Informations importantes pour protéger votre famille contre la fraude pharmaceutique
Un rapport spécial mis au service de VacTruth.com et ThinkTwice.com
Par Neil Z. Miller
Cela fait maintenant plus de 25 ans que je mène des enquêtes sur les vaccins. C’est à la naissance de mon fils que cette thématique est devenue importante à mes yeux. J’ai alors commencé à me documenter dans des revues médicales et scientifiques.
Les données statistiques étaient interpellantes. Il a été prouvé que les vaccins sont souvent dangereux et inefficaces. En fait, il s’avère que certains vaccins sont la cause de nouvelles maladies. J’étais encore plus choqué d’apprendre que certains individus haut placés au sein de la profession médicale, dont les membres de l’Association Médicale Américaine (AMA), de l’Académie Américaine en Pédiatrie (AAP), de l’Agence Américaine des Produits Alimentaires et Médicamenteux (FDA), des Centres pour le Contrôle et la Prévention des Maladies (CDC) et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), sont bien informés des manquements des vaccins en termes de sécurité et de protection, mais il semble qu’il existe un accord implicite pour obscurcir les faits, altérer la vérité et tromper le public. Les fabricants de vaccins, les fonctionnaires de la santé, les médecins, les personnes responsables des études importantes, les principaux éditeurs de revues médicales, le personnel d’hôpital et les coroners (NDT: les fonctionnaires chargés d’enquêter sur les circonstances d’un décès obscur et d’en déterminer la cause) sont de mèche pour minimiser les défaillances des vaccins, en exagérer les avantages et détourner l’attention de toute publicité négative qui pourrait effrayer des parents inquiets ou bien menacer les programmes de vaccinations ou bien réduire les taux de vaccination.
Au cours de mes recherches, je suis tombé sur tout un pan de monde caché dans le milieu de la production vaccinale, ainsi que sur une corruption ancrée au sein de l’industrie. Par exemple, la plupart des gens ne sont pas informés sur la manière dont les vaccins sont mis au point ou sur ce qu’ils contiennent. Formaldéhyde, aluminium, Thimérosal – oui, certains vaccins contiennent encore ce dangereux dérivé du mercure – sont quelques-uns des ingrédients utilisés pour mettre au point des vaccins. De plus, les vaccins oraux contre la polio sont incubés dans des reins de singes, le vaccin contre la varicelle se prépare dans des “cultures de cellules pulmonaires embryonnaires humaines” et le nouveau vaccin contre le virus du papillome humain comprend des particules de virus sexuellement transmissible qui sont aujourd’hui injectées à une génération complète de jeunes filles chastes.
Mon objectif principal, à l’heure actuelle, dans la poursuite de mes recherches sur les vaccins, est de fournir aux familles des preuves de la défectuosité des vaccins en matière de sécurité et d’efficacité – le genre d’information qu’il est peu probable qu’elles entendent de la part de leur médecin de famille – de manière à ce qu’elles puissent prendre des décisions en connaissance de cause. Les efforts du Congrès pour amorcer des changements positifs au sein de l’industrie du vaccin ont échoué. Par conséquent, les parents sont le dernier rempart pour la protection de leurs enfants. Je m’oppose aux “preuves” factices des bénéfices vaccinaux (et cela incluant les recherches financées par les personnes impliquées dans l’industrie vaccinale), les mandats de santé (inoculation forcée contre les maladies) et d’autres manoeuvres coercitives pour intimider les parents hésitants à vacciner leurs enfants contre leur volonté. Bien que des générations d’enfants soient soumis au “progrès” médical, l’autisme et les autres désordres du développement ne sont pas des rites de passage de l’enfance.
Je me suis documenté sur les recherches en matière de vaccins et sur les articles écrits sur le sujet dans le monde entier. Il y a des preuves massives des dangers des vaccins. Je n’ai jamais essayé de confirmer l’avis général en ce qui concerne la sûreté et l’efficacité vaccinale. Je mène mes recherches en vue de contrer le dogme conventionnel. Les informations que j’ai découvertes ne vont pas dans le sens de l’affirmation maintes fois entendue que les bénéfices des vaccins pèsent plus lourd dans la balance que les risques encourus. Si vous souhaitez consulter de la documentation sur les bénéfices des vaccins plutôt que sur leurs risques, vous trouverez une myriade de sites internet “officiels” à visiter (vous entendrez également le même discours auprès de votre médecin). J’encourage ce type de comportement. Bien entendu, les sites web officiels sur les vaccins sont généralement soutenus financièrement par les firmes fabriquant les vaccins et les organisations de santé allopathique comme la FDA, la CDC ou l’OMS, institutions mandatées de promouvoir les vaccins et de vacciner le plus de gens possible.
Science versus science-fiction
De nombreuses études “scientifiques” ne tiennent pas debout. Ceci n’est pas une théorie conspirationniste. Par exemple, le Journal de l’Association Américaine Médicale (JAMA) a récemment publié un article établissant qu’un tiers des études en recherche clinique très fréquemment citées s’avèrent avoir été finalement contredites par des études ultérieures1. Les effets bénéfiques supposés n’existaient tout simplement pas ou avaient été exagérés.
Plos Medicine (NDT: revue médicale d’accès libre) a récemment publié un article intitulé “Pourquoi la plupart des conclusions de recherches sont fausses”. L’auteur de l’étude, le Docteur John Ioannidis, est un chercheur scientifique internationnalement estimé, épidémiologiste et Professeur en Médecine à l’Université de Stanford. Il tirait les conclusions suivantes dans son article: “il est plus probable que la thèse d’une étude soit fausse plutôt que vraie2”. En fait, 80% des études menées de manière non aléatoire se sont avérées fausses, tout comme 25% des tests étalon-or supposément menés aléatoirement. “A chaque étape du processus, il est possible de dénaturer les résultats obtenus, de renforcer une thèse ou de sélectionner une partie des informations pour ce qui sera conclu dans l’étude” souligne Ioannidis3. De ce fait, les études sur les vaccins doivent être regardées de très près, sans quoi il se pourrait que des informations importantes mettant en jeu leur validité ne soient pas prises en compte.
Dans plusieurs cas, les résulats d’études sont commandités. En guise d’illustration, quand le lien entre autisme et vaccin est devenu d’intérêt public, les partisans des vaccins se sont engagés à commanditer des études paraissant authentiques qui contredisaient les données réelles obtenues. Je me souviens lorsque l’industrie du tabac a utilisé le même stratagème. Elle a financé bon nombre de fausses études prouvant ostensiblement que les cigarettes ne causaient pas le cancer. L’étude non biaisée se perdit alors dans la pagaille. Il est triste de constater qu’il est bien trop facile de jeter le flou sur la vérité et de tromper le public.
A la tristement célèbre conférence Simpsonwood tenue à Norcross en Georgie en juin 2000, les experts savaient que le Thimérosal (mercure) présent dans les vaccins était nuisible à la santé des enfants. Les preuves étaient irréfutables, c’était là même la raison d’organiser cette rencontre. (Le Docteur Tom Verstraeten, un épidémiologiste de la CDC dont les recherches étaient l’objet de la conférence, a analysé l’énorme base de données de la Vaccine Safety Datalink (NDT: projet instauré en 1990 pour étudier les effets secondaires négatifs des vaccins) qui contient des milliers de données médicales archivées sur les enfants vaccinés. Il a déclaré: “nous avons fait le lien statistiquement entre l’exposition (au mercure des vaccins) et des conséquences néfastes en termes de santé. A deux mois, on observe un retard dans le développement de l’enfant, à 3 mois, des tics, à 6 mois un trouble du déficit de l’attention. Avec des expositions à 1, 3 et 6 mois, le développement du langage et de la parole sont retardés, tout comme l’ensemble du développement neurologique)4.”
Au lieu de rendre cette information primordiale publique, les autorités ont plutôt fait germer des études additionnelles qui niaient un tel lien. Alors, les partisans des vaccins ont eu l’audace de déclarer dans des articles ultérieurs que le mercure dans les vaccins non seulement n’était pas dommageable pour les enfants mais qu’en plus, il leur était même bénéfique. Pour la communauté défendant les vaccins, dans ce drôle de monde qui tourne à l’envers, la neurotoxiticté bien connue du mercure arrivait à rendre les enfants plus intelligents et plus fonctionnels, augmentant leur développement cognitif et leur capacité motrice5. Bien sûr, c’est absurde. De nombreuses études valides confirment l’effet destructeur du mercure sur le développement du cerveau et sur le comportement.
