Questions/réponses – La santé dans une perspective globale
Dans cet extrarticle, je souhaite répondre aux lecteurs qui m’ont posé des questions, surtout sur la spiritualité, à propos de ce que j’ai écrit dans la série « La maladie dans une perspective globale ».
Dès les années 70, la PNL est venue confirmer le dicton « Chacun voit midi à sa porte ». Bien que le monde soit réel, nous ne percevons pas directement cette réalité mais une représentation construite par nos limitations neurologiques, socio-génétiques et personnelles (généralisation, sélection, distorsion).
Je souhaite donc, pour éviter les quiproquos, spécifier que mon interprétation de la spiritualité n’est pas la réalité mais ma perception personnelle. Si ma perception vous convient, c’est qu’elle rencontre un accord avec ce que la PNL appelle votre modèle du monde qui concerne la spiritualité. Dans le cas contraire, il n’y a pas de correspondance et si votre modèle vous convient, il n’est pas nécessaire de le modifier. Ceci étant précisé, voici les réponses aux questions qui m’ont le plus souvent été posées.
Vous parlez de spiritualité mais vous ne mentionnez pas l’âme, or la spiritualité concerne essentiellement l’âme.
Mon modèle du monde, bien que souple et capable d’adaptation, est surtout construit par mes expériences et les interprétations que j’en ai faites au cours de ma vie. Comme beaucoup de lecteurs, je sais consciemment ce que sont les émotions, les sensations, les pensées, l’imagination et les rêves car j’ai pu en faire l’expérience. Par contre, l’âme, jusqu’à présent, je ne sais pas ce que c’est. Adolescent, pendant de nombreux mois, je me suis retrouvé conscient à l’extérieur de mon corps et je croyais qu’à chaque fois je mourais et je revenais à la vie. J’avais alors la croyance, apprise par ma religion judéo-chrétienne, que c’est l’âme qui quittait le corps. La peur de la folie, du diable et de la mort m’ont poussé à observer ce phénomène et j’ai pu progressivement empêcher qu’il se reproduise. Adulte, j’ai appris que les personnes qui vivaient des expériences de mort imminente (EMI) étaient conscientes de ce qu’elles voyaient ou entendaient alors que leurs corps étaient considérés comme cliniquement morts. J’ai donc interprété que si l’âme existe, elle est cette conscience qui peut utiliser le système neurosensoriel pour entrer en contact avec le monde grâce aux cinq sens. Cette même conscience existe toujours lorsqu’elle quitte le corps quand il dort ou qu’il meurt. Toutefois, bien que j’aie pu faire plusieurs fois cette expérience de la conscience hors du corps, je ne peux affirmer qu’il s’agisse de l’âme. Si la conscience est un attribut de l’âme, il est alors possible d’admettre que la spiritualité concerne l’âme.
Dans votre série, vous parlez de la spiritualité, de la conscience, mais vous ne parlez pas de l’amour ?
Effectivement, j’aurais pu parler de l’amour car la spiritualité est souvent associée à l’amour. J’ai préféré éviter de parler de l’amour car il m’aurait fallu aborder la perception que j’en ai et je voulais surtout montrer l’importance de l’évolution de la conscience dans la spiritualité.
Selon Wikipedia, l’amour désigne un sentiment d’affection et d’attachement envers un être ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, spirituelle ou même imaginaire avec l’objet de cet amour et à adopter un comportement particulier.
Il existe de nombreuses formes d’amour : maternel et paternel, conjugal, filial, romantique, fraternel, amical, patriotique, ludique, érotique, altruiste, etc. La Bible mentionne trois types d’amour : 1) agape (amour inconditionnel). 2) eros (amour sexuel). 3) phileo (amour fraternel ou affectif qui attend un retour). Même s’il existe plusieurs formes d’amour, la langue Française étonnement n‘en désigne qu’un seul : j’aime le chocolat, j’aime ma voiture, j’aime mon enfant, j’aime Dieu, etc.
Cette grande diversité et de significations du mot « amour » le rend difficile à définir de façon unie et universelle, même en le comparant à d’autres états émotionnels. Ce que nous pouvons remarquer c’est que généralement l’amour que nous connaissons s’attache à quelque chose et que lorsque ce quelque chose disparaît il y a souffrance.
