Vendredi soir à 19h, j’étais en voiture et j’ai entendu à la radio qu’une vingtaine de lycéens belges avaient été pris de malaise et dû être secourus par des équipes d’ambulanciers suite à une opération de vaccination contre le papillomavirus menée dans leur école. Comme je n’avais pas retenu le nom du centre scolaire concerné et que je devais encore rouler longtemps, j’ai attendu le bulletin d’info suivant pour en savoir plus. Surprise : cet événement peu banal survenu le jour même n’était plus relaté dans le journal parlé de 20h alors que la chaîne publique sur laquelle j’étais branché a pour mission de couvrir l’actualité régionale. Intervention de la direction de la station ? Pression des autorités ? Autocensure du journaliste de service ? Il est en tout cas étrange qu’une telle affaire disparaisse si rapidement du sommaire, comme s’il s’agissait d’un incident courant et totalement dénué d’importance. Durant tout le week-end, je n’ai plus eu de nouvelles de cette mini-épidémie post-vaccinale à laquelle la presse nationale n’a même pas fait écho. Circulez, il n’y avait rien à voir !
Une banalisation outrancière
C’est seulement lundi matin que j’ai été plus amplement informé sur les faits qui se sont déroulés à l’Athénée de Morlanwelz. Non par les médias, mais par un communiqué reçu d’Initiative Citoyenne, le collectif qui (se) mobilise et ré-informe sur la question des vaccins en Belgique francophone depuis le scandale de la fausse pandémie H1N1. Je vous invite à visiter cette page de leur site car vous y trouverez à la fois un compte-rendu des événements et leur mise en perspective. Je vous suggère surtout de lire le courrier indigné qu’a envoyé Initiative Citoyenne au directeur de l’établissement d’enseignement. Ce dernier s’est en effet ingénié à minimiser et banaliser la mésaventure vécue par ses élèves. Pour lui, ce n’est que vétille et broutille puisque les victimes ont rapidement pu rentrer chez elles et qu’elles ont retrouvé la forme dès le lendemain. Il n’y a pas de quoi fouetter un chat, tout va très bien madame la marquise, et il envisage déjà de proposer la seconde dose aux rescapés ! C’est quand même dingue : 18 adolescent(e)s ont fortement réagi à l’injection et ont nécessité des soins, l’un d’entre eux a manifesté des troubles neurologiques sérieux et le dirlo du bahut est prêt à les faire piquer une deuxième fois dès que possible ! Comme le formule pertinemment le collectif, une telle inconscience ne peut s’expliquer que par une profonde ignorance parce qu’il y a, en réalité, beaucoup de raisons de s’inquiéter pour les ados. À moyen et à long terme, ceux-ci pourraient pâtir d’effets secondaires autrement plus graves qu’un simple malaise. Puisque le corps enseignant et les instances sanitaires s’enfouissent la tête dans le sable, il serait grand temps que les parents s’informent sur le vaccin anti-HPV et réalisent que ce produit ne présente, comme beaucoup d’autres, aucune garantie de sécurité.
Outils de ré-information
Pour commencer, ils pourraient fouiller le site d’Initiative Citoyenne car il constitue – je l’ai déjà souvent dit – une véritable mine d’informations et de références sur la médecine vaccinale et ses dangers cachés. C’est sur cette page et les suivantes qu’ils trouveront des centaines d’articles et de témoignages montrant que la vaccination contre le cancer du col de l’utérus est à la fois une escroquerie scientifique et une pratique d’apprenti-sorcier porteuse de risques inconsidérés. Ce scandale avait déjà été dénoncé en 2010 dans le livre « La piqûre de trop » (Éditions Xénia). Rédigé par une journaliste et un gynécologue suisses, cet ouvrage d’investigation dévoile les coulisses du développement foudroyant du vaccin HPV et révèle qu’il est le fruit juteux d’une stratégie commerciale dépourvue de toute justification médicale. Huit ans plus tard, en 2018, le clou de la vérité a été enfoncé par les cancérologues Nicole et Gérard Délépine à travers leur livre « Hystérie vaccinale »(Éditions Fauves). Consacré au vaccin Gardasil (l’un des deux produits, avec le Cervarix, administrés aux jeunes filles et maintenant aussi aux garçons), cet essai vaut son pesant de seringues car il expose le « paradoxe » de ce vaccin : plus on l’injecte, plus le nombre de cancers utérins a tendance à augmenter chez les populations vaccinées ! On nous rabâche le contraire mais il faut savoir que l’argument de vente anticancéreux est basé sur des modèles informatiques foireux et non sur les statistiques réelles. En Suède, notamment, ils ont déjà amèrement constaté que la promesse n’était pas tenue et que les femmes prétendument « protégées » étaient plus nombreuses à déclarer un cancer du col. « Hystérie vaccinale » est à mes yeux un antidote précieux à la propagande des fabricants et de leurs relais politiques et médiatiques.
