Nul n’ignore les propriétés particulaires et ondulatoires de la lumière. La lumière peut être considérée à la fois comme un flux de particules, les photons, mais aussi comme une onde électromagnétique. Les photons sont donc porteurs des interactions électromagnétiques. La lumière n’est ni particulaire, ni ondulatoire mais elle est particulaire et ondulatoire.
Je propose ici une nouvelle « théorie ». Je suggère d’envisager les virus, et pourquoi pas d’autres « particules » plus grosses, parasites ou non, comme des particules énergétiques. On pourrait ainsi également penser aux bactéries et aux allergènes tels les gains de pollen. En effet, l’information qui s’y trouve pourrait être envisagée comme une forme d’énergie.
C’est pourquoi on pourrait comparer les virions aux photons, quoique les propriétés de ces deux types de particules ne soient évidemment pas identiques.
Les virus sont particulaires et ondulatoires.
Développons ce raisonnement.
Tout d’abord, j’envisagerai la théorie particulaire des virions avant de détailler la théorie ondulatoire. Dans les troisième et quatrième chapitres de ce dossier, j’appliquerai ces deux théories aux différentes approches de médecines.
Chapitre 1 : Théorie particulaire des virions.
Commençons par quelques notions de bases de virologie indispensables pour la suite de l’exposé.
Les particules virales sont composées d’un type d’acide nucléique, ADN ou ARN, entouré d’une enveloppe de type protéique appelée capside [1]. Cette capside est composée d’un assemblage de protéines (les capsomères) lui donnant son aspect caractéristique. La structure compacte formée par l'assemblage de la capside autour du génome s’appelle la nucléocapside. Elle peut être tubulaire ou polyédrique. La structure polyédrique est particulièrement stable. Ces cas se présentent fréquemment avec les virus des plantes (phytovirus). Tous les virus humains et animaux à nucléocapside tubulaire s’enroulent en peloton sur eux-même et sont enveloppés dans un troisième élément, le péplos. On parle alors de virus à enveloppe ou de virus enveloppés. Ce péplos est une membrane dérivée des membranes cellulaires, cytoplasmique ou nucléaire de la cellule-hôte, mais contient également des glycoprotéines virales qui y sont insérées.
En résumé :
1) Acide nucléique (ADN ou ARN)
2) une capside
3) 1 + 2 = nucléocapside polyédrique ou tubulaire
4) lorsque nucléocapside tubulaire chez les animaux et humains : entouré d’une enveloppe, le péplos, dérivée essentiellement de la membrane de la cellule.
On appelle virion la forme que prend le virus en dehors des cellules infectées. C’est la particule telle que nous la voyons au microscope électronique.
Ainsi, les particules virales (virions) sont mesurables. On est clairement dans la théorie particulaire.
Il est important de savoir qu’un virus, quel qu’il soit, pour être infectant doit être entier.
Quelques exemples :
– Le virus de la grippe possède un péplos issu de la membrane cytoplasmique de la cellule infectée mais modifiée par l’adjonction de glycoprotéines virales (hémagglutinine). Il y a plusieurs capsides irrégulières groupées dans une enveloppe asymétrique.
– Les coronaviridae sont des virus à péplos également et sont à ARN simple brin (leur génome viral mesure de 26 à 32 kb[2]). Dans le cas du SARS-CoV-2, l’information génétique contenue dans ce virus est une molécule d’ARN de polarité positive d’environ 30 000 nucléotides[3], précisément 29.903 [4]. Ils sont quasi sphériques et ont environ 100 nm de diamètre.
– Tout-à-fait différents, les poliovirus sont très simples. Ayant une forme polyédrique (icosaédrique), ils sont dépourvus de péplos. C’est pourquoi ils sont très résistants. Ce sont des virus « nus ». Vu leur stabilité élevée, on les retrouve dans les selles et les eaux usées.
1.1. Particularités des acides nucléiques viraux
C’est bien connu, l’acide nucléique (AN) est le porteur de l’information. Vu la faible dimension relative de ces AN viraux par rapport aux AN bactériens ou humains, ils ne sont constitués que de quelques gènes[5], principalement les gènes codant leurs capsomères (= protéine de nucléocapside = protéine N ) et, selon le cas, des glycoprotéines virales (pour la formation du péplos s’il y a lieu), de l’ARN polymérase, des inclusions dans le cytoplasme[6], les protéines de pointe (la protéine S qui possède deux sous-unités S1 et S2), les protéines d’enveloppe et de membrane, de l’exoribonucléases[7] etc.
Cette information génétique portée par l’AN viral est dès lors relativement réduite[8] et insuffisante pour lui assurer une vie autonome. On considère donc en général les virus comme des êtres inertes, non vivants.
Le coronavirus SARS-CoV-2 affecte particulièrement les voies respiratoires supérieures[9] et le système digestif (évoquant une gastro-entérite). C’est une des caractéristiques de ce virus, probablement inscrite dans son génome.
Un virus de la grippe saisonnière aura un profil symptomatique global légèrement différent.
Un exemple particulièrement évident sera décrit plus loin à propos d’un virus de plantes (virus de la mosaïque du céleri) dont la gamme d’hôte est associée à l’AN viral.
Ainsi les grandes caractéristiques des viroses, leur infectiosité, leur virulence, leur transmissibilité et leur potentiel de dangerosité [10] sont, tout au moins en partie, inscrits dans le génome viral[11]. Toutefois, comme il sera exposé plus loin, l’intensité de ces réactions possibles n’est, elle, pas inscrite dans le génome viral mais liée essentiellement à son hôte et à son potentiel réactionnel[12].
L’objectif final d’un virus se résume à transformer l’organisme infecté en agent contaminant capable de propager l’infection et d’assurer la survie du virus.
C’est d’ailleurs pourquoi un virus ne peut, pour sa propre survie et sa propre dissémination, jamais tuer trop rapidement la cellule dans laquelle il doit se multiplier. Si les virus affaiblissent effectivement notre organisme, s’ils sont trop agressifs, ils s’éteignent rapidement. Dès lors, même lorsqu’ils ont une forte dangerosité au départ, ils ne peuvent qu’évoluer naturellement vers une diminution de leur agressivité pour améliorer leur possibilité d’extension. Les virus s’atténuent. C’est du moins une théorie fréquente.
1.2. Quelques propriétés des particules virales
Au niveau viral, cette approche du virus-particule peut expliquer de nombreuses propriétés des virus.
Les virions ayant une certaine dimension (longueur, largeur, diamètre…) sont filtrables. Ils ont un volume déterminé et une densité donnée, ce qui permet de pouvoir les concentrer avec des ultracentrifugeuses. Elles ont aussi une charge électrique propre à chacun (de même que chacun de leurs composants), propriété utile pour les électrophorèses. On peut isoler les virus hors d’un complexe de substances, d’organites et de particules diverses. En général, avec les virus des plantes, isolés dans de bonnes conditions, les virions conservent leur potentiel d’infecter les cellules sensibles. On peut d’ailleurs congeler ces isolats.
Avec les virus humains à péplos (grippe etc.), l’enveloppe constitue leur point faible puisque cette enveloppe a une origine cellulaire et est aussi fragile que n’importe quelle membrane biologique. Ainsi l’enveloppe du virus de la grippe peut être inactivée par le dessèchement ou des détergents doux. Ce n’est pas toujours le cas puisque, par exemple, les glycoprotéines virales qui se combinent avec l’enveloppe lipidique cellulaire, peuvent renforcer considérablement cette enveloppe. Lorsque ces virus dégradent relativement rapidement leur enveloppe, ils perdent du même coup leur pouvoir infectieux.
1.3. La chaleur
La température élevée agit sur les particules. Elle dénature les capsides et/ou les acides nucléiques et/ou les péplos. Ainsi la chaleur peut modifier la configuration des protéines capsidiales et des acides nucléiques les rendant inactifs. Ces modifications sont irréversibles un peu comme lorsqu’on cuit un œuf, ce qui coagule sa protéine (albumine). Cette dernière change sa configuration spatiale et devient blanche. Les virus nus (polio) restent particulièrement stables et les températures doivent être élevées. Au contraire, avec les virus à péplos (grippe…), ils vont être inactivés par deux facteurs : la température, même la température ordinaire, et la dessication. Cela n'a rien de surprenant : les membranes cellulaires sont détruites rapidement dans le milieu extérieur. Ces virus ne résistent pas en été mais au contraire sévissent en hiver. La température optimale pour la propagation du SARS-CoV-2 semble tourner autour de 10 degrés [13]. Il n’empêche qu’en ce qui concerne le coronavirus, bien qu’il s’agisse d’un virus qui ne survit théoriquement pas à la chaleur élevée, il a été recommandé au début de bien cuire les aliments[14]. Cette influence de la température sur le développement de la Covid-19 est cependant contestée et pourrait être faible (la maladie est présente aussi dans des pays chauds).
Il est connu qu’en cas de virose grippale, la fièvre est notre amie. Elle ralentit la multiplication des virus. C’est donc notre alliée pour lutter contre ces virus. A contrario, faire baisser la fièvre artificiellement (par de l’aspirine ou du paracétamol…) nous prive automatiquement d’une ligne de défense essentielle [15]. Cet approche n’est pas reconnue par la médecine officielle ou en tout cas pas encouragée.
1.4. Les rayonnements
Tout comme la chaleur, certains rayonnements lumineux (UV…) agissent directement sur les particules virales. Le rayonnement solaire détruit de nombreuses particules ce qui entraîne une considérable diminution de la concentration de virus actifs dans l’air à partir du printemps et explique en partie la régression de nombreuses maladies dès la belle saison revenue. Moins de particules dans l’environnement, moins d’infections.
Bien sûr, la destruction particulaire par la lumière naturelle n’est pas instantanée et dépendra de son intensité.
A titre d’information, une étude publiée dans le New England Journal of Medicine le 20 mars 2020 signale que le virus qui provoque la Covid-19 pourrait survivre pendant plusieurs heures à plusieurs jours sur les surfaces et dans les aérosols [16]. Ce n’est pas nécessairement la seule lumière qui serait en cause. Cette rémanence dépend du substrat sur lequel se trouvent les particules : cuivre, carton, plastique, inox…
Nous reviendrons sur les effets de la lumière solaire.
Chapitre 2 : Théorie ondulatoire (ou vibratoire) des virions.
A tout photon, correspond une énergie donnée qui se caractérise par la fréquence de l’onde et par son amplitude.
Par analogie, on pourrait émettre le postulat qu’à chaque virion correspond une énergie (vibration ou énergie vibratoire) qui lui est propre. Une particule virale n’est infectieuse que si elle est en présence d’une cellule qui entre en résonance avec la vibration émise.
On parle ces dernières années parfois de bio-résonance et de bio-énergies (voire de quantique).
Ce n’est un secret pour personne : l'information (génétique, épigénétique…) est la vie et toute vie est vibratoire.
Toutefois, il ne faut pas rester limité à la seule information génétique. A tout ce qui existe, vivant ou non, correspondent des énergies particulières, des énergies de vie. Par exemple, en ce qui concerne les êtres humains ou la Terre, les Chinois ont une connaissance immémoriale des systèmes de courants d’énergie qui circulent, le QI ou Tchi, sorte de souffle vital. Ainsi un article récent paru dans Nexus, écrit par Orianne Faisandier, nous parle du Qi projeté, la Force obscure des arts martiaux. A tel point que « Le qi peut être projeté au-delà de son propre corps sur celui de l’adversaire particulièrement aux points vulnérables, pouvant créer la mort ou une simple sidération, paralysie, de l’ennemi ».[17]
2.1. Du côté des insectes
Passons du côté des insectes. Les papillons femelles secrètent et émettent des phéromones qui vont attirer les mâles évidemment de la même espèce. Ceux-ci captent les phéromones par leurs antennes. Ces phéromones leur permettent aussi de communiquer. Les quantités produites sont infinitésimales. Jusqu’ici, la chimie prétendait tout nous expliquer. Cependant, savez-vous qu’un papillon est capable de trouver sa femelle à des kilomètres ! A cette distance, il n’y a plus qu’une molécule de phéromone de la femelle par mètre-cube, voire moins[18] !!! Mieux encore, le papillon est capable de s’orienter, donc de déceler un gradient de concentration pour trouver dans quel sens et dans quelle direction il doit aller !!!! Ici, pourtant, la chimie ne peut plus rien expliquer… mais les scientifiques ne remettent toujours pas leurs croyances erronées ou incomplètes en cause.
