Vous vous souvenez de mes « étoiles dans la nuit » ? Dans les premiers mois du Corona Circus, c’est ainsi que j’appelais les raisons d’espérer le retour à la raison et la fin rapide de la mascarade covidiste. Il s’agissait d’informations, d’études scientifiques ou d’analyses montrant que la narration de la pseudo-pandémie craquait (déjà) de partout et que cette grippe à peine plus létale que l’habituelle pouvait facilement s’affronter avec les ressources de la médecine naturelle. Bon, d’accord, mon optimisme stellaire n’a pas écourté cette fausse crise sanitaire ni empêché le délire totalitaire de déferler sur terre. Je pense toutefois que mes billets astraux n’ont pas été inutiles et que les infos que j’y partageais ont pu éclairer, voire éveiller ses lecteurs. Si des millions de gens ont refusé par la suite de se faire injecter les faux vaccins, c’est grâce aux personnalités qui ont osé entrer en résistance et dont j’ai modestement contribué à faire connaître la parole dissidente. Celle-ci a-t-elle gagné en audibilité au-delà des milieux avertis ? Rien n’est moins sûr. La propagande provax bat toujours son plein et les mensonges les plus éhontés continuent à s’étaler dans les médias. Pour ne pas avoir à reconnaître leurs erreurs, les gouvernementeurs et leurs porte-voix persistent à nier les évidences et à tromper les foules avec des données manipulées et d’autres qu’ils maintiennent cachées. Il est donc important de remettre l’ouvrage sur le métier et de riposter en révélant les vérités dissimulées. Pour ça, nous pouvons heureusement compter sur les lumières de quelques brillantes « stars » engagées dans ce combat. Ce sont de courageux universitaires et de valeureux scientifiques qui mettent leur grande compétence au service du réel et qui exposent lumineusement les impostures du récit officiel. Voici quatre de ces « étoiles » triplement étoilées et leurs derniers faits d’armes ré-informatifs.
Pierre Chaillot : fact checking fatal
Le premier de ces cerveaux puissamment éclairants est un habitué de mes écrits : le statisticien Pierre Chaillot, alias le Youtubeur Pierre Lécot, est l’auteur de vidéos dont je vous ai souvent fait l’éloge et envoyé les liens car elles permettent de voir à quel point le narratif des autorités est mensonger. Il n’y a pas eu de pandémie et les pics de surmortalité éphémères et localisés peuvent s’expliquer tout autrement que par l’action d’un virus. S’il existe, ce dernier ne s’est pas propagé comme le prévoyaient les modèles mathématiques ni comme le postulait le paradigme pasteurien. Au final et ainsi que je l’espérais dès l’ouverture du cirque, le prétendu fléau infectieux remet complètement en cause le mythe de la contagiosité ! Pierre Chaillot fait moins de vidéos pour l’instant car il met la dernière main à un bouquin qui sortira au tout début de 2023. Nous aurons d’ailleurs le vif plaisir de publier son interview dans le mensuel Néosanté de janvier. S’il est actuellement absorbé par l’écriture de son livre, le jeune et brillant expert en statistiques a cependant trouvé le temps de co-rédiger récemment un article publié sur le blog de Laurent Mucchilell. Ce texte vaut vraiment la peine d’être lu car il « fact-checke » deux affirmations qui ont dernièrement fait la une des journaux : celle que le covid aurait tué au point de faire reculer l’espérance de vie et celle que le vaccin aurait permis de sauver beaucoup de vies. Tout cela n’est pas prouvé et les études censées le démontrer confondent allègrement corrélation et causalité, explique clairement Pierre Chaillot. Ce que j’adore chez lui, c’est qu’il assaisonne toujours de douce ironie ses implacables vérifications de faits et de chiffres. Je me réjouis de découvrir son ouvrage et de lire l’entretien réalisé très prochainement pour nous par Pryska Ducœurjoly.
Christophe de Brouwer : une épidémie de vaccinés
Si la France a la chance de posséder Pierre Chaillot, la Belgique a celle d’avoir Christophe de Brouwer : je vous ai également souvent renvoyé aux analyses statistiques de cette grosse pointure médicale et scientifique, ancien président de l’école de santé publique de l’Université Libre de Bruxelles. Malgré une omerta médiatique totale et une censure récurrente sur les réseaux sociaux, cet homme dont la bonhommie se concilie à la rigueur a réussi à faire passer le message qu’on nous baratinait sur la gravité de la maladie et sur l’efficacité des injections. Dans le documentaire « La Loi, la Liberté », de Bernard Crutzen, c’est lui qui dévoile que le vaccin fait désormais plus de tort que de bien puisque son efficacité toute provisoire et relative est devenue négative. C’était un sacré pavé dans la mare et l’AFP ne s’y est d’ailleurs pas trompée en tentant de discréditer son lanceur. Pas de chance pour l’Agence Française de Propagande : nos confrères de BAM ! (Belgian Alternative Media) ont à leur tour fact-checké les fact-checkeurs et produit un article « détox » confirmant la justesse des propos de Christophe de Brouwer sur la contre-productivité de la stratégie vaccinale. De son côté, l’empêcheur de mentir en rond a continué de scruter les graphiques belges et il a récemment publié un petit article (r)établissant la vérité: le vax ne protège pas des formes sévères et c’est même le contraire puisque les non-vaccinés représentent désormais une infime minorité des hospitalisés. Pour la dernière quinzaine d’octobre, les réfractaires à la piquouze ne dépassaient pas 1% des personnes admises en soins intensifs pour cause de covid dans toute la Belgique ! Si la parole se libère enfin, elle le devra beaucoup aux décryptages opiniâtres de spécialistes honnêtes comme Christophe de Brouwer.
