Selon certains experts en décodage biologique, les pathologies du genou seraient souvent imputables à des problèmes du « je » avec le « nous », ou plus exactement associées à des situations ou le « nous » (une collectivité, une équipe, une école, une entreprise…) oblige le « je » (l’individu) à mettre le genou à terre, c’est-à-dire à se soumettre et admettre son infériorité. Personnellement, j’ai souvent vérifié cette analyse : une élève « tête de turc » de sa classe et qui se tord le genou, des employés licenciés qui se déchirent un ligament, et tous ces joueurs de foot récemment transférés mais réservistes dans leur nouvelle équipe, et qui se « pètent le ménisque ». Toujours la dévalorisation liée à des difficultés d’intégration… MM (Bruxelles)
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