Les conclusions des études contredisent souvent le coeur des données de l’étude-même. Je suis toujours étonné lorsque je lis le résumé d’un article majeur prônant à tout va les bénéfices ou l’inocuité apparente d’un vaccin alors qu’en examinant d’un peu plus près l’article en question, qui inclut des détails importants, le vaccin s’avère dangereux et son efficacité douteuse. Par exemple, une vaste étude a analysé l’inocuité des vaccins contenant du thimérosal et a constaté des effets secondaires dangereux: “l’administration répétée à 3 mois donne lieu à l’émergence de tics”. De plus, il y avait une “augmentation des risques d’un retard dans le langage” pour une administration répétée à 3 mois et à 7 mois. Pourtant, l’article concluait qu’”aucune preuve consistante n’avait été trouvée entre les vaccins de ce type et des conséquences sur le développement neurologique6”.
Dans une autre étude en vue publiée dans le JAMA Pediatrics en janvier 2013, des chercheurs ont comparé la santé d’enfants ayant bénéficié de la panoplie vaccinale avec des enfants dont les parents avaient choisi de limiter la vaccination. (Ces parents-là s’étaient documenté sur les vaccins et avaient décidé de ne pas adhérer au carnet de vaccination officiellement recommandé). Les enfants qui avaient été peu vaccinés avaient “des taux moindres de consultations en tant que patient externe ou de consultations en urgence”. Et l’article de conclure qu’”il s’avère que les enfants peu vaccinés recourent aux services de soin d’une manière différente7”. Tristement, les médias de masse divulguent rarement des informations qui vont à l’encontre du programme des sacro-saints vaccins. Les histoires que l’on trouve dans les journaux sur les vaccins et les articles sur les études vaccinales qui y sont publiés reprennent simplement les conclusions fallacieuses ou trompeuses des conclusions.
Un autre stratagème utilisé par les partisans du vaccin est de comparer des populations de personnes vaccinées avec d’autres populations vaccinées. Des études honnêtes compareraient des échantillons de personnes vaccinées avec une partie de la population n’ayant pas été vaccinée. Par exemple, les études sur l’inocuité clinique du vaccin contre le pneumocoque avaient comparé les réactions néfastes d’un groupe d’enfants ayant reçu les nouvelles injections avec un groupe de contrôle ayant reçu le vaccin méningocoque et une injection DTP (diphtérie, tétanos et poliomyélite)8. Cela laissait à penser que les risques étaient comparables. Le groupe qui avait reçu le nouveau vaccin n’a jamais été comparé à un groupe d’enfants non-vaccinés.
On administre rarement un vrai placebo, substance qui devrait être sans risque, à un groupe de contrôle. La méthode scientifique a toujours été d’écarter les faits déconcertants. Pourtant, de nombreuses études vaccinales ne se conforment pas à intégrer l’étude avec placebo, élément primordial d’une recherche valide. Il s’agit là d’un concept très important à saisir. Par exemple, lorsque le vaccin contre le virus du papillome humain a été étudié pour ses effets sur la santé, un groupe d’adolescentes s’est vu injecté le nouveau vaccin (qui est fabriqué avec de l’aluminium en tant qu’adjuvant pour stimuler les anticorps) alors que le groupe de “contrôle” a reçu une injection d’aluminium également (plutôt qu’une substance inoffensive)9.
Quand un nouveau vaccin rotavirus a été testé, le groupe de “contrôle” a reçu un placebo qui “avait les mêmes constituants que le vaccin actif mais sans le virus du vaccin”. Par conséquent, le groupe de contrôle a reçu une solution contenant du nitrate ferrique, du sulfate de magnésium, du phénol rouge et 10 autres substances chimiques – tout ce qui se trouvait dans le vaccin encore en test à l’exception du rotavirus10. Quand les nouveaux vaccins sont comparés à d’autres vaccins ou à des placebos qui ne sont pas sans danger, le taux de réactions néfastes dans le groupe de contrôle sera artificiellement haut, faisant paraître le nouveau vaccin comme plus sûr qu’il ne l’est réellement. Quand ces tactiques trompeuses sont appliquées, le fabricant peut alors déclarer que son nouveau vaccin a un profile dont la sûreté est non inférieure aux vaccins précédemment validés.
Des études cliniques habituées à aller dans le sens des vaccins excluent une certaine partie de la population, comme les personnes trop jeunes, trop vieilles, les femmes enceintes, les malades ou les personnes présentant d’autres affections. Pourtant, une fois le vaccin mis en circulation, il peut très bien être recommandé aux personnes de ces groupes. Comme c’est le cas avec les faux placebos, cette pratique qui va à l’encontre de l’éthique, fait pencher la balance en faveur d’une apparente inocuité vaccinale et fait courir plus de risques de réactions néfastes aux personnes. Par exemple, la revue américaine New England Journal of Medicine a publié une vaste étude qui se penchait sur les risques d’administrer les vaccins contenant du thimérosal aux enfants. Pourtant, cette étude excluait les enfants dont le poids à la naissance était inférieur à 2,5 kilos5 – même si le risque était plus grand pour les nouveaux nés dont le poids est faible à la naissance de subir une réaction à ce genre de vaccins et même si cette catégorie d’enfants s’est vu administrer le vaccin! (Les vaccins ne sont pas ajustés en fonction du poids de l’enfant. Aujourd’hui, un nouveau né de 2,73 kilos reçoit la même dose de vaccin contre l’hépatite B, avec la même proportion d’aluminium et de formaldéhyde, qu’un enfant de 5,45 kilos.)
Dans une autre étude, 73% des enfants qui ont été hospitalisés après avoir été infectés par la varicelle étaient en bonne santé avant de contracter la maladie; seulement 27% avaient des problèmes de santé antécédents. (Une petite proportion des enfants qui contractent la varicelle traversent des complications. Beaucoup d’entre eux ont des problèmes de santé pré-existants, tels que le SIDA, la leucémie ou le cancer. Pourtant, il est plus facile de convaincre les parents de vacciner leurs enfants contre une maladie relativement bénigne telle que la varicelle – et de justifier l’obligation de cette injection pour tous les enfants – si un pourcentage plus important de ceux qui présentent des complications de la varicelle sont en bonne santé, plutôt qu’en mauvaise santé, avant le commencement de la maladie. Et cela parce qu’il est effrayant d’imaginer qu’un enfant pourrait être dévasté par une maladie commune. Ainsi, après la validation du vaccin contre la varicelle, plusieurs articles ont déclaré que de telles complications arrivent “de manière prédominante” chez des enfants qui vraisemblablement ne présenteraient pas de complications.) Pourtant, il était facile de ne pas remarquer une information en parcourant en diagonale l’étude: elle excluait les patients en oncologie! En d’autres termes, cette “étude” ne tenait pas compte des enfants en mauvaise santé (atteints du cancer), et déclarait que les complications sérieuses se présentaient principalement pour des enfants, garçons et filles, en bonne santé11.
Les études vaccinales peuvent être commanditées par les compagnies pharmaceutiques qui ont un intérêt financier par rapport aux résultats. Les auteurs conduisant les études cruciales, qui sont utilisées pour valider l’inocuité ou l’efficacité d’un vaccin, dépendent souvent d’une manière ou d’une autre de l’industrie vaccinale. Elle peut posséder des actions dans la compagnie ou bien rémunérer des personnes impliquées pour parcourir le pays et promouvoir les vaccins. Des chercheurs peuvent toucher des frais généraux, des bourses ou d’autres bénéfices. Par exemple, la grande compagnie pharmaceutique qui fabrique le vaccin destiné à prévenir le zona (Merck) surveillait l’avancement d’une étude primaire qui allait servir à donner une licence à ce vaccin. De plus, certains de ces auteurs touchent des frais généraux, des frais de conférences et des honoraires de la part de Merck. Certains sont soutenus par une bourse ou possèdent des actions dans la compagnie alors qu’ils travaillent sur une étude, ou qu’ils ont des “intérêts partiels dans les brevets en cause”12.
Plusieurs auteurs de cette étude clinique sur l’efficacité du vaccin contre le papillomavirus – la FDA se base sur cette étude pour déterminer si le vaccin devrait être autorisé ou non – étaient soit d’anciens employés du fabricant du vaccin contre le papillomavirus, soit encore sous contrat avec la firme. Plusieurs des auteurs possédaient des parts ou des actions dans cette compagnie13. Certains ont reçu des frais de consultation de cette compagnie ou faisaient partie de conseils consultatifs13. Ces pratiques vont à l’encontre de l’éthique et compromettent l’intégrité de l’étude. Quand des études vaccinales sont menacées par des conflits d’intérêt, des générations – et la société elle-même – sont mises en danger.