Autres lectures utiles
Plus récent encore – il date de 2021 – le livre « Les vaccins contre les cancers » (Éditions Chariot d’Or) est également une lecture à conseiller aux parents soucieux de leurs enfants. Pour ce 8ème volet de sa longue enquête scientifique, le Dr Michel de Lorgeril a épluché les études sur le sujet et son diagnostic est accablant : non seulement il n’est pas prouvé que le vaccin anti-HPV prémunit des tumeurs cervicales utérines mais il y a tout lieu de penser que sa balance bénéfice/risque est négative. En examinant des travaux favorables aux cocktails vaccinaux, le chercheur émérite a trouvé que leurs conclusions étaient faussement rassurantes et que leurs résultats indiquaient au contraire un risque accru de troubles neurologiques (tiens, tiens…) et de maladies auto-immunes, notamment de maladie de Crohn et de rectocolite hémorragique. Si même la frauduleuse« science des vaccins » (liée aux labos ou produite par eux) ne parvient pas à dissimuler les dégâts, on peut être sûr qu’ils sont là et que leur ampleur est grandement sous-estimée. Et comment en serait-il autrement, puisque les essais cliniques sont manipulés afin de masquer les effets secondaires ? Le Dr de Lorgeril vient de préfacer un autre livre dont Néosanté interviewe l’auteur dans son numéro de décembre. Ce bouquin porte un titre provoquant (« Antivax toi-même ! ») mais il est instructif en diable et il contient un chapitre racontant justement comment les tests des vaccins anti-HPV ont été truqués pour maquiller leur nocivité. Dans ce même Néosanté de décembre, nous allons publier des extraits d’un autre ouvrage explosif qui pulvérise le mythe de la sécurité des vaccins. Cette bombe de papier ne parle pas des vaccins « papilloma » mais elle décrit en détail comment l’industrie a falsifié tous les essais sur les vaccins infantiles inscrits au calendrier. Si Big Pharma n’a aucune empathie pour les gosses, on ne voit pas pourquoi il en aurait pour les ados ! Le pire, c’est que la santé des jeunes gens est sacrifiée sur l’autel de la religion pasteurienne et que celle-ci se méprend à nouveau sur le rôle des virus erronément qualifiés d’« oncogènes ». Dans son livre « Vaccins, mensonges et propagande » (Éditions Thierry Souccar) paru en 2009, la regrettée Sylvie Simon consacrait déjà quelques pages à cette fausse croyance et elle donnait une info à mon sens essentielle : dès 1992, d’éminents biologistes moléculaires ont estimé que les carcinogènes connus (tabac, pollution, malbouffe..) étaient sans doute les vrais responsables de la cancérisation du col utérin et non le HPV. « Étant donné que les cellules cancéreuses sont plus menacées par des infections que les cellules normales, les virus seraient les indicateurs des proliférations anormales plutôt que leurs causes », a notamment déclaré Peter Duesberg, spécialiste mondial dans le domaine de la virologie oncologique. Trente ans plus tard, force est de déplorer que les paroles de ce grand scientifique sont restées lettre morte. Il est vrai que les poules aux œufs d’or Gardasil et Cervarix étaient déjà en voie d’exploitation et qu’arrêter le train de fou de cette vaccination insensée eût été un exploit. Le profit a ses raisons que la raison ignore.
Yves Rasir
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Offre de la semaine
Dans son numéro 86 de février 2019, le mensuel Néosanté a interviewé les Dr Nicole et Gérard Delépine à l’occasion de la parution de leur ouvrage « Hystérie vaccinale ». Voilà déjà un bon moyen peu onéreux d’apprendre la vérité sur la vaccination anti-HPV et ses dangers. Cette semaine, vous pouvez acheter ce numéro 86 à moitié prix en version papier ou numérique. Cela se passe en catégorie « Promotion » de la boutique.