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Yves Rasir

Cette année, le 11 novembre tombe un samedi et il va faire mauvais temps. Et  si vous en profitiez pour cocoonner au coin du feu en visionnant des choses intéressantes ? Ce serait symboliquement judicieux car les trois vidéos que je vous suggère de regarder le jour de l’armistice ont en commun de démontrer l’absurdité de la guerre faite aux microbes depuis qu’un certain Louis Pasteur a fait la colossale erreur de les considérer comme des facteurs de maladies. Appelée « théorie du germe » ou « théorie des germes », cette vision guerrière de la vie est complètement fausse et ce n’est même pas une théorie : c’est juste une hypothèse qui n’a jamais été démontrée et qui s’est tragiquement substituée à la « théorie du terrain » depuis maintenant un siècle et demi. Faisant sa part de colibri, Néosanté ne cesse depuis 12 ans de souligner les failles et les incohérences du paradigme pasteurien pour lui opposer une toute autre conception du vivant microcosmique : bactéries et virus (pour autant que ces derniers existent, ce qui n’est même pas certain) ne sont pas des fauteurs de troubles mais au contraire des auxiliaires de santé intervenant à bon escient dans les corps malades pour en expulser les toxines ou y réparer les tissus abîmés. Fondée sur la tragique méprise consistant à traiter les micro-organismes en ennemis, toute la médecine moderne occidentale est à revoir, et à tout le moins ses trois disciplines les plus erronées que sont l’infectiologie, la virologie et la vaccinologie. Dans ce combat capital pour la vérité, nous pouvons heureusement nous appuyer sur des sources scientifiques et médicales solides. Toute une génération de chercheurs et de médecins a ouvert les yeux sur l’imposture pasteurienne et milite désormais pour réhabiliter la seule vraie médecine qui tienne, celle qui prévient les dégradations du terrain, œuvre à restaurer les équilibres rompus et accompagne les organismes vers l’auto-guérison naturelle. Chacune à leur manière, les trois vidéos que je vous invite à visionner déconstruisent la mythologie allopathique et apportent de précieux biscuits pour « dépasteuriser » les esprits. Partageons-les activement dans nos réseaux afin de faire advenir une médecine de paix enfin réconciliée avec la vie et sa merveilleuse logique symbiotique.

Sam dit « ça suffit »

Honneur aux dames et au Dr Samantha Bailey. Cette charmante doctoresse et chirurgienne néo-zélandaise a travaillé pendant 12 ans en tant que généraliste et conceptrice d’études cliniques. Avant d’être écartée en raison de ses idées et pratiques hérétiques, elle a également co-animé une émission de télévision sur la santé très populaire dans son pays. Son éviction de l’antenne a eu du bon puisque la bannie a créé sa propre chaine Youtube qui compte aujourd’hui 339.000 abonnés répartis dans le monde entier ! Souvent réalisées avec son mari Mark, également médecin et chercheur indépendant en rupture de ban avec la médecine classique, ses vidéos thématiques font parfois des centaines de milliers de vues. Elle en a déjà produit plus d’une centaine, 115 exactement, dont beaucoup contestent précisément la vision pasteurienne des maladies, en dénoncent l’absence de fondement rationnel et passe au crible les études censées l’étayer. De fil en aiguille, Sam Bailey a rejoint l’équipe des rédacteurs du livre VIRUS MANIA, dont la deuxième version anglaise et première édition française est sortie en 2021, avec un large chapitre sur « la folie absolue du corona ». Malheureusement, seule une minorité des vidéos ont été sous-titrées dans notre langue et il faut visiter des plateformes non-censurées pour les dénicher.  C’est sur Crowndbunker que vous trouverez l’émission intitulée « 5 échecs spectaculaires de la théorie des germes ». En 22 minutes chrono et 2 coups de cuillère à pot, la pétillante influenceuse expédie par le fond le mythe de la contagion et réfute cinq allégations courantes sur le caractère pathogène des germes. Du bel ouvrage !

