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Big PharmaFin de Pasteur

Pasteur, fin de partie !

Par 6 juillet 2022septembre 15th, 2023Pas de commentaires

Dès l’entame du Corona Circus, j’ai pensé que ce spectacle navrant aurait au moins l’avantage d’exposer en pleine lumière l’inanité de la médecine pasteurienne et la vacuité de son dogme central, celui de la contagion. Avec la grippe covid, il devenait en effet très évident que les épidémies ne sont pas provoquées par la propagation d’un micro-organisme prétendument pathogène et transmissible. Comme preuves de la fausseté de l’axiome infectieux, j’ai par exemple relevé que les « patients zéro » restaient introuvables partout sur le globe, que les « chaînes de contamination » étaient pleines de trous, que les « clusters » étaient aux abonnés absents après de grands rassemblements populaires, ou encore qu’aucun foyer épidémique n’avait été observé dans les transports publics, endroit où la promiscuité permettait pourtant au virus de s’en donner à cœur joie. L’énorme proportion de contaminés asymptomatiques témoignait également qu’il n’y avait pas de lien de causalité entre la présence de l’hypothétique particule virale et la maladie qu’on lui attribuait à tort. Dès février 2020, j’ai exprimé le sentiment que ces failles dans le paradigme dominant pouvaient le faire s’écrouler comme des fissures font s’effondrer un iceberg pourvu que l’une d’entre elles devient suffisamment large. Pour que l’éboulement survienne, il fallait cependant que le bon sens soit secondé par la bonne science, autrement dit qu’un chercheur se décide à lézarder la doxa du covid en démontrant qu’elle ne repose sur rien.  Il fallait que, quelque part dans le monde, un scientifique se lève  et déconstruise méthodiquement la fable pasteurienne du germe coupable et contagieux.  Ce moment est-il enfin arrivé ?
 
Le mythe de la contamination
 
C’est en tout cas l’émouvante impression que j’ai eue en visionnant la dernière vidéo produite par mon ami et confrère Alexandre Penasse. Pour la cinquième fois en quelques semaines, le rédacteur en chef du journal belge Kairos interviewe le statisticien français Pierre Chaillot, alias Pierre Lécot de la chaîne Youtube « Décoder l’éco ». Oui, je sais que mon admiration pour ce brillant jeune homme est en train de tourner à la fascination. Dès qu’il est sorti de l’ombre, je vous ai quasiment conseillé toutes les capsules postées par lui, ainsi que toutes les sessions du CSI (Conseil Scientifique Indépendant mis en place par Réinfo-Covid) où il est intervenu avec d’autres dissidents pour contester le récit officiel de la crise sanitaire. On lui doit notamment l’analyse implacable de la minime surmortalité et de sa normalité, la démonstration tout aussi limpide que les mesures liberticides n’ont eu aucun impact sur les courbes épidémiques, ou encore la très claire réfutation de la pertinence du test PCR,  technique de dépistage fumeuse sans laquelle la grande mascarade  et la manipulation des masses par la terreur eussent été impossibles.  Cette fois, Pierre Chaillot s’attaque encore à plus gros morceau puisque la vidéo est intitulée « Le mythe de la contamination épidémique ». C’est en effet ni plus ni moins au fondement du pasteurisme que le jeune homme s’en prend, à savoir à la théorie selon laquelle une épidémie se répand dans la population par la circulation et  la propagation d’un germe.  Cette théorie, constate-t-il ingénument,  fait consensus alors qu’elle n’a jamais été vérifiée. C’est une hypothèse sur laquelle sont bâtis tous les modèles épidémiologiques alors qu’elle n’est jamais, justement, qu’une hypothèse demandant validation. Or il suffit de chercher à la valider pour s’apercevoir qu’elle ne tient pas debout !  En préambule de son exposé  (vous pouvez aller directement à la 12ème minute car l’intro n’a pas de rapport avec la suite),  Pierre observe d’abord que la mortalité générale suit des cycles saisonniers : on meurt davantage en hiver et exceptionnellement en été en cas de canicule. Il note ensuite qu’il n’y a pas de progressivité épidémique géographique et que les pics de mortalité se produisent partout au même moment, ce qui contredit la légende des vagues de contaminations. Lui-même était persuadé  que le covid s’était propagé du Sud au Nord de l’Europe mais les données indiquent que le fléau s’est abattu de manière synchrone sur le vieux continent, ce qui ne cadre pas avec le modèle contagieux. Si les gens tombent malades et meurent en même temps, c’est forcément qu’il y a une autre explication que celle d’un  virus passant d’un individu à l’autre. D’autre part, et c’est là que cela se corse mathématiquement, la théorie virale ne peut se revendiquer valable que si l’épidémie progresse de manière exponentielle. Cette fonction mathématique est au cœur de toutes les simulations de contaminations. Or,  aussi incroyable que cela paraisse, il n’y a pas la moindre trace d’exponentielle dans les statistiques et courbes épidémiques ! Il y en a dans les modèles imaginés par les experts, mais pas dans la réalité où c’est plutôt la linéarité qui ressort. La doxa du covid et la patascience pasteurienne sont donc basées sur une pure fiction qui ne se rencontre pas dans la vie réelle : la propagation par contagion est bien un mythe !
 