Risques vaccinaux, effets indésirables et mort
Bien que la plupart des études soient de la propagande, faisant partie d’une campagne plus vaste de désinformation pour promouvoir les programmes vaccinaux, d’autres études font le lien entre les maladies mortelles ou potentiellement invalidantes. Par exemple, le British Medical Journal et Autoimmunity (NDT: deux revues médicales) ont publié des données qui lient le vaccin Haemophilus Influenzae type B (Hib) à une augmentation du taux de diabètes de type 114,15. Le lien a été fait entre le vaccin contre l’hépatite B et des troubles neurologiques et immunitaires, y compris avec la sclérose en plaques16 – 18. Le syndrome de Guillain-Barré (une maladie paralysante grave) est une conséquence indésirable bien connue du vaccin contre la grippe. Il s’agit là d’une partie de nombreuses corrélations documentées scientifiquement entre les vaccins et les maladies invalidantes.
Le taux d’effets indésirables des vaccins a atteint un niveau inacceptable. Par exemple, selon la FDA, le FluMist (le vaccin actif nasal en spray injecté dans le nez) peut causer “une respiration poussive d’un point de vue médical” et la pneumonie. Au cours d’études cliniques étudiant les brevets des vaccins, 3 pour cent des enfants entre 6 mois et un an qui ont reçu le vaccin se sont retrouvés à l’hôpital avec des problèmes respiratoires! Avant l’approbation de ce vaccin, une vaste étude menée dans 31 cliniques a montré qu’il causait “une augmentation statistiquement importante dans l’asthme et les maladies respiratoires réactives” chez les enfants en dessous de 5 ans. Pourtant, la FDA a autorisé le vaccin auprès des enfants âgés seulement de 2 ans19.
Avec certains vaccins, le nombre de personnes qui font des réactions systémiques (fièvre, maux de tête, infections respiratoires, douleurs musculaires, nausée, douleurs abdominales, diarrhée, frissons ou fatigue) est très élevé. Par exemple, plus de 14% des enfants vomiront suite à leur première injection contre le pneumocoque8. Pas moins de 62% des personnes âgées de 18 à 55 ans ayant reçu le vaccin contre la méningite feront des réactions systémiques20. (Les réactions systémiques communes sont différenciées des réactions sévères ou fatales, incluant les troubles neurologiques, immunologiques et paralytiques (syndrôme de Guillain-Barré, maladies démyélinisantes, arthrite, choc anaphylaptique et autres états mettant la vie des personnes en danger). Les médecins considèrent la plupart des réactions systémiques comme “normales”.
Certains vaccins engendre l’encéphalite (inflammation du cerveau) et d’autres troubles du système nerveux. Les dommages causés par les vaccins peuvent être cachés sous différents noms: pour en nommer quelques-uns: inaptitude à l’apprentissage, déficit de l’attention, hyperactivité, épilepsie, retard mental. Des études démontrent qu’une proportion disproportionnée de crimes violents est commise par des individus présentant des troubles neurologiques. La préoccupation selon laquelle la montée de l’activité criminelle et d’autres comportements pathologiques (comme les fusillades dans les écoles) puisse être liée à la vaccination est croissante.
De nombreux parents ignorent que des effets indésirables sont possibles et ne sont donc pas alertés quant aux signes neurologiques ou aux autres symptômes se présentant chez leurs bébés après leurs vaccinations. Pourtant, Pediatrics a publié une étude dans laquelle on avait demandé spécifiquement aux parents d’être attentifs à tout changement dans le comportement ou la condition physique de leur bébé après une injection; seulement 7 % n’ont pas signalé de réactions21.
Les vaccins peuvent être la cause de graves réactions, la mort étant l’une de celles-là, et pourtant restent distribués sur le marché. Bien que la FDA ait demandé le retrait de jouets défectueux ou de certains aliments canins du commerce, une fois qu’un vaccin est autorisé, il est rarement soumis à une révision. (Le nouveau vaccin contre la diarrhée, le Rotarix, est une exception; il a récemment été retiré du marché après que 35 millions de bébés aient reçu des doses contaminées avec des virus porcins). Le vaccin contre le papillomavirus est un exemple parlant sur ce point. En mars 2013, moins de trois années après que le Gardasil ait été autorisé aux Etats-Unis, plus de 26,000 rapports notifiant des effets indésirables avaient été remplis auprès du gouvernement fédéral. Dans les cas soumis à la FDA, beaucoup des personnes qui avaient reçu le vaccin avaient été touchées par des incapacités graves (syndrôme de Guillain-Barré, paralysies, pertes de conscience, crises d’épilepsie, convulsions, gonflements de diverses parties du corps, douleur dans la poitrine, irrégularité du rythme cardiaque, insuffisance rénale, perturbations du champ de vision, arthrite, difficultés respiratoires, rougeurs invalidantes, vomissements persistants, fausses-couches, irrégularités dans le cycle menstruel, complications du cycle reproducteur, verrues génitales, lésions vaginales et infection du papillomavirus – la raison même pour laquelle les personnes se faisaient vacciner). Plus de 10 000 adolescentes et jeunes femmes ont été admises d’urgence à l’hôpital pour des affections débilitantes après avoir reçu des injections HPV; au moins 120 jeunes femmes ont trouvé la mort après avoir reçu de telles injections22. Malgré ces signes alarmants, le vaccin n’a pas été retiré du marché.
Incapacité et mort – taxe sur les vaccins
Le gouvernement fédéral sait que les vaccins peuvent handicaper de façon permanente ou tuer votre bébé. En fait, le Congrès a mis au point une taxe “incapacité et mort” sur les vaccins de l’enfance. Quand les parents règlent la consultation médicale pour les injections demandées, une partie de cet argent est placée dans un fond spécial qui sert à indémniser les parents lorsque les enfants connaissent des effets secondaires ou décèdent des suites du vaccin. En mars 2013, plus de 2,5 milliards de dollars ont été alloués pour des milliers de dommages ou morts causés par des vaccins mis en circulation. De nombreux cas sont encore en attente de jugement. Ces décisions ont été prises pour des dommages permanents (problèmes d’apprentissage, troubles épileptiques, retard mental, paralysie et morts, dont de nombreux cas avaient été initialement et erronément classés comme des cas de mort subite du nourrisson)23.
Le gouvernement fédéral détient une base de données de cas suspects de mort ou de dommages ayant un lien avec les vaccins dont il fait peu la publicité et maintient essentiellement secret. Cette base de données est connue sous le nom de VAERS – Vaccine Adverse Event Reporting System américain. Le public reste majoritairement désinformé sur le réel nombre de personnes qui ont subi des complications ou trouvé la mort après l’inoculation d’un ou de plusieurs vaccin(s). Au mois de mars 2013, plus de 350 000 rapports avaient été complétés. En fait, chaque année, plus de 25 000 cas d’effets indésirables sont remplis auprès du gouvernement fédéral. Au cours des années 2010 et 2011 seulement, plus de 56 000 rapports ont été ajoutés à la base de données. Ces chiffres comprennent les hospitalisations d’urgence, les dommages irréversibles et les morts. Et encore, il se pourrait que ces chiffrent soient largement sous-déclarés car la FDA estime que 90% des médecins ne rendent pas compte des réactions. Une étude confidentielle conduite par les laboratoires Connaught, une firme qui fabrique des vaccins, démontre qu’il est fort probable que la sous-estimation soit de l’ordre des 50%24. Pourtant, il se peut que même ce chiffre soit prudent. Selon le Docteur David Kessler, un ancien membre de la commission FDA, “seul 1% des réactions indésirables est rapporté25”. En d’autres termes, pour avoir une idée plus précise des chiffres réels, il est bon de multiplier les taux reportés par 100.