Pierre règle les comptes

Vous avez aimé le sourire et la douce ironie de Samantha Bailey ? Vous allez adorer l’humour subtil et la redoutable rigueur du statisticien Pierre Chaillot. Oui, je sais, je vous ai déjà maintes fois conseillé de regarder et diffuser ses vidéos ou interviews audiovisuelles. Et je vous disais la semaine dernière ma grande joie d’accueillir ce décrypteur hors-pair parmi les collaborateurs de notre mensuel. Si je suis complètement fan de Pierre Chaillot, c’est évidemment parce qu’il a pulvérisé la narration de la fausse pandémie et qu’il a mis en lumière, données vérifiables à l’appui,  tous les mensonges de ce récit. Dans son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », le surdoué des chiffres démontre implacablement l’inexistence d’une hécatombe, l’absence de véritable saturation hospitalière, l’invalidité évidente des tests génomiques, l’inutilité des mesures  totalitaires dites sanitaires et l’inefficacité criante de la stratégie vaccinale, dont il dévoile par ailleurs les dangers avérés en termes de mortalité et d’effondrement de la natalité. Les statistiques ont parlé, Pierre les a fait parler, et elles sont sans pitié pour la doxa covidiste ! Mais si je suis un admirateur inconditionnel du youtubeur animateur de la chaîne « Décoder l’éco », c’est parce qu’il a été d’une honnêteté intellectuelle exemplaire. À force de constater l’irréalité de la pandémie, il a fini par réaliser que la présence même d’un agent infectieux était plus que douteuse. Son ouvrage révèle qu’il n’y a pas de trace d’une quelconque propagation virale et qu’il en va de même pour toutes les épidémies grippales depuis qu’on les observe ! Comme il le raconte volontiers avec sincérité, Pierre était naguère un bon petit soldat pasteurien, un patient obéissant qui faisait confiance à son toubib et un citoyen modèle qui se vaccinait et vaccinait consciencieusement ses enfants. La mascarade corona a été son chemin de Damas et il a désormais pris conscience que la « théorie du germe » était basée sur du vent. Dans l’introduction de son dossier publié dans le prochain Néosanté, Pierre dézingue la fraude statistique mais règle aussi son compte au dogme du virus pathogène et contagieux. Au cours de la conférence que je vous propose de visionner  (durée : 1 heure et demie), il a le cran de manifester son viroscepticisme et de remettre en question le pasteurisme dans son ensemble. Chapeau à cet homme intègre qui ne s’en laisse plus conter et qui est maintenant de notre côté pour faire avancer la vérité !

Requiem pour la virologie

Si le 11 novembre est vraiment maussade et que vous avez encore deux heures et demie à tuer intelligemment, je vous propose enfin de visionner un documentaire américain datant de 2022 mais dont j’avais curieusement raté la sortie. Il a pourtant été traduit par les valeureux bénévoles du site CV19 dont j’ai plusieurs fois salué le travail pendant la « crise ». Je l’avais loupé mais une amie médecin et professeure d’université en faculté de médecine, qui prend elle aussi conscience de la grande escroquerie pasteurienne, m’en a opportunément transféré le lien. À partir du cas d’école covidien, ce docu bien conçu démonte méthodiquement la théorie virologique et en démontre remarquablement l’extrême faiblesse scientifique. Mieux : il apporte les preuves difficilement réfutables que ce château de cartes ne tient plus debout et qu’il est bâti sur des sables mouvants. Y interviennent notamment le Dr Mark Bailey, le Dr Stefano Scoglio (autre co-auteur de VIRUS MANIA), le Dr Thomas Cowan et le microbiologiste Stephan Lanka, dont les expériences édifiantes sont de nature à convaincre tout un chacun que les virus n’ont rien à voir avec les méfaits qu’on leur impute. Sans particules virales dans ses éprouvettes, le chercheur allemand a reproduit exactement les phénomènes cytotoxiques que les virologues orthodoxes attribuent aux virus ! Bref, ce documentaire est un argumentaire de premier choix pour sortir du délire biophobique et pacifier notre relations aux microbes. Il est long, parfois indigeste tant les données abondent, mais passionnant de bout en bout et apte à convaincre les plus accros au discours médical dominant. Si vous avez des amis « endormis » par le conte de fées pasteurien  mais susceptibles de se réveiller à coups d’arguments scientifiques, c’est ce film qu’il faut partager absolument. Comme le présage son titre, la fin de la théorie des germes est à notre portée et nous pouvons donner le coup de grâce à cette vision cauchemardesque de l’être humain en guerre perpétuelle contre le vivant invisible. Peace now,  justice pour nos « amicrobes » et armistice définitif !

Yves Rasir

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