Là où cela l’arrange, la chimie se fait bien discrète. Il n’y a pourtant aucune molécule de phéromone dans le reste du m³ d’air. La chimie devrait prétendre ici que tout cela est impossible, donc n’existe pas. On est donc dans la même situation qu’avec l’homéopathie.
Il n’y a qu’une seule explication possible : nous sommes dans le domaine des énergies, des vibrations, des ondes, des (bio)photons, du quantique diront certains.
Une confirmation éclairante, c’est le cas de le dire, nous est apportée par les travaux du Professeur et Docteur Fritz Albert Popp, savant de réputation mondiale et dirigeant d’un groupe de biophysiciens de l’Université de Kaiserslautern dans son livre Biologie de la lumière [19]. Le professeur Popp s’en réfère à propos des papillons aux expériences du Professeur de biologie P.S. Callahan du département U.S. de l’Agriculture de Gainesville en Floride sur les signaux biologiques. « … contrairement à ce qui est généralement admis, on ne peut pas attribuer cette localisation réciproque des papillons à la rencontre accidentelle de molécules odorantes portées par le vent avec un récepteur olfactif du papillon. La direction du vent n’a en général aucune influence sur cet étonnant pouvoir olfactif des papillons. Grâce à un microscope extrêmement sensible, le biologiste P.S. Callahan a fini par découvrir des photons électromagnétiques infra-rouges, qui représentent des zones de résonance dépendant précisément de ces substances odorantes.[20] [21] ».
On ne peut être plus clair.
2.2. Du côté des plantes
Du côté des plantes, ces dernières années plusieurs auteurs ont écrit sur de nombreuses propriétés des plantes, en particulier des arbres. Il a été prouvé que ces derniers communiquent entre eux et qu’ils peuvent s’informer en cas d’agression. Des expériences existent sur des tas de types de plantes [22] . On tend souvent à démontrer qu’il ne s’agirait que de mécanismes chimiques et que diverses molécules seraient impliquées. La présence de substances chimiques ne modifierait cependant pas mon raisonnement car ces substances sont certainement porteuses d’informations ondulatoires. Les preuves suffisantes font encore défaut. Je peux cependant lire que : « Les interactions entre plantes voisines au-dessus du sol conduisent à des signaux émis par les racines dans le sol [23] ».
Avec les plantes toujours, certaines de ces énergies peuvent être traduites en signaux électriques eux-même transformés en sons, c’est la « musique des plantes ». Très belles musiques d’ailleurs que j’ai pu écouter. Pourquoi vous mentirai-je ? Une des plantes testées a réagi de façon extraordinaire lorsque nous lui avons émis le son « om » car cette plante a immédiatement répondu à notre propre chant et a émis une musique fabuleuse. Il existe même un festival international de la musique des plantes [24]. Qui prétend encore que nous ne sommes pas dans l’ondulatoire ?
Et encore avec les plantes, rappelez-vous les photographies Kirlian où une feuille coupée en deux laissait voir sur la photographie la partie manquante de la feuille, une sorte d’image fantôme de la partie absente. N’était-ce pas l’image énergétique, l’aura, de la feuille ?
Enfin, les recherches de l’équipe du Professeur Popp confirment que la blessure faite à une plante à un endroit quelconque a pour conséquence que le rayonnement cellulaire ultra-ténu augmente spontanément chez d’autres plantes situées en des lieux éloignés [25].
2.3. Du côté du monde animal
Il me reste à vous parler du monde animal, en particulier des chiens pisteurs utilisés pour retrouver les personnes disparues. Leur odorat est sans pareil. Le chien posséderait 200 millions de cellules olfactives[26] et vous trouverez sur le site https://jardinage.lemonde.fr/dossier-2306-odorat-chien.html des explications sur le fonctionnement de cet odorat particulièrement sensible. Toutefois, je m’interroge réellement sur ces explications qui en restent aux réactions chimiques entre des particules et ces cellules olfactives. Les explications chimiques ne m’apportent pas entière satisfaction. Certains chiens pisteurs, j’en connais un, sont capables de repérer une personne disparue à plusieurs kilomètres de distance et ceci jusqu’à trois jours après son passage. On lui fait renifler des chaussettes ayant été portées précédemment par la personne à retrouver et le voilà parti. Il capte donc des molécules de l’odeur corporelle que la personne disparue à abandonnées le long de son trajet. Vu qu’il y a ou avait des kilomètres entre le chien et la cible et que les phéromones ou autres substances laissées sont en extrêmement faible concentration, on peut se poser la question sur la présence encore de suffisamment se particules sur place. De plus, comme avec les papillons, le chien doit être capable de percevoir un gradient de concentration pour définir une direction privilégiée à sa progression. Il pourrait y avoir tellement peu de particules par mètres carrés (ou cube?) qu’il ne doit plus rien y avoir sur place trois jours après ! Chose surprenante, la recherche est plus facile s’il y a du brouillard. Mon hypothèse est que le chien capterait plutôt la signature vibratoire de ces odeurs. Une particule (phéromone ?) abandonnée transmettrait cette signature aux molécules d’eau périphériques et cette énergie pourrait se maintenir sur place quelques heures ou jours par le phénomène de la mémoire de l’eau. Plus surprenant encore, les chiens de la race de Saint Hubert ne suivent pas nécessairement le chemin physique parcouru par la personne recherchée mais, s’il y a eu un trajet en courbes, ces chiens abandonnent le « chemin » et coupent au cours pour rejoindre la piste plus directement ! Pour moi, il est indubitable qu’il s’agit d’un phénomène ondulatoire dont la nature nous échappe encore.
2.4. Du côté de l’ADN et des virus
Luc Montagnier, co-prix Nobel de physiologie ou médecine 2008, affirme avoir mis en évidence une nouvelle propriété de l’ADN : l’émission d’ondes électromagnétiques [27].
Cet article de Maxence Layet, dont je reprends plusieurs extraits, nous informe que le président de la Fondation mondiale recherche et prévention sida à l’Unesco s’intéresse aux ondes émises par des bactéries, des virus et des fragments d’ADN « car ces parcelles du vivant rayonnent ». « Elles sont capables, par induction électromagnétique, c’est-à-dire en réponse à une émission d’énergie environnante, d’émettre des signaux électromagnétiques. » … « Une autre découverte : celle de la capacité de l’eau à conserver cette information électromagnétique. »
Plus clair encore : « nous avons découvert que certains ADN de virus ou de bactéries émettent des ondes électromagnétiques. Il s’agit d’un phénomène de résonance lié à l’excitation de ces molécules dans certaines dilutions aqueuses. Ces ondes reproduisent l’information de l’ADN initial – ce sont des ondes extrêmement spécifiques. … Toutes les séquences d’ADN peuvent émettre des ondes mais à des niveaux plus faibles. … Les ondes ne sont pas seulement émises par l’ADN de départ, elles sont aussi produites par des nanostructures formées dans l’eau à ces dilutions. »
Puis à propos des bactéries et des virus : « Ce sont en général les bactéries pathogènes qui émettent des signaux. Les bactéries non pathogènes n’en émettent pas. Dans le cadre des virus, c’est un peu la même chose. Un virus atténué d’un vaccin n’émet pas de signaux, tandis qu’un virus sauvage, comme le VIH du sida, en émet. »
« Nous avons aussi isolé certains gènes responsables de ces émissions. Trois ou quatre gènes du VIH en émettent, pas les autres apparemment, mas cela peut être simplement une question d’intensité, de degré de sensibilité. »
« Nous pouvons mesurer ces signaux de deux manières, par leurs changements d’amplitudes, ou par leur spectre. Mais il s’agira, disons, d’un spectre de base avec des ondes elles-même porteuses d’ondes plus faibles mais plus spécifiques, caractéristiques de chacune des séquences d’ADN mesurées. »
En fait, les découvertes du Professeur Montagnier ne font que confirmer et prolonger divers travaux antérieurs dont ceux menés par le Professeur Fritz-A. Popp et son équipe déjà évoqués plusieurs fois. En 1989, ce dernier écrivait déjà : « … l’ADN est une source, sinon la principale, du rayonnement cellulaire ultra-ténu », « L’ADN fonctionne comme un accumulateur de lumière » et « les domaines dispersés de l’hétérochromatine (…) fonctionnent comme des émetteurs d’ondes cohérentes » [28] .
Voilà ce qui me semble clair : à chaque virus (mais aussi molécule, antigène,…) sa vibration, son émission vibratoire. C'est sa carte d'identité énergétique, le « timbre » qui lui est propre. Peu importe le terme utilisé, c’est le principe qu’il faut retenir.
2.5. Du côté des cellules.
Dans son livre Biologie de la lumière, le Professeur Fritz-A. Popp, nous décrit en 1989 les bases scientifiques du rayonnement cellulaire ultra-faible[29]. Dès la préface de l’édition française par le Professeur J. Basile de l’Université de Louvain, nous apprenons que « Ce dirigeant d’un groupe de biophysiciens de l’Université de Kaiserslautern se trouve au cœur d’une toute récente découverte : l’émission par les cellules vivantes de rayons électromagnétiques ténus et cohérents. Le caractère de cohérence donne à ce rayonnement la propriété de résonance du laser et son extraordinaire pouvoir énergétique. Une série d’expériences (…) montre que cet effet « laser » provient d’une résonance entre les photons (d’une émission de lumière extérieure) et d’un champ électromagnétique né dans l’ADN (…). Ce phénomène est bien de nature électromagnétique puisqu’il peut se manifester à distance et n’est donc pas dû à quelque réaction de métabolisme chimique interne. (…)
Les gènes émetteurs sont aussi récepteurs, si bien qu’une navette énergétique s’établit entre le corps vivant et le milieu extérieur. »
Trois scientifiques soviétiques, S. Stschurin, V.P. Kaznachejev et L. Milchailova, ont confirmé par plus de 5000 expériences que les cellules vivantes transmettent des informations par des photons et, en particulier, par de la lumière comprise dans la bande des rayonnements ultra-violets. On peut décrire cette expérimentation simplement de la façon suivante :
« Des cellules baignant dans une solution nutritive vivent dans deux ballons de quartz. Les récipients se touchent par la paroi. Une des cultures cellulaires est contaminée par un virus : pratiquement au même moment, les cellules de la colonie contiguë deviennent malades elles aussi. Le même phénomène se produit lorsque les cellules sont détruites par des doses de rayons ultra-violets ou empoisonnées par du sublimé. Les cellules du récipient voisin deviennent chaque fois malades et présentent les mêmes symptômes alors qu’elles devraient être protégées de l’influence toxique des autres cellules par le récipient en quartz. C’est seulement lorsqu’on utilise du verre normal au lieu de quartz que les cellules de la seconde colonie sont épargnées des maux subis par la première. Une certaine information relevant de la maladie de la première colonie doit donc traverser les parois de quartz et non les parois de verre pour aller contaminer la seconde colonie. Il ne peut pas s’agir des produits chimiques ne des virus introduits dans la première culture. Ceux-ci n’ont du reste pas été retrouvés dans la culture voisine. »[30]
Comme le démontrent à suffisance le Professeur Fritz-A. Popp et ses collaborateurs, il existe bien un rayonnement photonique ultra-ténu. Et qui dit photon, dit aussi théorie particulaire et ondulatoire.
2.6. Mécanisme ondulatoire de reconnaissance virus-cellule
Je suis ainsi persuadé que, pour chaque virus, il s’agirait d’une sorte de « longueur d’onde » spécifique ou plutôt d’un spectre d’ondes. En d’autres mots, tout virus serait émetteur d’un spectre d’ondes qui lui est spécifique.