Le microbe n’est rien, la température est tout
 
Mais alors, d’où vient que des tas de gens développent des symptômes infectieux identiques et succombent à des complications similaires aux mêmes périodes de l’année ? Dans la partie suivante de la vidéo, Pierre Chaillot avance une explication toute simple :  la température ! En collaboration avec un ingénieur, le statisticien a exploré le lien entre l’apparition des épidémies de grippe et les circonstances climatiques. À leur grande surprise,  ils ont découvert que la relation était plus qu’étroite : elle est quasiment parfaite. En remontant jusqu’aux années 70, leurs graphiques montrent en effet que la courbe (inversée) des températures épouse très fidèlement celle de la mortalité. Moins il y a de degrés dehors et plus les hôpitaux et cimetières se remplissent. Les êtres humains, et surtout les personnes âgées bien entendu, souffrent et meurent en raison du froid et des refroidissements qui en découlent. « En termes de corrélation entre deux variantes, c’est exceptionnel à quel point cela fonctionne » précise le décrypteur de chiffres. « Dans  plus de 90% des cas, l’augmentation de la mortalité suit la baisse des températures, ce qui est un niveau de corrélation extraordinaire. Il est complètement fou qu’il n’y ait pas encore des tonnes d’études sur le sujet tellement c’est évident ». Bien sûr, le scientifique précise que ce n’est pas  forcément le froid lui-même qui cause les pics de syndromes grippaux et de trépas. Quand le mercure chute, il y a aussi des différences de pression atmosphérique et d’hygrométrie qui modifient l’air ambiant. Et quand les gens se calfeutrent et allument leur chauffage, ils sont encore exposés à un air plus sec qui assèche leurs muqueuses. Le confinement va également de pair avec une augmentation de l’exposition à des champs électro-magnétiques dont l’influence sur la santé est  légitimement soupçonnée. Dans cette petite liste, Pierre Chaillot aurait pu ajouter qu’en fuyant les rigueurs hivernales, les citoyens calfeutrés multiplient leurs chances d’évoluer dans les mêmes circonstances psycho-émotionnelles et de traverser les mêmes épisodes conflictuels. On peut aussi – et surtout à nos yeux – « prendre froid » parce que le cœur manque de chaleur et que les relations sont refroidies par les conflits de nature territoriale plus fréquents en milieu intérieur. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’est absolument pas nécessaire de faire intervenir la notion de contagion  pour expliquer une épidémie. Comme le conclut  le statisticien  après une heure vingt d’interview, « Des groupes de gens sont malades parce qu’il ont vécu la même chose en même temps et c’est tout. On n’a pas besoin de ce  principe de contamination qui n’a jamais été prouvé ».  
  
Remettre la science à l’endroit
 
Mais avant d’asséner sa conclusion-choc, le « décodeur de l’éco » taille encore beaucoup de croupières à la mythologie pasteurienne.  Il parle de Béchamp et de la controverse avec Pasteur, il relate les expériences de Roseneau,  il évoque les postulats de Koch  jamais remplis pour les virus, il montre comment les critères d’épidémie virale ont évolué  dans les années 30 et 50 pour faire abusivement  coller la science à la croyance. Bref, il apporte beaucoup d’eau au moulin que fait tourner Néosanté depuis sa création et que j’ai également actionné à maintes reprises  dans l’infolettre depuis le début de la saga corona. Mais s’il  cautionne nos analyses, Pierre Chaillot leur apporte un crédit supplémentaire  puisqu’il affirme que la science médicale actuelle marche sur la tête et fonctionne à l’envers. Elle affirme des choses qu’elle ne prend même pas la peine d’interroger et de vérifier par la méthode scientifique. Partant d’une étude parue dans Nature,  il dénonce que celle-ci se fonde sur des données fausses ou faussées que le premier étudiant en maths venu pourrait facilement repérer. Il épingle les « erreurs grossières » de cette publication  et son « incroyable médiocrité » qui en serait presque cocasse si elle n’avait pas servi d’alibi aux politiques totalitaires mises en œuvre. Il faudrait, dit-il que « les gens soient conscients   de l’énormité de l’arnaque et du niveau de supercherie de ce qu’on appelle la science aujourd’hui » . Concernant le sars-cov2, le statisticien note ironiquement  que « selon ses propres définitions, la science n’est même pas en train de regarder un pathogène.  Depuis le début, Il n’y a pas la moindre trace de preuve que quelque chose se transmet ». Va-t-il lui-même tenter de se faire publier dans des revues scientifiques ? Il ne ferme pas la porte. Mais dans l’immédiat, les vidéos tournées avec Kairos vont servir d’ébauche à l’écriture d’un livre. On se réjouit évidemment de le lire car cet ouvrage sera nécessairement un réquisitoire remarquablement argumenté contre le covidisme et le pasteurisme. Depuis deux ans et demi, j’ai partagé ma conviction qu’on ne sortirait pas du premier si ne faisait pas un sort au deuxième. Qu’il fallait dézinguer le paradigme infectieux dans son ensemble pour espérer échapper à la virophobie délirante et à l’hystérie vaccinale.   Non sans jubilation, je vois aujourd’hui que Pierre Chaillot pilonne l’iceberg pasteurien et qu’il y crée des failles potentiellement fatales. Élargissons les brèches en faisant connaître son magnifique travail !

 

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