Une tradition Bouddhiste mentionne « Les quatre Incommensurables » : l’amour, la compassion, la joie et l’équanimité (sérénité en toutes circonstances). Le Bouddha ne parle pas de l’amour, il insiste plutôt sur le détachement qui conduit à la suppression du désir, et donc au bonheur durable (cessation de la souffrance, nirvana).
Ma perception de l’amour est similaire à celle du philosophe Krishnamurti. Selon lui, c’est lorsque nous sommes libérés de nos peurs et de nos attachements que l’amour se lève alors en nous.
Dans la série « La maladie dans une perspective globale » j’ai surtout montré que nous avions tendance à tout contrôler, tout gérer et, proposé de développer l’amour, de se mettre dans un état, dans une situation, pour ressentir de l’amour est de l’ordre du désir. Lorsque je suis libéré des peurs, comme le souligne Krisnamurti, l’amour se révèle et cet amour n’a rien à voir avec l’amour conditionnel même le plus beau et le plus exaltant qui soi. L’amour, pour donner une image, pourrait être symbolisé par le soleil et l’attachement, les peurs, les désirs par les nuages. Lorsqu’il n’y a plus de nuages, le soleil qui était toujours présent se révèle sans que nous ayons besoin de le créer, de le manifester. Un être dont le monde intérieur n’est plus une copie du monde extérieur a peu de nuages et le soleil qu’est l’Amour illumine sa vie. Cet amour n’est pas un amour sentimental mais un amour sagesse.
Vous affirmez que le rêve est vécu dans un temps inversé. Comment savez-vous cela ?
J’affirme non seulement que le temps est inversé dans le rêve mais également que c’est seulement lorsque nous nous réveillons que le rêve existe. Mon affirmation provient de mes expériences en contact avec mon monde intérieur et comme je ne savais pas comment expliquer cela pour répondre à la question j’ai utilisé un moteur de recherche afin de découvrir où en était la recherche sur le rêve. C’est ainsi que j’ai appris que de nouvelles connaissances sur le rêve remettaient en question ce que la science avait auparavant enseigné. Ainsi on ne rêverait pas en dormant, mais en se réveillant ! Cette théorie, développée par Jean-Pol Tassin (neurobiologiste et directeur de recherches à l’inserm), part du paradoxe que la conscience s’évanouit durant le sommeil mais que le rêve ne peut exister que si nous en prenons conscience. Par exemple, en réveillant un dormeur, on n’interrompt pas un rêve, on lui donne naissance. Selon Tassin et ses collaborateurs, durant le sommeil paradoxal, le cerveau est actif mais son activité ne permet ni la conscience, ni le rêve. Il a également découvert qu’à n’importe quel moment, même dans la phase du sommeil dit lent, si on réveille le dormeur, en quelques centièmes de secondes, il crée un rêve. Regardez cette vidéo de huit minutes http://www.universcience-vod.fr/media/4797/reve-et-neurobiologie.html où feutre en main, le neurobiologiste Jean-Pol Tassin explique les différentes phases du sommeil et les mécanismes qui conduisent au rêve. Vous découvrirez à 7’26’’ de la vidéo qu’il explique que le rêve est rétrograde, il fonctionne à l’envers. Imaginez ma joie d’entendre qu’un neurobiologiste apporte des arguments à ma thèse !
Dans la série 3, vous proposez un exercice pour écouter l’origine de l’appel mais vous auriez pu donner un exemple pour que ce soit plus facile à comprendre et à pratiquer.
L’exercice que je propose dans « Comment trouver l’origine du mal-à-dit » était suivi de « Vers l’origine d’un ulcère gastrique lors d’une consultation » mais la place n’était pas disponible pour le publier. Vous pourrez le trouver dans la rubrique « Plein de sens ». Toutefois, pour répondre à la question qui m’a été posée plusieurs fois, je joins ici l’exemple en question :
Vers l’origine d’un ulcère gastrique lors d’une consultation
Voici l’exemple d’une personne avec qui j’utilise un exercice pour favoriser l’émergence de l’origine d’un ulcère gastrique (la médecine officielle a admis l’origine psychosomatique de l’ulcère de l’estomac) :
– Fermez les yeux. Remerciez votre estomac d’avoir accepté de manifester cet excès d’acide et de « souffrir » pour vous rendre conscient d’une situation qui vous est restée sur l’estomac…
– Très bien. Je vais maintenant vous aider à vous détendre mais seulement les parties qui peuvent se détendre facilement car je souhaite que les parties qui ont des choses à manifester, comme par exemple une tension, un inconfort, ou même une douleur, de pouvoir le faire en toute liberté. Ne vous forcez pas à vous détendre, laissez les choses se faire naturellement…
– Parfait. Quelle est la situation qui vous est restée sur l’estomac, que vous n’avez pas pu digérer ? Ne cherchez pas, laissez venir ce qui vient peu importe ce qui vient… Que percevez-vous ?