La cellule d'un organisme est également fortement vibratoire puisque vivante. Certains parleront d’énergie vitale ou énergie de vie. Toutefois, la cellule est tant émettrice que réceptrice. La cellule serait comparable à un poste de radio. Un poste de radio réceptionne les ondes qui lui parviennent et, à son tour, émet des ondes audibles. Toutefois, il ne peut réagir que si ce poste en est capable. Un poste exclusivement FM ne réceptionnera rien s’il n’est entouré que d’ondes moyennes ou longues. Et même si la gamme d’ondes est correcte, ce n’est que si le poste est parfaitement réglé sur une longueur d'onde adéquate particulière qu’il réagira, entrera en résonance et émettra la musique correspondante.
D’autre part, alors que le poste a été réglé sur la longueur d’onde souhaitée, la musique émise est composée d’une multitude d’ondes différentes dont l’amplitude ne cesse de varier. De même, la cellule serait en permanence poly-émettrice et dans plusieurs spectres ou gammes à la fois, des gammes élevées et des gammes de basses fréquences. Globalement, une cellule donnée pourrait avoir une vibration moyenne qui irait de l’élevé au faible. Une cellule morte n’émet plus dans aucune des gammes d’ondes du vivant. Les cellules malades émettent essentiellement dans les basses fréquences (attention, quand je parle de basses fréquences, il importe peu pour moi de raisonner en chiffres réels hauts ou bas). En cas de virose, j’appellerai l’une de ces gammes de basses fréquences la GRV (la Gamme Réceptrice des Virus). Il faudrait préciser ce fonctionnement.
Pour les virus, cette énergie virale d’émission correspondrait à une énergie d’information et à un potentiel vibratoire propre au virus qui lui permettra d’entrer en (bio-)résonance avec la cellule-cible. Cela coïncide avec les découvertes du professeur Luc Montagnier. J’appelle une rencontre positive entre la particule virale et la cellule-cible, le « matching ». L’absence de résonance, de matching, correspond à l’impossibilité pour le virion de s’accrocher à la cellule-cible, d’y pénétrer, de s’ouvrir et de s’y multiplier. Le virus reste alors sous sa forme de virion, sans plus.
Pour le virus SARS-CoV-2, il a été mis en évidence que la protéine Spike, ou protéine S, est la clé qui permet au nouveau coronavirus de pénétrer dans les cellules humaines. Peut-être le matching est-il produit grâce à la fréquence vibratoire spécifique, au spectre d’ondes spécifique de cette protéine.
Le matching, au niveau biochimique, s’explique comme suit : « Cette protéine Spike joue un rôle clé dans l’infection virale. C’est elle qui permet au coronavirus de se fixer, via un domaine de liaison (receptor-binding domain, RBD), à un récepteur membranaire présent à la surface des cellules cibles. Ce récepteur est désigné sous le nom d’ACE2. En d’autres termes, la protéine virale S est la clé qui s’adapte à la serrure ACE2 présente sur les cellules hôtes. Après liaison au récepteur cellulaire ACE2, c’est encore la protéine S qui intervient dans la fusion de l’enveloppe virale avec la membrane cellulaire, une étape cruciale puisqu’elle permet au virus d’entrer dans la cellule hôte pour ensuite s’y reproduire.[31] » Pour moi, cette biochimie, bien réelle, ne peut être rendue possible que s’il y a (bio)résonance. La clé ne trouvera la serrure que s’il y a cette résonance. Jamais elle ne rentrera toute seule dans la serrure s’il n’y a quelque chose pour l’y pousser.
Le Professeur Fritz Popp, à propos des expériences russes précitées n’écrit-il pas : « Les cellules vivant normalement émettent un courant photonique constant. Ce courant se modifie de façon très abrupte lorsqu’un virus pénètre dans les cellules : exaltation du rayonnement – silence – nouvelle exaltation puis extinction progressive du rayonnement en ondes multiples jusqu’à la mort des cellules. Ceci rappelle presque les cris de douleur d’un animal. »[32] Et Simon Stschurin déclare : « Les cellules touchées par différentes maladies ont des caractéristiques de rayonnements différents. Nous sommes persuadés que les photons sont capables de nous informer très tôt avant le début d’une dégénérescence pernicieuse et de révéler la présence d’un virus[33] ».
C’est pourquoi je suis persuadé que, même au stade du tout début du matching virus-cellule, la cellule émet un spectre d’ondes spécifique qui engendre sur la particule virale potentiellement compatible l’un de ses tous premiers effets, c’est-à-dire ici qui stimule le virus à essayer de se fixer sur la cellule et qui stimule la tentative de lecture de la clé (protéine Spike) par la serrure (récepteur ACE2).
2.7. Mécanisme ondulatoire concernant l’infectiosité (liaison et pénétration)
« Des milliers de variants du virus SARS-CoV-2 sont apparus depuis le début de la pandémie. Une mutation en particulier, la mutation D614G[34] de la protéine spike (la clé permettant d’infecter les cellules humaines), est devenue mondialement dominante. Elle confère au virus une capacité d’infecter in vitro les cellules humaines qui est supérieure à celle des premières formes du virus qui avaient été isolées. Cette mutation a aussi été associée à une charge virale significativement plus élevée chez les patients[35] » [36]. En d’autres mots, cette mutation D614G[37] permet au virus dominant actuel d’infecter (= se lier et pénétrer) et de se multiplier plus rapidement dans les cellules. Cette mutation qui a remplacé le génotype original démontre un avantage sélectif explicable par une production plus importante de virus, aussi bien in vitro que in vivo [38]. Ceci ne change pas la capacité de se transmettre[39] ni celle d’être plus ou moins dangereux (mortalité etc.)[40].
Il est intéressant de savoir que « l’emplacement de l’acide aminé qui se trouve modifié par la mutation D614G ne semble pas influer sur la réponse immunitaire en anticorps.» Dès lors, « la mutation ne semble pas modifier la capacité d’un système immunitaire à produire des anticorps neutralisants ».
A ce propos, « Il reste toutefois difficile d'appréhender les effets de telle ou telle mutation sur la dangerosité du virus, car l'évolution de la maladie dépend en grande partie d'autres facteurs, comme l'âge du patient, les comorbidités, la génétique ou même le groupe sanguin. Ce que redoutent le plus les scientifiques, c'est que le virus accumule suffisamment de mutations pour compromettre la mise au point d’un vaccin. [41]».
Je pourrais cependant, de ce qui précède, avancer l’hypothèse que la mutation D614G de la protéine Spike serait de nature à émettre un nouveau spectre d’onde spécifique viral, favorable à une meilleure infection (liaison et pénétration).
D’autre part, il n’est pas impossible qu’un spectre d’ondes spécifique émis par la cellule puisse engendrer sur la particule virale certains de ses premiers effets, c’est-à-dire maintenant l’ouverture du virion et/ou la pénétration du virus (endocytose) ou de son acide nucléique dans la cellule (comme avec les bactériophages).
2.8. Mécanisme ondulatoire après pénétration virale
Lorsqu’un virus a pu faire le matching, s’accrocher, s’ouvrir et pénétrer dans la cellule, il en modifie immédiatement le niveau énergétique (vibratoire) puisqu’elle est devenue une cellule infectée, une cellule-hôte. C’est un peu ce que disait Simon Stschurin ( « Les cellules touchées par différentes maladies ont des caractéristiques de rayonnements différents. »). La cellule a changé le spectre et l’amplitude de certaines des ondes émises réparties dans différentes gammes. Je pense que, dans les gammes de fréquences les plus hautes, la plupart des ondes ont leur amplitude largement réduite tandis que certaines ondes de plus basses fréquences s’éteignent alors que d’autres encore apparaissent. L’une d’entre elles au moins (ou une partie du spectre) sera spécifique au virus concerné et fait partie de la gamme GRV. Globalement, le niveau vibratoire de la cellule aura baissé ou du moins sera changé.
Des expériences étayent ce mécanisme ondulatoire. Les trois chercheurs russes, S. Stschurin, V.P. Kaznachejev et L. Milchailova, expliquent ainsi : « On a mesuré le rayonnement cellulaire au moyen d’un amplificateur (photomultiplicateur) . Les cellules vivant normalement émettent un courant photonique constant. Ce courant se modifie de façon très abrupte lorsqu’un virus pénètre dans les cellules : exaltation du rayonnement – silence – nouvelle exaltation puis extinction progressive du rayonnement en ondes multiples jusqu’à la mort des cellules. »[42]
Ce changement vibratoire de la cellule nouvellement infectée impactera immédiatement le voisinage tant sur les autres particules virales que sur les autres cellules ou organes.
Je vois un cas semblable lorsqu’un spermatozoïde pénètre dans l’ovule et lorsque, instantanément, ce dernier ne peut plus être pénétré par un second spermatozoïde. Pour moi, le principe est qu’une fois le matching fait, la modification du niveau vibratoire de l’ovule et très probablement l’émission d’une nouvelle onde (spectre) cellulaire empêchent tout nouveau matching et donc toute nouvelle pénétration.
Lors de ce début d’infection, les nouvelles ondes virales et cellulaires émises modifient l’épigénétique de la cellule hôte que ce soit au niveau des acides nucléiques du noyau ou cellulaires (des mitochondries…).
Ainsi, une fois la pénétration du virus dans la cellule effectuée et la particule virale ouverte, l’acide nucléique viral libéré engendre de nombreux détournements des fonctionnements cellulaires moléculaires normaux dans le but de faire réaliser sa propre multiplication (réplication) des virions mais engendre aussi une multitude d’autres changements perturbateurs au niveau cellulaire. Tous ces effets sur la cellule contaminée, bien que biochimiques, sont également d’ordre vibratoire. Comme je l’ai dit plus haut, la cellule n’est jamais tuée à ce stade. Les virus se multiplient donc en utilisant la machinerie métabolique de la cellule-hôte (ribosomes, ARN de transfert, enzymes de la transcription et de la traduction…).
Globalement, après s'y être multiplié, les virions peuvent sortir de la cellule (exocytose) et passer ailleurs : vers les cellules voisines, vers les tissus voisins, vers les circuits sanguins, vers l'extérieur etc.
Les effets de cette extension vers les cellules voisines, sur les organes ou sur l’ensemble de l’individu peuvent être des plus divers et sont aussi vibratoires.
Je pense même pouvoir aller plus loin dans mon raisonnement. Le sang, par la présence de son eau et l’existence de la mémoire de l’eau, pourrait devenir le vecteur de la carte d’identité vibratoire du virus et transmettre rapidement cette information à l’ensemble du corps, disséminant ainsi l’énergie virale à toutes nos cellules. C’est tout le corps qui devient malade. Ce serait dès lors l’onde virale qui voyagerait dans le corps mais pas forcément uniquement les particules. Certains organes réagiraient plus que d’autres, selon leurs propres énergies.
Les travaux du Professeur Luc Montagnier vont dans le sens de cette hypothèse. En effet celui-ci nous dit, et je le répète : « nous avons découvert que certains ADN de virus ou de bactéries émettent des ondes électromagnétiques. Il s’agit d’un phénomène de résonance lié à l’excitation de ces molécules dans certaines dilutions aqueuses. Ces ondes reproduisent l’information de l’ADN initial – ce sont des ondes extrêmement spécifiques. … Toutes les séquences d’ADN peuvent émettre des ondes mais à des niveaux plus faibles. … Les ondes ne sont pas seulement émises par l’ADN de départ, elles sont aussi produites par des nanostructures formées dans l’eau à ces dilutions. »[43]
Et puis rappelez-vous les travaux des scientifiques soviétiques cités plus haut qui démontrent que « Une certaine information relevant de la maladie de la première colonie doit donc traverser les parois de quartz et non les parois de verre pour aller contaminer la seconde colonie. » Ainsi cette onde traverse le quartz mais pas le verre. Il serait donc logique que l’onde émise par les virions dans le corps et par les cellules virosées rayonne dans le corps humain et y transmette l’information virale.