Les coûts personnels et sociétaux des dégâts vaccinaux
Au cours des nombreuses années où j’ai mené des recherches sur les vaccins, de nombreuses personnes, majoritairement des parents, m’ont écrit pour me signaler dans quelle mesure leurs enfants avaient été affecté par l’inoculation d’un ou plusieurs vaccin(s). Ils se sentaient le devoir de partager leurs histoires avec quiconque leur prêterait une oreille attentive, souvent pour avertir d’autres personnes des issues terribles possibles. Quand on écoute les victimes de vaccinations raconter leurs histoires, on partage leur douleur. Cela permet de cultiver une certaine empathie et nous aide à comprendre le coût des dégâts causés par les vaccins, tant au niveau individuel qu’au niveau de la société. Il est clair que l’enfant en cause n’est pas la seule victime; les parents sont sous le choc lorsqu’ils découvrent que leur enfant a été gravement affecté par un ou plusieurs vaccin(s). Des familles sont souvent détruites par la responsabilité émotionnelle accablante de la prise en charge d’un enfant à qui un vaccin a fait du tort. Le fardeau peut aussi être d’ordre financier. Il faut bien que quelqu’un paie les factures médicales et les traitements nécessaires à maintenir, ou tout au moins maintenir l’illusion d’une amélioration de la santé et du bien-être de l’enfant précieux que ces parents se sont vus confiés. Ceux-ci peuvent aussi éprouver de la colère contre les coupables, de la culpabilité pour avoir accepté les vaccinations et de la tristesse ou du chagrin pour l’enfant dont la santé sera pour toujours affectée par cette décision, d’une manière ou d’une autre. Les infirmités et les dégâts sur le système immunitaire sont difficilement réversibles. Souvent, parents et enfants sont affligés à vie.
Les relations entre époux s’effritent grandement quand un enfant a été affecté par un vaccin. Certains mariages ne peuvent pas résister à la pression. Les grands-parents ont aussi du chagrin, tant pour leur petit-fils ou petite-fille que pour leur fils ou leurs fille dont l’exigence de la vie de famille a été modifiée. Par exemple, les enfants autistes recquièrent des soins constants. Sortir dîner dans un restaurant ou voir un film au cinéma devient difficile, voire impossible à organiser. Etant donné les besoins spéciaux du frère ou de la soeur en difficulté, les frères et soeurs au sein de ces familles reçoivent moins d’attention et les parents ont moins de temps pour s’occuper d’eux. Tout le monde est touché, à un degré ou à un autre.
Il y a aussi un prix collectif à payer. Beaucoup de ces enfants affectés par les vaccins ne deviendront jamais des adultes indépendants et ne pourront pas contribuer à la société d’une façon significative. Comme leur dons créatifs originels ont été court-circuités, c’est toute une partie d’une réserve de matière grise qui est gâchée. Bien sûr, plusieurs des enfants ayant été affectés par les vaccins vont contribuer d’une manière merveilleuse à la société, et ils donnent un aperçu au reste de l’humanité des nombreuses bonnes raisons d’ouvrir son coeur, tout en nous permettant d’améliorer notre compréhension du dilemne du vaccin qui se trouve face à nous, individuellement et collectivement.
Les vaccins sont des drogues
Il est nécessaire que les parents comprennent que les vaccins sont des drogues. Chacun contient un mélange breveté de substances chimiques, des agents pathogènes et des corps étrangers. C’est la nature même du vaccin. Aujourd’hui aux Etats-Unis, on injecte un vaccin aux enfants à leur naissance, 8 à l’âge de 2 mois, 8 à 4 mois , 9 à 6 mois et 12 vaccins additionnels entre 12 et 18 mois. Avant que le nouveau né, pur et innocent, atteigne l’âge d’un an et demi, il se voit injecter 38 drogues vaccinales. (Le vaccin contre la diphtérie ainsi que le vaccin rougeole-oreillons-rubéole se font en une seule injection mais contiennent chacun 3 vaccins. Si vous déversez trois verres distincts de whisky, de gin et de rhum dans un seul contenant, vous ingérez toujours 3 boissons alcoolisées avec tous les effets que cela comporte.) Imaginez-vous l’effet de l’ingestion de 8 ou 9 drogues en une seule prise. Et bien, c’est ce qui arrive aux nouveaux-nés. En fait, ces bébés n’ingèrent pas vraiment ces drogues, elles leur sont directement injectées au coeur de leurs petits corps. Quand avez-vous pris 8 drogues pour la dernière fois et cela, tout en même temps? Seriez-vous plus surpris par le fait d’avoir ou de ne pas avoir de réaction sévère après une telle injection?
Certains nouveaux-nés se voient injecter plus de 8 à 9 vaccins en une fois. Etant donné que le calendrier vaccinal est variable et flexible pour certaines injections, il est admis que les bébés reçoivent jusqu’à 13 vaccins-drogues au cours de leur visite auprès d’un médecin quand ils sont âgés de 12 ou 15 mois! (Les vaccins recommandés à ces âges comprennent le vaccin contre la diphtérie, l’hépatite B, la méningite, le pneumocoque, la polio, la grippe, la rougeole-oreillons-rubéole, la varicelle et l’hépatite A). Pas moins de 7 vaccins (diphtérie, hépatite B, polio, grippe et hépatite A) peuvent être administrés aux enfants de 18 mois. Le calendrier vaccinal est similaire au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Royaume-Uni et dans la plupart des pays d’Europe.
Les vaccins et le taux de mortalité infantile
Les Etats-Unis est le pays le plus vacciné au monde, et pourtant son taux de mortalité infantile présente des scores médiocres. On pourrait penser qu’un pays où le taux d’inoculation en vaccins, promus comme des substances permettant de sauver des vies, est haut, aurait un taux très peu élevé de mort infantile. Pourtant, les Etats-Unis présentent l’un des pires taux de mortalité infantile des pays industrialisés. En fait, alors que de nouveaux vaccins ont été ajoutés au calendrier vaccinal au fil du temps, le taux de mortalité infantile a augmenté. Par exemple, en 1960 (avant les vaccinations massives qui ont eu lieu), les Etats-Unis avaient un des taux les plus faibles au monde. En 1998, cette nation très fervente des vaccins était reléguée à la 45ème place, un score pire que Cuba et classé juste avant la Croatie26.
Plus récemment, j’ai mené et co-écrit deux importantes études sur les vaccins avec le Docteur Gary Goldman, qui ont été publiées dans Human and Experimental Toxicology, une revue prestigieuse spécialisée indexée par le National Library of Medecine. Dans notre première étude (url en lien: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3170075/), nous avons fait le lien statistique entre les calendriers vaccinaux internationaux et les taux de mortalité infantile: les pays qui recommandent le plus de vaccins pour leurs nouveaux-nés ont tendance à présenter des taux de mortalité infantile plus élevé27. Par exemple, les Etats-Unis recommandent 26 vaccins (le chiffre le plus élevé de par le monde) et finalement, 6 enfants meurent pour 1000 naissances. En contraste, la Suède et le Japon administrent 12 vaccins aux enfants, le taux le plus faible, et leur taux est de 3 morts pour 1000 naissances. Nous avons aussi trouvé une explication biologiquement plausible pour cette corrélation contre-intuitive: la probable toxicité synergique due à une sur-vaccination et le classement érroné de morts infantiles dans la catégorie de la mort subite du nourrisson, ainsi que d’autres causes n’ayant pas de rapport avec les vaccins. Cette étude soulève une question primordiale: pourrait-on réduire les chiffres de mort infantile en administrant moins de vaccins aux enfants?
Dans notre seconde étude (url en lien:http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3547435/), nous avons établi des corrélations importantes entre le nombre de doses d’injections vaccinales administrées aux enfants et les taux d’hospitalisation et de mort infantile: les bébés recevant le plus de vaccins ont plus de chances de se faire hospitaliser ou de mourir28. En plus, les enfants les plus jeunes couraient plus de risques d’être hospitalisés ou de mourir après les injections que des enfants plus âgés. Alors que chaque vaccin d’enfant a été soumis individuellement à des tests cliniques pour en déterminer l’inocuité, des études n’ont pas été conduites pour déterminer l’inocuité (ou l’efficacité) de la combinaison de plusieurs vaccins au cours d’une visite chez le médecin comme recommandé par le CDC (Centre pour le Contrôle et la Prévention des Maladies). Administrer 6,7 ou 8 injections vaccinales à un enfant au cours d’une seule visite chez le médecin est sans doute plus pratique pour les parents – ils ne doivent pas faire plusieurs trajets jusqu’au cabinet médical – mais les preuves d’un lien entre les réactions indésirables sur les enfants et le nombre de doses administrées confirme que l’inocuité vaccinale doit rester la première priorité.