– Pour le moment, je ne vois pas grand-chose, c’est confus.
– Très bien. Cela vous fait quoi de ne pas voir grand-chose et que c’est confus ?
– Pour le moment, cela va encore mais si cela continue, ça va augmenter ma contrariété.
– Ressentez cette contrariété. Où la ressentez-vous ?
– Ben …. Oui … dans l’estomac.
– Parfait. Restez simplement en contact avec cette sensation de contrariété qui est là dans votre corps… Quelle est la situation qui vous est restée sur l’estomac, que vous n’avez pas pu digérer ?
– Je n’en sais rien. Je suis quelqu’un d’honnête et je n’aime pas contrarier les autres.
Très bien. Quelle est la situation qui vous a fortement contrarié et qui vous est restée sur l’estomac ?
– … Heu…. Je ne sais pas, je suis un peu confus et la sensation à l’estomac a augmenté.
– Très bien. Tout en restant en contact avec la sensation dans l’estomac, laissez venir spontanément la situation qui a créé de la confusion et qui vous a fortement contrarié.
– Je n’aime pas contrarier les gens alors je fais attention pour ne pas les offusquer.
Très bien. Une contrariété que vous n’avez pu admettre et qui a été un gros choc et créé de la confusion…
– …. Ca alors, oui j’en ai eu une avec mon meilleur ami… Effectivement, cela a été un choc car je n’ai pas compris son comportement.
– Excellent. Racontez-moi.
– Il y a deux ans, il me propose d’acheter avec lui une TV HD en me disant qu’il pourra avoir un prix très avantageux, le tiers du prix du marché. Un voisin, admiratif du rendu de l’image de ma nouvelle TV, me demande où je l’ai acheté mais comme c’est mon ami qui a servi d’intermédiaire, je n’en sais rien. Je téléphone directement à mon ami mais il me dit qu’il n’a pas le temps et qu’il passera tout à l’heure. Quand il vient, j’en profite pour lui demander les documents pour la garantie. Il se met à rire. Comme je ne comprends pas, il me dit : « t’es idiot, tu ne croyais quand même pas que cette vente était légale ? ».
– A cet instant, que se passe-t-il en vous ? Que ressentez-vous ?
– Je n’en reviens pas, je suis complètement calé, je n’arrive pas à l’admettre.
– Que voulez-vous dire par je suis calé ?
– Ben, je suis calé, je suis … mais oui comme quand j’ai trop mangé et que je suis calé, c’est trop ! A ça alors, oui c’est comme si je n’avais pas pu digérer ! C’est fou ça !
Comme on le voit dans cet exemple, il était important de laisser venir spontanément car, pour cette personne, trouver l’événement qu’elle n’a pu digérer, elle ne l’associait pas à « je suis calé ». Moi-même je n’avais pas fait immédiatement le lien entre « je suis calé » et « cela m’est resté sur l’estomac ».
A partir du moment où il a fait le lien avec ce que l’on appelle aujourd’hui le conflit déclenchant, je continue, sans tarder, l’exploration. Je vais donc utiliser ce ressenti « je n’en reviens pas, je suis complètement calé, je n’arrive pas à l’admettre » pour qu’il puisse remonter et se reconnecter au conflit programmant, c’est-à-dire le premier conflit brutal et imprévisible vécu par lui où dans sa généalogie. Comme en général ce conflit est ancien, il est parfois nécessaire de laisser plus de temps pour que les connections puissent se faire progressivement. En utilisant, comme vous l’aurez compris, tout ce qui va se présenter (pensées, images, sensations, impressions) pendant cette connexion avec son monde intérieur et les ressentis qui y sont associés, il découvrira l’événement programmant vécu pendant sa petite enfance à l’origine de l’activation, à l’âge adulte, des ulcères gastriques. En général, le conflit programmant vient brusquement sous la forme d’un « flash ». Dans ce flash, tout l’événement y est mais compacté (terme utilisé en informatique et qui consiste à compacter un gros fichier pour le réduire). C’est après le flash que le mental va décompacter et mettre en mots ce qui s’est passé. Cela fonctionne comme pour le rêve.