2.9. Application du mécanisme ondulatoire à la spécificité de la relation virus-cellule et virus-hôte.
Pour un virus (une maladie) donné, les modifications induites sont quasi exclusivement fonction du potentiel cellulaire, donc de l’hôte, et ne sont pas programmées par le virus ou très peu.
A ce stade, pour le SARS-CoV-2, nous noterons qu’environ deux à trois jours avant l’apparition des symptômes, la charge virale est déjà très élevée dans les voies respiratoires supérieures [44]. Dès ce moment, les particules virales sont largement dispersées dans l’environnement.
Pour illustrer que la réaction cellulaire est spécifique à la cellule et donc à l’hôte, je me tournerai encore vers la virologie des plantes. Un phytovirus donné produira sur une espèce de plante hypersensible uniquement des taches (lésions locales) sur les feuilles inoculées tandis que le même virus produira sur une autre espèce une infection généralisée dont les symptômes dépendront de la plante elle-même (de son espèce, de sa variété, de son âge, de la qualité de l’eau, des engrais utilisés, etc.)… et sur d’autres espèces de plantes il ne se passera rien, ce sera une résistance totale. La maladie dépend donc clairement de l’hôte, ici principalement de son espèce.
Pour les animaux et les humains, il en est de même. Ainsi, pour un virus donné, il y aura autant de réactions possibles qu’il n’y a d’individus et cela en fonction de la génétique personnelle, du vécu, de l’environnement (ou plutôt de la pression écologique), de l’alimentation etc.
Vu au niveau vibratoire, à une vibration virale donnée correspondent des modifications épigénétiques qui, elles, seront fonction de l’individu et de son état à ce moment.
Outre la production de nouveaux virions, la cellule infectée modifiera son propre fonctionnement et produira des toxines et des tas d'autres choses qui pourront agir autour ou loin de la zone atteinte. Les cellules infectées vont donc aussi modifier l’état vibratoire des cellules distantes.
En général, les cellules distantes seront également devenues réceptives au virus.
Il n’est pas impossible cependant que certaines cellules infectées puissent modifier l’état vibratoire des cellules voisines de telle façon que les particules virales ne puissent plus faire le matching. En ce cas, l’extension virale serait ralentie voire stoppée. C’est mon hypothèse en ce qui concerne les lésions locales sur feuilles de Chenopodium quinoa évoquées ci-dessus. Au-delà des deux ou trois millimètres de tissus foliaire infecté, les cellules périphériques restent saines et le limbe reste bien vert.
Ce serait aussi un peu la situation avec les anticorps qui vont bloquer les particules virales et empêcher tout nouveau matching. J’ajoute que la réaction immunitaire pourrait également être un phénomène vibratoire et que, dès lors, il n’est pas impossible qu’elle agisse à distance. Le Professeur Fritz Popp va encore une fois dans ce sens car il explique qu’en cas de réaction immunitaire, il y a « échange de biophotons en résonnance » [45].
2.10. Application du mécanisme ondulatoire à la sensibilité de l’hôte.
Comme expliqué, les productions cellulaires en cas d’infection virale dépendront essentiellement du seul potentiel de la cellule et ne dépendent (quasi) aucunement du virus qui ne contient d'ailleurs généralement aucune de ces informations. C'est l'hôte qui va dicter l'évolution de la maladie et non le génome du virus (ou si peu). Le virus se contente de générer un état vibratoire initial spécifique de départ.
Au niveau de l’individu, l’importance de la réaction est clairement liée à la personne. Ainsi, le système de l'human leucocyte antigen (HLA), le complexe majeur d'histocompatibilité (MHC) chez l'homme, est une partie importante du système immunitaire et est contrôlé par des gènes situés sur le chromosome 6. Il code pour les molécules de surface cellulaires spécialisées dans la présentation des peptides antigéniques au récepteur des lymphocytes T (TCR) sur les lymphocytes T [46]. C’est donc l’hôte qui est aux commandes.
Pour la Covid-19, une preuve de l’importance du potentiel des cellules et de l’hôte est qu’il a été démontré qu’une partie des personnes présentant une forme clinique critique de Covid-19 possèdent dans le sang des auto-anticorps qui neutralisent l’activité de molécules antivirales naturellement produites par l’organisme en réponse à une infection virale : les interférons de type 1 (IFN-I). Il existe également des « auto-anticorps dirigés contre l’IFN-alpha2 et l’IFN-oméga. Tous ces auto-anticorps neutralisent donc l’activité antivirale de ces molécules antivirales in vitro. » Ces auto-anticorps préexistent à l’arrivée du virus. Ainsi,« ces auto-anticorps dirigés contre les IFN de type I sont une cause, et non la conséquence, d’une infection sévère par le SARS-CoV-2 » [47]. Cette découverte est d’ailleurs importante puisqu’on a constaté qu’environ 10 % des malades graves hospitalisés de la Covid-19 sont en rapport avec des défauts monogéniques. Ces hospitalisés possèdent l’un des 13 gènes humains qui sont mutés dans d’autres infections virales chez l’homme (encéphalites herpétiques, accidents de vaccinations avec le ROR par exemples) [48]. Ces mutations ne sont pas présentes chez les personnes asymptomatiques. Il s’agit de gènes responsables de déficits immunitaires, héréditaires, monogéniques et responsables d’infections virales graves isolées. Ceci explique entre autres les déficiences constatées chez des sujets adultes dans la tranche de 35 à environ 50 ans, récessifs complets, alors que ces individus n’avaient jamais été hospitalisés pour des infections de type viral. Il serait important d’ailleurs, dans ces cas graves d’hospitalisation, de vérifier si l’activité des interférons de type 1 n’est pas insuffisante (présence d’auto-anticorps neutralisants contre les interférons de type 1) auquel cas des soins appropriés seraient aisément accessibles (interféron béta).
Ce second exemple tend à démontrer que c’est donc bien essentiellement l’hôte qui dicte l’évolution de la maladie, ici en influençant gravement la dangerosité de cette dernière.
2.11. Qu’arrive-t-il s’il y a peu de particules virales dans l’air (= faible inoculum) ?
Revenant à notre poste de radio, lorsque le signal émetteur est trop faible, il n'y a pas de réception (= pas de matching). Il existe en effet un seuil limite de détection. Pour les virus, le processus est identique. C’est le cas lorsque des particules sont présentes dans l’air mais en trop faible quantité. Les cellules-cibles ne sont alors pas affectées ou trop peu. Une autre hypothèse serait que seules de rares cellules pourraient être contaminées mais que les changements vibratoires induits ne seraient pas de nature à modifier sensiblement l’état vibratoire général. On serait un peu comme avec nos lésions locales sur les feuilles de chénopodes. Ce niveau de sensibilité (ou cette limite de détection pour le poste de radio) serait variable selon les cellules, les organes, les moments de la vie, etc. En outre, puisque nous sommes pluricellulaires, toutes nos cellules ne réagissent pas de la même façon. Quelques unes de nos cellules pourraient éventuellement être infectées (muqueuses…) mais si ces infections (et donc les multiplications virales) restent limitées à un très faible nombre de cellules, la contamination ne parviendrait pas à engendrer une quelconque maladie généralisée.
Ce très faible niveau d’infection et le très faible changement énergétique induit me semble expliquer, du moins en partie, pourquoi nous sommes en permanence porteur de plusieurs virus différents mais que nous n’en sommes pas affectés.
En d’autres mots, ce n'est évidemment pas parce qu'il y a des virus dans l'air qu'on sera d'office malade.
En clair, il existe pour chacun un seuil minimum de concentration de particules virales (idem pour les bactéries…) en dessous duquel l’individu ne devient pas malade. Ce seuil est différent pour chacun et variable dans le temps selon son état de santé, nutritionnel, émotionnel, de fatigue, de stress, de joie etc.
Vous souvenez-vous des travaux évoqués par le Docteur Deepak Chopra [49] ? Si on frotte directement une suspension de virus du rhume sur les muqueuses nasales de personnes, seule une personne sur huit contracte un rhume, soit 12 %, même si on les place dans un courant d’air ou les pieds dans de l’eau glacée ?
Et puis, il y a les « expériences de Roseneau » qui confirment que, même s’il y a de fortes concentrations virales, il n’y a pas toujours transmission car il y a un seuil minimal différent pour chacun : « Nous sommes en novembre 1918. La grippe espagnole ravage le monde et un médecin militaire et infectiologue américain, Milton Joseph Roseneau, a la brillante idée de vérifier que la maladie se transmet bien d’être humain à être humain. Pour ce faire, il recrute 68 volontaires dans les rangs de l’US Navy, en réalité des marins détenus dans un centre pénitentiaire près de Boston et à qui l’on fait miroiter une remise de peine. À cette époque, on croit que la pandémie est provoquée par le même agent infectieux que la précédente à la fin du 19ème siècle, à savoir le bacille de Pfeiffer ou Haemophilus Influenza. Le lieutenant Roseneau fait donc inoculer des cultures de ce virus aux prisonniers mais il constate qu’ils ne tombent pas malades. Qu’à cela ne tienne, il fait collecter chez des grippés toutes sortes de sécrétions corporelles (écoulement nasal, mucus prélevé dans la gorge et même crachats) et ordonne qu’on les asperge sur le visage des volontaires, ainsi que dans leurs narines et leur bouche. Nouvel échec car 10 jours plus tard, aucun d’entre eux ne manifeste le moindre symptôme. Aux grands maux leurs grandes causes présumées, l’infectiologue fait alors conduire 10 détenus au chevet de 10 malades et demandent aux premiers de serrer la main et de respirer l’haleine des seconds. Ceux-ci sont même incités à cracher à la figure des marins cobayes, à nouveau sans que grippe espagnole s’ensuive. »[50]
Je reviens aussi aux tests PCR actuels pour déceler coûte que coûte dans la population la présence du génome du SARS-CoV-2. De très nombreux tests sont positifs (il y a donc génome ou morceaux du génome du virus) mais la plupart de ces positifs ne présentent aucun symptôme (ils ne sont donc pas « malades »). Ce n’est donc pas parce qu’on a de l’acide nucléique viral (ou des morceaux d’ARN viral) dans le nez qu’on est nécessairement malade.
Peut-on même parler de résistance ? Pas nécessairement car il y a ce phénomène de seuil. Tout est dans la dose, dit-on. Je préfère envisager l’existence d’un seuil ou niveau de résistance.
Pour les virus humains, la personne est dite résistante si elle n’est pas du tout contaminée et sera porteur-sain (tolérante) s’il n’y a aucun symptôme. Bien sûr, ceci n’empêche pas qu’il y ait aussi chez les personnes sensibles ou fragilisées toute une échelle de réactions et d'effets possibles.
Par contre, il est clair que plus la charge virale chez l’individu sera élevée, plus cet individu en sera affecté. [51]
En conclusion, si l’inoculum, c’est-à-dire la quantité de virions présents dans l’environnement, est inférieur à ce seuil de résistance, l’individu ne tombera pas malade. On peut exprimer la même chose avec la théorie ondulatoire. En ce cas, s’il y a faible inoculum, il y a manque de « matching ». C’est une question de seuil énergétique de résistance. En fait, ayant une trop faible résonance entre les virions et les cellules, les effets sont insuffisants pour rendre l’individu malade.
2.12. Application à la Covid-19 : pourquoi la très faible infectiosité estivale de 2020 ?
Cette situation de pression infectieuse réduite s’est présentée en juillet 2020 lors de la fin de la première vague de la Covid-19. Le très faible niveau de contamination détecté au niveau national[52], essentiellement sur des personnes ne présentant pas ou très peu de symptômes de maladie, n’était plus de nature à induire une réelle inquiétude. Les chiffres relatifs aux nombres de malades étaient ridiculement bas, si nous parlons exclusivement de personnes avec des symptômes suffisamment importants que pour se rendre chez le médecin.