Evaluer les risques
Le choix de ne pas faire vacciner fait encourir des risques. Votre enfant pourrait contracter une maladie pour laquelle il existe un vaccin. Votre enfant pourrait aussi subir des complications de cette maladie, complications qui pourraient être handicapantes ou qui pourraient mettre sa vie en danger. Bien sûr, beaucoup de gens tombent malades et se rétablissent. Il existe des preuves selon lesquelles lorsque les enfants sont jeunes et qu’ils sont exposés aux maladies dans leur environnement naturel, et puis s’en remettent, le système immunitaire s’en trouve stimulé et renforcé. Quand la maladie frappe, l’intelligence naturelle du corps prend le relais et monte au créneau; le corps trouve généralement en lui les ressources nécessaires et gagne le combat. Traverser ces batailles contre les maladies est un processus nécessaire et adapté car il améliore la mémoire et la capacité du système immunitaire. Celui-ci peut par la suite être plus réactif face aux agressions extérieures et y faire face avant qu’aucun mal n’ait eu le temps d’être fait. Bénéfiquement, il peut en résulter une meilleure santé dans la vie future. Par exemple, plusieurs études montrent que les femmes sont moins enclines à développer un cancer de l’ovaire si elles ont fait les oreillons dans leur enfance29 – 32.
Ne pas vacciner est un risque à prendre. La vaccination en est un autre. A chaque fois que vous sortez de chez vous, il existe aussi un risque (sans parler des risques que vous courez en restant chez vous). Votre enfant pourrait être piqué par une abeille, blessé dans un accident de voiture ou attaqué par un requin en se baignant dans la mer. Il faut tenir compte de ces risques en faisant abstraction des peurs et des données partiales. Si vous avez peur des abeilles, vous pourriez être plus attentif à cette menace, même si l’environnement n’est pas forcément dangereux. Si les requins vous font cauchemarder, il se peut que vous évitiez l’océan. De la même manière, quand les maladies sont décrites avec des détails alarmants et que leurs risques sont exagérés, la tendance est de les éviter à tout prix. Et bien sûr, l’industrie pharmaceutique possède une solution toute prête. Prenez tout simplement le vaccin – et un autre, et un autre – et vous serez protégé. Si seulement la vie était si simple.
Le marketing de la peur
Avec les vaccins (et c’est le cas aussi pour de nombreuses drogues), une “solution” allopathique est souvent développée avant que le marketing de la peur n’entre en jeu. Par exemple, avant que le vaccin contre la varicelle ne soit breveté en 1995, les médecins encourageaient les parents à exposer leurs enfants à la maladie au cours de leur enfance. Les médecins prenaient ce parti car ils savaient que la varicelle est relativement innofensive quand elle est contractée au cours des jeunes années (elle devient plus dangeureuse pour les adolescents ou les adultes). Pourtant, après le brevetage du vaccin, le CDC commença à avertir les parents sur les dangers de la varicelle. Les médecins arrêtèrent d’encourager leurs patients à exposer leurs enfants à cette maladie. Au contraire, ils leur recommandèrent la vaccination. Une campagne promotionnelle de la peur de la varicelle a pris place seulement après la mise à disposition du vaccin sur les marchés.
Les vaccins sont-ils efficaces?
L’efficacité du vaccin est l’aspect le plus facilement commercialisable des services de prévention de la santé. Chaque fabricant aimerait clâmer que son produit est efficace – même si les preuves affirment le contraire. Par exemple, chaque année, les autorités promeuvent le vaccin contre la grippe. Pourtant, le Brithish Medical Journal a récemment publié un rapport qui analysait les études ayant été menées sur les vaccins contre la grippe et concluait qu’il existe un grand écart entre les preuves de l’efficacité du vaccin et les pratiques mises en place par les organismes de santé en ce qui concerne la grippe. Il a été prouvé que les vaccins contre la grippe ont peu ou pas d’effets sur les objectifs envisagés par la campagne (hospitalisation, congés maladies ou mort des suites de la maladie ou de ses complications). Il a été prouvé que les vaccins contre la grippe étaient inefficaces pour les enfants de moins de 2 ans, les adultes en bonne santé en dessous de 65 ans et sur les personnes âgées de plus de 65 ans et plus. En plus, il existe peu de preuves selon lesquelles les vaccins contre la grippe aient des bénéfices quelconques quand ils sont administrés au personnel des services de santé pour protéger leurs patients, quand ils sont donnés aux enfants pour minimiser la transmission du virus dans les contacts familiaux ou quand ils sont injectés au personnes vulnérables, comme les personnes atteintes d’asthme ou de mucoviscidose33.
L’efficacité des vaccins peut être spécieuse. Par exemple, les scientifiques supposent que certains “marqueurs de substitution” ou des “lésions précancéreuses” précèdent le cancer du col de l’utérus. Avec le vaccin contre le papillomavirus (Gardasil), ils comparent simplement le nombre de ces marqueurs chez les femmes qui ont reçu le vaccin au nombre de ces marqueurs chez les femmes qui ont reçu le placebo. Pourtant, dans plus de 90% des cas, les infections HPV sont sans danger et guérissent sans traitement. Le système de défense du corps élimine le virus de lui-même. Souvent, les femmes ne détectent aucun signe, symptôme ou problème de santé.
Les pratiques commerciales de marketing en ce qui concerne l’efficacité des vaccins peuvent être trompeuses. Lors de la première introduction du vaccin contre le papillomavirus, on en faisait la promotion comme d’un vaccin efficace à 100%. Par conséquent, la plupart des gens ont supposé innocemment que si les femmes se faisaient vacciner, il n’y aurait aucun risque pour elles de contracter le cancer du col de l’utérus. Pourtant, de nombreuses souches du vaccin ont été identifiées. Le vaccin est seulement “100% efficace” contre 2 des souches causant ce cancer, pas contre le cancer du col de l’utérus. Aucun cas de cancer du col de l’utérus n’a été évité chez les personnes soumises au test dans les études cliniques du vaccin HPV. En fait, au cours des études précédant le brevetage du vaccin, 361 femmes ayant reçu au moins une injection de Gardasil ont continué à développer des lésions précancéreuses à l’utérus durant les trois années suivantes34.
Les vaccins ne visent pas toutes les souches de la maladie
Le Gardasil n’est pas le seul vaccin à viser seulement quelques-unes des souches de la maladie en en excluant d’autres. Les vaccins contre la méningite et le pneumocoque ont aussi été conçus de cette manière et sont devenus problématiques à cause d’une sorte de “remplacement de souche”. Les scientifiques se sont aperçus que quand les vaccins s’en prennent seulement à quelques-unes des souches de la maladie, d’autres souches gagnent en importance. La maladie devient plus virulente et les personnes qui normalement ne seraient pas susceptibles de développer l’affection deviennent vulnérables. Par exemple, il existe différents types d’Hémophylus Influenzae, notamment les types a, b, c, d, e et f. Le type “b” est seulement une souche – la seule pour laquelle le vaccin ait été créé – l’injection Hib. Bien que ce vaccin semble avoir réduit les cas de Hémophylus Influenzae type b chez les enfants, le taux global de la maladie Hémophylus influenzae chez l’adulte a augmenté. De manière ironique, les chercheurs ne considèrent pas cela comme une défaillance du vaccin Hib; plutôt, selon le NIH (National Institutes of Health), “cela pose la question de savoir s’il ne serait pas nécessaire de développer un (nouveau) vaccin”35.
Le vaccin contre le pneumocoque – Prevnar 13 – est seulement conçu pour protéger de 13 des 90 différentes souches qui peuvent causer les infections pneumococciques. Ainsi, quand un enfant est vacciné et qu’il est plus tard victime du pneumocoque, on considère toujours que le vaccin est “efficace” si la maladie a été engendrée par n’importe laquelle des 77 autres souches (qui ne sont pas inclues dans le vaccin). En plus, le Journal of the American Medical Association et le Pediatric Infectious Disease Journal ont récemment publié des données montrant que les souches de la maladie du pneumocoque non présentes dans le vaccin remplaçaient progressivement les souches que le Prevnar 7 (la version précédant le Prevnar 13) visait36,37. Les souches non présentes dans le vaccin sont plus dangeureuse et résistantes au traitement. Les personnes en contractant une infection ont plus de chances de se faire hospitaliser ou de présenter une infection mettant leur vie en danger. (Le Prevnar 13 a été récemment reconnu comme étant une “mise à niveau” du premier Prevnar pour remédier à ce problème de manière temporaire).
