de monde tout ça ! Par exemple tous les écoliers qui auront la goutte au nez dans quelques semaines, leur fratrie, leurs parents et leurs enseignants. Sous couvert d’altruisme hygiénique, le gouvernement français s’apprête donc à « enchinoiser » l’Hexagone et à marginaliser socialement les enrhumés qui n’auront pas le comportement adéquat prescrit par les autorités. C’est évidemment un premier pas sournois vers la discrimination et une obligation qui ne dira pas son nom, comme pour les injections expérimentales. Vous saisissez maintenant l’importance de contrer cette normalisation de l’anormal et de lutter contre ce que la philosophe Hannah Arendt appelait la « banalité du mal » ?

L’année dernière à la même époque, notre collaboratrice Catherine Courson avait rédigé un texte inspiré par le projet français de ré-imposer le masque dans les transports publics. Ce dossier a beaucoup circulé parmi la résistance et il n’est peut-être pas étranger à la reculade du gouvernement Borne. Depuis la sortie médiatique d’Aurélien Rousseau, le thème redevient d’une brûlante actualité et Catherine a donc repris la plume pour peaufiner son article et l’enrichir de nouvelles références. Il s’agit d’un « kit de ré-information » qui redonne et argumente les 5 bonnes raisons de refuser résolument le retour du masque. À l’heure de sa banalisation, il est en effet urgent de rappeler que cet objet inutile et inefficace (selon la vraie science) est avant tout un instrument d’oppression et un symbole d’esclavage. Si nous acceptons de le porter et de le faire porter, même – et surtout –  sans y être contraints, nous mettons le doigt dans un engrenage capable de broyer toutes les autres libertés.

Je vous invite cordialement à lire la nouvelle version de ce message et à la partager au maximum. Pour en faciliter la diffusion, nous avons mis ce document en ligne sous format PDF et vous pouvez le télécharger en cliquant ici. En voici cependant l’intégralité ci-dessous en guise de rentrée de l’infolettre, que vous pouvez ainsi transférer aisément à vos contacts. Grâce à vous, ils ne re-passeront pas et ne nous re-masqueront pas !

                                                           Yves Rasir  

PS :   Pour les personnes qui préfèrent relayer des vidéos, je suggère de partager massivement l’excellente synthèse sur les masques effectuée le 13 juillet dernier par Jean-Dominique Michel dans le cadre de sa série estivale « COVID non censuré ». En sachant cependant que vous risquez à votre tour d’être, comme moi,  banni ou invisibilisé sur les réseaux sociaux….


NO MASQUARAN !

« À l’heure où les décisions des ‘’experts’’ se présentent comme le résultat de statistiques glacées et de calculs anonymes, désobéir devient une affirmation d’humanité. »

Frédéric Gros (Désobéir, 2017)

Bonjour,

L’ÉPIDEMIE DE MASQUES, qui semblait avoir disparu avec les obligations, menace de devenir une PATHOLOGIE CHRONIQUE. C’est du moins l’objectif du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, interrogé sur les frasques du dernier variant et le retour éventuel du masque obligatoire :
On verra, élude-t-il, mais « ce sont des mesures de précaution, et ce sont des mesures, si je puis dire, qui de plus en plus devront être banales : on portera le masque évidemment à l’hôpital, mais aussi quand on aura des symptômes, un rhume ou une toux (…) » France Inter, 19/08/2023.

Encore risible il y a quatre ans, la banalisation de cette énormité est une parfaite illustration d’un concept central en politique, la Fenêtre d’Overton, qui permet de rendre progressivement acceptable et populaire – au point d’en faire une norme – une idée considérée jusque-là comme impensable, voire contre-nature.

PLUS C’EST GROS, PLUS ÇA PASSE. Les vagues de virus, qui vont et viennent depuis la nuit des temps, continuent de se bousculer aux portillons de l’OMS et des plateaux télé : des vagues propagées artificiellement par la PRATIQUE ENDÉMIQUE DES TESTS qui alimentent l’outil n°1 de la propagande gouvernementale et médiatique, à savoir des statistiques notoirement fausses, basées sur les données de tests non signifiants, voire même sur de simples suspicions.

Cette propagande cousue de fil blanc est rendue possible par la corruption du langage mathématique et l’escroquerie intellectuelle qui consiste à nous faire croire qu’il est possible de modéliser une épidémie et de remplacer l’observation du vivant par le calcul (démonstration par a+b dans « Le Débat Interdit » référencé au point 3 de notre kit de réinformation).

LA DÉPENDANCE AU MASQUE, encouragée par le ministère de la Santé, entretient la flamme du trauma, mais ceux qui en sont affligés souffrent surtout d’un trouble curable : le CONSENTEMENT NON ÉCLAIRÉ à des injonctions terrorisantes, culpabilisantes et infondées.