A l’époque, il y avait eu clairement une baisse très importante du nombre de personnes malades. Il est évident que l’amélioration générale du niveau vibratoire et de la résistance immunitaire dès les beaux jours revenus ainsi que la destruction naturelle particulaire par la lumière solaire y étaient pour beaucoup. L’augmentation des vitamines dont la D3 favorisée par le soleil, est probablement un élément intéressant dans cette amélioration. De plus, il ne faut surtout pas négliger l’effet essentiel de l’état émotionnel de la population, la peur s’éloignant à grand pas ainsi que les séquelles psychologiques du premier confinement. Au niveau individuel, cette amélioration vibratoire avait entraîné certainement en juin-juillet une perte du potentiel de matching et la maladie perdait en intensité, réduisant ses effets sur le corps humain et sur les transmissions subséquentes. Pour justifier cette régression de la maladie, il est clair également que la souche virale s’était modifiée (mutée) et était devenue moins virulente (au sens de moins dangereuse). On sait d’ailleurs que le SRAS-Cov-2 est un champion des mutations. Nous avions donc en juillet-août des souches virales atténuées. Ceci est certainement partiellement exact mais, pour moi, c’était également le niveau vibratoire général qui avait changé.
La preuve de la très faible dangerosité de la Covid-19 en juillet-août 2020 est visible en suivant le nombre de décès imputés à cette maladie. Les décès constatés à cette période étaient devenus rarissimes. Seuls les tests antigène ou PCR (dont le nombre avaient été considérablement accrus) mettaient encore en évidence des infections, parfois douteuses puisque certains des tests réagissaient en faux positif. En raccourci : des transmissions oui, des malades non (quasi).
2.13. Application au Covis-19 : pourquoi la reprise automnale en octobre 2020 ? Une affaire énergétique ?
En septembre, ces contaminations marginales me semblaient nettement insuffisantes pour provoquer, en fin d’été et en automne, une recrudescence brutale de la pandémie Covid-19, les conditions n’étant plus réunies. Seul un concours de plusieurs circonstances sensibilisant les personnes à très grande échelle et avec une souche virale redevenue agressive auraient pu engendrer une phase de reprise des infections. Il est probable que le retour à la malbouffe, la proximité excessive et multiple (dans les dancings, bars…), la vie nocturne et d’autres facteurs fragilisants ont permis d’augmenter les risques d’une reprise… mais pour une maladie qui semblait toujours rester en septembre essentiellement bénigne.
Je ferai remarquer que la contamination naturelle est un processus qui a de toute façon son utilité puisqu’il permet d’immuniser de façon stable et naturelle la population [53].
L’évolution de la maladie ces derniers mois semblait me donner raison. En effet, la situation s’était encore améliorée puisqu’au 27 septembre 2020, seuls 120 des 83583 patients infectés avaient des symptômes sérieux ou critiques, soit 1,14 %… et que le taux de mortalité ne représentait plus que 0,006 % !!!
Je fais cependant remarquer qu’il n’est pas démontré que les tests PCR et/ou antigéniques réalisés sont de nature à identifier clairement la nature des viroses concernées. Il semble que la spécificité des tests ne soit pas des meilleures. S’agit-il de coronavirus ou exclusivement du SARS-CoV-2 ou de ses nombreuses mutations ou encore y-a-t-il des confusions possibles avec l’un des nombreux virus de grippes saisonnières ? Il est remarquable que depuis début 2020, il n’existe plus aucune donnée sur ces autres viroses. C’est comme si elles avaient toutes disparues. Il est probable que tous les malades ont été encodés comme infectés par l’unique SARS-CoV-2.
A partir d’octobre 2020, la détérioration climatique normale en ce début d’automne était de nature à favoriser à nouveau les contaminations par toutes les viroses de type grippales… et surtout à fragiliser les personnes par la baisse de la luminosité, par le manque de sport, le manque de sorties au grand air, le surcroît d’air mal ventilé dans des environnements clos etc. Pire, les personnes âgées n’étaient pas encore remises de la première vague et du premier confinement, particulièrement celles ayant survécu dans les homes. Le seuil de résistance des individus recommençait donc à baisser dangereusement … et le virus de la Covid-19 (et les autres virus [54]) retrouvait ainsi matière à se multiplier et à se diffuser dans la population. En outre, des éléments nouveaux tendent à démontrer qu’une souche virale plus dangereuse de SARS-CoV-2 pourrait avoir repris du terrain, ceci étant l’une des explications possible au surcroît d’hospitalisations. Le manque de couverture virale en été suite aux mesures prises et maintenues trop longtemps n’auraient-elle pas empêché l’immunité de groupe de s’installer uniformément sur le territoire à un moment où la maladie était moins agressive ? Allons-nous retrouver la dangerosité initiale faute d’une concurrence de couverture virale ? Tout ceci reste à vérifier, surtout avec l’hiver qui arrivera bientôt.
Par contre, il me semble illusoire et totalement inutile de vouloir exterminer à tout prix toute particule virale de SARS-CoV-2 dans la population et dans l’environnement vu qu’il en restera toujours de façon latente et tolérées par les individus. Le prix payé pour une telle tentative a déjà été bien trop lourd, extrêmement lourd, tant économiquement, que psychologiquement et émotionnellement pour tous nos citoyens. Il suffit de voir la situation catastrophique dans certains homes, le déficit dans l’enseignement, les faillites multiples, l’effondrement de plusieurs secteurs économiques et de tous ceux qui en dépendent et leurs familles, l’endettement colossal des états et j’en passe… Faut-il vraiment tyranniser et anéantir toute la population pour éliminer un virus alors que dans le monde ce même virus n’a tué « que » 1.218.000 habitants (statistique du début novembre), soit 0,015 % de la population mondiale (alors qu’il meurt 57,3 millions d’habitants chaque année) ?
Je rappelle aussi que nous sommes en permanence les porteurs sains de plusieurs virus et que cela, c’est la norme. Nous devrons certainement apprendre à vivre avec le SARS-CoV-2, comme nous le faisons depuis toujours avec tant de virus et chaque année avec celui de la grippe saisonnière. Apprendre à vivre avec cette virose, c’est pour moi en priorité apprendre à augmenter son propre seuil de résistance (vis-à-vis de toutes les viroses quelles qu’elles soient) par une bonne nutrition, une bonne hygiène, du sport (bouger, marcher…), une meilleure gestion du stress, un bon équilibre émotionnel etc.
En conclusion, pour cette reprise automnale, si la dangerosité du SARS-CoV-2 a eu un certain rôle à jouer, ce rôle n’était certainement pas essentiel. Le reprise de la virose et de ses effets est surtout une affaire énergétique.
Chapitre 3 : La double théorie particulaire et ondulatoire des virions explique différentes approches médicales et mesures prophylactiques
3.1. Les mesures prophylactiques particulaires et les filtres
En simplifié, la théorie conçue par Pasteur est que les agents pathogènes sont des organismes dangereux qu’il convient de détruire dans notre environnement. Ce sont nos ennemis.
Limiter le nombre de particules dangereuses est donc une stratégie importante à utiliser en tout premier lieu. Ainsi, mon ami virologue américain désinfectait-il sa salade à l’eau de Javel avant de la consommer, tellement il avait peur des microbes ! Puf.
Une application pratique de cette approche pasteurienne et de la théorie particulaire est la propriété des filtres que nous plaçons devant notre bouche et nos narines pour retenir partiellement les virions. Ils visent à diminuer le plus possible la quantité de particules qui traversent le filtre, dans un sens comme dans l’autre. Puisque tous les virus humains à capside tubulaire ont un péplos (grippe etc.), ils ont essentiellement une transmission par contacts rapprochés. Les filtres physiques peuvent réduire partiellement cette transmission en retenant les micro-gouttelettes infectantes projeté par la toux du sujet infecté (on parle de transmission par aérosols de sécrétions respiratoires) [55].
L’efficacité du filtre va ainsi dépendre principalement
– de la dimension des trous (nos filtres utilisés pour le coronavirus sont des trous béants pour les virions qui mesurent 100 nm soit environ 100 fois moins que chaque trou[56]),
– du nombre de couches à traverser (donc l’épaisseur du tissus…),
– du degré de saturation du filtre,
– et évidemment de la façon de mettre ces filtres.
Lors de la pandémie du Covid-19, il était admis que les filtres courants et le port du masque avaient une efficacité de l’ordre de 80 % [57]. J’ignore d’ailleurs comment on peut vérifier une telle efficacité. La protection serait pour le moins lacunaire [58]. Enfin, il vaut mieux un peu que pas du tout.
Quoiqu’il en soit, ces filtres retiennent malheureusement aussi les bactéries et les champignons qui ne peuvent sortir du masque et qui peuvent se développer sur la surface intérieure du masque. Ceci pourrait alors engendrer des maladies pulmonaires diverses et des dermatites chez le porteur du masque[59] et un abaissement de sa propre résistance. Il est évidemment recommandé pour ces raisons d’utiliser des filtres jetables et de bien laver régulièrement les filtres en tissus.
3.2. Les agents désinfectants
Une autre stratégie pasteurienne est de détruire un maximum d’agents infectieux par des substances chimiques les plus diverses : les désinfectants (bactéricides, fongicides…).
Les virions peuvent être détruits par des agents désinfectants (virucides). Toute modification des structures protéiques de surface ne leur permet plus de jouer leur rôle de ligand et le virion perd tout pouvoir infectieux. Le savon reste un agent très efficace et peu coûteux. D’autre part, les peroxydes (eau oxygénée…), les produits halogénés (eau de Javel, …) et les aldéhydes (formol[60], glutaraldéhyde) peuvent dénaturer les acides nucléiques et/ou les capsides et rendre ainsi ces particules virales inactives. La technique du formol a été utilisée pour produire des vaccins dits inactivés en neutralisant les virions (vaccin anti-hépatique-A). Cette technique conserve assez bien la structure des capsomères ce qui permet par la suite la reconnaissance antigène-anticorps recherchée.
Plus simplement, pour le coronavirus SARS-CoV-2, il est largement recommandé de bien se laver les mains au savon ou de se désinfecter les mains à l’aide de gels contenant de l’éthanol, du glycérol et/ou de l’isopropanol. Il est en effet bien établi que ce virus est sensible au savon et aux désinfectants usuels [61].
De mon point de vue, ces actions chimiques produites sur les éléments du virion sont assimilables à des actions essentiellement sur les particules elles-mêmes, c’est pourquoi j’intègre les actions chimiques dans mon approche virus-particule. Il est bien sûr évident que toutes ces actions ont également comme effet de modifier l’état vibratoire de ces particules.
Bien qu’il s’agisse de bactéries, les antibiotiques seraient à considérer de la même façon vis-à-vis des particules que sont ces bactéries.
3.3. Les rayonnements et effets sur les viroses
La nature destructrice de la lumière (UV,…) sur les virions n’est pas à négliger., surtout lorsque arrive la belle saison. Cette action est essentiellement particulaire.
Si nous nous fixons sur la diminution des maladies à partir du printemps, une partie de cette régression doit cependant être imputée à des éléments non particulaires puisqu’il faut aussi tenir compte de l’action de la lumière solaire sur notre état de santé général et sur la qualité de nos aliments (plus de produits frais et de crudités, vitamines etc.).
Au contraire, le confinement de personnes saines en présence de personnes malades permet trop peu de destruction des virions par la lumière naturelle (UV…). Ceci a certainement été une élément déterminant dans les homes, surtout lors de la première vague de la Covid-19, où nos personnes âgées ont subi une catastrophe sanitaire sans précédent. L’enfermement du mois de novembre est tout aussi délétère, les chiffres de mortalité chez les personnes âgées étant repartis de plus belle. Ne croyez pas que je raconte n’importe quoi, je le vis actuellement au sein de ma famille et j’y ajoute même l’interdiction de prendre librement des vitamines et des oligoéléments. Il est particulièrement absurde de la part de virologues et de médecins d’avoir encouragé l’enfermement en chambre (manque de lumière naturelle et d’air frais, présence de nombreux substrats inertes, sans compter les impacts psychologiques indéniables et le manque d’activités physiques…) ou simplement dans les appartements et les maisons de villes (surtout sans jardin). La sensibilité à la température, aux rayonnements naturels et à l’air sont des mesures élémentaires en virologie qui auraient dû être mieux prises en compte, les masques n’étant que d’un secours limité.