Vacciner un groupe à faible risque pour protéger un groupe à haut risque
Parfois, les vaccins sont administrés à un groupe majoritaire pour en protéger un autre. Par exemple, les campagnes de masse pour la vaccination contre la rubéole n’ont jamais eu pour but de protéger les sujets vaccinés; la maladie est habituellement sans danger lorsqu’elle touche les enfants. Plutôt, le but a toujours été de protéger les foetus chez les femmes non immunisées contre la rubéole. Le raisonnement des autorités est le suivant: si tous les enfants, garçons et filles, sont vaccinés, le virus sauvage devrait en théorie trouver moins d’hôtes à contaminer, et il serait alors moins probable pour les femmes enceintes de contracter la maladie. Ainsi, quand le vaccin contre l’hépatite B a été introduit sur le marché pour la première fois, les autorités ont utilisé les mêmes raisons. Les groupes qui ont le plus de risques de contracter l’hépatite B sont les hétérosexuels ayant des rapports non protégés avec différents partenaires sexuels, des prostituées, des hommes homosexuels sexuellement actifs ou des toxicomanes intraveineux. Il est rare que les enfants développent la maladie. Aux Etats-Unis, moins d’un pourcent des cas concerne une personne de moins de 15 ans. La maladie se rencontre encore moins souvent auprès des bébés et des touts-petits. Pourtant, “étant donné que la stratégie de vaccination se limitant aux individus à haut risque a échoué38”, et que les enfants sont “facilement atteignables”39, on leur impose la série de trois injections à la naissance. En d’autres termes, puisque les groupes à haut risques sont difficiles à atteindre ou ont rejeté le vaccin, les autorités visent les enfants, même si il est peu probable que ceux-ci développent la maladie. Les enfants sont sujets aux risques des vaccins sans en tirer aucun bénéfice.
Bien qu’il est peu probable que les enfant contractent l’hépatite B, de nombreux parents autorisent leurs vaccinations car ils sont persuadés qu’ils seront protégés quand ils seront adultes, lorsqu’ils adopteront des comportements à risques. Pourtant, des études montrent que les sujets du vaccin contre l’hépatite B perdent les anticorps qui les protégaient après 5 à 10 ans. Le vaccin inocculé aux enfants peu après leur naissance à l’hôpital ne sera donc plus efficace quelques années plus tard. Pour cette raison, des vaccins de rappel sont nécessaires.
Les vaccins de rappel
Les campagnes pour les vaccins “de rappel” sont une pratique dérangeante. Initialement, lors de l’introduction d’un nouveau vaccin, une seule injection peut être recommandée. Plus tard, lorsque l’immunité artificielle s’estompe, les fabriquants de vaccins et la CDC recommandent une ou plusieurs injections complémentaires – les rappels (pour améliorer ou donner un coup de fouet aux anticorps en déclin). Avec l’immunité naturelle, acquise au cours de l’exposition directe à la maladie, la protection n’est pas faible ni temporaire, mais complète et à vie. L’enfant développera rarement à nouveau la même maladie. Ceci n’est pas valable pour les vaccins. Bizarrement, la réponse de l’industrie du vaccin face à l’inefficacité du vaccin est d’en imposer à des doses plus élevées!
Les enfants non vaccinés
Les enfants non vaccinés sont souvent renvoyés à la maison lors des flambées de rougeole, d’oreillons ou d’autres maladies contagieuses. Par exemple, j’ai reçu cette lettre d’une mère embarassée:
Ma fille vient juste d’être renvoyée de l’école pour 21 jours à cause d’une épidemie de varicelle. Elle est en première année et a 6 ans. Nous sommes vraiment très contrariés.
Assez ironiquement, ces enfants ne sont pas renvoyés chez eux pour leur propre protection. Au contraire, les médecins prétendent que les enfants non vaccinés vont répandre la maladie. Bien sûr, cela n’a pas de sens (sauf si on considère cela comme une confession voilée de l’inefficacité du vaccin). Comment est-il possible qu’un enfant non vacciné mette la santé des enfants vaccinés en danger? Si les injections sont efficaces, alors les enfants vaccinés devraient être protégés.
Les parents des enfants non vaccinés sont mieux informés que les parents qui suivent les recommendations officielles en termes d’immunisation. Par exemple, une étude récente conduite par le CDC a mis à jour que les enfants vaccinés ont souvent des mères pauvres, célibataires et qui n’ont pas étudié à l’université. Pour les enfants non vaccinés, il s’agit souvent de mères qui leur offrent un contexte de stabilité financière, sont mariées et ont un diplôme universitaire40. Une autre étude, publiée dans l’American Journal of Public Health, a montré que les enfants vaccinés ont plus de chances d’avoir une mère sans diplôme secondaire. Les enfants non vaccinés ont plus de chance d’avoir une mère qui a obtenu son diplôme à l’université41.
Les profits au nom du vaccin
Aujourd’hui, les nouveaux vaccins sont mis sur le marché pour contrecarrer les problèmes causés par les vieux vaccins. Par exemple, le vaccin contre l’infection herpès zoster (zona) a récemment été introduit pour contrôler une épidémie de zona que l’on s’attend à voir se prolonger pendant plus de 50 ans. La recherche a montré que l’épidémie a été générée par le “succès” du vaccin contre la varicelle42,43. Les deux versions du vaccin ont été développées par la même firme pharmaceutique. (C’est une affaire lucrative!)
En avril 2013, des chercheurs canadiens ont publié une étude qui donnait un aperçu d’un projet de développement d’un nouveau vaccin qui aiderait à contrôler les symptômes de l’autisme44. C’est une belle ironie du sort puisque de nombreux parents, ainsi que des chercheurs dans le domaine médica,l sont persuadés que les vaccins peuvent dans une large mesure être la cause d’un autisme régressif.
Des membres haut placés du gouvernement des Etats-Unis sont bien au courant des défauts liés au programme de vaccination. Des séances sont régulièrement organisées autant pour souligner les problèmes que posent les vaccins que pour enquêter sur l’intégrité du programme de vaccination. Par exemple, une audience du Congrès en juin 2000 sur “les conflits d’intérêt et le développement des vaccins” a révélé que des membres de la très élitiste FDA et des comités du CDC qui s’occupent de breveter et de recommander les vaccins pour tous les enfants aux Etats-Unis sont autorisés à détenir des enjeux financiers dans ces vaccins. Par exemple, un membre de la commission du FDA qui a voté en faveur d’un vaccin dangeureux recevait 255 000 dollars par an en fonds de recherche de la part de l’entreprise qui est à l’origine de la création du vaccin. Un membre du comité de la CDC qui avait recommandé ce vaccin dangeureux pour tous les enfants américains détenait un brevet lucratif sur un vaccin similaire en cours de développement et touchait aussi de l’argent de la part de l’industrie pharmaceutique pour promouvoir l’inocuité des vaccins à travers le monde45. (Ce vaccin fut finalement retiré du marché après avoir causé à de nombreux bébés d’importantes lésions intestinales.)
Selon Dan Burton, membre du Congrès qui présidait l’audience du Congrès, “aucun individu à qui profite les décisions en ce qui concerne les vaccins et leur mandat obligatoire ne devrait participer au débat ou à la prise de décision politique”. Pourtant, personne au sein de la FDA, du CDC ou du Département de la Santé et des Services Sociaux (HHS) n’était disposé à reconnaître qu’il y avait un problème. Au lieu de cela, ils ont continué leurs affaires comme d’habitude. Tristement, malgré ces conflits d’intérêts financiers flagrants, nos législateurs restent impuissants à apporter un quelconque changement.
Il apparaît que le calendrier très rempli de vaccination d’enfance, livré avec une obligation à être mis sur le marché, s’avère être une aubaine pour les initiés de l’industrie. Finalement, le profit pourrait bien se situer dans les vaccins pour adolescents et adultes. Les pré-adolescents et les adolescents sont déjà vaccinés contre le tétanos, la diphtérie, la coqueluche, le papillomavirus, la méningite, le pneumocoque, la grippe, l’hépatite A et B, la polio, la varicelle et la rougeole-les oreillons et la rubéole (vaccin ROR). D’autres injections destinées à ce groupe d’âge sont en préparation. Les autorités sont en train de “construire une rampe de lancement” pour vacciner de manière très routinière les membres de ce marché lucratif.
Les tendances futures dans ce marché global du vaccin indiquent que les vaccins pédiatriques occupent pour le moment une part du marché plus conséquente, mais cette tendance s’inversera en faveur des vaccins pour adultes. On vaccine déjà les adultes contre le tétanos, la diphtérie, la coqueluche, le papillomavirus, la méningite, le pneumocoque, la grippe, l’hépatite A et B, la varicelle, le vaccin ROR et le zona. Finalement, les vaccins contre les addictions vont avoir une croissance moyenne de 100% après leur lancement et les vaccins contre le cancer vont connaître un succès grandissant au cours des prochaines années. Le marché global du vaccin a pris une importance exponentielle au cours des dernières années; on estimait que les chiffres de ventes annuelles en 2013 atteindraient les 34 milliards de dollars. Bien sûr, les Etats-Unis sont le plus vaste marché pour les vaccins, qui sont plus rentables que les médicaments génériques.