Que pensez-vous des cinq conseils que le Dr Hamer propose pour solutionner les conflits car vous n’en parlez pas dans votre série ni dans votre livre ?
En effet, le Dr Hamer énumère cinq conseils pour arriver à mettre fin à l’aspect conflictuel qui est à l’origine de la pathologie :
- les conflits pour lesquels il est possible de trouver une solution pratique.
- les conflits que l’on peut réussir à résoudre par un entretien.
- les conflits que l’on peut réussir à résoudre par suggestion.
- les conflits que l’on peut réussir à résoudre par une suggestion permanente.
- les conflits que l’on ne peut réussir à résoudre que par une reconversion socio familiale ou professionnelle.
Ces différentes catégories peuvent également se combiner.
Ces cinq conseils relèvent du bon sens et, grâce à votre question, je peux suppléer à un oubli de ma part en les partageant dans ce document.
J’ajouterai toutefois que ces conseils s’adressent surtout au mental et à des actions sur l’extérieur et non à une modification du monde intérieur de l’individu. J’ai rencontré trop souvent des personnes qui n’étaient pas capables, dans certains conflits, d’utiliser les conseils du Dr Hamer car elles sont dominées par leurs émotions. Dans d’autres cas, ces cinq conseils ont été suffisants.
J’ai découvert votre livre « le cancer apprivoisé » grâce à Néosanté et je le trouve plus complet que la plupart des autres livres que j’ai lus sur le décodage biologique ou la Médecine Nouvelle du Dr Hamer. Je suis étonné que dans votre série vous ne mentionniez pas l’importance des actes comme dans le chapitre « La leçon d’une naissance » de votre ouvrage.
Mon livre « Le cancer apprivoisé » paru en 1990 n’est pas consacré au décodage biologique mais aux ressources insoupçonnées de l’être humain et ce fut le premier livre paru en librairie à mentionner, au chapitre trois, les travaux du Dr Hamer. J’aborde dans mon livre une vision plus globale incluant, comme vous me le rappelez, les actes importants qui permettent à un être les actions, trop souvent inconscientes, qui vont favoriser le bon fonctionnement de son organisme et permettre la vie.
A l’intention des lecteurs de Néosanté, je reprends, en résumé, les différents actes que j’ai mis en évidence dans ce livre :
La respiration
Cet acte comprend l’inspire et l’expire. Il libère le sang du gaz carbonique, fournit de l’oxygène, permet de brûler une partie des graisses, active la circulation lymphatique et favorise l’élimination des toxines. Il apporte également une polarité positive à chaque cellule.
Dans la vie courante, notre organisme nous oblige à respirer à fond de temps en temps. Cela n’est toutefois pas suffisant à la bonne oxygénation du sang et à l’activation du système lymphatique.
Il y a une activité dans la respiration qui n’est pas suffisamment corrigée par notre corps (sauf dans le bâillement), c’est l’expiration totale. L’air qui se trouve dans les lobes inférieurs des poumons est si vicié qu’il est comparable à un poison.
L’alimentation
Cet acte comprend l’assimilation et l’élimination. Cet acte nous amène à concevoir une certaine autodiscipline liée au bon fonctionnement inconscient des organes les plus importants du corps. Il existe de nombreuses écoles qui proposent l’alimentation la plus appropriée pour le bon fonctionnement de notre corps et je vous laisse les découvrir dans vos lectures ou rencontres. L’alimentation apporte également une polarité négative à chaque cellule[1]. Je mentionnerais l’importance de l’élimination car pour assimiler correctement il convient d’abord de se vider les intestins. C’est dans l’intestin que se déroule l’assimilation et si des déchets subsistent, ils polluent ce que vous avez digéré.