3.4. Théorie particulaire des virions vis-à-vis de la théorie de Pasteur
A ce stade de l’exposé, je peux conclure que la théorie particulaire est pleinement compatible avec la théorie pasteurienne, base essentielle de la lutte contre les maladies. J’ai bien dit lutte car Pasteur voyait les agents dits pathogènes comme des ennemis extérieurs à notre corps et qu’il fallait absolument détruire. C’est une guerre permanente que l’on mène, parfois avec des armes redoutables. Il était déclaré officiellement par nos dirigeants politiques, lors du début de la pandémie de la Covid-19, que nous étions en guerre contre le virus, guerre menée à l’échelle mondiale.
Si la théorie particulaire explique bien certains phénomènes d’infection ou de prévention contre ces infections, elle n’explique toutefois pas certains autres phénomènes. Ainsi, par exemple, pourquoi tout le monde ne tombe-t-il pas malade lors des épidémies de grippe ? Pourquoi on n’est pas toujours malade alors qu’on est porteurs de virus [62]? Pourquoi les gens ayant subi un stress intense sont-ils plus sensibles que d’autres ? Pourquoi la joie et les pensées positives améliorent-elles l’état de santé et donc donnent-elles moins de place aux maladies ? Pourquoi dans une même famille, certains ont-ils la grippe ou un rhume et d’autres pas ? Pourquoi dans un couple, l’un peut être infecté et l’autre pas ? Pourquoi seul celui qui a subi un stress important est-il celui qui est atteint ? Pourquoi la méditation augmente-t-elle fortement la durée et la qualité de vie… ainsi que la résistance aux maladies ?
Dans plusieurs de ces exemples, puisque la quantité de particules virales dans l’environnement (et son potentiel de dangerosité à un moment donné) reste identique, ce n’est pas la concentration en virions qui est l’élément important. Il faut chercher ailleurs.
Une preuve directe de cette absence de lien entre concentration en virions dans l’environnement et maladie est donnée par le Docteur Deepak Chopra [63] dont je vous ai parlé plus haut. Pour rappel, si on frotte directement une suspension de virus du rhume sur les muqueuses nasales de personnes, seule une personne sur huit contracte un rhume, soit 12 %, même si on les place dans un courant d’air ou les pieds dans de l’eau glacée.
D’ailleurs, avec tous les tests PCR actuels pour déceler chez de nombreux citoyens la présence de génome du coronavirus de la Covid-19, ne voyons-nous pas que de très nombreux tests sont positifs (il y a donc génome ou morceaux de génome) mais que la majorité des citoyens positifs ne présentent aucun symptôme (ils ne sont pas malades).
Certains pourraient encore nier cette vérité.
Tournons-nous à nouveau, pour mieux comprendre, vers les virus des plantes.
Ayant travaillé moi-même de nombreuses années dans un laboratoire de phytopathologie, je faisais régulièrement des tests de virulence de virus dont un virus particulier des céleris, le virus de la mosaïque du céleri souche ‘nécrotique’. Pour cela, j’inoculais sur des plantes-tests (ici le Chenopodium quinoa), diverses suspensions virales. Inoculer consistait à frotter délicatement des suspensions virales (du jus de plantes infectées, des suspensions de virions isolés etc.) sur les feuilles de ces plantes-tests, évidemment tout ceci dans les conditions strictes de laboratoires. Cette souche de virus y formait sur les feuilles frottées, quelques jours après l’inoculation, des taches jaunes tournant à la nécrose[64]. Aucune extension virale ne se produisait au-delà de la zone perturbée. Le nombre de ces « lésions locales » était clairement corrélé à la concentration de particules virales présentes dans la suspension (inoculum [65]) testée, ce que je pouvais aisément vérifier par le comptage des particules virales par des observations au microscope électronique ou vérifier par l’absorption au spectrophotomètre à des longueurs d’onde particulières.
Cependant, la concentration en virions dans ma suspension n’expliquait absolument pas pourquoi le nombre de lésions locales observées variait d’une plante à l’autre et pourquoi ce nombre était également différent entre les feuilles supérieures inoculées, donc les plus jeunes, et les feuilles inférieures.[66] Ces variations entre les feuilles et entre les plantes n’étaient en tout cas pas liées à la quantité de particules dans l’inoculum.
La quantité de particules virales dans mon inoculum restant phénoménale (on est dans l’infiniment petit), on ne s’expliquait pas non plus pourquoi seulement quelques lésions apparaissaient sur les feuilles alors que l’entièreté de la surface foliaire avait été inoculée. Il y aurait ainsi également une disparité au niveau cellulaire de la surface foliaire.
Le théorie particulaire ne peut dès lors pas être retenue pour expliquer ces divergences et il faut envisager autre chose. C’est ici que je me tourne, comme pour la lumière, vers la théorie ondulatoire (ou vibratoire ou énergétique).
3.5. La théorie vibratoire des virus peut-elle expliquer les variations de nos sensibilités ?
Comme avec les autres virus, les éléments qui modifient notre état vibratoire pour permettre ou non le maching avec les virions de la covid-19 et son développement sont nombreux et sont liés principalement à notre alimentation (malbouffe…), à notre état de santé, à notre moral, à notre résistance immunitaire globale, à nos pensées (angoisses, stress[67], peur…), aux chocs émotionnels, aux mémoires cellulaires, transgénérationnelles ou autres, à l'environnement pollué ou non (particulièrement aux champs électromagnétiques artificiels dont l'inquiétante 5G[68] qui agirait directement sur les cellules[69]) etc.
A titre d’exemple vis-à-vis du stress, je citerai une enquête réalisée durant l’épidémie de la Covid-19 en 2020, auprès de 263 personnes malades (diagnostiquées positives à la Covid-19 mais dont une seule a pu bénéficier d’une sérologie) [70]. 67 % des répondants ont signalé, pour 43,7 %, avoir eu des symptômes bronchiques comme ceux d’une grippe et les 23,2 % restant des symptômes digestifs évoquant une gastro-entérite. Divers symptômes étranges ont parfois été signalés tels la perte de l’érection, des œdèmes aux pieds, une perte d’odorat (anosmie). Fièvres, courbatures, fatigue, atteintes des voies respiratoires supérieures (rhinite ou sinusite) étaient fréquentes dans toutes les catégories. Le plus important de cette enquête est que 97 % des répondants ont éprouvé un stress important avant l’apparition des symptômes. 56,7 % déclaraient un stress important dans les jours, semaines ou mois précédant les symptômes, 47 % avaient été stressés à l’annonce de l’épidémie, 68,44 % avaient vécu la forte médiatisation de l’épidémie comme un stress, 38,4 % avaient vécu le confinement comme un événement stressant etc.
Nul doute qu’un stress émotionnel soit un élément capital dans la sensibilisation, ce qui s’expliquerait aisément par une modification importante du niveau vibratoire (et immunitaire) de chaque individu concerné et donc de toutes ses cellules. L’article « Le virus de la peur est le plus contagieux », article sur Christophe Haag dans Néosanté[71], va d’ailleurs parfaitement dans ce sens. On dit même que « La peur du virus Ebola est aussi contagieuse que l’épidémie. »
Ceci fera sourire certains, et je le regrette, mais notre niveau énergétique est aisément mesuré par de nombreux radiesthésistes et par divers thérapeutes qui sont capables de ressentir ces énergies vitales. La microkinésitérapie et la kinésiologie font partie de ces techniques énergétiques intéressantes.
Je suis persuadé que lorsque le niveau vibratoire global d'une cellule, d'un ensemble de cellules, d'un organe ou d'un individu diminue, à un moment donné et seulement à ce moment, il peut y avoir matching avec les particules virales présentes dans l'air ou ailleurs (eau…). Les thérapeutes énergéticiens ressentent aisément les pertes énergétiques au niveau des organes ou parties du corps perturbées par de telles contaminations.
A contrario, tout élément de nature à faire monter le taux vibratoire nous éloigne de la zone de matching virus-cellule. Globalement les personnes sont plus résistantes. Ce n'est pas le virus qui change, c'est l'individu. Parmi les exemples on peut citer les effets bénéfiques produits par les vitamines, la méditation ou par la marche dans la nature [72]. Il est connu aussi que la joie élève la fréquence vibratoire tandis que la peur et le stress ne font que l’abaisser.
Ainsi, en améliorant notre état vibratoire et donc celui de nos cellules, nous pouvons éviter cette (bio-)résonance avec des particules virales présentes dans l’environnement. Pour ce faire, je ne puis que recommander de modifier notre alimentation vers des aliments plus riches en énergie vibratoire (surtout les produits bio car ils ont un niveau énergétique clairement supérieur à celui des produits des filières classiques) et de manger des produits les plus frais et les moins transformés possibles (chaque étape de transformation diminue ce type de vibrations). Toutes les recommandations qui améliorent notre santé et notre résistance immunitaire sont en effet favorables à notre taux vibratoire : le sport, le contact avec la nature, la méditation, la pensée positive, profiter quotidiennement de la lumière solaire…
A l’inverse, de nombreuses situations ou substances peuvent faire baisser notre taux vibratoire, entraînant souvent une fragilisation puisque nous nous rapprochons des spectres/gammes d’ondes en résonance avec les agents dits pathogènes. Ainsi, par exemple, « l’aspirine et les anti-inflammatoires, qui auront une certaine efficacité sur le syndrome grippal, vont en même temps « ouvrir la porte » au virus et aggraver l’infection »[73].
3.6. Mécanismes lors d’une épidémie vus sous l’angle de la théorie ondulatoire.
Lors d’une épidémie virale, la réaction immunitaire attendue chez l'individu consiste à ce que son corps puisse envoyer le plus vite possible dans la ou les zones du corps contaminées par l’agent infectieux (et ainsi dont le taux vibratoire cellulaire a baissé) des cellules spécialisées ainsi que des anticorps spécifiques à l’agent.
Il est connu que les anticorps sont des protéines qui se lient spécifiquement aux antigènes à la surface des agents pathogènes (ex. virus). La particule s’en trouve ainsi bloquée. C’est un effet particulaire mais aussi énergétique car, si elle est chimique, la réaction immunitaire n’en n’est pas moins aussi ondulatoire.
Le principe ondulatoire serait ainsi que la vibration de l’anticorps modifierait irréversiblement l’onde émise par le virion qui y correspond.
Avec la théorie ondulatoire, deux hypothèses peuvent être avancées en ce qui concerne les cellules immunitaires envoyées en renfort par le corps. On peut aussi envisager que ces deux hypothèses coexistent.
- Soit les cellules immunitaires porteraient un signal ondulatoire spécifique suffisamment puissant que pour modifier l'état vibratoire des cellules saines, voire aussi des cellules infectées. Ces cellules immunitaires pourraient éventuellement modifier à long terme les capacités réceptrices des cellules saines en empêchant l’émission d’ondes spécifiques au matching avec les pathogènes liés à cette immunité. Ces modifications énergétiques seraient reproductibles et devraient donc passer de génération en génération cellulaire comme le fait toute transmission épigénétique. Il se créerait donc une mémoire immunitaire énergétique cellulaire.
- Soit les cellules immunitaires, via les anticorps, agiraient directement sur les particules virales en modifiant leur propre vibration par exemple au moment de l’approche initiale de particules virales et/ou dès leur sortie des cellules contaminées. Il est en effet connu que les anticorps produits « peuvent neutraliser les virus n’ayant pas encore pénétré dans les cellules. »[74] Faute de matching possible, l’individu resterait sain ou, s’il était déjà malade, les autres cellules ne seraient plus réceptrices et il y aurait la guérison.