Protéger les enfants
Plusieurs mères m’ont raconté l’histoire suivante, dont les grandes lignes se recoupent, et que je paraphrase ici. Cela en dit long sur la perte d’instinct maternel et sur l’autorité injustifiée et excessive que notre société accorde à la médecine allopathique:
J’ai emmené mon enfant se mettre en ordre de vaccin pour ses 2 mois. Un peu plus tard (vague idée de temps pouvant se situer entre 1 heure et 2 ou 3 jours), il a présenté une réaction horrible (convulsions, crises d’épilepsie, pertes de conscience, etc.) et nous nous sommes retrouvés en salle d’urgence. Mon enfant passa un long moment (entre 1 jour et 2 semaines selon les cas) à l’hôpital alors que les médecins réalisaient de nombreux examens. Je pense que les vaccins ont causé cette grave réaction chez mon enfant (parce qu’il allait bien avant qu’il ne subisse les injections) mais mon médecin prétend que c’est juste une coïncidence, que les nombreux vaccins que mon enfant a reçu juste avant sa réaction n’ont rien à voir là-dedans. Mon médecin dit que cela vient d’autre chose, bien que personne ne sache ce qui pourrait en être la cause.
L’histoire ne s’arrête pas là, elle continue:
Lorsque mon enfant devait recevoir les injections pour son 4ème mois, j’avais peur de l’emmener à nouveau chez le médecin. Je pensais bien que les vaccins qu’il avait reçus à 2 mois étaient la cause de son hospitalisation mais le médecin (ou l’infirmière) m’ont raconté des histoires terrifiantes sur les bébés non vaccinés. J’avais peur et j’ai donc laissé le médecin vacciner mon enfant pour la seconde fois. A nouveau, il a fini à l’hôpital, cette fois sa vie était mise en danger. Et à nouveau encore, tout le monde m’a dit que les vaccins n’y étaient pour rien.
A présent, l’histoire prend un autre tournant:
La raison pour laquelle je vous raconte cette histoire est qu’à présent, c’est le moment de vacciner mon enfant pour son 6ème mois. Bien sûr, les vaccins me terrifient et j’ai très peur qu’en y soumettant mon enfant, il n’y survive pas. Pourtant, le médecin m’a dit qu’il est nécessaire à mon enfant de recevoir ces injections. Que pensez-vous que je devrais faire?
Bien sûr, je ne donne jamais de conseils. Les parents doivent prendre leurs propres décisions. Ce que j’ai envie de leur dire c’est: “réveillez-vous! Qu’est-il arrivé à votre instinct protecteur? L’avez-vous abandonné à ces soi-disant experts? Est-ce que c’est eux qui vivent chaque journée auprès de votre précieux enfant, est-ce qu’ils le connaissent mieux que vous? Oui, parfois la vie apparaît comme un monde effrayant et faire face aux autorités peut sembler plus que vous ne pouvez supporter. Mais il s’agit là de votre enfant. Quand prendrez-vous position en sa faveur?”
De nombreux parents se sont réveillés, mais pas toujours avant que certains dégâts ne se soient accumulés. J’ai récemment reçu la lettre suivante:
J’ai quatre enfants. Les trois premiers ont été vaccinés régulièrement comme on nous le conseille. Une de mes amies a perdu un enfant après qu’il ait été vacciné et m’a mise en garde contre les risques encourus. Notre quatrième enfant n’a pas été vacciné et est le seu lqui ne soit pas inscrit dans l’enseignement spécial, comme l’est le reste de ses frères et soeurs.
Publier des textes au sujet des vaccins, c’est un peu comme voyager dans les Enfers de la mythologie où Hadès fait la loi. C’est un royaume sombre et lugubre où d’innocents enfants et leurs familles connaissent de profonds traumatismes. Les vaccins ont probablement des bénéfices dans l’esprit de leurs partisans, mais ceux-ci doivent être mis en balance avec les manquements réels en termes de sécurité et de protection.
Recherches additionnelles et consentement informé
Je n’ai pas d’autres idées en tête que d’alerter les gens d’un problème existant qui prend de l’ampleur. Un travail beaucoup plus vaste est nécessaire pour éveiller les consciences et convaincre les autorités que notre modèle actuel de système de prévention de la santé est défectueux et demande une attention immédiate. Si vous êtes informé et compétent, s’il vous plaît exprimez-vous. Je conçois une société où 1) chacun est libre de choisir la vaccination ou non, 2) chacun a une compréhension plus minutieuse des vaccins préalablement à cette décision qui deviendra ou non un consentement informé. Les parents ne reçoivent pas une information complète de la part de leurs médecins. De plus, les autorités tyrannisent les parents pour que ceux-ci acceptent les injections supplémentaires, même après que les injections précédentes aient causé des réactions graves. Il est nécessaire de se renseigner soi-même en consultant différentes sources pour lever la confusion, pour rétablir la confiance en vos propres décisions en matière de santé et pour conserver votre flegme quand vous vous trouvez face à des mesures d’intimidation.
Après avoir fait des recherches approfondies sur les vaccins, votre sensibilité pourrait être aiguisée. Les enjeux sont considérables. Certains pourraient être révoltés par ce qu’ils découvrent. Il y a vraiment quelque chose qui ne va pas avec l’industrie du vaccin et à présent, les gens vont être au courant. Quelles sont les mesures qui peuvent être prises ? D’autres seront furieux pour différentes raisons et se plaindront à chaque fois que les bénéfices des vaccins ne seront pas mis en évidence. Les partisans avides des vaccins ne souhaitent pas que les parents et les professionnels de la santé aient accès à des sources alternatives d’information sur les vaccins. A l’inverse, ils préfèrent que vous et votre famille vous fiiez aux déclarations “officielles” en matière de protection et de sûreté vaccinale, discours qui va souvent à l’encontre des études et des données aisément accesibles à force d’efforts assidus.
Les vaccins ne conviennent pas à tout le monde. Certains le savent mais ont peur des réactions de leurs médecins, de leur famille ou de leurs amis. Finalement, c’est entre les mains des individus ou des parents d’enfants que se trouve la décision de vacciner ou non. Les médecins ne peuvent pas prendre la responsabilité et ne le feront pas si vous ou votre enfant souffrez de quelconques conséquences des vaccins. Par conséquent, il ne faudrait prendre ce genre de décisions qu’après avoir passé en revue les preuves crédibles provenant de différentes sources. En plus, il serait bon de faire preuve d’esprit critique lors de l’interprétation des informations. J’encourage chacun à vérifier les données sur les vaccins sur lesquelles ils peuvent mettre la main et continuer à creuser le sujet si des questions sont toujours en suspens. Vous avez le droit d’être informé sur les faits vaccinaux et vous avez la responsabilité de vous informer autant que possible au sujet de l’inocuité, de l’efficacité, des bénéfices et des risques des vaccins.
Neil Z Miller
Neil Z. Miller est un journaliste de recherche médicale et aussi le Directeur de Thinktwice Global Vaccine Institute (www.thinktwice.com). Il a dévoué les 25 dernières années de son temps à informer les parents et les professionnels de la santé au sujet des vaccins, à encourager le consentement informé et les lois non coercitives. Il est l’auteur de plusieurs livres qui traitent de la vaccination (www.vacbook.com), incluant Vaccine Safety Manual for Concerned Families and Health Practitioners; Make an Informed Vaccine Decision for the Health of Your Child (co-écrit avec le Dr. Mayer Eisenstein); et Vaccines: Are They Really Safe and Effective? Les organismes pour lesquels il a donné des conférences incluent l’Association Internationale Pédiatrique des Chiropracteurs, l’Université Internationale de Médecine Intégrative, Autism One/Generation Rescue, L’Académie Hahnemann d’Amérique du Nord et le Centre de Rajeunissement Tree of Life du Docteur Gabriel Cousens. Il est aussi fréquemment invité dans des émissions de radio et de télévision, est diplômé en psychologie et est membre de Mensa (NDT: Organisation internationale réunissant des personnes à haut quotient intellectuel). Ses enfants, aujourd’hui de jeunes adultes, sont nés à la maison et ne sont pas vaccinés.
1 Ioannidis JP. Contradicted and initially stronger effects in highly cited clinical research. JAMA (July 13, 2005); 294(2): 218-28.