Pour y remédier, nous vous proposons un kit de réinformation avec 5 axes d’exploration qui devraient contribuer à FAIRE TOMBER LES MASQUES, TOUS LES MASQUES :

  1. La présentation des faits : un siècle de recul médical et plus de 150 études scientifiques référencées permettant de faire un choix éclairé concernant le port du masque (assurément inutile et néfaste).
    Même en chirurgie, le masque ne protège que des projections de sang et autres fluides, pas des infections post-opératoires.
  2. Le rôle critique du masque (non pas sanitaire mais politique) : l’incohérence fondatrice qui a permis de faire avaler toutes les autres.
  3. Les raisons de l’INTERDICTION DU DÉBAT qui, s’il avait lieu, invaliderait toutes les oppressions à commencer par celle du masque.
  4. Une démonstration édifiante du processus de soumission à l’autorité, à l’œuvre dans tous les systèmes totalitaires, alimentés aujourd’hui comme hier par une idéologie sanitaire déconnectée du réel. Ça commence toujours de manière ‘’anodine’’ : accepter de porter un masque qui ne sert à rien, par exemple. Ça continue de façon moins anodine : accepter de maltraiter ses enfants ou ceux des autres en le leur imposant ou en LAISSANT FAIRE.
    Cette seule étape aurait dû allumer tous les voyants rouges et stopper net le train fou des ‘’mesures”. Or c’est l’inverse qui s’est produit… 
  5. Le message historique du masque-muselière, symbole de l’esclavage d’hier et d’aujourd’hui : «”Plus jamais ça” ne veut rien dire si vous réduisez au silence ceux qui essaient d’empêcher que cela arrive à nouveau ».

La situation pressante à laquelle nous sommes confrontés demande une mise en perspective, ci-après illustrée de façon percutante, afin d’en penser les véritables enjeux, aussi impensables soient-ils dans le confort illusoire qui est encore le nôtre…

Catherine Courson, 22 août 2023

1. La présentation des faits et des études scientifiques permettant de faire un choix éclairé concernant le port du masque

Les masques : quels fondements scientifiques ? (Aucun)
par le Conseil Scientifique Indépendant (CSI n°62), réunion publique du 07/07/2022
Vidéo 1h35 : https://crowdbunker.com/v/PB9hobdK (exposé très accessible):

  • Présentation des études et des faits – un siècle de recul médical – par le Dr Eric Loridan, chirurgien viscéral, avec la participation du Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste et réanimateur, Dr Eric Ménat, Dr Olivier Soulier, Dr Philippe de Chazournes, et Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé
  • Diaporama de la présentation téléchargeable au format pdf (79 diapos) : https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2022/06/eric-loridan-aimsib-25-juin-2022.pdf

Pour aller plus loin et consulter les études :
Le masque est inefficace et même néfaste indiquent 167 études et articles scientifiques.

2. Le rôle critique et politique (non sanitaire) du masque : l’incohérence fondatrice qui a permis de faire avaler toutes les autres

L’acharnement du gouvernement à imposer ou promouvoir l’usage du masque pour un oui ou pour un non, contre toute logique sanitaire, trouve au moins deux explications :

A. Le port du masque est inutile mais constitue le signe visible de la lutte contre l’invisible Covid. Et il permet d’alimenter un climat anxiogène ‘’pédagogique’’, pourrait-on ajouter en écho aux propos crus de Yuval Harari, conseiller du Forum Economique Mondial, compilés dans une vidéo de 6mn36 : https://odysee.com/@laileastick:4/Harari:b

B. L’obligation du masque est l’incohérence fondatrice qui, une fois admise, a permis d’avaler toutes les autres.
Un point de vue finement analysé dans un ouvrage qui fera date : « Le Débat Interdit – Langage, Covid et Totalitarisme », d’Ariane BILHERAN et Vincent PAVAN (références : voir point 3).

Extrait de la 1ère partie : La perversion de la science et de la langue à des fins politiquesChapitre « L’éviction du principe de non-contradiction », p.107/108

(Dans la gestion de la crise dite Covid) « La certitude délirante qui a fondé les décisions politiques n’a, en outre, jamais fait cas d’un nécessaire principe de non-contradiction dans la logique de départ. Le principe de non-contradiction en logique est que l’on ne peut affirmer une chose et son contraire à la fois. On parle alors de ‘’consistance’’. (…) Il serait dangereux de sous-estimer les déclinaisons pratiques et psychologiques de cette vérité car elle demande la plus grande vigilance (…) : dès que l’on aura réussi à faire accepter à une personne une contradiction profonde, fondamentale, alors il existe pour elle un risque que tout devienne contradictoire, ou plutôt que rien ne le soit plus. 