3.7. Mémoire immunitaire
Après une première infection virale et après voir éliminé le virus, le système immunitaire conserve cet événement en mémoire. Celle-ci lui permettra de réagir rapidement et avec plus de vigueur lorsque le même antigène se présentera. La première explication qui vient à l’esprit est que « la réaction immunitaire aurait pour conséquence de laisser derrière elle un nombre plus important de lymphocytes spécifiques de l’antigène or ces lymphocytes auraient la vie longue. Pour certains auteurs cependant il n’y aurait mémoire immunitaire que s’il y a stimulation intermittente par persistance de l’antigène ou par rencontre d’antigènes voisins dans l’environnement. »[75]
D’autres immunologistes ont une théorie plus globale et pensent que la mémoire ne reposerait pas sur quelques cellules spécialisées. Cette vision plus globale reposerait « sur l’ensemble des composants du système immunitaire à l’image de la mémoire du système nerveux qui ne repose pas sur des neurones particuliers mais sur des réseaux de neurones. » Ils argumentent cela par « l’impossibilité de transférer à des souris la mémoire immunologique d’un antigène en leur injectant des clones lymphocytaires spécifiques de cet antigène. » Si je comprends bien, il s’agit d’essayer de transférer une mémoire d’antigène en transférant les lymphocytes correspondants.
Les lymphocytes B sont des cellules. A ce titre, ces lymphocytes sont vibratoires. Ce sont les cellules émettrices et réceptrices d’ondes vitales spécifiques au virus considéré. Ils sont comparables à une multitude de petits postes de radio émetteurs et récepteurs préréglés pour entrer en résonance avec le virus concerné. Imaginons que nous injections ces micro-postes dans des souris en espérant ainsi transférer la mémoire immunologique du virus. Cependant, on aurait injecté les fréquences émettrices et réceptrices particulières, celles des postes et non celles des virus. Pensez-vous que ces fréquences des lymphocytes (les micro-postes) stimuleraient une réaction immunitaire nouvelle active contre ces virus ? Non car ce que nous aurions injecté ce seraient les fréquences des micro-postes et non des virus émetteurs initiaux (les antigènes). Ce ne sont pas les mêmes fréquences. Il est donc parfaitement logique que « transférer à des souris la mémoire immunologique d’un antigène en leur injectant des clones lymphocytaires spécifiques de cet antigène (NDLA => les micro-postes de radio préréglés) » soit totalement inefficace à transférer une quelconque mémoire immunologique.
Cette critique ou argumentation ne justifie rien vis-à-vis de la mémoire.
En fait, elle n’exclut aucune des deux explications des immunologistes. Ce n’est pas parce qu’il subsiste peu, voire très peu, de lymphocytes spécifiques de l’antigène que cette action ne pourrait pas se maintenir relativement longtemps. Il n’y a ainsi aucune raison sérieuse qui empêcherait qu’une toute petite quantité de lymphocytes ne puisse suffire à maintenir et à transmettre la mémoire immunitaire durant de relativement longues périodes. Souvenez-vous des expériences de l’immunologiste français Jacques Benveniste sur la mémoire de l’eau en 1988. Il démontrait une efficacité immunologique à des dilutions telles que les antigènes étaient devenus absents dans les préparations. Je vous en parlerai plus loin. Pourquoi pas un phénomène semblable avec les lymphocytes dilués ? Ce seraient le corps, le système immunitaire complet et son eau, qui garderait la mémoire immunologique.
Ainsi, ce sont plutôt les deux théories prises ensemble qui renforcent la théorie de la mémoire de l’eau… et inversement ! On est bien dans l’énergétique, l’ondulatoire.
3.8. Qu’en est-il des vaccinations, particulaires et/ou ondulatoires ?
Le principe de la vaccination est fondé sur l’idée que les virus sont nos ennemis qu’il convient d’empêcher d’entrer dans nos cellules en dynamisant notre système immunitaire. A une souche virale donnée, les anticorps doivent préexister dans le corps pour efficacement empêcher la contamination. Il s’agit d’une application des découvertes de Pasteur.
Même si le blocage des virions pouvait être vu comme une action particulaire, elle est surtout vibratoire. L’action virus-anticorps est bel et bien réelle, biochimique et énergétique.
Si Pasteur souhaite uniquement éliminer l’agent viral « pathogène », pourquoi y aurait-il alors des risques inhérents à cette méthode, les indéniables effets secondaires ? Seraient-ils énergétiques ?
D’une part, à force de fournir aux cellules l'obligation de mémoriser de trop nombreuses "longueurs d'ondes" spécifiques[76] pour des tas de variants de virus, nos cellules en deviennent saturées. Il est déclaré que les vaccins anti-grippaux n’assurent une protection que de 30 à 60 % [77] probablement essentiellement parce que les souches vaccinales ne correspondent pas aux souches circulantes, voire une protection proche de 0 % comme en 2019-2020 [78].
D’autre part, les programmes de vaccinations modifient la capacité vibratoire de chaque cellule. Il ne faut pas oublier que le vaccin n'agit que si l'individu a été infecté par l’injection, même si c’est par des leurres (des virus atténués ou inactivés, des morceaux de virus…). Il y a donc déjà eu matching avec une grande quantité des cellules du corps. Ceci implique que, pour qu’un vaccin fonctionne, il faut que les cellules de l’individu aient été mises à un niveau vibratoire abaissé propice à ce matching. Lors de la vaccination, il s’agissait d’ailleurs de forcer le corps artificiellement à réagir comme s’il avait été infecté naturellement.
3.9. Quels sont les rôles des adjuvants des vaccinations et quels sont leurs impacts ?
On peut lire qu’il est souvent nécessaire de recourir à des adjuvants dans les vaccins. Un adjuvant a deux fonctions [79]:
– garder l’antigène à proximité du site d’injection,
– activer des cellules présentant l’antigène de manière à favoriser la reconnaissance immune et la production d’interleukines.
On trouvera donc généralement qu’un adjuvant est une substance ajoutée à un vaccin pour « améliorer la réponse du système immunitaire » face au microbe contre lequel le vaccin se veut protecteur.
En fait, la présence d’adjuvants (aluminium, squalène, AS01, adjuvants mercuriques [80],…) a pour but d’augmenter la réactivité de l’individu pour qu’il produise plus d’anticorps, sinon la plupart des vaccins n’auraient que peu ou pas d’efficacité. L’ajout d’adjuvant est d’ailleurs indispensable dans la majorité des vaccins « tués » (virus inactivés) si l’on veut déclencher une réponse immunitaire entraînant une bonne protection [81].
Augmenter la réactivé et déclencher une réponse immunitaire, cela veut dire, s’il s’agit de virus atténués, d’abord d’empêcher les cellules de l’individu sain de neutraliser trop vite les virions injectés pour que les cellules et le corps aient le temps de produire des anticorps. Il faut que les cellules soient infectées et multiplient ces virions. En d’autres mots, il s’agit d’affaiblir les cellules saines du vacciné pour qu’il tombe malade.
Les adjuvants abaissent d’abord la résistance immunitaire pour permettre ensuite au corps de déclencher une réponse au vaccin. Ceux qui travaillent avec les énergies diront que les adjuvants abaissent le taux vibratoire du vacciné.
Par exemple, de nombreux vaccins contiennent de l’aluminium, celui-ci ayant pour but d’altérer les propriétés énergétiques/vibratoire des cellules jusqu’à les rendre sensibles à l’inoculum. Malheureusement, ce métal peut s’accumuler dans diverses cellules de notre corps et y provoquer des sensibilités prolongées vis-à-vis d’autres maladies que celle visée initialement.
Cette action des adjuvants n’est malheureusement pas spécifique et le vaccin, en affaiblissant l’individu, ne peut que le rendre momentanément plus fragile à tous les pathogènes et aux autres virus qui seraient présents au même moment dans l’environnement.
C’est une des raisons pour lesquelles il est déconseillé de vacciner quelqu’un qui est déjà malade d’autre chose et je me pose sérieusement la question de ces risques pour toutes les personnes déjà fragilisées telles les personnes âgées. Vous n’en doutez pas, ceci n’est pas la version officielle.
Ces effets dus aux adjuvants ont été confirmés par le Dr. Soumya Swaminathan Swaminathan, Scientifique en chef de l’OMS et pédiatre, lors d’une intervention le 3 décembre 2019 : « Il me semble que les adjuvants, multiplient l’immunogénicité des antigènes [capacité qu’à un antigène de provoquer une réponse immunitaire bien spécifique], auxquels ils sont ajoutés, et que c’est leur intention. Il me semble qu’ils multiplient la réactogénicité dans de nombreux cas, et il me semble donc qu’il n’est pas surprenant qu’ils multiplient l’incidence des effets indésirables associés à l’antigène, mais ceux-ci peuvent ne pas avoir été détectés par manque de statistiques fortes dans les études initiales. »
Lors de l’intervention du Dr Stephen Evans, Professor of Pharmacoepidemiology, London School of Hygiene & Tropical Medicine, ce même jour du 3 décembre 2019, le Dr. Martin Howell Fride, coordinateur du Initiative of Vaccine Research, répond : « Vous avez raison. Lorsque nous ajoutons des adjuvants, en particulier certains des adjuvants les plus récents, tel que l’AS01, adjuvant dérivé de la saponine, nous constatons une réactogénicité locale accrue. »
En outre, ceci est sans compter que certains adjuvants sont suspectés de persister dans l’organisme, voire de s’y accumuler, ce qui pourrait provoquer d’autres effets nuisibles à long terme [82] .
Clairement, il ressort de ce qui précède qu’il y a bien intoxication et abaissement des taux vibratoires globaux des individus. Ces altérations vibratoires ne seraient pas dénuées d’effets à long terme. C’est aussi pourquoi de nombreux chercheurs signalent que les vaccinations excessives pourraient affaiblir les individus plutôt que les protéger.
3.10. Vaccinations et allergènes, des risques énergétiques semblables ?
A vouloir produire dans nos corps trop de cellules spécialisées et suffisamment efficaces pour avoir un effet contre des tas de variantes virales, on risque de ne plus rien avoir d'efficace du tout. En outre, certaines cellules immunitaires produites en excès pourraient avoir des effets indésirables qui seraient de modifier de façon aléatoire le taux vibratoire de nos cellules saines, modifiant les ondes émises par nos cellules saines et leurs capacités réceptives ondulatoires. Les cellules immunitaires spécifiques à certains virus pourraient ajuster l'état vibratoire des cellules à des niveaux tels que ces cellules deviendraient réactives avec des substances qui n'ont plus rien à voir avec les virus. Les gammes de basses fréquences GRV (la Gamme Réceptrice des Virus) dont je parle plus haut sont probablement fort voisines de gammes similaires GRA (la Gamme Réceptrice Antigénique) vis-à-vis des antigènes.
On peut citer par exemple le pollen, certains aliments, médicaments, les métaux lourds etc. qui ont aussi leur propre niveau vibratoire (pour les deux premiers, ils ont de l'ADN et sont donc porteurs d'informations du vivant). Contrairement à la situation normale, le matching allergène-cellule serait possible (« la première rencontre sensibilise l’organisme au lieu de le prémunir, en lui faisant produire des immunoglobulines IgE … » [83]) , voire autoriserait la pénétration cellulaire de certains de ces agents allergènes. Ceci perturberait / intoxiquerait chaque cellule concernée et modifierait dangereusement son état vibratoire et son potentiel épigénétique. Ces phénomènes étant vibratoires, ils pourraient affecter l’ensemble du corps ou des cellules ou organes plus spécifiques.
Ceci pourrait expliquer le fait que les allergies et intolérances les plus diverses sont en augmentation dans nos civilisations de plus en plus vaccinées.