2 Ioannidis JP. Why most published research findings are false. PLoS Med 2005; 2(8): e124.
3 Freedman DH. Lies, damned lies, and medical science. The Atlantic (November 2010).
4 Transcripts of the Simpsonwood meeting are available at: www.thinktwice.com
5 Thompson WW, Price C, et al. Early thimerosal exposure and neuropsychological outcomes at 7 and 10 years. NEJM (September 27, 2007); 357: 1281-92.
6 Verstraeten T, Davis RL, et al. Safety of thimerosal- containing vaccines: a two-phased study of computerized health maintenance organization databases. Pediatrics (November 2003); 112(5): 1039-48.
7 Glanz JM, Newcomer SR, et al. A population-based cohort study of undervaccination in 8 managed care organizations across the united States. JAMA Pediatrics (March 2013); 167(3): 274-281.
8 Wyeth Pharmaceuticals. Pneumococcal 7-valent conjugate vaccine (diphtheria CRM197 protein) Prevnar. Product insert (July 2009), Table 8.
9 Merck & Co., Inc. Gardasil [Quadrivalent human papillomavirus (Types 6, 11, 6, 18) recombinant vaccine)]. Product insert (June 2006).
10 Ruiz-Palacios GM, Perez-Schael I, et al. Safety and efficacy of an attenuated vaccine against severe rotavirus gastroenteritis. NEJM (January 5, 2006); 354: 11-22.
5 Thompson WW, Price C, et al. Early thimerosal exposure and neuropsychological outcomes at 7 and 10 years. NEJM (September 27, 2007); 357: 1281-92.
11 Riaza Gomez M, De la Torre Espí M, et al. Compli- cations of varicella in children. An Esp Pediatr 1999; 50: 259-62.
12 Oxman, MN, Levin, MJ, et al. A vaccine to prevent herpes zoster and postherpetic neuralgia in older adults. NEJM (June 2, 2005); 352: 2271-84.
13 The Future II Study Group. Quadrivalent vaccine against human papillomavirus to prevent high-grade cervical lesions. NEJM (May 10, 2007); 356: 1915-27.
13 The Future II Study Group. Quadrivalent vaccine against human papillomavirus to prevent high-grade cervical lesions. NEJM (May 10, 2007); 356: 1915-27.
14,15 Classen JB, Classen DC. Association between type I diabetes and Hib vaccine: causal relation is likely. BMJ 1999; 319: 1133.
Classen JB, Classen DC. Clustering of cases of insulin dependent diabetes (IDDM) occurring three years after hemophilus influenza B (HiB) immunization support causal relationship between immunization and IDDM. Autoimmunity (July 2002); 35(4): 247-53.
16 – 18 Hernan MA, Jick SS, et al. Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis: a prospective study. Neurology (September 14, 2004); 63(5): 838-42.
Terney D, Beniczky S, et al. Multiple sclerosis after hepatitis B vaccination in a 16-year-old patient. Chinese Medical Journal 2006; 119(1): 77-79.
Mikaeloff Y, Caridade G, et al. Hepatitis B vaccine and the risk of CNS inflammatory demyelination in childhood. Neurology (March 10, 2009); 72(10): 873-80.
19 FDA (confidential document): FluMist live, attenuated influenza vaccine briefing document: prior approval supplemental BLA, indication extension to include children less than 5 years of age. FDA Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee (April 19, 2007.) See also the manufacturer’s product insert.
8 Wyeth Pharmaceuticals. Pneumococcal 7-valent conjugate vaccine (diphtheria CRM197 protein) Prevnar. Product insert (July 2009), Table 8.
20 CDC. Prevention and control of meningococcal disease. MMWR (May 27, 2005); 54(RR07): 1-21.
21 Barkin RM, Pichichero ME. Diphtheria-pertussis- tetanus vaccine: reactogenicity of commercial products. Pediatrics (February 1979); 63(2): 256-60.
22 FDA. Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).
23 U.S. Department of Health and Human Services. National Vaccine Injury Compensation Program. www.hrsa.gov
24 Institute of Medicine. Vaccine safety committee proceedings. National Academy of Sciences: Washington, DC (May 11, 1992): 40-41.
25 Kessler DA, Natanblut S, et al. Introducing MEDWatch: A New Approach to Reporting Medication and Device Adverse Effects and Product Problems. JAMA (June 2, 1993); 269(21): 2765-68.
26 U.S. Census Bureau. International data base. Pearson Education, 2009.
27 Miller and Goldman. Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: is there a biochemical or synergistic toxicity? Human and Experimental Toxicology 2011; 30(9): 1420–1428.
28 Goldman and Miller. Relative trends in hospitaliza- tions and mortality among infants by the number of vaccine doses and age, based on the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), 1990–2010. Human and Experimental Toxicology 2012; 31(10): 1012-1021.
29 – 32 McGowan L, Parent L, et al. The women at risk for developing ovarian cancer. Gynecol Oncol 1979; 7: 325-344.
Newhouse ML, Pearson RM, et al. A case control study of carcinoma of the ovary. Br J Prev Soc Med. (September 1977); 31(3): 148–153.
Wynder EL, Dodo H, Barber HRK. Epidemiology of cancer of the ovary. Cancer (February 1969); 23(2): 352-70.
West RO. Epidemiologic study of malignancies of the ovaries. Cancer (July 1966); 19(7): 1001-1007.
33 Jefferson T. Influenza vaccination: policy versus evidence. BMJ (October 26, 2006); 333: 912-915. See
also the Cochrane Collaboration.
34 Carreyrou J. Questions on efficacy cloud a cancer vaccine. The Wall Street Journal (Apr 16, 2007): A1+.
35 Dworkin MS, Park L, Borchardt SM. The changing epidemiology of invasive haemophilus influenzae disease, especially in persons >65 years old. Clinical Infectious
Diseases 2007; 44(6) :810-16.
36,37 SingletonRJ,HennessyTW,etal.Invasivepneumo-
coccal disease caused by nonvaccine serotypes among alaska native children with high levels of 7-valent pneumo- coccal conjugate vaccine coverage. JAMA April 25, 2007); 297(16): 1784-92.
Farrell DJ, Klugman KP, Pichichero M. Increased antimicrobial resistance among nonvaccine serotypes of streptococcus pneumoniae in the pediatric population after the Introduction of 7-valent pneumococcal vaccine in the United States. Pediatric Infectious Disease Journal (February 2007); 26(2): 123-128.
38 GlaxoSmithKline Biologicals. Engerix-B [Hepatitis B vaccine (recombinant)]. Product insert (December 2006).
39 Schaffner W, Gardner P, Gross PA. Hepatitis B immunization strategies: expanding the target. Annals of Internal Medicine (Feb 15, 1993); 118(4): 308-309.
40 Smith PJ, Chu SY, Barker LE. Children who have received no vaccines: who are they and where do they
live? Pediatrics (July 2004); 114(1): 187-195.
41 Kim SS, Frimpong JA, et al. Effects of maternal and provider characteristics on up-to-date immunization status of children aged 19 to 35 months. Am J Public
Health (February 2007); 97(2): 259–266.
42,43 Goldman GS. Cost-benefit analysis of universal varicella vaccination in the U.S. taking into account the closely related herpes-zoster epidemiology. Vaccine (May 9, 2005); 23(25): 3349-55.
Goldman GS. Universal varicella vaccination: efficacy trends and effect on herpes zoster. International Journal of Toxicology (July 2005); 24(4): 205-13.
44 Pequegnat B, Sagermann M, et al. A vaccine and diagnostic target for Clostridium bolteae, an autism- associated bacterium. Vaccine (June 10, 2013); 31(26): 2787-2790.
45 Conflicts of Interest and Vaccine Development. Congressional Hearing (June 15, 2000).
A lire et relire … beaucoup d’informations à digérer puis assimiler pour faire la part des choses dans cette société de surconsommation où l’on croit au médicament miracle …
Dans l’hypothèse où des parents accepteraient de faire vacciner leurs enfants … il faut veiller impérativement à faire faire l’injection seulement la veille ou l’avant veille de la date de péremption dudit vaccin, de façon à ce que la dose soit ATTÉNUÉE au maximum …
Juste pour éviter le risque d’une encéphalite post vaccinale qui ne dira pas son nom comme vous le précisez !
C’est mon Patron d’un service hospitalier en Pédiatrie qui nous le disait très souvent …
Au secours !!! Sauvons nos enfants et petits enfants de cette terrible et mercantile invasion. Souvenons nous : les labos pharmaceutiques ne sot pas là pour nous rendre service. Ils sont là pour gagner leur vie !
Grand merci de continuer de nous informer. (n’en déplaise à nos institutions..)Je fais suivre..