Idriss Aberkane : la dissonance citoyenne
Ma troisième étoile du jour est une nouvelle venue sous ma plume. Et je m’en veux un peu car l’essayiste et conférencier Idriss Aberkane aurait mérité depuis longtemps que je mentionne ses vidéos percutantes et ses interviews toujours enrichissantes, notamment celles accordées à Sud Radio ou à France Soir. À ma grande confusion, je m’aperçois que nous n’avons même pas mis en valeur la sortie en 2016 de son best-seller « Libérez votre cerveau ! », un ouvrage qui est pourtant dans la droite ligne de ce que Néosanté préconise en matière de santé. Depuis le début de la « crise sanitaire », ce polytechnicien multi-diplômé de 36 ans a eu la bravoure de rompre avec l’establishment (où il avait pourtant ses entrées et ses rentrées) et de se positionner en lanceur d’alerte hypercritique, quitte à se faire taxer de complotiste. Pour tout dire, Idriss Aberkane a même participé en 2021 à une émission de l’Info en Questions avec Jean-Jacques Crèvecœur , signe de son engagement résolu aux côtés de chercheurs de vérité. Si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce que l’intellectuel franco-algérien vient de produire une vidéo que j’ai trouvée très intéressante. Partant d’une question candide (« Comment des honnêtes gens ont pu défendre Pfizer ? »), il développe l’hypothèse qu’une grande majorité de la population a été victime d’une forme particulière de dissonance cognitive, qu’il appelle « dissonance citoyenne ». En résumé, il lui était impossible d’échapper à la manipulation car son éveil aurait impliqué d’admettre l’inadmissible, à savoir que les autorités soient corrompues au point de nuire délibérément et de mentir volontairement. Personnellement, je penchais plutôt pour la thèse de l’hypnose collective et/ou celle d’une opération psychologique sophistiquée. La lecture d’Idriss Aberkane permet d’envisager que la confiscation massive des libertés et le méga-scandale vaccinal ont pu s’appuyer sur un « simple » mécanisme mental d’autoprotection. Voilà qui incite à la compassion envers les abusés et qui invite à ne pas les mettre dans le sac des abuseurs…
Jacques Schroeter : quand un avocat accuse
La quatrième « star » que je souhaite étoiler aujourd’hui s’appelle Jacques Schroeter. Je ne connaissais pas du tout cet avocat suisse et j’ai seulement découvert son existence en lisant le dernier numéro de l’Antipresse, l’excellent hebdomadaire digital dirigé par Slobodan Despot. Comme ce dernier le raconte dans son article « L’infatigable questionnement de Maître Jacques », Jacques Schroeter était sur le point de raccrocher sa robe lorsque la crise du covid a éclaté, avec son cortège de mesures liberticides, d’entorses inouïes à l’état de droit et d’infractions gravissimes à la Constitution. L’avocat s’est dès lors attelé à travailler bénévolement pour interpeller les autorités helvétiques et les rappeler à leurs devoirs. Comment ? En rédigeant des « lettres ouvertes » adressées aux élus et aux membres des exécutifs. En septembre 2021, il avait notamment publié une vigoureuse missive sommant le gouvernement suisse de mettre un terme à ses « agissements illégaux ». Il y a 15 jours, le plaideur retraité a récidivé en écrivant une lettre avertissant que le gouvernement suisse devra sous peu « répondre des mensonges et des lois enfreintes durant la crise ». Je vous convie à lire ce texte en cliquant ici car c’est à mon sens une très bonne synthèse de la situation actuelle et universelle : les gouvernements ont menti à leurs peuples, les ont entraînés dans une folle expérience médicale pénalement punissable et doivent maintenant rendre des comptes. Sur le plan juridique, l’avocat récapitule utilement les lois nationales et les conventions internationales qui ont été violées. Et sur le plan scientifique, il étaie son « j’accuse » en résumant très bien l’état des connaissances sur l’inefficacité et l’insécurité des injections. S’il n’est pas, loin de là, le seul défenseur à s’insurger, Jacques Schroeter est peut-être celui qui communique le mieux en direction du personnel politique et du grand public. Et c’est pour ça que je le range dans l’équipe des « galactiques ». N’hésitez pas à transmettre ce document à ceux que l’aveuglement involontaire empêche encore de voir la vérité en face.
Yves Rasir