Chapitre 4 : La double théorie particulaire et ondulatoire des virions et les médecines qui dérangent
Étant donné tout ce qui précède, la théorie pasteurienne peut assez bien se combiner à la théorie particulaire. Elle y échoue cependant lorsqu’on aborde le fonctionnement cellulaire et global des individus. La prétendue pathogénie des agents dits pathogènes ne parvient plus à expliquer dans de nombreuses situations la santé humaine. Les mêmes agents sont par moment pathogènes (= sont présents lors de symptômes de maladies) alors que la plupart du temps ils n’ont aucun effet pathogène, voire ils sont bénéfiques à notre équilibre et à notre santé. Pasteur, s’il était encore vivant, devrait revoir sa copie.
Les agents pathogènes sont présents sur place en cas de maladies mais, tout comme les pompiers lors d’un incendie, sont-ils les causes de ces maladies ?
4.1. Compatibilité avec la théorie du Docteur Hamer.
Même si elle est dérangeante et largement controversée par la médecine conventionnelle, la théorie du Docteur Geerd Hamer[84] serait par contre pleinement compatible avec la vision énergétique. Un choc émotionnel intense (surtout sur un individu ayant déjà eu des chocs émotionnels semblables auparavant ou dans son ascendance généalogique ou, pour ceux qui y croient, dans une vie antérieure) aboutit immédiatement à la modification vibratoire de l'organe ou de la zone particulière liée à ce stress. Ainsi, l'organe malade peut-il au moment voulu (le plus souvent lors de la phase de réparation) retrouver une vibration qui pourrait entrer en (bio-)résonance avec le virus (ou la bactérie, le champignon), c’est-à-dire avec l'agent que l’on croit infectieux mais qui, selon la théorie hamerienne, est plutôt pour le corps un agent de réparation et de nettoyage. Une fois le nettoyage effectué, le niveau vibratoire de l'individu et de ses cellules remonterait et ses cellules perdraient leurs propriétés réceptrices et modifieraient leurs propriétés émettrices. Faute de matching, les virions toujours présents ne seraient alors plus à même de contaminer d'autres cellules de l'individu et donc de se multiplier. La personne est en train de guérir totalement, c’est-à-dire de retrouver sa santé initiale.
En fait, ces agents dits pathogènes sont toujours présents dans l’environnement (et même souvent dans notre corps) mais l’individu en bonne santé n’est pas réceptif et, s’il est malade, une fois guéri, il n’est plus dans un état réceptif. En bonne santé, il y a une cohabitation parfaite agent-cellules. Il est largement connu que notre microbiote intestinal (flore intestinale) est composé d’une multitude de micro-organismes qui vivent normalement en harmonie avec notre corps [85]. Il s’y trouve cependant des agents réputés pour leur potentiel pathogène. Les agents pathogènes ne le sont que parce que notre corps les a « accepté » comme tel.
La biologie totale et la métamédecine sont basées sur cette approche énergétique et plus particulièrement sur l’aspect émotionnel causal. De nombreux livres présentent ces relations entre les chocs émotionnels et la maladie déclarée par la suite. La constatation de l’exactitude des relations observées est sidérante. Ne pas vouloir y croire est aussi absurde que pour un aveugle de vouloir imposer l’idée que la lumière n’existe pas.
Mmmmmmmmmmmmmmm
4.2. Magnétisme, Reiki, la médecine spirituelle [86], la médecine de l’énergie cristalline[87], l’énergie d’Amour du Docteur Léonard Laskow [88] et des tas d’autres.
On est clairement ici dans l'énergétique. Avec l'aide du praticien magnétiseur ou du maître en Reiki ou de l’énergétiseur (par son magnétisme ou le transfert d'ondes universelles quel qu'en soit le nom), le but est de modifier l'état vibratoire des cellules et/ou du virus pour empêcher le matching. La médecine spirituelle proposée par Luc Bodin ou les soins par l'énergie d'Amour du docteur Léonard Laskow vont également dans le même sens. Ceci expliquerait leur efficacité incomprise et, faute de pouvoir être aujourd’hui mesurable scientifiquement par des instruments (il ne s’agit pas d’actions particulaires), elles sont largement combattues par le corps médical classique. Le souhait d’étudier ces méthodes n’existe d’ailleurs pas, étant donné les nombreux intérêts financiers en jeu.
4.3. L’homéopathie
Je vous rappelle préalablement que les papillons sont capables de détecter une molécule de phéromone diluée dans un m³ d’air et de déduire l’orientation à prendre. Ces dilutions sont fabuleuses et inférieures au nombre d’Avogadro. Dans cette situation entomologique, la science admet communément cette réalité biologique sans sourciller alors qu’elle est pourtant non conforme à l’explication chimique. Nous sommes évidemment dans l’énergétique. En entomologie, cependant, les intérêts financiers en jeu sont assez limités et ne remettent pas en cause l’explication des mécanismes des phéromones alors qu’ils le sont pour des phénomènes semblables en médecine humaine. La science aurait-elle plusieurs croyances selon les intérêts ?
Les travaux de recherche du médecin et immunologiste français Jacques Benveniste (12 mars 1935 – 3 octobre 2004) sur l’hypothèse d’une mémoire de l'eau sont connus du grand public[89]. Ils ont débouché sur une importante controverse scientifique. Pour rappel, il démontrait une efficacité immunologique à des dilutions telles que les antigènes étaient devenus absents dans les préparations.
Quantité d’articles scientifiques sont venus confirmer ses observations. [90]. Le Professeur Luc Montagnier y revient également dans l’article récemment écrit par Maxence Layet [91].
Croire ou ne pas croire à l’efficacité de l’homéopathie sous prétexte que la dilution infinitésimale sous le seuil d’Avogadro pour les particules physiques rendrait impossible son fonctionnement est d’ailleurs un faux problème. Les scientifiques, axés sur l’explication des particules/molécules seules, ne peuvent comprendre comment une substance dont on ne trouve plus aucune molécule active pourrait avoir un impact thérapeutique. Ceci ne fait toutefois pas preuve d’esprit scientifique correct. S’il y a une efficacité de terrain, c’est que la préparation est efficace. Ce n’est pas parce qu’on n’a aucune explication que le phénomène existe ou n’existe pas. Il y a bien une action … mais on n’en a pas encore découvert (ou démontré) le mécanisme. La lumière existe-t-elle depuis qu’on a accepté que deux théories étaient nécessaires simultanément pour en expliquer les propriétés ?
Des attaques récentes sur cette médecine homéopathique vis-à-vis de la Covid-19 ont d’ailleurs déjà eu lieu en France dès le début de l’épidémie, où on signalait dès le 6 avril 2020 « un traitement homéopathique frauduleux réputé guérir le Covid-19 a été découvert dans l'Hérault. … Pour rappel, il n'existe à ce jour aucun traitement allopathique ou homéopathique dont l'efficacité est prouvée contre le nouveau coronavirus Covid-19. »[92] Ceci n’est pas la preuve d’une inefficacité, ni le contraire d’ailleurs.
Basée semble-t-il sur cette fameuse mémoire de l’eau, l’homéopathie ne ferait que travailler sur l’aspect vibratoire de notre fonctionnement cellulaire. L’eau de la préparation mémoriserait la vibration de la substance (jus de plante, antigène, métal etc.) et conserverait cet état vibratoire initial (la fameuse carte d’identité vibratoire) grâce à l’agitation énergique du mélange lors des multiples dilutions successives. C’est pourquoi l’eau pourrait très bien ne plus contenir de molécule de la substance initiale mais en conserver tout son potentiel énergétique actif. On est clairement dans la bio-énergétique quantique (quelque soit le nom qu’on donne à ces mécanismes vibratoires).
Il reste à découvrir la nature de ces énergies du vivant et de la mémoire de l’eau. La physique quantique n’est-elle pas en train de nous en fournir les clés et d’ouvrir ces nouvelles portes ? Il y a tant de choses qu’on sait qu’elles existent derrière ces portes.
Le médicament homéopathique adéquat est donc capables d’agir également sur les maladies virales en modifiant l’état vibratoire de nos cellules. Par une réaction de type antigène-anticorps (mais uniquement en présence de la vibration de l’agent causal et non de sa particule physique), les cellules stimulées par cette (bio)résonance modifient leur état vibratoire de telle sorte que les matchings se réduisent puis disparaissent totalement. L’avantage de cette méthode est sa très bonne spécificité. Il faut que la vibration liée au médicament homéopathique soit parfaitement ciblée et corresponde parfaitement à la vibration qu’il convient de communiquer aux cellules à rééquilibrer. Le choix du médicament homéopathique est donc primordial.
Conclusion
On pourrait continuer des journées entières à développer cette approche vibratoire des virions (et celle d’autres micro-organismes, des antigènes, des phéromones, …).
La théorie particulaire des virus permet d’expliquer certaines propriétés virales et l’efficacité de certaines mesures prophylactiques.
Cependant, seule la théorie vibratoire (bio-énergétique) pourrait expliquer la plupart des propriétés des virus quant aux maladies virales et donc aux facultés des virus d’entrer dans des cellules sensibles, de s’y multiplier, de se propager ailleurs, de provoquer éventuellement des symptômes et aussi de se disséminer dans l’environnement. Elle pourrait également expliquer toutes les différences de sensibilités constatées entre les individus, leurs organes et leurs états de santé (dépendant entre autres des époques de l’année, de la longueur du jour, de l’alimentation, du manque de sport, des médications, de la pression écologique, des chocs émotionnels, de la peur et des angoisses, …).
Aucune des deux théories n’est fausse. Elles sont simplement complémentaires.
Nul doute que cette approche énergétique pourrait ouvrir des portes, que dis-je, un portail, pour une gestion plus efficace de la santé humaine, animale et, pourquoi pas, végétale, et éviter certaines limites et pièges des médecines particulaires et de certaines médecines actuelles non conscientes des effets énergétiques engendrés par leurs actions.
Il faut accepter la lumière pour voir enfin les ombres.
Ir. Jean-Luc Matthieu, bio-ingénieur et phytovirologue retraité.
Ces fréquences sont en interaction avec les fréquences de fonctionnement des cellules donc avec les fréquences du vivant. En effet, « Le micro-onde est basé sur l’absorption d’un photon proche de la bande énergétique rotationnelle des molécules d’eau. La molécule d’eau présente trois fréquences de résonance (pour une transition rotationnelle) dans la gamme des micro-ondes (et d’autres dans l’infrarouge), une à 22 GHz, une autre à 183.3 GHz, et une dernière à 325,4 GHz. Cependant, la fréquence de résonance se présente comme une valeur moyenne, la molécule peut encore, dans une certaine mesure, absorber ou émettre des photons de fréquence plus basse ou plus haute. » et « Si l’on envoie un photon (excitateur) à 22 GHz, on voit une énorme augmentation de la vitesse de rotation mais aussi de l’amplitude de rotation. Lorsque, cette dernière percutera d’autres particules, elle leur transmettra tout d’abord son énergie, puis ce “choc” modifiera la vitesse de ces particules, en les accélérant, mais aussi leur amplitude. Cela se traduira par la production de chaleur, car la chaleur se traduit par l’agitation de particules. La température d’une molécule n’est rien d’autre que la vitesse moyenne à laquelle elle s’agite. Dans le four à micro-ondes, la fréquence émise est de 2.45GHz. On se place à environ un dixième du“pic”de rotation, car si l’on soumettait les aliments à une fréquence de 22 GHz, les molécules d’eau accumuleraient trop d’énergie et les autres aliments carboniseraient (le choc physique créé par les particules excitées provoquerait une rupture des liaisons) » (référ. https://www.criirem.org/wp-content/uploads/2016/04/TPE-rapport_final_24mars2016.pdf).
En conséquence et en résumé, la 5G pourrait être capable de modifier les fonctionnements cellulaires et ceci de façon aléatoire risquant de provoquer les perturbations cellulaires les plus diverses. Ceci explique pourquoi les nombreuses études ne peuvent pas mettre en évidences des effets sur la santé humaine tant ces effets peuvent être variés. Pas si sûr cependant que les ondes SHF et la 5G soient neutres pour le vivant !!!!
Merci