De ce point de vue, la position de l’exécutif sur le port du masque revêt une importance cruciale,et l’on peut penser que dans le long combat qui opposera la population à son gouvernement pour le recouvrement de ses libertés, la mesure du masque obligatoire sera la dernière à laquelle s’accrochera le pouvoir avant de céder. Et pour cause : le changement de position sur le masque constitue la plus évidente marque de contradiction qu’il faut absolument faire accepter, de sorte que, si l’on s’en accommode, toute forme de contradiction disparaîtra ensuite conformément au modèle d’inconsistance que nous avons présenté. 

Ainsi, le fait d’avoir d’abord affirmé que le masque n’avait aucune utilité, avant de l’avoir fermement rendu obligatoire [cf. florilège gouvernemental au début de la présentation du Dr Loridan : voir point 1], permet de s’affranchir ensuite de toute forme de cohérence : dans un système inconsistant, la valeur de vérité devient uniforme ; le vrai et le non-vrai sont confondus, ils valent tout autant. (…) »

3. Les raisons de l’interdiction du débat qui, s’il avait lieu, invaliderait toutes les oppressions à commencer par celle du masque

Pourquoi le débat est rendu impossible…

  • Parce que les hommes de l’art issus du terrain et les véritables experts – des chercheurs intègres qui questionnent et renouvellent en permanence leurs connaissances – sont ostracisés, censurés, voire même destitués. Ils ne sont jamais invités par les médias mainstream ou alors empêchés de s’exprimer.
  • Parce que les médecins de plateaux télé, bardés de conflits d’intérêts et néanmoins omniprésents et omnipotents, se contentent de citer les agences de presse ou de santé et de s’entre-citer entre eux. Ils ne se réfèrent pas aux études scientifiques. Malhonnêteté ou paresse intellectuelle ? Dans les deux cas, absence de conscience professionnelle.
    Quoiqu’il en soit, si les ‘’grands’’ médias s’avisaient de confronter ces derniers aux experts dignes de ce nom, leur argumentaire serait immédiatement balayé par son indigence et eux-mêmes ridiculisés par leur ignorance… Dès lors on comprend mieux pourquoi le débat est soigneusement évité.

… et même interdit :

Lire « Le Débat Interdit – Langage, Covid et Totalitarisme », d’Ariane BILHERAN, philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie, spécialiste des dérives totalitaires, et Vincent PAVAN, maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille (éditions Guy Trédaniel, 2022).
Un ouvrage de référence intelligent, rigoureux et courageux, par de véritables experts qui explorent de manière implacable la perversion de la science, de la médecine, de la langue et de la morale, l’idéologie sanitaire et le paradigme totalitaire, avec une perspective historique absolument nécessaire : https://www.arianebilheran.com/post/interview-de-ariane-bilheran-et-vincent-pavan-sur-le-d%C3%A9bat-interdit.

4. Avec le masque, une démonstration du processus de soumission à l’autorité, à l’œuvre dans tous les systèmes totalitaires, alimentés aujourd’hui comme hier par une idéologie sanitaire déconnectée du réel

Ça commence toujours de manière ‘’anodine’’ : accepter de porter un masque qui ne sert rien, par exemple, si ce n’est à vous empêcher de respirer correctement tout en vous polluant.
Et ça continue de manière moins anodine : accepter de maltraiter ses enfants ou ceux des autres en le leur imposant ou en LAISSANT FAIRE.
Cette seule étape aurait dû allumer tous les voyants rouges (voir point 5) et stopper net le train fou des ‘’mesures”. Or c’est l’inverse qui s’est produit…

  • MAIS OUF, C’EST DU PASSÉ : « Circulez, y a plus rien à voir » nous dit la loi du 30 juillet 2022 qui met fin au régime d’exception sans toutefois dissiper les mensonges qui ont permis de l’instaurer, ce qui revient à pousser des grenades dégoupillées sous le tapis.
  • SAUF QUE POUR NOS DIRIGEANTS, C’EST L’AVENIR : ils le nomment fièrement Great Reset, Grande Réinitialisation, Transhumanisme ou 4ème Révolution industrielle, pour ne pas dire 4ÈME REICH.
    Mais quel que soit son nom, cette ”nouvelle normalité” avance à marche forcée dans les programmes et règlements de toutes les institutions internationales qui ont maintenant la primauté sur le droit national et les droits humains. 