L’hydratation
Cet acte comprend l’absorption et l’élimination. L’eau est importante car nous en sommes constitués à plus de 80 %. De plus, nous avons vécu le début de notre croissance dans l’eau. L’eau est nécessaire à toutes nos cellules et de nombreux organes de notre corps l’emploient : reins, foie, intestins, sang, rapidement saturés d’impuretés, il convient de la renouveler. Ici aussi, l’élimination est importante mais, en général, cette fonction est correcte, du moins, si nos buvons suffisamment, surtout si nous transpirons : chaleur, sport, divertissement.
Le mouvement
Cet acte comprend l’action et le repos. Il est important car il exprime la vie par les mouvements corporels, favorise les déplacements et l’activité. L’exercice physique commence dès que nous nous éveillons le matin. Faites comme le chat, étirez-vous. Ne soyez pas gêné d’accompagner cet étirement par un son, celui qui vous vient naturellement à ce moment-là. Un corps qui n’est pas activé se « rouille ». Le mouvement active le rythme de la respiration et du cœur, fait circuler la lymphe et favorise l’élimination de nombreux déchets organiques. Ensuite, il est important de vous procurer des moments de repos car cela aide à ne pas surchauffer exagérément votre corps.
La conscience
La conscience exprime la vie de l’esprit et de l’âme par l’activité mentale, imaginaire et émotionnelle, d’où la nécessité d’une écologie correcte de la pensée et des émotions. La plus grande partie de mon livre y est consacrée et la série parue dans Néosanté a démontré l’importance que j’accorde à la conscience.
Le sommeil
Le sommeil permet de récupérer l’énergie épuisée par nos activités à l’état de veille et de régénérer nos organes. Il aide également à intégrer les expériences neurosensorielles de la journée. Il y a d’autres fonctions dans le sommeil mais actuellement il n’est pas possible de les démontrer. Le degré de récupération n’est réellement efficace que selon le degré de détente qu’il permet au cerveau et à tout le corps. Si vous dormez partiellement, vous êtes partiellement reposé, partiellement régénéré. Nous avons également dans le sommeil une phase passive et une phase active. En effet, chaque nuit nous avons des micros réveils (phase active) et c’est à ces moments-là que nous créons nos rêves.
Mon livre comporte également un chapitre sur « La famille face au cancer » un autre sur « La douleur » et sur « La mort, un autre état de conscience » mais aussi sur « L’utilisation de l’imagination créatrice »
Bien que j’aie pu, au cours de toutes ces années, vérifier que chaque pathologie est exactement corrélée à un conflit dramatique imprévisible vécu en inhibition d’action, j’ai observé que tenir compte de l’importance des différents actes augmente la marge de tolérance et aide le corps dans la phase de récupération qui suit la résolution du conflit.
En résumé, dans une vision globale de l’être humain, il est important de tenir compte de tous les éléments qui le constituent et favorisent une vie harmonieuse : le corps, le mental, l’imaginaire, les sentiments, les émotions, les sensations, les activités, les créations, les relations, les divertissements, l’alimentation, l’hydratation, la respiration, le repos, le sommeil, le rêve, les rythmes, les systèmes énergétiques et l’environnement.
Léon Renard
[1] La polarité positive apportée par la respiration (pôle neurosensoriel) et la polarité négative apportée par la nourriture (pôle métabolique) va permettre l’activité du cœur. Le cœur n’est pas une pompe car c’est le sang qui, en provoquant une décharge, active le fonctionnement du cœur. Ainsi, le cœur répondrait au sang et non pas le sang au cœur. Des recherches ont démontré à l’aide de caméras, que le sang se déplace à travers les vaisseaux sanguins de l’embryon humain avant même que le cœur soit formé.
Auteur du livre « Le cancer apprivoisé – Les ressources insoupçonnées de l’être humain » (Editions Quintessence, 2004 -1ère parution 1990, éditions Vivez Soleil), Léon Renard exerce depuis 30 ans au CPE (cabinet de psychothérapie évolutive). Il est passionné par la santé globale (président de l’asbl Objectif Santé Globale), les recherches sur la conscience et son évolution à travers les règnes. Il anime, sur demande, des ateliers et des conférences en Belgique et à l’étranger qui intègrent ses nouvelles découvertes.
Ses sites web : www.alasanteglobale.com, www.selibererdespeurs.be.