Ne nous croyez pas, ÉCOUTEZ-LES, LISEZ-LES.
Klaus Schwab, auteur de « Covid 19, La Grande Réinitialisation » et de « La 4ème Révolution Industrielle » mise en oeuvre par le Forum Economique Mondial :

  • Entretien avec Charlie Rose, 13/11/2015 : « La différence avec cette 4ème Révolution industrielle, c’est qu’elle ne change pas ce que vous faites, elle vous change vous, prenez la modification génétique par exemple, c’est vous qui êtes changé, et bien sûr cela a un impact important sur votre identité. »
    • Davos 2016 : « La 4ème Révolution industrielle apportera des changements à une vitesse, une échelle et une force sans commune mesure avec ce que nous avons vu auparavant. Elle affectera l’essence même de notre expérience humaine ».
    • Interview RTS, 10/01/2016 : « Ce que nous voyons, c’est une sorte de fusion du monde physique, digital et biologique », extrait 2mn25, en français : https://www.youtube.com/watch?v=UmQNA0HL1pw

Nous sommes dans une gigantesque « expérience de Milgram » qui montre une fois de plus qu’une majorité de la population est capable de renoncer à son évidence perceptive et d’obéir aveuglément aux ordres les plus ineptes, voire cruels, s’ils sont donnés par une figure d’autorité validée par un environnement institutionnel. Des ordres, ou même de simples ‘’recommandations’’, dont la monstruosité est comme effacée par la ‘’légitimité’’ de leur source (Frédéric Gros, ‘’Désobéir’’, 2017)

Excellente démonstration de cette expérience et du processus de soumission à l’autorité dans cet extrait de « I comme Icare », docu-fiction de Henri Verneuil, basé sur l’histoire de l’assassinat de JFK : (19mn38) : https://www.youtube.com/watch?v=0zZSOVvu_6Y

5. Le message historique du masque-muselière, symbole de l’esclavage d’hier et d’aujourd’hui

  • Inversion du sens des mots et des valeurs : l’exemple du masque
    Aux Antilles, les masques véhiculent encore avec eux les blessures d’une histoire tout aussi violente que son déni.
    En 2020, partout dans le monde, cette puissante symbolique de l’esclavage et de la dépersonnalisation a été travestie dans une rhétorique politicienne affirmant que le port du masque est maintenant une nouvelle norme pour tous et un symbole de liberté ! Le discours d’endoctrinement passe non seulement par la corruption du langage, mais aussi par la déconstruction du sens du symbole pour égarer les esprits et manipuler la psyché humaine.
  • Vera Sharav, un grand témoin de l’Histoire :
    Survivante de l’Holocauste, Vera Sharav raconte que libérée à l’âge de 7 ans après trois ans d’internement dans un camp en Ukraine, elle a entamé un périple de dix mois vers sa Roumanie natale. N’ayant ni père ni mère pour la protéger, il lui a fallu apprendre à évaluer les gens en observant l’expression de leur visage pour savoir si elle pouvait leur faire confiance. « Cela m’a sauvé la vie », dit-elle, dénonçant la perte de connexion sensorielle et humaine causée aujourd’hui par le port du masque. Un traumatisme lourd de conséquences, également signalé par nombre de pédopsychiatres.

Défenseur des droits humains depuis 50 ans et de l’intérêt public dans la recherche biomédicale, Vera Sharav ne mâche pas ses mots : « ”Plus jamais ça” ne veut rien dire si vous réduisez au silence ceux qui essaient d’empêcher que cela arrive à nouveau ».
Il faut prêter attention aux préludes, à la montée en puissance d’une idéologie totalitaire avant qu’elle n’atteigne son apogée criminelle : l’Holocauste est l’aboutissement d’un processus initié ouvertement dix ans auparavant. Si vous ne reconnaissez pas la similarité des signes avant-coureurs, vous êtes condamnés à revivre l’expérience jusqu’à son terme, et elle est aujourd’hui d’envergure planétaire. 
À son arrivée au pouvoir, les gens ne prenaient pas les allocutions d’Hitler au pied de la lettre, c’est pourquoi je vous avertis, nous dit-elle, « vous devriez prendre très, très au sérieux les propos de Klaus Schwab » (voir point 4). 

– à écouter, Conférence de presse du 23 janvier 2022, VF sous-titrée ou doublée, 9mn : https://childrenshealthdefense.eu/fr/union-europeenne/vera-sharav-plus-jamais-ne-veut-rien-dire-si-vous-reduisez-au-silence-ceux-qui-essaient-dempecher-que-cela-arrive-a-nouveau/
– à lire, Discours du 20 août 2022, à l’occasion du 75ème anniversaire du Code de Nuremberg : https://childrenshealthdefense.eu/fr/union-europeenne/vera-sharav-a-moins-que-nous-ne-resistions-tous-plus-jamais-ca-cest-maintenant-discours-nuremberg-le-20-aout-2022/
– à regarder et diffuser, Documentaire « Plus jamais ça, c’est maintenant », 2023
Un avertissement à l’humanité de la dernière génération des survivants de l’Holocauste
5 épisodes sous-titrés en français (6h) : https://plusjamais.eu/

Notre tour est venu de témoigner en nous positionnant :
https://www.neosante.eu/manifeste-pour-la-desobeissance-civique-a-loppression-du-masque-et-a-lobligation-vaccinale/


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